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au 31 Mai 21 :
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Doute
Par LR the lost
Reborn  -  Romance  -  fr
2 chapitres - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     Les chapitres     2 Reviews     Illustration    
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Tsuna

Coucou, ceci est ma première fiction, et je m'essaie dans ce genre qu'est le Yaoi. (sans mentir) alors s'il vous plait, soyez gentils...

 

 

Et si ce n’était pas Kyoko qui m’intéressait ?

Je ne sais pas pourquoi je me mets à penser à ça. Mais depuis quelques temps, je réagis bizarrement quand je le vois.

Tout a commencé le jour où je l’avais vu, lui et Kyoko à l’école. Je savais que ce jour-là je rougissais. Non pas par la honte habituelle suivie de ces accidents pitoyables qui m’ont valu le surnom de « Tsunaze », mais plus, par une gêne inexpliquée. J’étais pourtant tombé par terre ce jour-là. Mon cœur bondissait sous ma poitrine, quand je les avais vus, là, en train de sourire. Au début, j’ai regardé le grand frère aux cheveux en bataille, quelques secondes seulement, avant de poser mes yeux sur sa petite sœur au regard doux. Elle me tendit la main pour m’aider à me relever, et je pense que c’est par ce geste que j’avais pensé avoir eu un coup de foudre pour elle.

Alors, chaque jour, j’ai tenté de me rapprocher d’elle, pour en savoir plus. Pour savoir si ce que je ressens est bien ce que j’imagine. Je me force même d’y croire, pour que le naze que je suis ait un but dans la vie.

X

Reborn m’en a fait voir de toutes les couleurs. Ces balles de la volonté m’ont à de nombreuses reprises fait perdre tous ces vêtements que je portais. Et je finissais bien souvent par me montrer en caleçon en public. On sait imaginer à quel point c’est humiliant de se montrer à moitié nu devant des inconnus, et bien vous ne me connaissez pas. Que je sois habillé ou en caleçon, le ridicule me collera toujours à la peau lorsque Reborn est dans le parage. Pourtant, j’en vois à qui cela ne fait rien. Gokudera-kun, Yamamoto-kun, Kyoko-chan, Haru, Bianchi, Futa, tout le monde n’y fait pas attention. Même Onisan. Mais lui, je n’arrive pas à comprendre à quoi il pense. M’apprécie-t-il vraiment ? Ou me voit-il juste comme un potentiel membre de son club de boxe ?

Je me rappelle de ce jour où l’on avait fait un match de boxe ensemble. Bien sûr, cela n’était pas de mon plein gré, vu que Reborn… enfin, maître Pao Pao m’avait forcé à entrer sur le ring en mode « hyper volonté ». Ce coup d’une telle force que j’ai porté à Onisan, l’a tellement impressionné, que c’est à ce moment-là qu’il a commencé à nous côtoyer.

Je pense avoir été content de le voir s’ajouter au groupe. Mais maintenant que j’y repense. Ces moments qu’on a passé… ce jour où il m’a…

X

Non, je ne peux pas vous raconter ça maintenant.

Je peux par contre vous parler de Kyoko-chan. Chaque jour, quand je la vois venir avec son frère, un sentiment de joie remonte en moi. Elle est belle avec son visage resplendissant, et quand elle me parle si gentiment, je ne pense plus à cette dure vie de successeur de parrain mafieux que je vivrai bientôt grâce à Reborn… Elle me fait oublier tous mes soucis quand elle me demande si je vais bien, si j’ai besoin d’aide, et tant de chose comme ça. Mais peut-être n’est-ce pas sa présence qui me rend si joyeux. Et si c’était lui ?  Lui qui me dit en me tenant par l’épaule :

- Joins mon club, Sawada ! T’es un bon mec à l’extrême ! » 

Non, je ne sais pas dire si je rougis pour Kyoko-chan, ou pour Ryo... Onisan. Mais je pense que ce qui s’est passé ce jour… peut répondre cette question qui me fait douter de tout.

X

Ce jour-là, c’était un jour spécial.

Je devais apporter les devoirs à Kyoko-chan car elle était tombée malade. Je suis donc allé sonner chez les Sasagawa, impatient de voir enfin la maison où habite la personne qui fait frétiller mon cœur.  J’étais encore habillé de l’uniforme de Nanimori High vu que je revenais de la fin des cours. Dans mes mains, je tenais le paquet de feuilles que Kyoko n’avait pas reçu, et étrangement, Reborn n’était pas venu avec moi. Il avait des choses à faire. Je me retrouvais donc seul, et j’avais pensé que c’était enfin une chance de me retrouver en face-à-face avec Kyoko.

Je m’étais alors dirigé vers la maison. Elle n’était pas très loin, et donc je n’avais aucun problème pour la rejoindre. Arrivé devant la porte d’entrée, j’avais comme un poids dans l’estomac. Après tout, c’était bien la première fois que je me rendais là. Je sonnai à la porte, attendant qu’on l’ouvre.

Devant moi se tenait, essouflé, Onisan en tenue sportive. Il était transpirant, et épuisé, mais en me voyant, une flamme de volonté semblait s’être rallumée en lui, comme à son habitude.

- Sawada !  Qu’est-ce que tu fais là ? T’as enfin décidé de rejoindre mon club de boxe ? »

Gêné d’être tombé sur lui, je réalisai que j’étais devenu aussi rouge qu’une pivoine.

- Euuh, Onisan… En fait, je viens pour apporter les devoirs de Kyoko-chan. »

- Ah. Tu aides ma sœur! Sawada, t’es un mec cool à l’extrême! »

Je ne sais pas pourquoi, mais lorsqu’il dit cela en levant les bras bien en l’air, je souriais comme pas possible. Comme si ses gestes réussissent à apaiser mon esprit tourmenté par toutes ces responsabilités que Reborn essaie de m’impliquer. Immobile, je n’osais entrer dans la maison où habite la personne que je convoite. Onisan, comprenant cela, me prit les livres et m’invita à entrer.

- Allez viens, je vais te débarrasser de tout ça ! Après tout ce que tu as fait pour elle, tu mérites bien de reposer tes bras. »

- Je n’ai amené que ses cours, ce n’est rien… »

- Non, Sawada, rien que ta présence l’emplit de joie… »

Son ton avait changé quand il prononça cette phrase. Je vis ses yeux regarder le sol deux secondes avant de reprendre.

- … et c’est ça qui est bien ! Faut toujours aider les autres ! À l’extrême ! »

- Et toi ? Tu es… content de me voir ? »

- Pourquoi je ne le serais pas ? Bien sûr que je le suis ! Je t’admire  même ! Depuis ce jour où tu as montré toute ta puissance avec cette droite ! »

- Mais… ce n’était pas vraiment moi… »

- Comment ça ? »

- En fait, j’ai subi l’influence des balles de dernière volonté… »

- Je ne comprends pas… »

- Laisse tomber… »

Voyant que cela ne servait à rien de lui expliquer, je tentai de changer de sujet.

- Elle est tombée malade de quoi Kyoko-chan ? »

- Une simple fièvre, mais ne t’inquiète pas, cette fièvre n’arrivera pas à la cheville de ma petite sœur ! Elle est une Sasagawa, après tout! Mais tu es sans doute venu pour la voir, non ? Allez, viens ! »   

Avant que je ne réponde, il me tira par la main pour m’amener vers la chambre de sa petite sœur. Je me rappellerai toujours de cette sensation lorsqu’il avait empoigné ma main. Elle était aussi musclée que le reste de son corps, et même si le mouvement était brusque, j’avais aimé sentir sa main se serrer sur la main. Une main ferme et protectrice qui tenait ma main frêle.

Dans la précipitation, Onisan fit un faux pas lorsqu’on avait gravi l’escalier. Il trébucha à l’avant-dernière marche, m’entraînant dans le geste avec lui vu qu’il me tenait toujours la main. Alors qu’il s’écrasait au sol, j’avais atterri sur lui. Poitrine contre poitrine. Ces muscles, ce n’est pas possible. J’arrivais à sentir les formes de son corps sculpté à travers ce sweat-shirt. J’étais tellement fasciné par ce que je touchais que je ne bougeais pas. Même lui, il n’avait semblé vouloir bouger. Au contraire.

Il me prit l’autre main, et je vis son visage s’approcher. Cela fut si vite, que je n’avais pas compris ce qu’il faisait. Je sentais une chaleur sur mes lèvres, comme si elles voulaient s’ouvrir pour laisser entrer cette chose chaude qui essayait de passer. Non, je ne rêvais pas. Il était en train de m’embrasser. J’adorais sentir ses lèvres sur les miennes, et, j’avais aussi laissé sa langue guider la mienne dans ce doux mélange entre nos salives. J’avais chaud, et je le voulais, lui, maintenant. Corps contre corps. Il m’enlaça d’une force si brute, que je n’arrivais pas à me mouvoir.

Mais, après cela, il se releva, et m’aida à me relever. Rougissant comme moi, il s’excusa de ce qu’il venait de faire, et m’amena vers la chambre de Kyoko-chan.

- C’est par là. Bon, je te laisse… je dois… terminer mes pompes ! »

Et avant que je lui dise que je voulais encore l’enlacer, dire que je le voulais, lui… il s’était déjà éclipsé vers sa chambre. Je me dis alors que je ne devrais plus penser à cela. Ce n’était qu’un simple accident. Et j’entrai donc dans la chambre de Kyoko-chan.

- Tsuna, tu es là »

Elle souriait comme à son habitude, malgré la chaleur due à la fièvre qui s’affichait sur son visage. Elle était toujours resplendissante. Je ne pouvais m’empêcher de tenir ses lèvres qui avaient frôlé pour la première fois celles d’une autre personne. J’avais toujours pensé que ce serait Kyoko-chan qui m’en ferait le privilège… mais visiblement, ce n’était pas le cas.

X

Pensez-vous qu’un simple baiser puisse prouver à quel point on avait tort depuis le début ?

 

 

 

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