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au 31 Mai 21 :
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Ils rêvaient d'un autre monde
Par Wiktorila
Harry Potter  -  Romance/Mystère  -  fr
7 chapitres - Complète - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     Les chapitres     8 Reviews    
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Celui qui ose me réveiller un samedi matin ne doit pas beaucoup tenir à la vie

Disclaimer : L’univers HP appartient à JKR, il n’y a que la présente histoire qui soit tout droit sortie de mon petit cerveau, Amen !

Rating : T+

Correctrice : Love Gaara of the Sand 

Petit mot de moi : Et voici le nouveau modèle d'aspirateur sans sac surpuissant dernière génération avec ses cinq vitesses et son...aaah zut je me suis trompée ! ^^

Qu'est-ce qu'on se marre avec moi ! --'

Tout ça pour dire qu'une nouvelle fic est là juste en dessous, enfin le début.

Bonne lecture. W.

 Résumé : Entre rêve et réalité, Harry ne sait plus trop. D’ailleurs ses rêves et la réalité ne sont-ils pas étroitement liés ? 

 

- ILS REVAIENT D’UN AUTRE MONDE -

 

 

 

CHAPITRE 1 : CELUI QUI OSE ME REVEILLER UN SAMEDI MATIN NE DOIT PAS BEAUCOUP TENIR A LA VIE

 

- Chéri, réveille-toi, tu vas être en retard.

- Hmmm.

- Aller, Harry, lève-toi. Tu dois être au Ministère dans une heure et demie. Au fait, n’oublie pas pour ce soir. Si nous sommes en retard, Weasley va encore trouver une bonne raison pour dire que c’est de ma faute, alors que je ne suis, moi-même, jamais en retard. Enfin…Je dois filer. On se retrouve ici à 18H30. A ce soir…

Clac !

Mais que se passait-il ? Un grand huit avait décidé d’élire domicile dans ma tête. Elle tournait tellement que j’en avais presque la nausée. Et puis qui était ce type si pressé. Je ne l’avais pas vu, mais au son de sa voix j’étais sûr que c’était un homme. En tout cas il était sacrement culotté de me réveiller un samedi matin alors que je n’avais pas cours. Et puis pourquoi devrais-je aller au Ministère, je n’avais commis aucunes infractions, en tout cas pas depuis longtemps. Et…et il m’avait appelé…CHÉRI !?!?

Je me dressai en sursaut dans le lit. Ma tête n’apprécia pas, elle se mit à tourner de plus belle.

- Ron ? Si c’est une blague ce n’est pas drôle, maugréai-je. J’ai besoin de sommeil.

Personne ne répondit.

- Seamus ?…Dean ?…Neville ? 

Rien. 

Je finis par regarder la chambre dans laquelle je me trouvais. Ma première surprise fut de constater qu’il n’y avait qu’un grand lit au lieu de cinq, et que la pièce était carrée et non circulaire.

- Où est-ce que je suis ? Demandai-je tout haut.

Pas à Poudlard en tout cas. Mais où alors ?

- Oh non !

Mes pensées m’atteignirent en pleine figure, comme une claque.

S’il avait réussit. S’il m’avait enlevé. Si Voldemort avait enfin réussit à me mettre la main dessus. Cela expliquait le fait que je n’étais plus à Poudlard

« Attends, Harry. Réfléchis. »

Si Voldemort m’avait vraiment fait enlever, lui et ses Mangemorts n’auraient certainement pas pris le temps de me mettre un pyjama, ni de me glisser dans un lit douillet, et encore moins de me réserver une chambre.

Mais alors pourquoi n’étais-je plus dans la tour des Gryffondors, paisiblement endormie dans mon lit. Mon lit qui était le dernier endroit, où je me souvenais avoir été.

Je me levai en chancelant légèrement. Je m’approchai de la fenêtre, et tirai les rideaux. Les volets étaient déjà ouverts. Dehors, il faisait gris. La vue n’était pas formidable. La fenêtre donnait sur une succession de toits.

Je contournai le lit pour sortir, après avoir refermé les rideaux.

Le couloir dans lequel je me trouvais était assez sombre. Je poussai au hasard la porte en face de celle de la chambre que je venais de quitter.

C’était la salle de bain.

Je posais mes mains sur le rebord de la vasque, avant de lever la tête vers le miroir. 

- AAAAHHH !!!!

Mais qui était ce type dont la glace me renvoyait une image plutôt floue ?

Est-ce que je devenais cinglé ?

Je n’étais plus à Poudlard, et en plus je n’étais même plus moi ! A moins que… . 

J’étudiais ce reflet avec plus d’attention.

Une mâchoire légèrement carrée, des yeux vert émeraude, des cheveux noir de jais plutôt indisciplinés, et un problème de vue.

J’ôtai le T-shirt de mon pyjama. Je découvris des épaules et un torse musclés sans excès, et quelques cicatrices sur mon buste et dans mon dos. Elles me donnaient un petit côté guerrier. Cette pensée me fit esquisser un sourire. 

C’était en fait, bien moi, à ces différences près que ma « légendaire » cicatrice en forme d’éclair qui barrait d’habitude mon front avait disparue, et que visiblement j’étais plus vieux. Je devais avoir dans les 25, 27 ans.

J’étais à la fois fasciné et terrorisé par ce reflet. 

Mais que se passait-il ?!

Du café ! Il me fallait du café. Bien noir.

Je dégotai une paire de lunettes sur une étagère, à proximité du miroir. Après les avoir chaussées, tout me paru plus clair.

Je déambulais dans l’appartement, toujours torse nu, comme dans un labyrinthe. J’étais totalement perdu.

Je finis par trouver la cuisine. 

Heureusement il restait du café et, ô comble de joie, il était encore chaud. Je m’en servis une tasse (après avoir fouillé tous les placards pour en trouver une).

Tasse en main, je décidai de visiter l’appartement car je ne pouvais pas rester en place.

Il y avait, en plus de la cuisine, de la chambre et de la salle de bain, un séjour douillet avec une cheminée, et un petit bureau bibliothèque - également pourvu d’une cheminée - qui se trouvait près de l’entrée de l’appartement. Le logement n’était pas immense, mais il était bien agencé et décoré. C’était agréable. En tout cas, je m’y sentais bien. Je m’y sentais chez moi. D’ailleurs ce devait être mon chez moi. Enfin, celui du Harry « plus vieux » dont j’occupais le corps. Et visiblement je, ou plutôt « il » n’y vivait pas seul. Il y avait deux brosses à dents, deux rasoirs, des vêtements de deux styles différents,…. Mais dans toutes ces paires, il n’y avait aucunes traces d’une quelconque présence féminine. Tout était masculin. J’avais peut être un colocataire. Mais non c’était impossible, il n’y avait qu’une seule chambre. Cela voulait-il dire que j’étais, enfin, qu’il était gay !? Non ce n’était pas possible. J’aimais les femmes. Et aussi loin que ma mémoire remontait, je les avais toujours aimé. Bon, il fallait reconnaître qu’avec Cho cela n’avait pas été une franche réussite. Mais avec Ginny ça avait été différent. C’était bien mieux…et ça c’était mal terminé. En fin de compte ce n’était pas une grande réussite non plus. Mais gay ! De toute façon c’était ce Harry là qui était homo, pas moi. Bon il était vrai que je trouvais Charlie Weasley pas mal. Dean Thomas mignon. Et ce Zabini attirant, mais cela ne faisait pas de moi un homosexuel. Attendez ! J’avais bien dis « attirant » ?!? 

«Oh Merlin, je suis gay !»

Ma tasse de café était vide, et ce n’était vraiment pas le moment qu’elle le soit. Je retournai donc dans la cuisine pour me resservir.

Je buvais en même temps que mes yeux parcouraient la pièce. J’arrêtai mon regard sur le réfrigérateur. Il y avait deux Post-it collés sur la porte. L’un disait :

« Harry : jeudi 12 janvier audience Ministère 10H30. »

Et l’autre :

« Jeudi 12 janvier Ste Mangouste 20H30. »

Visiblement le 12 janvier était un jour chargé. Et encore plus visiblement, d’après le calendrier qui se trouvait à proximité, le 12 janvier était aujourd’hui ! Quelle chance !

Il fallait que je fasse le point. Je m’asseyais.

Si je comprenais bien la situation, j’étais toujours moi. Mais mon esprit de Harry de 17 ans se trouvait dans le corps d’un Harry de 27 ans, qui vivait sa vie, et qui était gay ! (Cette dernière partie avait encore du mal à passer.)

Mais pourquoi mon esprit était-il dans ce moi du futur ? Enfin je disais « du futur », mais je ne savais absolument pas s’il s’agissait bien de mon futur tel qu’il arriverait, ou bien d’une version possible…

Je retournai au salon. Il y avait, accrochées aux murs, quelques photos. Je m’approchai de l’une d’entre elle.

- AAAAAAAHHHHHHHH !!!

 

A suivre…

 

Aha ! quel suspense je vous avais prévenu  XD. 

Mais qu’est ce qui à fait réagir Harry comme ça ? Pour le savoir, dites moi d’abord ce que vous pensez de ce 1er chapitre. Niark niark niark (rire tout ce qu’il y a de plus sadique) Niark niarrrgh, non pas taper, pas taper sinon vous n’aurez pas la suite, muahahahaha !!!

Comme vous l'aurez également remarqué chers lecteurs car rien ne vous échappe (oui, oui j'essaie de me rattraper) le titre est aussi long que le chapitre ! aaah quand on a l'art et la manière d'équilibrer les choses...XD. 

 Bisous et à bientôt.


 
 
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