J’ouvrais la porte alors que quelque un tapait dessus depuis au moins 5 minutes, décidément ça deviens une sale manie ! Pansy était devant ma porte en petite robe sexy noir lui arrivait juste au dessous des fesses, elle avait un décolleté très plongeant. Elle était accompagné d’une jeune fille de sûrement 16 ans, c’était une sublime blonde aux yeux bleu, elle était vêtue d’une robe rouge transparente laissant apparaître ses sous vêtements avec des escarpins rouge. Elle était très jolie, ses cheveux dorés lisses lui arrivaient au dessus de son splendide derrière. Les deux jeunes femmes me regardaient d’un air charmeur.
- on peut rentrer ? Susurra Pansy.
J’étais encore endormi, je regardais ma montre : il était 3 heures 26 !!! Je regardais les demoiselles d’un air éberlué.
- qu’Est-ce que vous faites ici à cette heure là ? Demandais je.
- bah ont s’ennuyé dans nos chambre alors ont est venue boire un verre! Répondis d’une voix douce et un peut trop mielleuse la salope.
Et oui ! Je l’appel ainsi à présent car c’et le genre de salope qui se font baiser et qui repartent sans dire son nom. Je laissais entrer les deux filles en chaleur en m’assaillant sur mon canapé. Les deux garces s’assirent sur le lit et me tendirent deux bouteilles d’hydromel. Elles sortirent d’un sac 3 verres et me servirent 1 verre bien rempli. Je le pris et bus une gorgée.
J’espère que vous n’attendez rien de moi ? Demandais je une pointe de moquerie dans mon tons.
- bien sur que non ! On n’est pas comme ça ! Sembla marronner déçus pan.
Je me senti soudain vaseux, je regardais mon verre et compris … c’était un piége !
***
J’ouvris les yeux, un mal de tête affreux me fit me tordre de douleur. Je voyais trouble et ne sentais pas mon corps engourdis. Je me souvenais encore de ces deux pestes qui m'avait piégeaient, j'étais tombé mais qu'est ce qui c'était passé après ? Je ne me souvenais plus. Je pu enfin voir ce qui était devant : le plafond de ma chambre. J’étais sûrement sur mon lit car j'étais sur quelque chose de mou et confortable. Mais quand je voulu me relever je retombais immédiatement sur mon matelas ! Je regardais mes bras : ils étaient attaché aux barreaux du lit. J’essayais alors de me débattre mais ma tête me fit tellement mal que j'arrêtais dessuite tout effort. Mes yeux me semblaient en feux et le reste de mon corps était lourd, trop lourd pour bouger comme il le faut. Je clignais des yeux quand je senti quelqu'un me monter dessus, je regardais dans la direction de mon bassin quand je vis Pansy nue en train de déboutonner mon pantalon. J’allais hurler sur Pansy pour cette farce mais je ne pu ouvrir la bouche quand je vis avec horreur, un homme encapuchonnait derrière Pansy, assis sur le canapé qui nous regardait. Que ce passait il ? Pourquoi étais je attachais ici et pourquoi Pansy était sur moi ? Quand a l'homme qui était il ? Et où était la salope ? Trop de questions se bousculaient dans ma tête qui me faisait horriblement souffrir. Pansy était en train de baisser mon pantalon, je n'allais pas la laisser faire ! Alors j'ouvris enfin la bouche :
- dégage ! Criais je en me débattant sans succès .
Pansy me regarda dans les yeux, un regard qui me glaça le sang. Elle avait ce sourire qui dit j'ai gagnais, je vais t'avoir. J’allais me faire violer ! Elle m'avait enlever mon pantalon j'étais maintenant en boxer. Elle m'avait détachait seulement les pieds pour enlever mon pantalons mais je ne pu quand même pas bouger. L’homme derrière ne bougeai pas la seul chose qui me faisait voir que c'était un homme était le fait qu'il n'avait aucune formes féminine. J’avais envie de vomir mais je ne pouvais pas bouger.
- pourquoi ? Demandais je à pan.
- parce que je te voulais, tu ne ma pas laissais le choix, et on me la donnait. Me dit elle en montrant l'homme.
- il a des questions à pauser apparemment. Chuchota l'homme d'une voix étrangement familière qui me glaça le sang par sa cruauté.
Pansy me regarda d'un air de dire : pause tes questions.
- où est la salope ? Pourquoi je suis attachais ? Qui est l'homme derrière toi ? Pourquoi me fais tu sais sachant qu'après tu ne m'aura jamais ?
- la salope c'était l'homme transformé en fille, tu es attachais parce que je vais te violer, l'homme c'est .... Quelqu’un et je sais que je ne t'aurais jamais eu même avec le temps alors pourquoi attendre ... murmura telle visiblement triste d'en arriver là.
Elle n'avait pas tord : je ne l'aurai jamais laissais m'avoir, je n'allais pas me laisser faire ! Personne ne pouvait toucher mon corps sans ma permission. Je n'avais même pas pris le temps de regarder son corps mais il me répugnait plus qu'autre chose. Elle enleva mon boxer et me rattacha les pieds. Elle massa mon membre qui était mou et qui ne risquait pas d'être dur. Elle me branlait, mais qu'elle conne ! Je peux le faire moi même ça et c'est pas ça qui me fera bander. Elle commença à ce toucher et à gémir. Oh non ! Si elle savait comme je haie ses gémissement, comme je haie cette voix aiguë ne provoquant que le dégoût chez moi. Elle vit que cela ne faisait rien et commença à lécher le bout de mon sexe créant en moi à peine un frisson. Elle me suçait avidement maintenant mais rien ni faisait je ne bandais pas. C’était déjà dur de bander quand j'en avais envie mais quand je ne voulais pas c'était impossible. L’homme se leva et sortit une baguette de son manteau. Visiblement il avait compris que je ne céderais pas et j'avais peur car il se dirigeait vers mon bras où se situait la marque de voldemort. Il brandit sa baguette et l'enfonça dans mon bras où se situaient mes veines. Une douleur intolérable traversa tout mon corps mais aucun cri ne pu sortir de ma bouche grande ouverte. J’avais si mal ! Mais la douleur disparue quand il enleva la baguette pleine de sang, il m'avait sûrement jeté un sort .dégoûté, je vis Pansy regardant contente mon membre dur. Que m'avait il fait ? Je ne savais plus quoi faire, je ne voulais pas d'elle ! Elle approcha son sexe de ma bouche, elle pouvait toujours rêver. je ne faisais ça à presque aucune des filles avec qui j'avais des relations sexuel voulu alors en plus si je ne veux pas ... elle peux toujours attendre . Le sexe me dégoûtait de plus en plus, ce faire violer par une femme est très humiliant. Je ne bougeais pas ma bouche et elle, elle attendait. Je ne voulais pas mais par magie ma langue sortit, sûrement du au sort de l'homme ... je commençais à la lécher et elle gémissait. J’avais horreur de ce bruit mais à la fin elle aurait une petite surprise. Je m'étais tout de moi pour la faire jouir et quand elle alla jouir je la mordis. Elle hurla et je dois bien l'admettre ce cris me fascine plus que ses gémissement. Elle s'enleva de moi et se mis en boule sur le sol, se pliant de douleur. J’avais mordu fort car j'avais du sang sur la bouche et elle pleurait. Pour faire pleurer de douleur Pansy il en faut beaucoup ! La potion que m'avait donnée pan ne faisait plus d'effet et je me débattais de toute mes force. Un frisson d'horreur me parcouru quand l'homme se leva et revint vers moi. Je n'avais plus le choix :
- AU SECOURS ! VENEZ M'aider ! M’époumonais je.
J’hurlais cette phrase encore et encore, si fort que ma gorge me faisait mal. L’homme murmura quelque chose en brandissant sa baguette vers moi, coupant net mes cris :
- endoloris !
Si je n'étais pas attachais je me tordrais de douleur, là je ne pouvais que grimacer. Il rabaissa sa baguette et la douleur diminua. Je repris mes cris, je préférais crier et souffrir que crever ici. Il mit sa main sur ma bouche mais quand j'allais le mordre je vis une chose à la quel je ne mi attendais pas : son visage. C’était voldemort ! Pansy se releva et le maître des ténèbres enleva son capuchon ainsi que sa main sur ma bouche.
- maître ... soufflais je en signe de respect.
J’avais vraiment peur à ce moment là, que me réservait t-il ?
- tu dois te demander pourquoi hein ? Chuchota t-il en se rasseyant sur le canapé.
- oui ... murmurais je
- et bien tout simplement parce que tu as en quelque sorte révélais à Harry Potter que tu étais un mange mort ricana-t-il. Je trouvais qu'une simple douleur ne suffirait pas alors qu'une humiliation ! Là c'est une vraie punition. Alors maintenant laisse toi faire veux tu ?
- non ! Criais je en me débattant.
J’avais serte peur mais j'avais ma fierté, mais rien ni faisait. Il m'immobilisa et Pansy remonta sur moi. Elle embrassa mon corps de haut en bas en se touchant. Je ne pouvais rien faire et rien dire. Et se mis au niveau de mon sexe toujours dur et je m'enfonçais en elle. J’étais dégoûtais, elle prenait son pied mais elle verrait, je la tuerais après ! Elle voulait faire durer son plaisir et pendant une heure elle joua avec mon corps pour finir par jouir en embrassant mes lèvres toujours close. Elle s'allongea à coté de moi sur mon lit double. Je senti alors que voldemort avait lâchait son emprise sur moi et je pu enfin parler.
- Pansy ? J’espère que ta pris ton pied, même si ça aurait était mieux pour toi que je bouge, parce que je vais te crever. Chuchotais je tout en continuant à regarder le plafond, le regard vide.
Le maître rigola et me jeta un sort, je senti mes paupières se fermer et il transplana avant que je ne m'endorme encore une fois. Mais elle avait décidément détruit le peut d'humanité qui me restait, je n'éprouvais plus rien ... que de la haine. Je tombais dans un sommeil noir et morne, à cet instant j’aurais aimais embrasser la mort … |