Qu'elle est-ce vacarme ? Demandais je intérieurement encore allongé dans monlit. Depuis 5 minutes quelqu'un tapait violemment à la porte mais je n'avais aucune envie d'ouvrir pensant que cette personne arrêterait je ne bougeai pas, il était midi et je n'avais pas faim juste envie de me reposer. Il y a peut de temps j'avais reçus la marque du seigneur des ténèbres... la marque noir. Pourtant je ne faisais pas tant d'efforts que ça mais la marque des mangemorts m'épuisait. Je n'aurais jamais pu penser que devenir mangemort, rien que l'acte, absorber autant d'énergie. La guerre allait éclaté mais je n'en ai que faire : j'ai pris parti mais j'essaye de rester le plus loin possible de cette pagaille. Tout le monde connait ma position, ils ont peur de moi et de mon père. Ah non ! Pardon... plus de mon père depuis qu'il est à azkaban. Je n'en ai que faire de lui aussi a présent je le trouve faible d'être tombé aussi bas. La guerre fait peur c'est vrai mais ils ne se rende pas encore compte de l'ampleur de la situation mais ils verront ... et mourront. Mais malgré tout je reste froid et impassible je ne veux rien avoir à faire avec cette guerre. Lord voldemort veut détruire les moldus ? Les sangs de bourbe ? Et les traîtres à leurs sangs ? Et bien ! Qu'il le fasse ! Après tout chacun son idéologie. Comme on dit : à trop y croire on si perd. Donc je ne crois ni à la victoire ni à la défaite, je sais jute que le bilan serra catastrophique. Voldemort a déjà voulu "dominer" ce monde pathétique et il a échouait alors pourquoi n'échouerait t-il pas encore une fois ? C'est pour cela que je ne veux avoir à m'occuper ni du coté de l'ombre ni du coté de la lumière car à la fin je ne sais pas si je serrai perdant ou gagnant. Me faire marquer est pour qu'il me laisse... En paix. Après si ça ne donne pas de résultat je ne sais plus quoi faire mais je trouverai je suis un malfoy après tout. Ce monde est fou et moi je suis digne, froid, impassible et je suis sûrement le plus censé des malfoy ... les cous sur ma porte s'arrêtèrent et le silence revins dans la pièce qui semblait reposante à ce moment là. J'avais parlais trop vite! La voix de dumbledore résonna dans les couloir << slytherin >> hurla le vielle homme apparemment agacé. La porte de ma chambre s'ouvrit et le vieux débris rentra. Sa face inondée de rides portait une expression de grand mécontentement et de lassitude. Dumby était un vieil homme avec des lunettes en demi lune, un long nez aquilin, une chevelure argentée ainsi qu'une barbe et une moustache. Il était imposant mais vieux et c'était ça sa seul faiblesse à mes yeux. Il ouvrit la bouche et cria sur moi : -DRAGO MALFOY! Vous êtes devenue sourd ou alors mademoiselle ornela metz ne tape pas suffisamment fort pour vous ? Une petite fille, sûrement de première année, était à moitié cachée devant le vieil homme imposant. - elle ne tapait pas suffisamment fort à mon goût, de si petites mains ne peuvent pas me réveiller. Répondis je un sourire mauvais aux lèvres. - et bien alors vous êtes sourd car elle tapait si fort que tous les élèves l'ont entendue alors qu'ils sont dans la grande salle. Murmura agacé albus. - bon peut être que je n'avais pas envie d'ouvrir je l'avoue, mais pourquoi tout ce vacarme ? Et pourquoi le grand albus dumbledore vient il me chercher en personne ? Demandais je souriant. Mon air vindicatif ne plaisait guère aux gens mais c'est mon caractère et je ne le changerais pour rien au monde. - et bien, mon cher malfoy, je vous annonce que si vous aviez donné la peine de venir manger vous auriez su qu'une réunion était annoncée à 13 heures 30. Et donc nous avons fait l'appelle et bien entendue il ne manqué que vous, donc je viens vous chercher pour que vous déjeuniez et que vous participiez à la réunion de début d'après midi. Lança dumby sans prendre contre de mon arrogance. Je fis un oui de la tête et il partit la petite fille sur les talons, une réunion ? En quel honneur ? Je sortis de la pièce un peu mal coiffé mais je n'avais aucune envie de m'attarder dans ma chambre de peur de me rallonger et de retomber dans mes penser pour finalement me faire sermonner par ce vieux fou. Non je n'ai pas peur mais sa grosse voix a le don de me donner des migraines et je n'ai pas besoins de cela en plus de ma "tache" sur le bras qui aime bien s'amuser à me torturer. Certes pour les réunions si peut importante je ne suis pas ponctuel mais personne ne me blâmera vue le peut d'intérêt qu'on ces réunions répétitive. En ce moment elles parlent de la guerre et de la sécurité de poudlard. Mais aujourd'hui je ne pense absolument pas que ce soit de ça dont nous devrions parler car albusouné ne serait pas venu lui même me chercher. Je traversais les couloirs vide quand j'arrivais devant la porte d'une salle de cours j'entendis une voix magnifique sortir de cette salle, une voix comme ... comme si un ange parlait me faisant frissonner. Je voulais voir d'où venait cette voix douce et étrangement belle, je voulais voir si la personne était aussi belle que la voix sortant de la salle. La porte n'étais pas complètement fermée mais elle n'était pas asse ouverte pour y voir à l'intérieur. La voix sortait par la fente de la porte et se répercutaient contre les murs du couloir amplifient le son. C'était une femme parlant des mots d'une langue inconnue, mais des mots si doux... j'entrouvris la porte le cœur battant plus fort encore, mais la voix s'arrêta net et la pièce était noir ne montrant aucune forme, j'avais sûrement dû rêver éveillé après tout... ou alors la douleur me fait divaguer. Mais pourtant c'était la première fois que j'entendais une voix si belle qu'elle en était inimaginable. quel instant bizarre et envoutent .. mais si court ! Je secouais la tête et continua ma marche élégante dans les couloirs, il fallait que je raconte ça à blaise ! J’ai des hallucinations sans avoir rien pris ! J’étais a présent devant les portes de la grande salle et je fis ce que j'aimais le plus : une entrée fracassante. J’ouvris les portes qui firent un bruit si gros que tout les élèves, professeurs et même fantôme de la salle ce turent immédiatement. Je marchais dignement vers la table des serpantards, droit, beau et élégant : c'était ma démarche habituel. Je ne me considère absolument pas comme beau mais ma tante ma toujours dit ça alors je ne fait que répéter ses mots. Je m'assis entre blaise et pansy, Blaise me sourit et pansy voulu m'embrasser. Son but est d'être madame malfoy mais son sourire victorieux toujours fixé sur son visage quand elle gagne m'insupportait. Non je ne dis pas qu'elle n'est pas belle bien au contraire : elle est mince, bien proportionné, blonde aux cheveux long et au yeux bleu. Mais elle n'avait rien de pétillant et qui vallée la peine de se faire regarder comme un objet. Donc je ne voulais rien faire avec elle ce qui ne la découragé pas pour autant, et pour elle tout les efforts sont bons pour m'avoir même les pires… : elle était devenu mangemort pour m'impressionner mais ce qui était au départ pour elle qu'un moyen de m'attirer dans sont lit devint une adoration. Elle devint sanguinaire et une vrai tueuse tel une panthère à l'affût d'une proie à dévorer. Donc comme d'habitude je lui tendis la joue ce qui lui fit faire une mou mécontente, mais elle ne comprenait pas : je m'en moquais d'elle! Je me tournis vers blaise occupé à boire du jus de citrouille et je chuchotais :
- tu pense qu'il nous veut quoi le vieux ?
- oh ! Il va sûrement nous parler de la sécurité de poudlard ! Murmura Blaise en léchant le jus de citrouille qui coulait sur le coin de sa bouche.
- mouai ... dumby ne serait pas venu me chercher en personne si ça avait été si peu important non ?
- bah écoute! On verra.
Au moins il était clair, il s'en foutait royalement. Je n'avais pas faim donc du pain me suffit, alors que Blaise engloutissait tout ce qu'il voyait. Il avait un appétit d'ogre aujourd'hui et me répugnait plus qu'autre chose. Je me retournais vers la table des gryffondors pour voir où était l'élu : Harry Potter. Rien que son nom me donnait la gerbe ! Ce cafard ! Lui au contraire de beaucoup d'autres ne baisse jamais les yeux : il me fixe, je l'insulte mais il ne ce laisse pas faire. Mais dans un sens j'ai besoins de ça, d'un défouloir qui me tienne tête et que je puisse insulter et me mettre en colère quand je le veux. Mais parfois il va trop loin et se croit tout permis cette salle griffy ! Il revendique pleinement son coté bon mais il mourra quand le seigneur des ténèbres se serra occupé de lui. Mais cette haine que j'éprouve pour lui remonte à mon enfance : mon père haïssait ses parents et maintenant leur fils. Il me parlait de lui sans cesse se demandant comment un gamin à t-il pu tenir devant vous-savez-qui… mais je ne le haie pas pour les mêmes raisons, je le haie car sous prétexte qu'il a vaincu voldemort il est adulé, connu mais il ne le mérite pas ! Je suis plus fort que lui alors que je suis moins connu, c'est un imbécile prétentieux mais il mourra donc je ne m'en inquiète pas j'aime juste le haïr. C’est un… passe temps. Je ne me rendais même plus compte que je fixais potty depuis un moment maintenant et lui aussi me regardait d'un air dubitatif. Il me cria le sourire aux lèvres :
- alors ta flashé malfoy ?
Je secouais la tête les yeux écarquillé, comme ose t-il insinuer des choses aussi débile. Tout les gryffondors ne ricanent en me regardant du coin de l'œil suivis pas les poufsoufles. Je me lève et marche en direction de Potter, je m'arrête devant son dos, la retourne et le prend par le col :
- alors comme ça j'ai flashais sur toi ? Mais bien sur ! J’en suis sur que ça serré ton kiff que je te mette ma bite bien dur dans la bouche hein potty ? Mon petit potty est gay ... ricanais je. Mais ne prend pas ton cas pour une généralité OK ? Lançais je en reprennent mon sérieux.
Il ne souriait plus du tout je voyais juste ses yeux vert lancer des éclairs ce qui me fit sourire. Je chuchotais alors à son oreille :
- fais gaffe sinon je te promet je te l'enfonce dans ton salle cul de pédé !
Je le lâchais enfin quand il retomba lourdement sur le banc, je retournais à ma table suivie des regards de tous et des sourires de tout les serpantards. Il été midi et demi et rester ici me saoule alors je fis signe a Blaise, pansy, goyle et grabbe de me suivre. Ils s'exécutèrent et nous partîmes or de la grande salle en direction de la salle commune de gryffondors suivit de tout les regards des personnes présente : <
- c'est quoi ça ? demanda pansy.
- une voix murmurais je hypnotisé.
Mais mon état d'hypnotisme s'arrêta quand le rire cristallin devint un rire mauvais, cruel, à glacer le sang de n'importe qui même du seigneur des ténèbres. Ce rire semblait ce rapprocher si effrayant, il s'approchait de la porte. Alors Blaise sortit sa baguette et lança un 'stupefix' sur la porte tout en se bouchant les oreilles car le bruit semblait nous atteindre de l'intérieur. La porte s'ouvrit et le cri s'arrêta à ce moment là. Tout devint silencieux, ont entendaient plus que les battements de nos cœurs quand la lumière s'éteignit et le couloir fut plongé dans le noir complet.
- alors là ! Bravo blaise ! Lança pansy haineuse.
- bah c'était ou ça ou on devenait tous sourd ! répliqua blaise.
- vos gueules ! Criais je agacé.
Si il y avait eu la lumière j'aurais pus les voir ce lancer des regard mauvais. Je sentis tout à cou un mouvement vers la porte, quelque chose rampait sur le sol car on entendait un bruit de tissus frotter le sol et serpenter.
- oh merde... lâcha blaise.
- qu'est ce qu'il y a ? demanda grabbe.
- c'est quoi ça ? Y a un truc qui rampe !
- alors là non ! Je suis fatiguais et ce n’est pas un truc à la con qui fait du bruit de ma grand mère et qui rampe comme celle si qui est tombé pendant la nuit qui va m'empêcher de dormir !
Je n'aurais pas du dire c'est mots car nous le savions tous : ma grand mère faisait terriblement peur quand elle était en vie mais bien pire morte. Je dégluti mais repris mon courage à deux main et pris ma baguette de mes main moite pour lancer un 'incendio' vers la chose au sol. Sauf que rien ne sortit de ma baguette et le rampement s'approchait dangereusement. Je lui lançais alors un 'incarserem' et là la chose ne se figea, plus aucun mouvement. La lumière revenu et nous nous regardâmes mais ce qui me fit le plus peur c'est de voir que la chose saucissonné sur le sol était goyle me regardant suppliant. Je soupirais et dis au autre de le détacher. Malgré les lumières rallumées il ne faisait pas très clair car il n'y avait aucune fenêtre.
- c'était encore une mauvaise blague de goyle ! Franchement tu es un crétin fini ! Sifflais je en serrant les grosse joue du saucissonné. Ça fait qu'un mois qu'on est rentrée et tu nous fais des blagues aussi puérile ! bien mon gros faut te calmer !
Il fallait que je dorme un peu alors je leur dit que j'allais me coucher, je me dirigeais l'air serin dans ma chambre pourtant perturbé par ce qui venait de se passer ... ce rire ressemblait étrangement à celui de la voix de tout à l'heure ... je me couchais habillé dans mon lit encore défait et je fermais les yeux… quel moment effrayant , c'était vraiment un blague ou bien la réalité ? mais je n'avais plus la force de réfléchir . je m'endormis , berçais par une voix venant du plus profond de mes pensés m'emportant au pays des rêves ....
***
Quelqu’un tapait encore à la porte me réveillant encore et de mauvaise humeur en plus. Je me levais alors complètement décoiffé et débraillé.
- drago !! Ouvre putain ! Salle crétin ! Cria une voix ressemblant à la voix de zabini.
- ouai ouai j'arrive ! Criais je en ouvrant la porte.
Derrière celle si zabini était essoufflé sûrement après avoir crié pendant 5 minutes au moins.
- qu'est ce que tu me veux ?
- t'es con ou quoi ? Il est 2 heures ! Ta raté la réunion ! Souffla t-il épuisé.
- elle parlait de quoi cette… réunion ? Demandais je en retournant dans la chambre suivis pas Blaise.
- oh tu vas être content ! IL y a une nouvelle !
Je m'assis sur le lit regardant zabini d'un air perplexe.
- euh ! C’est ça la réunion si… importante ?
- oui ! Tu c'est qu'elle est son nom?
Je fis un non de la tête après tout je ne suis pas devin !
- lestrange ! Cria t-il enfin.
Je restais muet de stupéfaction, c'était impossible ! Je regardais Blaise les yeux écarquillé et la bouche grande ouverte.
- et oui ! Tu comprends quelque chose toi ?
Je faisais un non de la tête, je ne comprenais absolument pas : ma cousine n'avait jamais eu d'enfant ou alors cette fille était vraiment vraiment vraiment très vielle.
- elle a qu'elle age cette fille ? Demandais je me grattant le menton.
- 16 ans ou 17. Elle est dans la même année que nous, elle a changeait d'établissement suite à un renvoie pour cause de magie illégal mais selon dumbledore elle n'est pas coupable.
- alors elle ne peut pas être une lestrange !
- et bien pourtant elle arbore le nom de ta cousine, si bellatrix n'est pas sa mère alors pourquoi mentirait elle ? demanda t-il faisant les 100 pat.
- je ne sais pas ... et elle est tombait dans qu'elle maison ? Demandais je perplexe.
- aucune, le choipeau dort ce fainéant, on le saura ce soir.
- bon allé j'ai cour de défense contre les forces du mal je te laisse. Dit je en sortant de la chambre.
Blaise me suivit car nous avions le même cour, arrivais devant la salle pansy se jeta sur moi me serrant contre elle. Elle avait la manie de coller son corps contre le mien d'une façon très ... le bon mot est : bandante. Elle met une de ses jambes entre les miennes, ses seins collés contre mon torse et sa bouche très prés de la mienne ou de mon cou. Mais ce qui fait qu'elle me fait de l'effet et qu'elle ce frotte à moi, mais pour moi le sexe c'est un moyen vulgaire de se vider en quelqu'un. Et je trouve ça ennuyeux, je n'ai jamais touchais le septième ciel : peut être le premier mais ça c'est normal de s'élever un peu du sol dans ces moments là. Ça ne m'intéresse pas tant que ça : le Sexe ! Mais là bizarrement pansy me faisait beaucoup d'effet, beaucoup trop. Le cours allé commencer et j'étais en train de durcir. Mais je n'avais pas envie de la pousser pour une fois, elle m'attirait tellement que ça devenait incontrôlable.
- tu sens bon ! Susurra telle à mon oreille.
Je frémis en sentant son souffle chaud dans mon cou et son halené suave. Et là je compris ! Le fait que je bande si fort et qu'elle m'attire autant ne peut être que ...
- pansy ! Comment tu peux oser prendre un philtre de séduction pour me mettre dans ton lit ??? Demandais je en me détachant outré.
quel idiote alors! elle est bien trop obstiné ! Elle fit une mou fortement séduisant et bouda en rentrant en classe. À ce moment la je maudis mon pantalon trop serré, après il faudrait que je me "vide" sinon j'allais craquer. En y repensant parkinson est une vrai garce mais elle ne changera jamais. Le cours commence et la douleur de mon bras devient le seul centre d'intérêt que je porte à ce moment là ... et aussi la douleur de mon membre encore trop dur à mon gout . vivement la fin de cette après midi !
***
Il est 17 heure 30 et tout mes cours sont terminé, je me dirige vers la salle commune de Serpentard là où m'attend sûrement une bonne poignée de fille potable. Arrivé à la porte de la salle commune j'entends des ricanements à l'intérieur : je tend l'oreille pour savoir de quoi parlent ces filles.
- ... trouve pas que Harry est beau quand même ? demanda une petite voix ressemblant à celle d'une enfant de 5 ans
- non ! Le plus beau c'est drago ! Susurra pansy.
- c'est sur qu'il est élégant mais Harry a du chien !
- oui bien sur il a tout du chien. Ricana pansy.
- c'est vrai qu'on le voit bien que tu as un faible pour monsieur malefoy. Ricana à son tour une jeune fille
- tais toi !
- c'est sur, ça ce voit. Mais tu ne l'auras pas ! Pouffa la fille
- n'en sois pas si sur !
- surtout quand il verra à la réunion de ce soir, la magnifique jeune fille qui est arrivait cette aprem ! Ce moqua la plus jeune.
- ça ne ce peut pas ! Elle s'appelle lestrange ! Ça doit être sa cousine ! Et puis si elle me pause problème je la vire.
Le silence ce fit, je savais que pansy devait avoir son habituel sourire de gagnante. Elle se croit tout permis ou quoi ? Je ne suis pas un objet ! Et encore moins un objet de comparaison avec… potty ! Elle m'avait fortement agacé cette fois si, surtout qu'à cause de ses bêtises j'avais eu mal pendant toute l'après midi entre les jambe. Je me décidais enfin de rentrer passant devant pansy sans la regarder, je me dirigeai plutôt vers élise zabini la sœur de blaise. Elle était jolie : une jeune fille à peine plus jeune que moi au cheveux châtain clair et au yeux vert. J’ai déjà couchais avec elle 1 fois alors pourquoi pas une nouvelle fois ? Je me poste devant elle plongeant mes grands yeux gris dans les siens la faisant frissonner de gène ? Ou de plaisir ?
- coucou ! Murmure tel rougissant.
- ça te dit de monter dans ta chambre ? Susurrais je d'un ton mielleux.
Elle fit un petit oui timide de la tête et me rejoignis dans le dortoir. Je fermai la porte pour que personne ne rentre et puis je ne suis pas du genre timide donc je m'en fou un peu. Nous ne parlons pas, nous nous contentons juste de nous déshabiller, nous n'avons rien à nous dire de toute façon. Elle est vraiment vraiment mignonne et se tient nue devant moi me détaillant d'un air gourmand et pourtant je ne suis même pas excité. J’éteins les lumières car je n'aime pas voir que je donne du plaisir, je veux être seul à prendre du plaisir mais pour ce genre de relation je suis bien obligeai de la caresser un peu quand même. C’est déjà pénible d'entendre les filles que je baise gémir alors si je les vois. Elle est déjà sur le lit et je la rejoins en m'allongeant prés d'elle attendant qu'elle bouge. Elle commence à caresser mon corps et m'embrasse, je dois embrasser extrêmement bien car elle gémit. J’ai envie de violence et ce qu'il y a de bien chez élise c'est que sous son air timide et angélique au lit c'est une tigresse. Ma langue joue avec la sienne et mes mains partent aussi à la découverte de son corps doux. Je touche sa poitrine, la chute de ses reins, ses fesses, son ventre tout en la faisant languir. Ça main ce ferme sur mon sexe encore au repos, ce qui me fait fermer les yeux en attendant de bander. Elle fait des va et viens et commence à descendre sa bouche sur mon ventre directement. Je la trouve trop rapide mais elle a raison plus vite on en viendra au fait mieux se serra : elle lèche avidement mon gland et commence à me sucer. Heureux de bander j'oublie la fille, fait comme si ce n'était qu'un objet et me laisse aller. Elle remonte mais je l'interdit de m'embrasser car cela me dégoûte et embrasse donc mon cou. Je passe ma main entre sa jambe et caresse son clitoris laissant la jeune zabini gémir jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus et me demande de la prendre. Son truc c'est la levrette et je me place donc derrière elle alors qu'elle est à quatre pattes. Je prend un préservatif, une invention moldu que je bénis et l'enfile sur mon pénis. Je m'enfonce en elle et commence les va et viens tout en tenant ses hanches. Quand une fille ce fait faire l'amour elle a plus l'air d'une cochonne avide de sexe, un animal plutôt qu'un humain. Ses cris sont tellement aigus qu'ils me donnent plus la migraine qu'autre chose. Mais je me déconnecte un peu plus et mes mouvements en elles se font de plus en plus rapides et plus insistants. Elle commence à crier mon nom, m'ordonne d'aller plus vite, plus fort et de ne jamais m'arrêter, elle pousse des << oh oui! >> et des << plus fort >> toutes les deux secondes et je sens aussi ma jouissance arriver. Ma respiration se fait de plus en plus saccadée et mes coups de reins deviennent incontrôlables. Je sens qu'elle jouit alors qu'elle hurle mon prénom et ma verge se retrouve compressée par son orgasme. Je bouge encore en elle sans plus me préoccuper de rien et enfin j'éjacule dans son corps chaud, libérant ainsi les tensions de la journée. Quelques secondes après je me retire enfin, je n'aime pas rester trop longtemps coller à ce corps moite et impure à présent j'enlève la capote et rallume la lumière. Je me sens poisseux, détendu mais poisseux presque souillé. Je me dirige vers ma salle de bain et m'enferme dedans. Je sais qu'élise ne serra plus là quand je reviendrai. Je pris une douche semblant faire disparaître mon aspect souillé, une fois fini je me change et sors de nouveau seul dans le dortoir. Je descend dans la salle commune et il n'y a personne : la réunion va commencer et je veux voir cette… "Lestrange". Je marche jusqu'à la grande salle et une fois devant j'ouvre les porte en les claquant et me retrouve devant, au fond de la salle trônant sur l'estrade, ... je me retrouve devant ELLE ... mes yeux furent attirés directement sur une sublime créature, une jeune femme (je ne peux pas employer le mot fille pour elle car elle semblait bien plus mure que les autres) qui devait être juste plus petite que moi, elle avait les cheveux lisse et noir ébène avec une mèche sur le coté. Ses yeux étaient d'un bleu abominablement magnifique presque blanc : j'ai toujours aimé les femme aux cheveux noir et aux yeux bleu mais elle était de loin la plus belle que j'ai pu voir de ma vie. Elle portait une robe noir qui arrivait un peu plus haut que ses genoux avec des manche longue laissant apparaître à la fin que le bout de ses long doigts fin et aux ongles pointu. Elle avait un jolie nez et une bouche pulpeuse, ses yeux en amande reflétaient la sagesse et une pointe de je ne sais trop quoi qui la rendait parfaite. Son regard ne montrait aucun sentiment : ni de surprise, ni de joie, ni de colère, ni ... RIEN ! Un regard que moi même j'avais du mal à arborer ... elle avait une nuque magnifique et ses cheveux arrivant aux fesses ne faisaient que ressortir sa beauté. Elle me regardait alors que j'écarquillais les yeux ébahis par son allure de déesse. J’étais encore le dernier arrivé dans cette réunion, il était pourtant 6 heures du soir : c'était tôt pour manger. Je détournais le regard et me rendis compte qu'en faite tout le monde me regardait. Je commençai donc à marcher vers ma table et m'assis à coté de blaise qui me regardait un grand sourire aux lèvres sûrement à cause de ma réaction devant elle ... quand à elle son visage ne montrait aucune expression, elle était impassible et tellement belle mais ... qui était elle ? Un nouveau professeur ? Dumbledore, me coupant de mes pensés, commença à parler dans ma direction :
- encore en retard monsieur malefoy ? Et bien la ponctualité n'est pas dans votre nature apparemment ! Comme ce matin vous avez eu la négligence de ne pas venir je vous présente Marions bellatrix lestrange. Dit il en montrant ma déesse.
Je restais bouche bée... alors c'était elle ma… cousine ? Je n'arrivais pas à le croire ... |