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au 31 Mai 21 :
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pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Meilleurs Ennemis
Par Yayuchan
Harry Potter  -  Romance/Drame  -  fr
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    Chapitre 2     Les chapitres     5 Reviews    
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Chapitre 2. Parties 1-2

NdA [AlineDaryen]:Un grand merci à tous ceux qui m’ont laissé une review, plus spécialement àpiglettqui m’a laissé ma toute première review, et aussi à tous ceux qui on mis la fic sur alert ou sur leur Favourite List ! Vous avez fait que tout cela vaille la peine.

NdA [Yayuchan] : Je m'excuse du graaaaaand retard. J'espère que vos fêtes de fin d'année ont été meilleures que les miennes. =_=" Et que vous avez repris les cours/ le boulot avec punch!

Merci à LoveBB et JadeM pour leur gentilles et utiles reviews ! [mdr la fouine = le furret !!!] Je vous envoie chacune un Draco gémissant et couvert de nutella… Hmmm ;-P

Ça fait des semaines qu’il pleut presque tous les jours, et je n’ai qu’une envie ; rester au chaud au lit avec mon adorable [quand il ne crie pas trop fort dans mon oreille] chat et lire et écrire des fics, de lire des mangas et de finir ma vie dans des jeux PC. Malheureusement il y a toujours mes cours… *soupir de la mort qui tue* Allez, je vous laisse lire !

 

Chapitre 2 Parties 1-2

I.

Harry ne pouvait pas se rappeler de la dernière fois où il avait aussi bien dormi. Quelque chose était douloureusement planté dans son flanc, mais il avait plaisamment chaud et son oreiller sentait tellement bon. Et l’agonie terrible était partie pour de bon… Agonie ?

Dans un flash, Harry se souvint de tout ce qui s’était passé la veille dans l’après-midi et ouvrit les yeux. Il n’avait pas ses lunettes, mais il se rendit compte tout-de-suite que la chose sous lui n’était définitivement pas un oreiller. Il se figea complètement. La poitrine sur laquelle il s’était confortablement vautré s’élevait et s’abaissait d’un rythme lent. Il entendit même le battement d’un cœur. Et il y avait un bras posé juste devant ses yeux, donc la blancheur était entachée d’une une marque noire. Malfoy.

Il ne pouvait pas bouger. Alors que les minutes s’écoulaient, il se rendit aussi compte d’autres choses. La pièce était faiblement illuminée, comme aux premiers rayons de l’aurore. L’autre bras de Malfoy lui étreignait les épaules et la chose pointue fourrée dans son coté, c’était un pelvis. Il n’avait aucun souvenir de s’être endormi comme cela, et la pièce ne lui était aucunement familière. La dernière chose que son cerveau ait enregistré était de ressentir de la colère, une douleur insoutenable, et d’observer le visage de Malfoy. Quelque chose l’avait rendu fou de rage… Oh, oui, le foutu con avec son attitude insensible de merde, et puis –

Non. Pas encore. Au moins quand il lui avait lancé la petite invention de Snape, il ne savait pas ce qu’il faisait. Mais ça… ça équivalait l’utilisation de l’Endoloriset il l’avait fait malgré tout, sans réfléchir à deux fois ! Et c’est toujours Malfoy. Il n’aurait pas fais une chose pareille à quelqu’un d’autre. Un jour il disjoncterait pour de bon et finirait par le tuer.

Le souffle qui caressait les cheveux d’Harry changea soudainement de rythme, le battement cœur sous son oreille fit de même une seconde plus tard. Le bras de Malfoy resserra sa prise, puis se glissa de ses épaules. Harry dut faire appel à tout son courage pour relever la tête. Le visage de Malfoy paraissait absolument immobile en dehors du léger agrandissement de ses yeux. Ces derniers avaient paradoxalement l’air vulnérable avec les bavures dramatiques de son eye-liner.

Leur situation dépassait de loin le vocabulaire d’Harry, donc il se contenta de s’éloigner d’embarras et s’assit sur ses talons. Il commença tout de suite à avoir froid et un peu de nausée. Il avait espéré du plus profond de son cœur que cela aurait disparu pendant la nuit. Il n’en était rien.

« Tu crois que le sort est toujours là ? » demanda Malfoy dans un ton étrangement plat. Harry était un peu surpris qu’ils étaient en train de penser à la même chose en même temps. Mais il se reprit très vite quand il recula de quelques pouces et qu’un battement douloureux se fit sentir à sa tempe. Il opina du chef d’une manière abattue et attrapa ses lunettes sur la table de chevet. Sa baquette était introuvable.

La pièce était petite et largement occupée par deux lits d’hôpital en fer. Il y avait deux portes vertes ; un placard en métal blanc se tenait à coté de l’une d’entre elles, et l’autre devait probablement mener à la salle de bain. En dehors de cela, la salle était tout à fait vide. Elle n’avait sans doute était que rarement utilisée. Elle avait une atmosphère austère, inhospitalière, et sentait le désinfectant. Une faible rayon de lumière tout pâle filtrait à travers l’unique petite fenêtre.

« Où sommes-nous ? » fit Harry après une pause.

« Je ne sais pas. Ils ont du nous avoir emmenés ici. »

Malfoy s’assit, ramena ses genoux à son torse et secoua les cheveux devant ses yeux. Il y avait une déchirure sur l’une des jambes de ses jeans, montrant une étendue de peau laiteuse. Il ne continua pas la conversation, si on pouvait appeler ça comme ça, et un inhabituel silence tendu s’ensuivit. Juste quand cela devenait insoutenable, Madame Pomfresh arriva avec la Maîtresse d’École MacGonagall.

« Je suis contente de vous voir vous comporter comme des adultes, messieurs, » dit cette dernière, ayant fait un constat de la situation d’un simple regard pénétrant. « J’espère sincèrement que vous continuerez ainsi et que vous vous abstiendrez de vous bagarrer ou de vous provoquer puisque cela ne fera qu’aggraver votre problème. » Son expression sévère s’adoucit. « Malheureusement, nous ne savons toujours pas ce qui a causé cette réaction insolite du sort ou comment l’arrêter. »

Pendant ce temps là, Madame Pomfresh fit un rapide bilan de santé à chaque garçon. Quelque chose à propos de Malfoy sembla attirer son attention – elle fit une pause devant lui, fronça les sourcils, fit une note sur son carnet, agita sa baguette une fois de plus, puis fit un signe de tête à la Maîtresse d’École.

« La douleur que vous ressentez quand vous vous éloignez est purement mentale, ce qui ne veux pas dire qu’elle est moins réelle, bien sûr, mais je peux vous assurer que physiquement vous allez parfaitement bien. »

« Sommes-nous quelque part dans l’infirmerie ? » demanda rapidement Harry. D’une certaine façon, c’était une question stupide, mais simple. Il n’avait pas envie de trop réfléchir.

« C’est une chambre à part entière qui peut aussi être utilisée en quarantaines, » expliqua Madame Pomfresh. « Vous êtes sous supervision constante, au cas où il y aurait des complications, et vous êtes protégés de, hum, publicité importune, ici. »

Harry eut un petit sursaut. Il se rendit soudain compte que les médias allaient s’en donner à cœur joie dès qu’ils l’apprendraient. Il avait ignoré sa petite amie pendant si longtemps qu’elle avait du utiliser un sort d’amour sur lui… Juste cela serait suffisant pour faire la première page durant une bonne quinzaine de jours, mais le fait que cela avait foiré, le jetant littéralement dans les bras du plus jeune Mangemort, était infiniment pire. Il traina ses doigts dans ses cheveux avec un gémissement.

« Nous avons réussi à garder l’affaire secrète jusqu’à l’heure, M. Potter, » dit la Maîtresse d’École, devinant ses pensées. « Ceux qui ont été témoins de votre accident ont fait le serment de ne le dire à personne, et les étudiants seront informés que l’on avait besoin de vous en urgence au Ministère. »

« Et qu’allez vous dire à propos de lui ? » demanda Harry, morose.

« Je ne vais manquer à personne, » dit le blond amorphe. « Même mes camarades de chambre ne me veulent pas dans les pattes. »

Cela ne semblait pas amère ou offensé. Il déclarait simplement un fait. Harry le dévisagea, perplexe. Malfoy avait toujours été tout sauf indifférent. Il chercha son masque froid, essayant d’y trouver une fissure, mais en vain. Il détourna vite le regard.

« M. Malfoy a du quitter le château ce matin pour une raison familiale non-spécifiée, » dit calmement la Maîtresse d’École. « Vous resterez ici pour le moment. Je sais très bien que ce n’est pas très confortable, mais c’est sécurisé et tranquille, ce qui est le plus important à l’heure actuelle. Vous avez le droit d’aller dans les couloirs et salles adjoints, mais il serait dans vos meilleurs intérêts de ne pas entrer dans l’infirmerie, et encore moins tout autre endroit public de l’école. Je vous demanderez aussi de ne pas utiliser trop de sorts. De préférence seulement des mineurs, ou aucuns. Nous vous rendrons vos baguettes mais ne prenez aucuns risques. Le lien pourrait se déstabiliser encore plus. » Elle fit une pause quand elle posa les baguettes sur leurs tables de chevets respectives, et ajouta, « Les elfes de maison vous apporteront vos effets personnels. Et j’ai donné la permission à Melle. Granger et M. Weasley de vous rendre visite. Bien sûr, si vous voulez étendre cette permission à quelqu’un d’autre… »

Harry fit non de la tête avant de se rendre compte qu’il aurait probablement du demander à Ginny de venir. En fait, il n’avait pas envie de la voir. Il allait devoir lui dire toutes les choses qu’il avait évitées jusqu’à l’heure, et ce n’était pas quelque chose qui le rendait particulièrement enthousiaste. Il craignait la réaction de Ron et ne voulait pas causer plus de peine à la famille Weasley. Surtout qu’ils ne s’étaient pas encore remis de la mort de Fred. Tout de même, c’était à cause des mensonges qu’il se retrouvait dans un pétrin pareil…

Il n’avait pas remarqué que la Guérisseuse et la Maîtresse d’École étaient parties, et fut surprit quand deux elfes de maison transplanèrent dans la pièce avec deux malles. Sans réfléchir, il fit un bond hors du lit et un pas vers ses bagages, puis siffla de douleur quand ça le foudroya. Il trébucha en arrière, ses jambes heurtant le bord du matelas, et tomba sur le lit avec un manque attristant de grâce. Malfoy émit un geignement étouffé.

« Désolé, » lâcha Harry en se mordant les lèvres, s’attendant à un commentaire mordant qui, cependant, ne vint pas. Il jeta un regard à l’autre garçon. Malfoy était recroquevillé de façon étrange et il jouait distraitement avec ses cheveux. Il avait l’air fatigué malgré s’être tout juste levé d’une bonne nuit de sommeil. Soudain, il redressa les épaules.

« Que dirais-tu d’aller à la salle de bain et de se nettoyer un peu avant que l’on ne s’assomme de nouveau ? » proposa-t-il d’un ton neutre, presque formel.

Harry sauta vers le lit de Malfoy et ils allèrent ensemble à la porte qui menait, supposément, à la salle de bain. Celle-ci se trouvait heureusement être tellement petite que l’un d’entre eux pouvait facilement supporter de rester en dehors.

« Vas-y d’abord. » dit Harry. Il voulait montrer à Malfoy qu’il n’était pas le seul à avoir de bonnes manières.

Ils se dirigèrent vers les malles. Malfoy pris une serviette et un sac en plastic transparent rempli de peignes, de flacons, bref… cela avait tout l’air d’une trousse de maquillage, ressemblant même à celle de Ginny. Harry rigola et le masque inexpressif du blond craqua.

« Potter, as-tu souffert encore plus de dommage cérébral pendant la guerre, ou est-ce que c’est juste le développement atrophié ? »

« La ferme, Malfoy. » hoqueta Harry, en plein fou rire hystérique. Cela le faisait se sentir tellement mieux. Il n’aurait jamais cru que les insultes de ce petit con lui manqueraient. Peut-être que c’était à cause de cela qu’il l’avait sauvé du Feudeymon… Il arrêta tout de suite ce train de pensée. Il refusait de penser àça.

Après que la porte se soit refermée derrière Malfoy, Harry s’assit et pris vite conscience que ce n’était plus drôle quand la douleur et la nausée reprirent le dessus pour de bon. Il se concentrait du mieux qu’il pouvait, prenant des respirations profondes. Alors que des secondes sans fin passèrent, il devint de plus en plus abasourdi devant ce que Malfoy pouvait supporter juste pour se peindre le stupide visage. Par Merlin, il n’y avait personne à impressionner ! Il avait clairement perdu la tête.

« J’apporterai un livre la prochaine fois. » murmura Harry avec dédain quand la porte s’ouvra enfin. Mais Malfoy avait de nouveau le visage vide de toute expression. Ses yeux clairs avaient l’air démesurément grands au milieu de la vaste quantité d’eye-liner. Cela apportait une délicatesse surnaturelle à ses autres traits, comme ceux d’une poupée de porcelaine. Ses cheveux étaient trempés et ébouriffés, mis à part la mèche lisse et géométrique dont la pointe touchait son menton pointu.

Harry prit sa douche avec une vitesse éclair. Il sentait son estomac se retourner dans tous les sens et ses tempes battantes lui faisaient un mal de chien. Quand il sortit de la salle de bain, il s’aperçu que les elfes de maison leur avaient entre temps apporté leur petit-déjeuner. Cette vue le rendit presque malade. Il finit tant bien que mal la moitié d’une tartine et une tasse de thé amer, dont la dernière gorgée faillit de le faire s’étouffer. Il jeta un coup d’œil à Malfoy. Celui-ci était accroupi sur son lit aussi loin de lui que possible, et ignorait complètement la nourriture. Il n’arrêtait pas de se frotter l’intérieur de son bras gauche avec le pouce, tremblant comme s’il avait froid.

Les elfes de maison étaient revenus pour débarrasser les plateaux et à partit de cet instant, la matinée s’étendait interminablement. Dehors, le ciel était gris et couvert. La chambre en était baignée d’une demi-lumière déprimante. Harry essayait de s’endormir, mais n’y parvint pas. Apparemment, la distance n’était pas le seul facteur dans l’intensité de la douleur - cela devenait de pire en pire à mesure qu’ils ne se touchaient pas. La vue d’Harry se troublait, aussi il manqua presque le mouvement sur l’autre lit. Malfoy s’était roulé en boule comme un chat, et puis ne bougea plus d’un poil.

C’était stupide, et Harry s’était juré solennellement de ne plus laisser la colère prendre le dessus encore une fois. En fait, il ne s’en sentait pas le droit en ce moment. La seule chose qui le forçait à endurer cette torture inutile était une fierté mal placée mêlée à de l’embarras. Il n’allait pas attendre que l’un d’entre eux ne craque - ce serait lâche.

« Soyons raisonnables, la Fouine, » murmura-t-il en posant une main sur l’épaule de Malfoy.

 

II.

 Harry pensait que Malfoy était en train de le repousser, jusqu’à ce qu’il se retrouve prisonnier d’une prise de fer, entre des bras minces mais étonnamment forts. Leur étreinte lui sembla comme un choc électrique. Ils bougèrent maladroitement sur le lit avant de trouver la position la plus confortable puis se laissèrent aller, étendus d’épuisement le plus total. Leur corps étaient collés l’un à l’autre pour avoir le plus de contact possible. En vérité, Malfoy coinçait partiellement Harry sous lui et plongea, sans la moindre honte, son nez dans la tignasse brune. C’était terriblement mortifiant. Harry l’aurait surement déjà étranglé ou transformé en quelque chose de très laid s’il n’était pas lui-même absolument ivre de soulagement.

« Pousses-toi de là, » grogna-t-il après un moment. Mais il ne semblait pas particulièrement persuasif, principalement parce qu’il serrait toujours son ancienne Némésis à s’en faire mal et ne lâchait pas prise.

« Pas encore. »

La douleur et la nausée ne s’était pas complètement estompées, de toute manière, donc Harry se contenta de fermer les yeux et de se reposer. Il se sentait agréablement ensommeillé alors qu’une douce chaleur se répandait dans chacun de ses membres. Il faisait tous les efforts possibles pour garder en tête à quel point il détestait Malfoy, mais c’étai bien plus dur qu’il ne le pensait. Surtout quand l’innocente tiédeur se transforma en une chaleur sans équivoque et qu’il commençait à avoir de la peine à respirer.

Malfoy grommela quelque chose dans sa barbe et roula de l’autre côté. Ils s’asseyèrent lentement. Harry sentait ses joues lui bruler et rougir violemment. Il fixa le matelas avec détermination.

« Sort de merde, » ronchonna Malfoy. « Nous ne pouvons pas continuer comme ça. »

« Et alors, qu’est-ce que tu suggère que l’on fasse ? »

« Agir de manière rationnelle. Si nous ne pouvons pas le combattre, nous devons l’accepter. Je pense que nous devrions faire une trêve et se mettre d’accord sur certaine règles. »

Harry voulait protester automatiquement, puis il se rendit compte que Malfoy avait malheureusement raison. En fait, la même idée lui avait traversé l’esprit même pas une minute de cela. Encore quelques incidents decâlinscomme ceux là et ils allaient soit s’entre tuer, soit… soit tout cela échapperait à tout contrôle.

« Très bien, dit-il avec un signe de tête. « On pourrait juste demander la permission avant de se toucher l’un l’autre, n’est-ce pas ? »

« Et bien, essayons. Puis-je ? » Malfoy étendit la main et attendit.

Harry se mordit les lèvres. « Tu peux. » De longs doigts minces encerclèrent légèrement son poignet. Il se senti rougir à nouveau et souhaita avec ferveur qu’il puisse arracher son bras de là, mais parvint à ne pas agir à sa guise.

« Et tu ne resteras pas dans la salle de bain aussi longtemps la prochaine fois, » ajouta-t-il fermement. Tu peux tout aussi bien te peindre le visage ici au lit. »

« La luminosité est atroce ici ! » protesta Malfoy.

« Alors ne le peint pas du tout. Personne ne peut te voir ici de toutes les façons. »

Les yeux gris luisirent de malice d’une manière qu’Harry ne connaissait que trop bien. « Peut-être que c’est toi que je veux impressionner. »

Harry manqua de s’étouffer puis rit tout doucement.

Malfoy retourna à son nid au dos du lit et s’enfouit dans les oreillers mais il ne lâcha pas la main d’Harry, il la serrait bien trop fort. Harry lui lança un regard. Le fait qu’ils se touchaient ne semblait pas lui faire grand bien. Il n’avait pas l’air en bonne forme. À vrai dire, il avait une putain de sale tronche. Harry ne pouvait pas se rappeler de l’avoir vu aussi émacié ou avec la peau aussi grisâtre. Ce constat le fit frissonner. Il y avait quelque chose qui clochait sérieusement avec Draco Malfoy.

À suivre…

~

Merci de votre patience et d’avoir lu jusque là ! Je publierai les prochains chapitres en deux ou trois parties chacun. Si j’attends d’en finir un d’un trait, vous risquez de ne pas l’avoir d’aussi tôt !

A plus, bisouillesxxx [PS : un Draco à la chantilly pour les prochaines reviews !]

Yayuchan.



 
 
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