Aujourd’hui je me suis réveillé en retard. Je n’ais pas entendu mon réveil et je me suis bien fait engeuler par le professeur d’anglais. Je ne sais pas ce qui c’est passer, c’est la première fois que j’arrive en retard a un cours… ça doit être le surmenage. Sinon j’ais aussi pris les cours de William, un peut obliger puisque personne d’autre ne voulait le faire. Ils ont du être trop effrayés qu’il refasse sa crise… Bon, il faut que j’aille à l’hôpital pour les lui déposer. A toute à l’heure ^^ 

(Dans un placard de l’hôpital)

 Dite moi que je rêve !? Ce n’est pas possible !? Ce garçon est fous, fous a lié ! Je viens gentiment lui donner ces affaires et il me saute dessus ! Il commence à vouloir m’enlever mon chemisier ! Heureusement que j’ais pris des cours de défense, je lui ais filer une bonne droite qui l’a bien calmé et je me suis enfuie. Le problème c’est que j’ais oublié mes affaires dans sa chambre… Mais plutôt mourir que de retourner voir ce fou ! Il m’a agressé alors que je ne lui avais rien fait et a voulu me déshabiller ! Oh, j’entends quelqu'un… 

(Le soir avant de m’endormir) 

Le médecin qui m’a découvert cacher dans le placard m’a demandé ce que je faisais la et je lui ais répondu :

-Excuser moi mais j’essaye d’échapper a un fou pervers.

Il m’a d’abord regardé avec des yeux ronds puis à retrouvé son sérieux et m’a demandé dans quelle chambre il se trouvait et quand je lui ais dit le numéro il est partis voir. Pendant ce temps la, moi je suis resté dans le placard et je me suis cacher sous une couverture en attendant le verdict. A peut prêt cinq minutes après, la porte s’ouvrit de nouveau et je passais ma tête de sous la couverture pour voir qui étais-ce. Que ne fut pas ma stupeur de découvrir William devant moi ! Je voulus crier mais il fut plus vif que moi et mis sa main sur ma bouche. Sa paume sentait bon le…enfin bon ! Il referma la porte nous plongeant ainsi dans le noir complet et s’assit a coter de moi sans enlever sa main de ma bouche pour autant.

-J’ôte ma main si tu me promais de ne pas crier.J’acquiesçais en tremblant et il ôtait sa main prudemment. J’avais avalé difficilement ma salive et demandé, la gorge sèche :

-Co-comment t’as su où j’étais ?

Il eu un petit rire.

-Le médecin.« Oh, le traître ! » avais-je alors pensé en serrant les poings.

-Au fait, désolé pour tout à l’heure. Tu as du me prendre pour un fou.« Non ! Pas possible ! »

-Enfaite je cherchais un collier. Tu l’as sur toi, non ?De quoi parlais-t-il ? Le seul collier que j’avais était celui que ma mère m’avait laissé avant de mourir et il ne devait surement pas le connaître…

-Si, je le connais.

-Hein ? De quoi tu parles ? Attends…tu-tu m’as entendus ?!

-Oui.J’avais faillis m’étrangler avec ma salive.

-Ne me dis pas que tu m’entends depuis tout à l’heure ?!

-Si.

-Ah, euh, mais tu sais quand je disais que tu sentais bon, c’était pour rire et puis quand, quand j’ais dit que tu avais une voix agréable, sa ne voulait rien dire, je ne veux surtout pas que tu crois que je…Je m’arrêtais de parler, les joues en feux. Je n’arrivais pas à le croire ! Pendant tous ce temps il avait su ce que j’avais pensé ! Il arbora un petit sourire narquois et dit :

- Ne t’inquiète pas, je ne peux lire l’esprit de quelqu'un quand me concentrant sur lui. Sinon tu n’imaginerais pas le vacarme dans ma tête ! Déjà que sa me donne la migraine d’utiliser mon pouvoir…

-Quoi ?! Ton « pouvoir » ?«Bah ! Sa ne devrais pas m’étonner après tout, je savais bien qu’il avait quelque chose de pas net… »

-Sympa pour moi, marmonna-t-il.

-Pourrais-tu, s’il te plaît, éviter de lire dans mes pensées ? Dis-je d’un air pincée, c’est très gênant. Il me regarda d’un air malicieux, je fus prise d’une subite envie de lui tirer la langue, et regarda autre part, retrouvant un air sérieux.

-Sais-tu pourquoi je veux ce collier ? Dit-il en pointant le souvenir de ma mère, du doigt.

-Euh, non. Pourquoi ?Il sourit, d’un sourire triste cette fois.

-Il y a très longtemps, il existait une secte, la congrégation des serviteurs de Satan. Tous les membres avaient soif de pouvoir et étaient corrompu jusqu'à la moelle par le mal. Un jour, ils invoquèrent un démon mais, malheureusement, une fois venu, ils ne purent le contrôler et il les extermina tous, ce fut un véritable bain de sang… Ensuite, Keira, c’est comme sa qu’il s’appelait, parti semer la terreur dans les villages voisins.

-D’accord, mais quelle rapport y-a-t’il entre cette histoire et mon collier ? Demandais-je, impatiente.

-J’y viens. Donc voila, un jour il vint dans un village nommé Reïru ou vivait une sorcière appeler Raira. Cette sorcière avec un collier capable d’emprisonné n’importe quelle démon et elle emprisonna Keira dedans. Malheureusement, elle du utilisé tout son pouvoir pour l’enfermé et elle mourut quelques secondes après. Le collier fut remis à sa jeune fille qui le passa elle-même à sa fille, qui le passa à sa fille… et ainsi de suite, le pendentif fut passé de génération en génération jusqu'à…

-Jusqu'à moi, conclu-je.

-Oui. Et pendant ce temps, le secte c’est reformé et est aujourd’hui dirigé par un fou qui veut libérer Keira.

-Et toi ? Qui es-tu dans cette histoire ?

-Moi, je suis le protecteur de l’amulette. Mon rôle est de protéger le collier et son détenteur pour qu’il ne tombe pas en de mauvaises mains.

- Ah ok. Donc, pour résumé, tu dois nous protéger moi et mon collier car une bande de dégénéré veulent libérer un démon emprisonné depuis plus d’un siècle dans le seul but de détruire le monde ? C’est bien sa ?

-Oui, exactement.

-C’est du délire ! Tu ne vas pas bien ou quoi ?! Tu penses que je vais croire à toutes tes balivernes de démon machin-chose et de secte de Satan ?! C’est bien ce que je pensais, tu es fou ! Il me regarda d’un air décontenancé et regarda ces mains en bafouillant.

-Je-je ne comprends pas. Je t’ais pourtant montrer que je savais lire dans les pensées. Je te hure que c’est la vérité, il faut que tu me crois. Je sais que ce n’est pas évident mais tu dois me faire confiance.

Il me regarda droit dans les yeux comme si il essayait de me faire passer un message. Son regard était profond et clair ; il voulait à tous prix que je le crois. Alors, devant ce visage sincère, je pris la décision de lui faire confiance.-D’accord.Ce fut tous ce que je réussis à dire. En à peine deux jours, ma vie avait été bouleversé par l’arrivé de ce garçon au regard si troublant. Désormais je sus que ma vie allait être encore plus dure qu’elle ne l’avait été, alors.