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au 31 Mai 21 :
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Les contes de minuit du chat !
Par Lusaka , Grenadine
Originales  -  Humour/Angoisse  -  fr
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    Chapitre 4     Les chapitres     18 Reviews    
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La plaine Torbuchac, ou pourquoi la vache qui rit rit.

Le quatrième conte ! ...qui a été raconté il y a quelques temps déjà. Au début, aucun bruitage, car Dine n'était pas encore là. Il a fallu improvisé avec ça. Vous allez voir comme c'est grave mieux dès qu'elle arrive !!

J'ai laissé quelques commentaires qui m'ont trop fait rire. ;) Bonne lecture ! @__@

_______________________________

La plaine Torbuchac, ou pourquoi la vache qui rit rit !  

 

Le silence planait sur la plaine de Torbuchac. Personne ne savait réellement depuis quand les oiseaux, le vent, la nature s'étaient tus. En réalité, ce silence était une malédiction ! Une terrible malédiction jetée il y avait plusieurs années par un terrible assassin !

C'est bien un assassin qui, repu des hurlements de ses victimes, avait lancé ce sortilège de silence sur la plaine Torbuchac. Cet assassin avait enterré toutes ses victimes dans le sol froid et dur de la plaine, et il logeait au-dessus de ce cimetière improvisé, tout en haut d'une colline, dans une petite mansarde.

Mais un jour, une pluie drue et forte commença à tomber et à tremper abondamment la terre de la plaine en la ramollissant. Dans sa modeste demeure, l'assassin se couvrit et s'enferma tranquillement, n'imaginant pas un instant que cette pluie était annonciatrice de son malheur !

Mais à cause de son sort de silence, la pluie tombait sans bruit. Et c'était un énorme problème, car tout le monde aime le bruit de la pluie. Tout particulièrement la fée de l'aube !

La fée de l'aube était une petite fée qui travaillait avec le soleil. Elle l'aidait à se lever le matin, lui mettait ses chaussons aux pieds, lui préparait son café. Elle était son aide de maison, mais seulement le matin. Le reste de la journée, elle était libre.

Et elle profitait de ces instants de liberté pour se promener au gré des verdures z'et des forêts, car c'était une petite fée très bucolique.

Elle était adorable. Imaginez… une petite chemisette bleue qui lui arrive à mi cuisse, tenue par une jolie ceinture rouge brodée de fil d'or, des petits chaussons verts, assortis à l'herbe qu'elle foule gaiement, et une culotte rose en coton.

Pendant qu'elle se promenait, ce jour-là, la pluie tombait toujours sur la plaine de Torbuchac. Or voilà que la fée de l'aube s'en approche.

- Que voilà un joli coin ! s'exclame-t-elle.

Elle s'en approcha en chantonnant, mais soudain, sa voix mourut au fond de sa gorge ! Elle venait de franchir la limite du terrible sort de l'assassin ! Affolée, mais très curieuse, elle poursuivit malgré tout son chemin et arrive enfin au plein cœur de la plaine. Quelle ne fut pas sa surprise de constater que la pluie, qui faisait pourtant bouillonner la terre, ne faisait aucun bruit en tombant !

La terre ne ressemblait plus qu'à de la boue, mais pas un bruit ne vrillait son tympan. Elle tenta de crier, vainement. Voir cela lui déchirait le cœur, elle qui aimait tant le bruit de la pluie !

Soudain, elle avisa la petite cabane de l'assassin. Elle déploya donc ses ailes et s'envola dans cette direction, espérant trouver la solution à ce mystère. La pluie frappait son visage, mais elle se guidait avec la fumée qu'elle voyait sortir de la cheminée de la maisonnette et avec les lumières qui perçaient les carreaux des petites fenêtres.

Mais elle voletait de plus en plus faiblement, comme si un charme la retenait loin de cette maison. Ses ailes semblaient la tirer en arrière ! Quelque chose… ou quelqu'un la retenait ! Elle soufflait de peine et de douleur. Son instinct lui dictait de ne surtout pas se retourner, de ne pas chercher à savoir.

Mais souvenez-vous… La petite fée de l'aube était très curieuse ! Elle finit donc par se retourner !

Aussitôt, elle voulu pousser un cri face à la vision qui s'offrait à elle ! Mais bien sur, aucun son ne sortit. Des milliers de corps blancs déchiquetés flottaient au-dessus du sol, et trois ou quatre de ces étranges créatures la retenaient par les pieds !

Il en sortait toujours plus de la terre, grâce à la pluie qui avait ramolli ce sol dur et froid. Autrefois, la terre retenait les âmes des victimes, mais grâce à la pluie silencieuse, elles pouvaient enfin s'échapper.

Très vite, la fée de l'aube comprit que ces fantômes n'avaient rien contre elle. L'un de ceux qui la tenaient par les pieds la prit dans ses bras, et elle poursuivit sa route vers la cabane de l'assassin avec eux.

Car c'était aussi leur destination.

 

#Grenadine vient d'arriver.

Lusaka : Dine @________________________@

Grenadine : coucou

Lusaka : Dine, le comte a commencé !

Lusaka : Il y a de la pluie…

Lusaka : et des fantômes qui sortent de terre !

Lusaka : Tu saurais faire ça ?? @@

Grenadine : *flic floc floc flac flic*

Grenadine : *BOUHHHHHHHHHHHH*

Grenadine : *sprunch*

Lusaka : rahh tout de suite c'est mieux ! =D

Grenadine : (c'est la terre mouillée percée par les fantômes XD)

Jaiga : bah ça fait du bruit d'un coup ?

Lusaka : ET OUI JAIGA !!!

Lusaka : TRES BONNE REMARQUE !!!

Lusaka : Pendant que Dine arrivait, les fantômes et la petite fée sont enfin arrivés à la cabane !

Lusaka : Et en y rentrant, ils ont rompu le charme de silence !!!!

Lusaka : Donc le bruit se mit à retentir de nouveau sur la plaine !!

Grenadine : *bouuuuuh slif*

Grenadine : *criiiiiiiiiiiiiiiiiiic*

Lusaka : (Pile quand Dine arrive, vous vous rendez compte ! Quelle coïncidence !)

Grenadine : XD

Grenadine : \o/

  

Ainsi, la pluie fracassait de nouveau le sol, comme autrefois !

Grenadine : *FLIC FLOC FLOC FLAC FLIC* 

La terre bouillonnait !

Grenadine : *blombloum* 

Les fantômes envahirent la cabane de l'assassin.

Grenadine : *BOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUH* 

Celui-ci, en voyant tout ce monde, se mit à paniquer !

Grenadine : *OSKOURRRRRRRRRRRR HAAAAAAAAAAAAAAAAA* 

Il paniquait, car il n'avait plus assez de café pour tout le monde !

Grenadine : *pshhhhhhhhhhhhhhhhhhhflllllllllllllllll*

Mais, les fantômes se moquaient bien du café ! Ce qu'ils voulaient, c'était se venger de leur assassin !

Grenadine : *BOUUUUUUUUUUH NIARK MUAHAHAHA* 

Mais ils n'étaient que de simples âmes. Que pouvaient-ils faire ? Rien…

Grenadine : *sniuf* 

C'est pourquoi ils poussèrent la fée de l'aube devant eux, dans une demande muette.

Grenadine : *SLIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIF* 

C'était à elle de tous les venger !

Grenadine : *MUAHAHAHAHHAHAHA* 

La fée se crut perdue !

Grenadine : *slif ?* 

A la base, elle était venue dans cette plaine de Torbouchac pour se promener. Et voilà qu'elle tombait au beau milieu d'une bande de fantômes vengeurs !

Grenadine : *slifpoumpidam*Grenadine : *BOUHHHHHHHHMUAHAHANIARK* 

Tout à coup, l'assassin la vit ! Il reprit aussitôt son regard mauvais !

Grenadine : *GNIAEURK* (oui c'est le bruit du regard mauvais XD) 

Car s'il ne pouvait rien contre des fantômes, il pouvait tout contre une petite fée !

Grenadine : *slif* 

Il s'avança donc lentement vers elle, tandis que les fantômes poussaient la petite fée de l'aube vers lui.

Grenadine : *NIAHAHAHAHAHAHAHAHANIAA*

Grenadine : *BOUUUUUUUH bom bam broum*

Il s'avançait… avec son couteau, car un assassin a toujours un couteau sur lui !

Grenadine : *siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirp* (les couteaux font sirp ce soir) 

Forcément, la logique étant ce qu'elle est, puisque les fantômes poussaient la fée vers l'assassin et que celui-ci s'approchait de la fée, vint un moment où ils se firent face.

Grenadine : *bouuuuuuuuuuuuuuh bam bom broum* 

Les yeux dans les yeux, tellement près que leur nez se touchaient.

Grenadine : *YEURK* 

C'est ce moment là précisément que la petite fée de l'aube choisi de murmurer un sort de sa connaissance.

Grenadine : *simannvoajhfueqhnbgfmoir* 

Ce sort incroyable (merci Dine :p ) eut des effets tout aussi incroyables ! Pour commencer tous les fantômes éclatèrent de rire, car c'était une sorte d'élixir de joie.

Grenadine : *hiouhiouhiou* 

 

Jaiga : OMG c'est pour ça que la vache qui rit rit ! O_O

Lusaka : Oui ! La légende commence ! @@

 

L'assassin quant à lui, ne riait pas du tout !

Grenadine : * groumpf * 

Il ne riait pas, mais il trouvait soudain cette petite fée de l'aurore très jolie.

Grenadine : *mimichoupi* 

Et la fée aussi le trouvait très beau, car…

Grenadine : *YEURK* 

… car le sort avait rajeuni l'assassin et lui avait en effet rendu sa beauté et sa jeunesse.

Grenadine : *lalilalilalilaa* 

Ainsi, la fée de l'aurore tomba amoureuse de l'ancien assassin…

Grenadine : (peut pas bruiter ça c'est dégoûtant) 

… et les fantômes retournèrent dans la terre en se marrant.

Grenadine : *hiouhiouhiou* 

 

Jaiga : censure audio *3*

Grenadine : ouais nan y'a des bruitages pas possible quoi. XD

 

Et dans la plaine de Torbuchac, où il faisait désormais beau, une vache paîtrait joyeusement avec des boucles d'oreilles en forme de boîte ronde sur laquelle on voyait une autre vache rieuse qui portait des boucles d'oreilles semblables et qui…..

Grenadine : *meuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh hahahahaha* 

 

Dray : Merchi l'origine de la vache qui rit m'a toujours posé un problème. 

Jaiga : C'est très bien les happy ends ! v_v

Lusaka : Hier c'était gore, aujourd'hui c'était fleur bleu. ^^

Jaiga : Euh… fleur bleue ?

Lusaka : Façon de parler. :p

Jaiga : Avec la boue, les cadavres, l'assassin qui veut violer la fée avec un couteau ? @@

Lusaka : J'ai jamais dit qu'il voulait la violer !!! XDDD

Jaiga : *3*

 

Grenadine : FIIIIIIIINNN !!  

______________________________________

Et voilà ! Le prochain que je dois mettre au propre avait été fait par Yume-no-kuni qui nous a quitté depuis. :-(  Je le mets le plus vite possible ! ^^ Bises !!

(Diiine, tu roox ! ^^ )

______________________________________

Et voici un BONUS que Pyanfar nous a laissé en review et qui est excellent ! ^^ Merci à elle ! =D

 

Il était une fois, il y a 60 ans environ, trois fabricants de gruyère déjantés qui inventèrent par le plus grand des hasards, le fromage fondu … oui … la conséquence inattendue d’une soirée raclette très très très arrosée de vin blanc sec sec sec.

Ils eurent alors une illumination : cette fondante pâte blanche allait plaire aux petits-n-enfants et leur rapporter plein de sous, en pièces et en billets.

Chacun de leur côté, dans leurs laiteries étincelantes de propreté, ils fabriquèrent les divines portions, les enveloppèrent d’aluminium et les couchèrent dans une jolie boîte ronde.

Le premier y dessina une vache quelconque et nomma son délice « La vache Grojean ». La ruminante faillit être violette, mais finalement ce concept audacieux ne fut repris que bien plus tard par une célèbre marque de chocolat. Pour Milka, ça marcha mais Grojean resta Grojean comme devant.

Le deuxième voulut plaire aux parents des petits-n-enfants et nomma son œuvre « La Vache Sérieuse » mais elle était si sérieuse … si sérieuse … qu’elle en devint ennuyeuse et les mioches n’aimèrent pas, donc leurs géniteurs non plus et ce fut la faillite.

Le troisième enfin inventa « La Vache qui Rit » et ce fut le succès immédiat car non seulement elle n’était pas Sérieuse mais ses boucles d’oreilles ne l’étaient pas non plus et les boucles d’oreilles des boucles d’oreilles non plus … et coetera et coetera …

Voilà la véridique et époustouflante histoire d’un savoureux fromage qui, tartiné bien épais sur une tranche de pain et trempé dans du café au lait, fait les délices des fameux petits-n-enfants et même des grands-n-enfants que nous sommes.

Pyanfar.

 
 
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