Plus que 3 jours et je serai de retour dans mon pays, même si ce pays: l'Ancaba est très rustique je pense qu'il me manquera.
Je me présente: je me nomme Maria, j'ai 22ans les cheveux noirs corbeaux, lisse et long, ils atteignent le bas de mon dos, mes lèvres sont rouge sang et ma peau blanche comme la neige. Lorsque j'étais jeune les enfants de l'orphelinat me surnommait, vous l'aurais devinait sauf si vous êtes incultes, Blanche-Neige. J'ai grandit dans un orphelinat du fait que ma mère mourut en me donnant naissance et mon père ne pouvait pas supporter d'élever celle qui avait tué la femme qu'il aime, je ne lui en voulait pas car je le comprenais.
Mais revenons au moment présent, en cet instant je visitais une énième fois, sans me lasser, le centre ville et d'un coup j'entendis des trompettes qui résonnèrent à travers toute la ville.
Je ne compris pas ce qui ce passait mais voyant tout le monde s'agenouillait je fis de même ne voulant pas me faire remarquer. Une fois à terre, je relevais discrètement la tète et je vis, sur un siège portait par quatre esclaves noirs très mal en point, un magnifique homme. Il est sans aucun doute l'homme le plus beau que j'ai jamais vu et j'en suis sur que je ne verrai jamais: une chevelure d'un blond doré, un visage fin, un nez droit, une mâchoire carré, un torse musclé d'après ce que laissait voir ses vêtements et de longes jambes. Mais le fouet, qu'il tenait à la main et dont il se servait pour frapper le dos des esclaves, le rendit laid à mes yeux.
Ne pouvant supporter plus longtemps le bruit du fouet claquant sur leur dos et leur cris de douleur étouffait, je pris une pierre traînant par terre, visait la cause de la souffrance des esclaves et tirait. Je ne regardait même pas si je l'avais touchée et partit en courant alors que les gardes, de celui qui me semblait être le roi de ce pays, me pourchassait.Et pendant ma course une seule question me venait en tête:" Dans quel pétrin m'étais je fourrée ?". |