Ce chapitre est écrit selon le point de vue de Sylphe. Dans cette histoire tout m'appartiens...sur ce bonne lecture!!! Ah…que cela fait du bien une sieste ! Les débuts d’hiver ne sont jamais facile pour moi…Mais bon allons plutôt voir Fenrir. Je descends du lit. Et me dirige vers l’escalier pour descendre l’étage. N’empêche son lit est très confortable. Et puis son odeur est incrustée dans les draps et oreillers de son lit…alors pour moi c’est magnifique. Je descends l’escalier…enfin je vole jusqu’au salon et me poste près de la fenêtre pour voir l’extérieur. Et ce que je vois me donne des frissons ! Non cela me mortifie ! Fenrir est dehors étalé dans la neige. J’utilise mes pouvoirs pour ouvrir la porte et sort en trombe de la maison. Je vole aussi vite que je peux près de son corps inerte et m’empresse de vérifier s’il respire toujours. Pour mon plus grand soulagement la vie l’occupe encore. Je décide de le réchauffer en me posant sur lui. Je l’entoure de mes ailles et pose ma tête dans son cou. Son souffle est court et il a de la fièvre. Son corps se réchauffe un peu et les battements de son cœur sont lents. Je suis très inquiet pour lui et décide de me transformer en humain pour le porter chez lui. Je me relève et m’écarte de son corps. Dans un dernier envole ma transformation opère. Je suis debout et mes plumes tombent sur la neige. Je suis torse nue et un pauvre pantalon recouvre mes jambes. Je commence à avoir froid mais je n’y porte aucune importance. Je prends Fenrir dans mes bras et le porte jusqu'à sa maison. J’ouvre la porte et le pose sur le canapé. Je referme vite la porte et remet du bois dans le feu. Je donne un léger coup de vent pour que les flammes s’intensifient. Je reviens près de Fenrir et je le recouvre de la couverture qui est à ma droite. Je monte dans sa chambre et prends toutes les couettes et couvertures dont il dispose pour le recouvrir. Car sa peau est peut être blanche naturellement mais je ne pense pas que la teinte violine qui commence à apparaître est normale. De plus quand je lui prends la main, elle est tellement froide que ce contacte me créer des frissons. Je lui apporte de l’eau et le fait boire. J’installe toutes les couvertures sur lui pour qu’elles l’entourent comme dans un cocon et le préserve du froid. Doucement je me glisse dedans et met Fenrir sur moi. Je me calle bien avec des coussins et lui entoure la taille. Je mets doucement ma tête dans son cou et lui parle. Je veux qu’il se réveille. Je veux qu’il me parle pour m’assurer de sa santé et de son confort. Et ma méthode marche car il ouvre légèrement les yeux et me murmures des choses qui n’ont pas de sens. Je lui demande où il à mal et il me répond après quelques minutes de réflexion que sa tête le fait souffrir. Alors je prends un torchon, que j’ai ramené en même temps que les couvertures, et je le trempe dans de l’eau pour lui poser sur le front. Il me dit qu’il a encore froid. Presque instantanément je le serre encore plus contre moi. Il me remercie. Et commence à replonger dans l’inconscience. Mais je l’en empêche car je veux lui poser plusieurs questions sur ce qui lui arrive. -Fenrir ne t’endors pas ! -Mais j’en ai tellement envie… -Non ! Parle moi d’abord de ce qui c’est passé ! -Ah…Je ne sais pas…je voulais m’assoir quand j’ai eu… -Quand tu as eu ? -Des ver… -Fenrir ! Parle-moi ! -Quand j’ai eu des vertiges… -Et ? -Et après je suis tombé… -Oui et ? -J’ai plongé dans l’inconscience… -C’est tout ? -…oui… -Cela t’es déjà arrivé ? -Non…c’est la première foi…Mais je ne me sens pas normale d… -Hein ? -Cela fait une semaine que je ne me sens pas comme d’habitudes… -Ah ? -Oui…j’ai du mal à contrôler mes transformations…et je dors de plus en plus… -Mais ce n’est pas à cause de l’hiver ? -C’est ce que je pensais…mais je ne pense pas que l’hiver te fasse avoir des malaises ! -Non…En plus tu as de la fièvre et tu es gelé ! -Pourtant je n’es pas froid ! -Non ? Mais ton corps devient chaud ! -Il faut que je dorme… -NON ! Tu me parles encore ! -Mais…je…j’ai envie de dormir ! -ARRETE ! Tu me parles encore ! -Pourquoi ? -Sinon tu vas mourir ! -Hein ? -Maintenant tu parles et c’est tout ! Mais qu’à-t-il enfin ? D’abord il était gelé et maintenant il chauffe comme je sais pas quoi ! Il avait une fièvre de cheval et maintenant il parait mieux ! Il veut dormir mais c’est à cause de cela qu’il a failli crever ! Je suis près de lui mais je ne sais que faire pour le soigner…si cela se soigne ! Même son aura est étrange ! Elle semble si forte mais en même temps dégage beaucoup de tristesse que mon cœur le ressent. Je ne le connais pas assez bien mais je sais en ce moment même que son âme souffre le martyre. Son âme se sent seule, abandonnée, triste, désemparée, déprimée, morte ! Il souffre c’est sur ! Mais pourquoi ? Cela je ne le sais pas ! Je sais juste que maintenant cela attaque sa santé…Et que cela le tueras un jour où l’autre ! Mais je ne veux pas ,moi, qu’il parte ! Je ne veux pas qu’il m’abandonne ! J’en mourrais c’est sur ! Je souffre déjà car il n’a aucune connaissance de mes sentiments envers lui ! Et s’il part avant d’avoir entendue ce que j’ai à lui dire j’irais une dernière fois dans le ciel est laisserais tomber mes plumes pour mourir en vol en lui hurlant mon amour… Mais assez de pensée noirs ! Il ne mourra pas ! Il n’en à pas le droit ! Je le regarde me parler encore et encore de tout et de rien… Je l’entends mais ne l’écoute pas vraiment…Je prends juste plaisir à laisser la mélodie de sa voix entrer dans mes oreilles…Il a une si belle voix…Doucement je rêve à un beau futur… Je rêve à « notre » futur et cela me rend triste, mais je ne le montre pas. Je caresse son front tendrement pour savoir si il a encore de la fièvre et dans un soupir de soulagement je m’aperçois qu’il n’en a plus. Je lui donne de l’eau à boire. Et je remets ma main sur son front que je caresse avec pleins d’amour. Il a arrêté de parler et porte sa main sur la mienne ; je stoppe mes gestes et il prend ma main dans la sienne. Il entrelace nos doigts et me demande si maintenant il a le droit de dormir. Devant sa petite guérison et son ton si tendre et si suppliant en même temps, je lui accorde une courte sieste. Il parait satisfait et je mets ma main libre sur ses yeux pour qu’il puisse dormir sans être gêné par la lumière. Je sens qu’il esquisse un sourire et mon cœur s’illumine instantanément ! Je sens de la joie dans son cœur mais son âme reste meurtrit…Je le regarde, le contemple, l’admire et doucement je sombre moi aussi,dans le sommeil…Mais en gardant l’image de son visage rêveur tendue vers le ciel… oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo Je suis réveillé par une odeur de chair rôtie. Et je fais un grand bon comprenant que Fenrir à quitté le doux nid que je lui avais fait. Je suis furieux contre lui ! Il a failli mourir et monsieur fait la cuisine ! Il est complètement fou ! Je me transforme en oiseau tellement je suis en colère et je vole vers lui pour l’engueuler ! Il se retourne et avant même que j’ai pue lui enfoncer mon bec dans le dos il me marmonne des excuse et me promet qu’après son repas il retourne dans son « nid » ! Je me stoppe et pars bouder, je me pose sur l’une des chaises et lui tourne le dos. Lui il mange tranquillement et relativement vite puisque cinq minutes plus tard il met ses couverts dans la bassine. Aux bruits qu’il fait je me retourne et vois qu’il est près à se mettre sous les couvertures. Il me regarde d’un air de dire « je t’attends » mais je ne bouge pas et il se couche tout seul. Il s’endort encore une fois très rapidement mais là je le réveille et lui ordonne de me parler encore une fois. Il me regarde assez méchamment mais se met à me parler. Le soir arrive et je lui propose de l’aider à monter toutes les couvertures et couettes que j’avais descendues quand il n’était pas bien, et il accepte avec joie ! Il plis plusieurs tissues et m’en donne, je m’envole avec vers la chambre et lui, en prends un gros paquet dans les bras. Une fois que nous avons tout remonté nous allons vers sa chambre et je l’aide à refaire son lit. Il s’y couche et me propose de le rejoindre, au moins pour lui tenir chaud… Je rougis et heureusement que je suis encore en forme d’oiseau sinon il se poserait beaucoup de questions…J’ai très envie de le rejoindre mais quand je me transforme en homme mes plumes tombent et cela en fait un gros paquet. Et je n’ai pas envie de le voir encore se fatiguer pour s’en débarrasser…Alors je lui explique mais il me dit que cela lui servira à rembourrer ses coussins. Et il m’invite une fois de plus à le rejoindre. Sous cette deuxième proposition je ne peux pas refuser. Donc je me transforme et mes plumes tombent sur le sol. Je me dirige vers son lit et je me rapproche de lui. Il paraît un peux surpris mais je lui rappel que c’est lui qui voulait que je le réchauffe. Après je lui ouvre mes bras et il s’y blottit. Il met sa tête contre mon torse et se colle encore plus à moi. Je referme mes bras autour de lui et glisse ma tête dans son cou. Nous sommes tout les deux torses nues et la chaleur de son corps contre le miens me fait frémir. J’en pleurai presque tellement que c’est bon. La douceur et l’odeur de sa peau me détendent instantanément et je me sens royalement bien. Mais bientôt le sommeil nous gagnent et les bras de Morphée nous bercent doucement… oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo Je suis seul dans la forêt près d’un rocher. Un rocher noir que je reconnais comme étant celui de Fenrir. Je suis en forme d’homme et marche lentement dans une direction inconnue. Le froid glace mes os. Et chaque bouffée d’air réchauffe ma gorge qui commence à me brûler. Mais je continue mon chemin. Je marche encore et encore jusqu’à apercevoir une forme devant moi. Je me stoppe et la forme s’avance. Au fur et à mesure qu’elle vient vers moi je devine que c’est un homme. Et quand je la vois, je suis surpris. Cassandre se tient en face de moi. Il se met à parler. Il me parle de Fenrir et de sa souffrance. Il me raconte que si son âme continue à souffrir il mourra dans sept jours. A cette annonce je me sens mourir. Et de fines larmes viennent mourir aux commissures de mes lèvres et sur le sol.Il ne paraît pas surpris et me dit que si je veux sauver le loup je dois lui faire connaître l’amour. Après cette phrase il part et moi je m’effondre par terre. Je pleure toute les larmes de mon corps et me fait la promesse de le faire tomber amoureux de moi en moins d’une semaine. Je lui dirais et je le sauverai ! Je me réveil assez désemparait par ce que je viens de rêver. Je sais que c’est la vérité. Et je décide de réveiller Fenrir, qui, est toujours collé à moi sur mon torse. Je lui murmure dans le creux de l’oreille qu’il doit se réveiller et doucement il ouvre un œil, puis l’autre. Il se détache légèrement de moi et me regarde dans les yeux. Il me dit bonjour et resserre son étreinte sur moi. Il me dit que cette nuit de sommeil lui a fait le plus grand bien, et il me dit aussi que c’est la première fois qu’il dort aussi bien. Il a toujours sa tête posée contre mon torse et son souffle chaud sur ma peau est, pour moi, une tendre caresse. Il me dit qu’il veut rester à la maison aujourd’hui avec moi, pour parler. J’accepte et propose de lui emmener le petit déjeuner au lit. Il se relève brusquement aussi rouge qu’une tomate et accepte avec un grand sourire, ma proposition. Alors je me détache à regret de lui, et pars pour lui faire à manger. Je reviens quelques minutes plus tard. Et nous mangeons tout les deux ensemble, dans le lit notre repas. Il paraît heureux et me remercie. Il se lève et vas chercher des habits. Il s’en prend et m’en tend aussi. Il part prendre une douche et je m’habille. Je descends les restes de notre nourriture et m’installe ensuite sur le canapé. Je réfléchie aux différents moyens qui pourrais réussir à le séduire. Je réfléchie tellement que je ne l’entends pas arriver à mes cotés, avec deux couvertures dans les bras. Il me regarde et commence à me parler. Il me parle de lui. Il me raconte sa triste vie. Ses souffrances, regrets, malheurs, bonheurs, souhaits et rêves… Il me conte les plaies de son cœur et de son âme. Il me confit ses plus grands secrets. Et me dit la raison pour laquelle il se dit maudit. -Je suis maudit, car je suis condamné. -Condamné à quoi ? -A vivre une éternité. -Une éternité ? -Oui, et le pire c’est que personne ne peux me détruire. -Tu es immortel ? -Un peut oui…mais cela ne sert à rien… -… -Une éternité… -C’est long ! -Oui très…surtout quand on n’à personne pour partager sa vie… -Oui…Mais, il y a des louves non ? -Je n’en veux pas ! Moi je veux un être comme moi ! -Comme toi ? -Oui, un être qui pourrait me survivre…un être ayant un don presque comme le miens. -… -Mais je suis condamné à vivre une éternité de douleur et d’ennuis… -Mais non ! -Si ! Car la personne qui me complète ne doit pas existée… -Et ne désespère pas ! Moi je n’aurais jamais de compagnon ! -A bon ? -Non ! Je suis l’un des derniers génies des airs…Mais je resterais seul… -Pourquoi ? -Il ne reste plus que deux femelles et elles son déjà prise… -Ah… -Donc ne désespère pas ! Tu as encore une chance au moins ! -Oui… -Bon je vais allez chasser le diner… -Quoi ? TOI ? -Bhen oui ! Il est hors de questions que tu sortes alors que tu es malade ! -Mais je vais bien ! Et puis c’est dangereux ! -Ne t’en fait pas ! -Non reste ! -Mais… -Reste ! Ne me laisse pas seul ! Je t’en prie ! -Si tu le veux tant… -Merci ! -Mais alors tu ne dors pas ! -C’est d’accord ! -Bon je reste alors ! -Merci ! Merci ! Merci ! -De rien beau loup ! -Beau loup ? *oups* Bhen tu veux que je t’appelle moche loup ? -Heu…non mais cela m’a surpris c’est tout ! -Ahah ! -Au fait, merci de m’avoir écouté tout à l’heure… -Eh ! Je suis ton ami ! C’est normal ! -Mais merci quand même ! -De rien ! -Et toi parle moi un peux plus de toi ! -Euh… -Sur tes amours plus particulièrement ! -Mes amours ? -Oui ! -Et bien…j’ai essayé les deux sexes et aucune de mes histoires n’a vraiment marchées… -Ah ? -Non ! Personnes ne me convenait… -C’est triste ! -Je ne trouve pas…enfin pas trop…ce n’était juste que des amourettes… -Oui mais si déjà à ton âge tu ne trouve personne d’un coté ou de l’autre… -Personne ne pensé comme moi ! -C’est pour cela… -Oui…cela ne collé pas car personne ne me ressemblé… -… -Et aujourd’hui la seule personne que j’ai trouvée… -Que tu as trouvé ? -Se désespère toute seule. -Ah ? Et où se trouve-t-elle ? -Juste à coté de moi ! -MOI ? -Oui ! -M-me-me-MOI ? -Oui, c’est toi ! -Ah… -Pourquoi rougis-tu ? -P-pe-pour rien ! -Ahah ! Si tu le dis ! -*allez ! je vais commencer à le séduire dès maintenant !* -… -Toi ce serais quoi ta personne idéal ? Un homme ou une femme ? -Euh…je ne sais pas…mais si c’était un homme il serai fragile par rapport… -Par rapport à toi ? -Oui ! -*super pour moi !* Et puis quoi d’autre sur l’homme ? -Heu…gentil, doux, intelligent, rêveur, attentionné heu…beau ? -Beau ? *bon je remplis tout les critères !* -Oui beau ! -Mais encore ? -Heu…grand, fin, musclé mais, légèrement, agile, délicat et ayant assez de grâce… -*c’est super !* Tu es difficile ! -Mais c’est comme cela que je le vois ! -Je sais ! -Mais pour le visage je ne sais pas… -Un visage comment ? -Mais je ne sais pas ! -Décrit juste quelques parties… -Heu…un visage fin, avec des lèvres fines mais pleines, un nez aquilin, brun… -*parfait !* C’est déjà bien ! -Mais pourquoi me demandes-tu cela ? -Juste pour savoir… - ? -Mais plus je l’imagine plus je me dis que tu m’as décrit ! Tu es amoureux de moi ? -Moi ? Mais non ! Absolument pas ! Jamais de la vie ! -Sympas… -Quoi ? -Non, rien ! - ? -Mais pourquoi rougis-tu ? -Je ne rougis pas et je ne t’aime pas ! -Il n’y aurait aucun mal ! Mais… -Rien du tout ! Je ne t’aime pas ! Et cela n’arrivera jamais ! -A bon ? Et pourquoi pas ! Tu en as le droit ! -Mais tu es mon meilleur ami ! Et… -Et quoi ? Si un jour cela arrive que vas-tu faire ? -… -Pfff ! Bon je m’en vais ! Réfléchie-y et viens me voir après ! -Quoi ? -Salut ! -Hein ? -Je suis chez Cassandre ok ? -NON ! -Quoi ? -NE ME LAISSE PAS SEUL ! -Et pourquoi ? -Depuis que je te connais…je déteste la solitude ! -Et alors ? -Reste avec moi ! -NON ! Réfléchie à la question que je t’ai posée ! -Me laisse pas… -Au revoir ! Et il me retient par le bras pour que je reste avec lui…Mais moi je ne veux pas ! Il m’a fait mal en disant qu’il ne m’aimé pas et que cela n’arriverais jamais…Moi je l’aime mais s’il n’accepte pas le fait qu’un jour il puisse tomber amoureux de moi, alors je préfère m’éloigné de lui, m’éloigner de l’homme que j’aime, m’éloigner de l’homme qui va mourir s’il ne connait pas l’amour… Je m’en veux de le laisser, mais je ne peux pas faire autrement. J’ouvre la porte et j’entends ses cris désespérés derrière mon dos…Mon cœur saigne mais je ne me retourne pas. Je quitte sa maison, et me dirige vers la forêt tout en priant pour qu’il accepte notre (peut être) futur amour, vite. Je ne veux pas le perdre ! Et au fond de moi je lui cris tout mon amour… Désolé pour l'attente mais quand il y a des exams c'est pas facile de se trouver du temps libre dans la semaine...Mais comme maintenant c'est terminé je vais pouvoir reprendre mon rythme! Pardon pour les fautes... |