manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
L'enfant caché
Par Reporter
Twilight  -  Fantaisie/Fantastique  -  fr
2 chapitres - Rating : K (Tout public) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 2     Les chapitres     0 Review     Illustration    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
La rencontre.
Je partis donc à la rencontre de ce « Sir Williams » nom commun en plus. Je croisai le joli sourire de Melody qui me faisait de grands gestes dans le sens de Williams. Je passai la porte donc. Et je le vis, grand, roux, plein de jolies tâches de rousseur, il ne paraissait pas sûr de lui, ses gestes maladroits, son sourire timide, ses yeux verts pétillants, ses dents blanches, ses paumettes roses prononcées (signe de bonne santée...), il avait de long cils, quelques mèches qui s'était faites la malle en dansant, je ne lui donnait pas beaucoup. Il avait l'air d'avoir vu du pays, d'avoir voyager, d'avoir connu la vraie vie. Il respirait le bonheur. Le voir me fît regretter le fait que deux minutes auparavent, j'étais allée me décoiffer et me démaquiller, je lui fît mon plus beau sourire (encore raté). Il engagea la conversation:
-Enchanté, il s'inclina, Sir Emile Williams.
-Enchantée, je lui fis la révérence, Ruby Smith.
-Bon anniversaire sourit-il timidement.
-Merci. Renchéris-je d'une voix assurée.
-Belle soirée n'estce pas ?
-Oui, très belle.
-On dirait que le soleil se lève ...
Oh non pas ça ! C'est vraiment pathétique.
-Oui, on dirait bien. Dis-je blasée.
-Nous n'allons tout de même pas parler de la pluie et du beau temps. Dit-il dans un raclement de gorge.
La conversation ne démarait pas, je m'ennuiyais à mourir, il avait l'air intelligent mais, j'avais l'impression qu'il m'épargnait la ridiculisation en me parlant de choses, comment dire ? Sensées. Bref, le temps passait, je voyais Conrad, marcher, parler aux nombreux invités, je le voyais s 'agiter, mais jamais paniquer. Comment faisait-il ? Il avait une telle maîtrise de lui, de sa personne... Je ne comprenais pas comment il se débrouillait. Alors que Williams me parlait, d'une fête dans laquelle il était allé et avait vu pour la première fois son grand père, ou je ne sais quoi d'ailleurs, je repensais à mon enfance.

*********(Ruby se souvient des passages de son enfance, donc tout ne peut pas forcément concorder.)

A l'âge de cinq ans déjà, je connaissais Conrad. Lui, en avait déjà 9, nous jouions ensemble, avec l'inscousiance des gamins de cet âge là, nous nous jetions dans la rivière qui coupait mon grand Parc en deux, puis nous allions nous battre dans la boue, pour finir nous allions nous jeter dans le foin, et nous nous contemplions, des heures. Quand nous rentrions, la boue avait séché et la mère de Conrad, ma nourrice, nous grondaient et nous mettaient illico dans le bain « avant que Miss Ellie Smith, de vous vois ! Et si vous recommencez, gare à vos petites fesses ! ». D'ailleurs, une après-midi, alors que nous nous contemplions dans la paille, je lui avais dit que je l'aimais et l'avais embrassé sur la joue. (NB: pour l 'époque cela soulignait même à cinq ans, un manque de classe certain.) La chose qu'il avait dites alors était « Si tes parents savaient ça, petite Ruby, tu serais morte ! Surtout s'ils savaient que c'était MOI que tu avais embrassé. » Après cette scène, il ne m'avait plus adressé la parole d'une semaine. J'étais alors aller pleurer à sa mère qu'il ne voulait plus de moi et finallement, il était revenu. Nous continuions donc à nous jeter dans la boue, la boue qui souligne maintenant mon enfance. A douze ans, j'étais dans ma deuxième années d'apprentissage de l'écriture et de la lecture, j'avais pour l'occasion commencé mon journal intime. Il dominait déjà, la mélancolie, la frustration de ces pages noircies du désire de partir avec lui. À quatorze ans, j'avais renouvelé la « demande », je lui avais avoué l'aimer et je l'avais embrassé sur la joue. Mes paumettes hautes, étaient devenues pourpres, mes yeux marrons-verts étaient pleins d'éspoirs. Il avait alors dix-huit ans et m'avait embrassé, il avait prit mon visage dans ses mains et m'avait alors dit que notre histoire ne pourrait jamais exister, que j'étais quelqu'un d'important, une fille, une future femme, qui ne pouvait pas fréquenter un garçon comme lui. Il avait alors essuyé une larme qui roulait sur ma joue et m'avait promi qu'il serait toujours là , mais pas en tant qu'ament, mais en tant que simple suivant. Il m'avait dit qu'il serait là à chaque chagrins, à chaque sanglots, à chaque difficultées.

*****************

J'entendais Williams qui renouvelait son raclement de gorge, je levais les yeux, le voyais rouge comme une écrevice. J'engageais alors la conversation et remettais mes yeux en direction de Conrad.
-Lisez vous Sir Williams?
-Oui, beaucoup, j'adore ça. Mais je préfère tout de même voyager.
-voyager ?
-J'ai déjà vu l'Amérique ! Je vais souvent en France, je suis déjà allé en Allemagne, en Espagne...
-Vous n'êtes jamais allé dans les pays de l'est comme la Russie, des pays Asiatiques ?
-Si, je suis allé en Chine une fois. J'adorerais aller au Japon, l'Inde m'interresse. Enfin, j'ai vu le Brésil en Amérique du Sud.
-Ah oui ? J'adorerais voyager en Asie... Mais il faudrait que je trouve la personne avec qui y aller et je pense que ce n'est pas gagné si je puis me le permettre.
Je percevais la voie de ma mère arriver en notre direction, je vérifiais mes jupes, pour ne pas qu'elle fasse une crise tout à l'heure.
-Enchantée, Miss Ellie Smith, je suis la mère de Ruby. Dit-elle.
-Honoré, Sir Emile Williams, simple amis de votre fille pour l'instant.
Que voulait dire ce « pour l'instant ?! Non mais je rêve ! Je ne suis pas une fille facile ! »
-Que direz-vous Williams, de venir prendre le thé Vendredi à 17heures ?
-J'en serais honoré. Je dois filer, merci de votre acceil, la soirée est réussie. Bon anniversaire Ruby, que ta vie de Femme soit digne de toi.
-Merci, répondis-je, à bientôt.
L'assemblée se disperça . Nous avions passés, une bonne partie de la nuit à parler apparement. Il ne restait plus personne. Je me dirigeais alors vers Conrad, pour lui parler, l'aider à faire les tâches et le regarder. Il m'acceuilla avec un grand sourire, celui que j'aimais
tant
 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>