Voici la suite, merci de continuer à lire cette fic(que je trouve assez bizarre et vraiment baclée...)mais que j'aime quand même(pas autant que "Lui"...).

Après, bah elle est toujours à moi et à Feanor, sur ce bonne lecture!!!!

- Hugo, je suis vraiment désolé.
- C'est bon ne t'inquiète pas... il est arrivé ce qu'il devait arriver...
- ... oui tu as raison. Mais, s'il te plaît, ne me tente plus. Sinon je pourrais te faire des choses qui te feront me haïr... et surtout qui te ferons souffrir...

Sur cette dernière parole il me serre encore plus dans ces bras, et il me murmure :

- Maintenant que je te les ai montrées, il va falloir que tu m'écoutes attentivement...
- Oui...
- Tu as dit vouloir rester à mes cotés pour longtemps.
- Oui.
- Alors promets-moi de m'appartenir pour toujours.
- Que ?
- Promets-moi que ta vie dépendra de la mienne.
Promets-moi que tu n'obéiras qu'à mes ordres d'une façon aussi aveugle que si tes cinq sens n'existeraient qu'en moi. Promets-le-moi. Jure sur ta vie que tu n'auras de maître que moi et que tu seras mon objet.
- Je... je te le promets.
- Bien.
- Mais alors promets-moi de n'avoir qu'un jouet, et que je le serais.
- ...

Il ne me répond pas, cela me rend anxieux. Moi je lui promets ma vie et lui ; lui il n'accepte même pas que je devienne son seul jouet... Pourquoi ? Mais que ?

- Tu vois cette lame ?
- Hum hum ?
- Regarde bien ce que je fais.

Il trace une croix sur son torse... il s'entaille le pectoral gauche. Mais je ne comprends pas ce que cela signifie et j'essaye de l'arrêter...

- Maître, mais que...
- Maître ? Alors tu me le promets vraiment ?
- Mais ? Que...que crois-tu ? Je te donne ma vie ! Alors arrête !
- Que je m'arrête ? Tu ne voulais pas être mon seul jouet ?
- ... que...
- Cette croix signifie ton appartenance... les promesses de ton appartenance... Alors ne me stoppe pas...

Je baisse ma main, et le regarde se scarifier... pour montrer que je lui appartiens bien...

- Hugo, soigne moi.
- Oui Maître.
- Non.
- Hein ?
-En privé ne m'appelle pas maître, appelle-moi par mon nom s'il te plaît.
- D'a... d'accord.

Il me dit où est la trousse à pharmacie et je cours la prendre pour soigner mon... mon nouveau maître.

En quelque minute son pansement est terminé.

- Hugo. Viens dans mes bras...

Je m'exécute et voilà qu'il me murmure au creux de l'oreille...

- Je sais bien que notre relation est assez ambiguë. Pour certains elle paraîtrait même douteuse. Mais nous savons tout deux que je ne te ferais rien, et que tu ne me provoqueras plus. Alors ne tiens pas compte de notre baiser. Faisons comme s'il ne c'était rien passé veux-tu?
- ... oui...
- Bien, alors embrasse-moi.
- Quoi ?
- Embrasse-moi c'est un ordre.
- Mais tu viens juste de dire que...
- Tu es mon jouet. Je fais ce que je veux de toi, alors embrasse-moi.
- Je ne comprends pas, mais... puisque c'est un ordre...

Je me penche vers-lui et m'apprête à l'embrasser quand soudain quelqu'un sonne à la porte...
Mais Tease ne baisse pas son regard, et dedans je vois bien qu'il me regardera jusqu'à ce que j'obéisse à son ordre. Alors je respecte sa demande et lui donne un baiser. Dès que cela est fait, il me demande d'aller voir qui attend dehors. Je le regarde une dernière fois et quitte ses bras protecteur ainsi que sa chaleur.

Je descends ouvre la porte et là je suis frappé. Je tombe à terre et on essaye de me soulever, mais je me débats et réussi à faire lâcher sa prise à l'inconnu. J'appelle Tease juste avant de m'évanouir sous un autre coup.
J'entends des pas dans l'escalier mais ne vois personne, je vois juste du sang... mon sang... puis je ne vois plus rien, seule sa voix...

- LACHEZ-LE !
- Non, mon cher monsieur, ce jeune homme fait partie de La Pension de Raven, nous devons le ramener.
- Quoi ?
- Excusez-nous du dérangement monsieur. Au revoir. Passez une bonne journée.
- Lâchez-le.
- Mais monsieur nous venons de... rha... ha... grahah...
- J'ai dit : lâchez-le.
- Monsieur nous sommes désolé mais nous allons devoir vous punir d'avoir tuer l'un de nos camarades...
- Flint ! Bells ! Attaquez !

Encore merci Fea!