Et un autre chapitre pour vous lecteurs. Et pour ceux qui suivent cette fic, celle-ci ainsi que tout ce qui s'y trouve m'appartiens à moi et à Feanor...sur ce bonne lecture!!! - C'est pas vrai... ils viennent foutre la merde jusque dans mon manoir... bon un nettoyage s'impose... Flint, Ô mon beau Flint, chien maudit, va à la pension et tue tous ceux qui se mettent en travers de ton chemin, il faut que tu effaces la vie de ton nouveau maître...
Pourquoi ? J'aurais dû le faire plus tôt... quel idiot j'ai été... bon maintenant nous ne serons plus interrompus, n'est-ce pas mon cher Hugo ? - Hum... - Tu n'as presque rien, mais il va falloir que je te laisse... ne t'inquiète pas... Bells va veiller sur toi. Hein Bells ? Maintenant tu auras pour maître ce jeune homme. Quoi ? Je vais te manquer ? Mais je ne pars pas pour longtemps tu sais ? Ah je comprends c'est en tant que maître que mon absence va te peser... ne t'en fais pas... Hugo sera un très bon maître pour toi et Flint. A ce soir et essaye de ne pas l'effrayer d'accord ? OOO
Me voici devant la demeure des jumeaux. J'espère qu'ils auront ce que je leurs ai demandé... Je frappe à la porte et c'est Morose qui vient m'ouvrir.
- Bonjour Tease. Ça va ? - Euh, moui... avez-vous trouvé ce que je vous ai demandé ? - Bien sûr ! Entre. - Oh salut Tease. - Chagrin ! Ça va ? - Ouais ouais... - Bon approche, tu veux un café Tease ? - Oui merci. - Morose et moi avons trouvé un truc super intéressant tu sais ? Et en plus c'est facile à utiliser. - Oui c'est vrai ! Tu as juste besoin d'une lame chauffé à blanc ! - Quoi ? - Tiens ton café. - Merci mais... - Pourquoi tu as un pansement ? - Pourquoi poses-tu la question ? - Ah ah... c'est une croix hein ? Et l'autre truc c'est pour ton gars non ? - Oui, mais ce n'est pas "mon gars", c'est mon protégé. - Ah bon ? il a accepté de devenir ton jouet ? Donne-moi le paquet frérot, mon chagrinou. - Tiens et Morose donne-moi la corde. - Voilà tout y est. Donc à plus. - Oui... mais j'ai besoin de deux nouveaux colliers. - Quoi ? - Mais ils ne sont pas déjà sous tes ordres ? - Si, mais je ne suis plus leur maître. - ... C'est ton jouet qui l'est ? - Oui... - Tiens. - Merci et salut, passez une bonne journée. - Ouais ouais bye !
OOO
Me voilà devant le manoir et je vois que Flint garde la porte. Il est vraiment effrayant en ce moment... Je me demande pourquoi... Il va falloir que je voie ça avec les jumeaux... Rah encore une autre visite... ils vont vouloir encore jouer avec moi et que je devrais leur amener Hugo... Encore une autre épreuve...
Je m'avance et demande la permission à Flint d'entrer. Il entre ensuite juste après moi. Là aussi il garde la porte. C'est vraiment un "bon" chien.
Finalement je monte dans ma chambre dans l'espoir de voir Hugo en bonne santé et prêt à se remettre sur pieds... J'entre et je vois Bells assise à sa droite la tête posée sur le lit. Apparemment il n'a pas bougé. Bon... je vais lui faire à manger et je le réveillerai ensuite.
Une bonne soupe ça devrait aller... alors il est encore endormi ? J'ouvre une fois de plus la porte et je peux voir Hugo enfin éveillé.
- Alors la belle aux bois dormant daigne enfin se réveiller ? - Tease... - Tu te sens bien ? - J'ai mal à la tête... - C'est normal. As-tu faim ? - Non, c'est bon merci... - Mais tu vas quand même manger. - ... - Au fait, Bells ne te fais pas trop peur ? - Bells... Oh non... elle est gentille avec moi... - Tu es son nouveau maître. - Quoi ? - Tiens, enlève-lui son collier et met-lui celui-ci. - ... - Et voilà, maintenant elle n'obéit qu'à toi. Quand Flint viendra tu feras la même chose d'accord ? - Oui... - Bois la soupe et repose toi, demain tu pars à la recherche de la jeune fille à la rose. - D'accord. Mais qui c'était hier ? - Oh, ne t'inquiète pas, ils ne viendront plus. Maintenant mange. Je viendrais dormir avec toi après. Mais j'y pense... tu veux prendre un bain ? - Oui... j'aimerais... - Dans ce cas, je le prendrais avec toi pour t'aider. - ... Quoi ? Mais il est... Kyaaaaaa !!!! Comment ça pour m'aider ? Je sais me laver quand même ! Mais... Gnuuu... il va me voir nu... mais le pire c'est que je vais le voir nu... AAAAAAAAAAAAHHHHH !!! - T'inquiète je te porterais. - c'est pas de ça que je m'inquiète... o-ok... - Hé hé... il n'est vraiment pas discret avec ces rougissements...
OOO
Voilà que je le porte jusqu'à la salle de bain, où j'ai fait couler un bon bain. Je l'aide à se tenir debout et lui demande de se déshabiller.
- Ne fais pas ton timide. - Mais... - Bon alors je te déshabille.
Je me mets à l'œuvre et lui retire doucement ses habits. Je commence d'abord par son tee-shirt, je peux alors détailler de mon regard son torse fin, musclé, qui est imberbe. Il a l'air doux au touché. Ensuite je m'attaque à sa ceinture et à son pantalon. Il est maintenant en sous-vêtements et paraît très gêné. C'est normal, mais normalement surmontable. Je m'apprête à lui enlever le seul habit qu'il lui reste quand il m'arrête de sa main. Alors je le regarde et lui baisse son boxer. Je le regarde dans les yeux et me baisse pour continuer à ôter son habit. Plus je me baisse plus je sens qu'il est embarrassé, alors je ferme les yeux quand j'arrive à la hauteur de ses aines. Le voilà nu et debout devant moi. Je le prends dans mes bras et lui dis qu'il n'a pas à être gêné. Enfin je le porte et le met dans le bain. Ensuite je me déshabille et le rejoins.
Il n'ose pas me regarder et se met dos à moi. Je m'approche de lui et l'assoie sur mes jambes. Il rougit de plus en plus mais je ne m'en soucie pas. Je me colle un peu plus contre lui et commence à le savonner. Je lui passe du savon sur le dos et son torse puis je descends, bien plus bas que son nombril ; je m'y attarde quelques instants mais bientôt je lui savonne ses jambes. Après je lui mouille les cheveux et lui lave. Je le rince et le serre dans mes bras. Il se raidit car il est troublé, je n'y porte aucune importance et lui caresse le cou de mes lèvres... J'aimerais l'embrasser mais me retiens, si je me laissais aller, je ferais bien plus et je n'ai pas envie de le faire souffrir.
Je le libère et lui demande de me laver comme j'ai fait avec lui. Il sait que c'est un ordre, il s'y plie et je sens déjà ses mains sur mon torse. Puis sur mon ventre et plus bas. Mais il n'ose pas faire ce que j'ai fait, il s'occupe de mes jambes et me demande de me retourner pour laver mon dos. Je m'exécute et il commence à me mouiller les cheveux. Il me rince finalement le corps et m'allonge sur lui. Je suis toujours de dos, je vois ses yeux. Il est intimidé et essaye de ne pas me le faire voir. Sans succès. Il me regarde aussi et se met à me caresser la mâchoire. Puis la joue gauche. C'est très agréable, je me laisse aller. Sa main est douce et j'aimerais qu'elle me caresse, tout le corps, mais je sais bien que cela n'arrivera pas... du moins pas aujourd'hui...
Le temps passe, nous sommes toujours dans la baignoire. L'eau n'est plus que tiède et je lui propose de sortir. Il accepte et nous sortons. Lui en deuxième, que je soulève pour l'envelopper d'une grande serviette. J'en ai une autour des hanches. Et enfin je le porte jusqu'à la chambre pour l'allonger sur le lit. Je lui tends son pyjama et pars prendre le mien. Nous sommes tous deux habillés. Sauf lui qui est torse nu à cause d'un de mes ordres, il se demande pourquoi mais se plie encore une fois à ma demande. J'amène près du lit une lame rouge de chaleur et plusieurs compresses avec un petit livre et un petit récipient de crème.La lame l'inquiète mais je le rassure. Je lui demande ensuite de bien respirer et de s'allonger sur le ventre. Il le fait et je commence à brûler les runes de son tatouage. Il serre les draps de toutes ses forces pour ne pas hurler. Je m'excuse de ce que je lui fais endurer et je continue mon opération.
J'ai enfin fini. Je récite ensuite une petite formule d'apaisement et avec une baguette j'applique la crème cicatrisante sur les brûlures. Je dis une deuxième formule pour que la crème pénètre bien et j'informe Hugo que c'est fini. Il est épuisé et n'a même plus la force de se relever tellement il a lutté contre la douleur. Alors je le soulève et lui mets son haut de pyjama. Je le couche ensuite dans les draps et m'allonge à ses côtés. J'éteins la lumière et le prends une fois de plus dans mes bras. Il est face à moi et je lui caresse doucement le visage. Je me dis qu'il est vraiment courageux... et que je le veux...
Que ferais-je sans toi Feanor? |