Ah ah ! Moi un boulet ? Sûrement.
Oublier de sortir les chapitres de "en édition".
Du coup, je vais devoir refaire toutes mes entêtes. Pas grave.
Et essayer de me faire pardonner. Plus grave.
Du coup, baaah, y'aura du DLC. Payant. Non, je déconne :p !
Quelques scènes qui sont passées à la trappe.

Breyf, Henne Jolle !

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Toujours du côté de Roy. Sept heure trente, AM.

        Réveil douloureux. Sa tête lui faisait horriblement mal, et il mit quelques minutes à comprendre pourquoi. Du moins, à se rappeler. Et juste après le souvenir de sa confrontation malheureuse avec le plafond, ces quelques mots :

« Il est parti de l'autre côté de la porte »

Il se leva, lentement. Pour éviter de se cogner à nouveau. Quoi d'autre ?

« j'aurais des choses à te dire demain... »

Oui... Il devait voir cette Chamette. Il se repéra, assez difficilement, la pièce n'étant pas éclairée par une luciole. Une fois sorti, il tomba sur un couloir. En avançant le long de celui-ci, il établit deux choses. Enfin, trois.

Primo, le lieu devait être une sorte de garderie, de refuge, ou quoi que ce soit d'autre dans le genre. Pour enfants. Beaucoup de petites pièces comme celle où il s'était réveillé bordaient le couloir. Et en s'approchant d'une des portes, il avait entendu un soupir, comme un enfant qui dort. Un orphelinat ?

Deuxio, c'était clairement mal éclairé, et il devait avancer très lentement. Le troisième point découlait du second : La seule pièce éclairée devait donc être celle où il avait parlé avec la Chaussette. 

Lorsqu'enfin, il aperçut la dîte pièce, au bout du couloir, il sentit qu'on le tirait légèrement sur une des pointes. Il se retourna, baissa les yeux*, et vit un petit bavoir, le coton quelque peu chahuter. Encore légèrement endormi, il semblait chercher quelque chose. Les idées encore brumeuses, Roy mit quelques temps à comprendre. Les toilettes. Rapide coup d'oeil... Là ! Il l'amena jusqu'à la porte. L'enfant se tourna vers lui, les yeux encore lours de sommeil.

« Merci, Ed... »

Réaction à deux temps. D'abord, s'insurger qu'on le prenne pour quelqu'un d'aussi chétif et petit, quoiqu'incroyablement mignon, qu'Edward. Puis, se rendre compte que si ce petit l'avait confondu avec Edward, ça voulait dire que ce dernier avait vécu ici peu de temps auparavant. Peut-être même jusqu'à la nuit passée.

« Ca y est, réveillé ? »

Il ne l'avait pas vu, mais Chamette avait observé toute la scène, un sourire aux lèvres. Comme une grand-mère fière de voir son enfant s'occuper d'un plus petit.

* * *
 

Elle l'invita à entrer dans la petite pièce éclairée. Là, il décida de s'asseoir au sol, le tabouret ayant entamé une partie de sa fesse la veille.

« Bon... Par où commencer ? Bah, tu l'as sûrement compris, mais Ed vit ici. Ou vivait, je ne sais pas encore. Un brave gosse, il s'occupait toujours des petits ici, qui n'avaient pas eu de chance. Comme lui. Il est arrivé y'a pas mal de temps... Sa mère est morte alors qu'il était qu'un môme, et son père... On sait pas où il est. Alors, forcément, il a toujours rêvé de sortir de cette pièce, ou de sa poche. Pour le retrouver. Que ce soit pour avoir une vraie famille ou lui envoyer dans la figure tout ce qu'il a fait subir à lui et sa mère... Aucune idée.
Il a jamais été obsédé que par l'envie de partir. Et on dirait que je ne pourrais pas le retenir plus... D'autant qu'il semble avoir trouver une autre raison de vivre que trouver son père. »

Roy ne bougeait pas, écoutait. Il fronça quelque peu les sourcils sur la dernière phrase, mais ne laissa rien transparaître de plus.
Il avait les yeux dans le vague. Chamette se racla la gorge, pour ramener son attention sur elle

« J'ai rien d'autre à dire, tu sais. Tu ferais mieux de te dépêcher de lui courir après. Qui sait ce qui pourrait lui arriver... »

Un rapide mot de remerciement, et Roy sortait. Il se rendit rapidement près de l'ouverture de la tour, qui avait lieu toutes les quinze minutes, et fut parmis les premiers à sortir.

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* Je voulais faire une blague à la con, là. Du genre "nez à genoux", vu que le gosse est petit. Mais les torchons ont pas de genoux. Tout du moins, ils ont plus de genoux. Non que je vois le rapport. 

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Et encore un titre avec un jeu de mot pourri !
Je vais devenir un vrai champion pour ça... !