Ceci est la deuxième fanfic d'HP que j'écris, je ne publierais pas la première ici...

Le chapitre 7 est déjà en cours, je devrais publier aux deux semaines.

Joyeuses Pâques!

Résumé :

Une Québécoise découvre qu’elle est une sorcière à son seizième anniversaire. Elle est surprise de savoir que les livre et les fanfictions d’Harry Potter qu’elle lisait, se basaient sur du vrai. Son chat qui est un animagus, prend sa place tandis qu’elle va à Poudlard. Elle va bien s’amuser avec deux personnes… à leurs dépend

Précision temporelles : Johanie, la perso principale, devrait être née en 90 pour avoir lu les livre mais pour que les livres  soit paru, Harry Potter doit être né en 80, donc ça marche pas, Johanie est née en 80, pour que ça marche

Précision linguistiques : À Londres, ça parle anglais, au Québec, en français, donc quand Johanie parle français je le précise. Le premier dialogue se passe en français. L’anglais démarre avec l’arrivée de Johanie à Poudlard.

Bonne lecture!

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Chapitre un : Une nouvelle inattendue

« -Johanie, s’exclama Amanda, ce que tu as prévu pour ta fête, ce soir, est trop bien!

-Tu es la seule à être née pendant les vacances d’été, déclara Anna, j’ai toujours rêvé d’organiser ma fête sous un chaud soleil!

-J’ai de la chance, répliqua Johanie »

On était en tout début d’après-midi, le 1er septembre, Johanie fêtait son seizième anniversaire. Elle était dehors avec deux de ses amies et elle attendait encore 12 personnes. Son père avait consenti à lui acheter quelques bonnes bouteilles d’alcool, pour cette fois seulement. Soudain, un grand homme, à la longue chevelure argentée et une longue barbe de la même couleur, traînant, derrière lui, une grande malle et un étui de guitare, sortit de la maison. Les deux amies de Johanie, Amanda et Anna, furent figées par un sort.

« -Je suis Albus Dumbledore, déclara l’homme,  au mois de janvier, je suis venu ici et j’ai découvert des traces de magie accidentelle. Aucun sorcier ne vit au Québec, le ministère juge inutile de surveiller ici à cause de cela, mais grâce à toi cela va changer. Ton chat est un animagus qui te surveille et a confirmé que tu étais une sorcière. Il prendra ta place pendant que tu iras à Poudlard. Si tu ne sais pas bien parler anglais, tu auras un sort pour t’aider. Tu auras un mois pour apprendre les cinq premières années et le premier mois de sixième année. Toutes tes choses sont multipliées par deux, ainsi tu pourras avoir toutes tes choses sans que rien ne manque ici.

-C’est une blague tout ça! s’exclama Johanie en regardant ses amies, pas si sûre là et mes fournitures? Et toute l’histoire de J.K.Rowling? Et en passant, je me débrouille très bien en anglais.

-Ce n’est pas une blague, rétorqua Dumbledore, tes fournitures seront achetées demain. Johanne est une sorcière et l’histoire n’est pas la même. Les livres sont là pour aider les sorciers nés de moldus. Nous allons nous dissimuler derrière la piscine, je lancerai un sort d’oubliette à tes amies et ton chat prendra ta place. »

Dumbledore se dirigea vers l’arrière de la piscine avec la malle et l’étui à guitare et Johanie le suivit. Le chat de cette dernière se changea en femme, totalement différente de Johanie. La femme but une gorgée dans une flasque  et se changea en la jeune fille. Dumbledore lança un sort d’oubliette aux deux amies de la jeune sorcière, sortit une veille chaussette d’une poche de sa robe et demanda à la jeune fille de la toucher. Quelques instant plus tard, Johanie ressentit la même sensation qu’un voyage en portoloin décrite dans les livres. (Nda : pas facile, cette pharse)

Ils atterrirent devant Poudlard. Le soir était tombé et l’air frais fit frissonner Johanie. Dumbledore et elle se dirigèrent rapidement vers la Grande Salle. Tout le monde commençait leur repas quand ils entrèrent. La plupart des garçons regardèrent Johanie avec attention et plusieurs filles lui lancèrent des regards noirs. Johanie avait un bikini rouge bourgogne, assez décent et, noué autour de sa taille, un long paréo vert foncé légèrement translucide. McGonagall transforma ce paréo en une longue robe vert foncé et décente. Dumbledore aperçut une bouteille  dans la main de Johanie et ordonna : « -Donnez-moi cette bouteille! »

Johanie déboucha la bouteille et la but d’une traite et donna la bouteille à Dumbledore.

Dumbledore, surpris et légèrement exaspéré, prit la parole : « - Chers élèves, voici une nouvelle condisciple. Elle se nomme Johanie Léveillé et elle vient du Québec. Johanie a aujourd’hui seize ans et pendant le premier mois, elle apprendra les cinq premières années et le premier mois de la sixième année. Ensuite, elle rejoindra les sixièmes années de sa maison pour ses cours. Elle partagera, dès lors, la salle commune et le dortoir de sa maison. Minerva apportez le choixpeau, s’il vous plaît. »

McGonagall se leva et alla chercher le choixpeau dans la salle derrière la table des professeurs et s’approcha de Johanie. Puis, elle posa le choixpeau sur la tête de cette dernière. Le choixpeau parla, alors, à voix haute : «- Je vois une personne d’une grande intelligence, possédant un grand courage et une ruse sournoise, n’ayant pas peur de travailler et aussi une loyauté et une fidélité envers ceux qu’elle aime. Les qualités des quatre maisons réunies en elle en partie égale. Une maison en particulier?

-Pas vraiment, répondit Johanie

-Bien, continua le choixpeau, tu  seras alors….une sergrysouffles. Tu feras partie des quatre maisons. Les points seront en fonction de la maison avec laquelle tu travailleras. Tu es la deuxième dans ce cas-ci. Professeur McGonagall vous me porterez quand elle aura ses uniformes. Professeur Dumbledore, au 8e étage, trouvez le portrait de Frédérique, le joueur de lyre, allez le voir après le repas. »

Le choixpeau se tut et les murmures dans la salle s’élevèrent. Dumbledore les fit taire d’un geste.

«- Miss Léveillé, vous mangerez à la table des professeurs, le temps de vous faire des amis, après vous vous assoirez où vous voudrez. Le professeur Rogue vous accompagnera demain pour acheter vos fournitures, je vous remettrai votre horaire à votre retour. »

Johanie sourit, sachant qui l’accompagnerait demain. Dumbledore et Johanie allèrent s’asseoir à la table des professeurs. Johanie remplit son assiette faiblement, puis elle goûta le jus de citrouille et recracha aussitôt sa gorgée. Elle demanda à Dumbledore s’il saurait possible d’avoir autre chose à boire, comme du jus de framboise. Un pot de jus de framboise apparut, alors, devant elle, Dumbledore lui sourit et retourna à sa conversation avec McGonagall. Johanie ne connaissait pas tous les plats mais elle en goûta quelques-uns. Certains plats n’étaient pas très bon à son goût mais majoritairement la nourriture était excellente. Tout en mangeant, elle observait élèves et professeurs, s’attardant sur Drago Malefoy et  Severus Rogue, ses personnages favoris dans l’univers d’Harry Potter. Elle se dit que Sirius Black avait dû être innocenté, car il était présent, assis à côté de Remus Lupin. Les professeurs la regardaient discrètement et les élèves aussi mais sans discrétion. Johanie était grande, avait la peau pâle malgré ses longues journées au soleil, des lèvres d’un rouge carmin, des yeux bleus reflétant sa personnalité et ses humeurs. Le repas s’acheva et les préfets distribuèrent les horaires et emmenèrent les élèves aux dortoirs. Dumbledore se leva et demanda à Johanie de le suivre à son bureau. Sirius et Remus demandèrent de se joindre à eux, ce que Dumbledore accepta. Johanie demanda si elle pouvait trouver le mot de passe et elle eut l’autorisation. Arrivés devant la gargouille, les trois hommes restèrent en retrait tandis que Johanie nommait vainement toutes les sucreries et quelques autres termes sorciers. Les adultes souriaient légèrement.. Dumbledore s’avança et tira le nez de la gargouille en disant « whisky pur feu ». Johanie gronda tel un chat en jetant un regard méchant aux trois hommes qui étaient amusés et s’avança dans les marches. Les hommes la suivirent, Dumbledore se contentait de sourire légèrement, Remus, lui, souriait grandement et  Sirius se retenaient à grand peine de rire. Johanie s’énerva et donna un bon coup de poing sur l’épaule de Sirius et une gifle sur l’épaule de Remus.

« -Officiellement vous n’êtes pas encore mes enseignants, dommage pour vous, je ne frappe pas ni insulte directement mes professeurs, déclara Johanie »

Sirius se frottait l’épaule, Remus lui dit qu’elle avait bien fait de frapper Sirius et que ce dernier agissait en enfant parfois et quant à Dumbledore, il lui fit un clin d’œil. Finalement, ils entrèrent tous les quatre dans le bureau de Dumbledore. Le directeur s’assit derrière son bureau, Johanie s’assit face à lui, Remus s’assit à sa droite et Sirius à sa gauche.

«-Harry Potter est né le 31 juillet 1980.  Ses parents ont été assassinés le 31 octobre 1981. Tout ce qui suit jusqu’à la première année est vrai. Les réticences des Dursley étaient, tout de même, un peu exagérées. Lors de la première année d’Harry Potter, j’ai découvert les horcruxes et je les ai éliminés, sauf un, avec l’aide de Severus. Le premier livre diffère seulement à propos des horcruxes. Pour le deuxième livre, la seule différence est le début du procès de Sirius Black. Dès la fin de la deuxième année d’Harry Potter, il n’y avait plus d’horcruxe. Après, les livres sont plus dans l’imaginaire que dans la vérité. Pettigrow a été capturé alors qu’il se baladait avec un serpent contenant ce qui restait de Voldemort. Harry a tué Pettigrow et Voldemort. Pettigrow avait une liste de tous les mangemorts qui étaient en liberté, avec comme tâche de les punir. Tous les mangemorts ont été tués sauf Severus. Sirius a été innocenté avec la capture de Pettigrow  Remus et Sirius sont professeurs de défense contre les forces du mal  depuis la troisième année d’Harry Potter, expliqua Dumbledore, les personnages sont identiques aux personnes. Johanne est une sorcière et le ministre l’a autorisée à publier pour faire connaître notre monde, en général, aux sorciers nés de moldus. Les sorciers nés de moldus reçoivent une lettre expliquant tout ceci.

-Harry assiste régulièrement à des coupes de Quidditch avec moi et les Weasley, déclara Sirius, j’arrive parfois à inviter Remus, ce qui est plutôt difficile.

-La carte du Maraudeur et la cape d’invisibilité sont en MA possession, déclara Remus qui boudait Sirius, Harry y a droit parfois. »

Johanie avait baissé la tête et se mordait la lèvre pour ne pas rire.

«-J’assimile bien tout ça, déclara difficilement Johanie à cause de son envie de rire

-Au lieu de te retenir de rire, déclara Sirius, dit nous ce qui te fait rire

-Les fans d’Harry Potter écrivent des histoires sur l’univers d’Harry Potter, commença Johanie, de tous les genres, de tous les styles, avec des couples qui ne sont pas dans les livres et la relation des couples est parfois très imagée et…. »

Johanie n’en dit pas plus et à la vue des visages des trois hommes qui avait compris où elle voulait en venir, elle ne put se retenir d’éclater de rire.

Après quelques minutes, Johanie se calma et déclara : «- Désolée, mais les fans ont le droit de rêver.

-Rêver à nos dépens, soupira Sirius

-Ils ne savent qu’on existe vraiment, raisonna Remus

-Internet n’intéresse pas vraiment les enfants de onze ans, rajouta Johanie, donc vous n’avez pas à vous en faire.

-Allons visiter les appartements de Johanie maintenant, coupa Dumbledore en voyant Sirius ouvrir de nouveau la bouche. »

Il sortit, suivi des trois autres. Tous les quatre se rendirent au 8e étage et s’arrêtèrent devant le portrait de Frédérique, le joueur de lyre. Le portrait parla alors : «- Venez-vous pour acquérir les lieux, gente dame?

-Si ce sont les lieux sont les appartements d’une sergrysouffles, je viens les acquérir, répondit Johanie

-Donnez-moi le mot de passe désiré, demanda le portrait

-Sévichounet, répondit Johanie avec un sourire. 

-Parfait, répliqua le portrait, comment vous appelez-vous?

-Johanie Léveillé, répondit Johanie

-Enchanté, déclara le portrait, veuillez entrer dès à présent. »

Le portrait s’ouvrit alors. Johanie entra la première, suivie des trois adultes.

Ils pénétrèrent dans un salon  magnifique. Deux grands fauteuils et deux petits fauteuils, tous rouges, étaient disposés autour d’une superbe table basse. Les fauteuils et la table basse reposaient au centre de la pièce et sous eux, il y avait un tapis bleu. Une grande bibliothèque, sur le mur de droite, contenait tous les livres nécessaires pour les 7 années de Poudlard et un livre sur l’Histoire de Poudlard. Appuyée contre le mur opposé à la bibliothèque, il y avait une grande table avec une chaise à l’allure confortable. Sur la table, il y avait des parchemins, des plumes et des encriers. Il y avait deux portes opposées à l’entrée. À gauche de l’entrée, il y avait un cadre vide où Frédérique, le joueur de lyre venait d’apparaître. À droite, un portrait d’enfants jouant dans la campagne avec des chiens, des chats et des oiseaux. Johanie se dirigea vers une des portes, celle de droite, les hommes la suivaient de près.

La pièce donnait sur une salle de bain à couper le souffle. Au centre de la salle de bain, trônait une grande baignoire qui ressortait du sol. Trois marches de marbre noir permettaient d’accéder à la baignoire qui était d’un blanc étincelant. Dans le coin gauche, en entrant, il y avait une douche. Les vitres étaient transparentes et les bordures de la douches étaient noires. Dans le coin gauche, au fond, il y avait une armoire transparente qui contenait plusieurs serviettes et peignoirs, tous blancs, des lotions, des savons, des shampooings et des bains moussants, tous à plusieurs parfums et/ou fonctions. Dans le coin de droite, en entrant, il y avait une toilette noire. Dans le coin droite, au fond, il y avait un lavabo noir ouvragé et un miroir, ouvragé avec la même minutie que le lavabo, avec un cadre noir. Le plus impressionnant était les émeraudes incrustées dans les marches menant à la baignoire, les bordures de la douche, la toilette, le lavabo et le cadre du miroir. Johanie sortit et entra dans la seconde pièce qui était la chambre. Les adultes la suivaient toujours.

Un grand lit baldaquin était appuyé au mur opposé à la porte. Un édredon noir, parsemé d’étoiles jaune dorées reposait sur le lit. Des rideaux de velours noir encadraient majestueusement le lit. Deux tables de nuit noires étaient de chaque côté du lit. Une garde-robe noire était au fond à gauche. En entrant, à gauche une grande commode noire. À côté de la porte, à droite, un grand miroir, avec un cadre d’argent, était accroché. Il y avait aussi deux fenêtres immenses de part et d’autre du lit. Sur le mur de gauche, un portrait des quatre fondateurs au début de Poudlard. Un foyer prenait tout le mur de droite et un feu brûlait dans l’âtre.

« -C’est tellement magnifique,  s’exclama Johanie

-Jamais rien vu de semblable, renchérit Sirius.

-Messieurs, je crois qu’il est temps pour Johanie de s’installer et de dormir, déclara Dumbledore, je vais te montrer comment régler ton cadran Johanie »

Les bonnes nuits furent échangés et Dumbledore dit à Johanie qu’elle partait à 8h demain. Puis, il régla le cadran à 6h45, comme le voulait Johanie. Puis, il partit. Johanie remarqua sa malle et sa guitare et aussi deux tapis de la même couleur que la couverture de chaque côté du lit. Elle défit ses bagages, mit son pyjama et se coucha. Mais le décalage horaire était d’a peu près 6h. Elle s’endormait toujours vers 22h. Vers 4h dans la nuit, elle trouva, enfin, le sommeil. Elle serait fatiguée demain et le lit était des plus confortable, le levé allait s’avérer difficile.

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