Prologue
ou des explications qui peuvent servir pour plutard...
La nuit était tombée depuis un petit moment déjà, mais les Dursley se fichaient bien que le petit garçon qu’ils avaient si « généreusement » pris chez eux à la mort de ses alcooliques de parents dans un accident de voiture, ne se fasse attaquer ou pire, lui qui n’avait même pas eu le droit de prendre un manteau pour se couvrir. Alors même si la pleine lune s’élevait avec fierté dans cette sombre nuit de Juillet, le jeune garçon avançait la tête baissée, on était en Juillet et pourtant la nuit était fraiche.
Le jeune garçon pas encore âgé de 9 ans leva la tête pour fixer cette lune, ronde, pleine et brillante. Or d’atteinte de la main de ce petit homme dont les émeraudes brillaient de milles éclats. Cette lune, il la détestait ! Trop belle pour des yeux comme les siens. Cette lune il la détestait, exécrait, haïssait, maudissait et pourtant… il la trouvait si belle et si attirante…
Baissant les yeux, remettant les mèches noires devant ses yeux, il accéléra le pas pour vite se mettre au chaud. Si seulement il avait le droit de rentrer dans la maison après avoir donné les gâteaux et les boissons à sa tante. Alors il avançait. Levant la tête quelques fois, pour la baisser juste après. Fredonnant une chanson qu’il avait apprit à l’école. Personne ne le voyait, ni l’entendait. Il pouvait chanter et danser. Il ne faisait attention à rien d’autre que mettre un pied devant l’autre et aux paroles de sa chanson, c’est pourquoi quant en levant la tête il se retrouva face à un énorme loup blanc aux yeux doré. Des yeux magnifiques.
Le jeune garçon ne savait pas comment réagir face à cet animal. Il était énorme et son pelage brillait à la lueur faible des lampadaires. Il ne l’avait ni vus, ni entendus arriver et il avait peur. Il savait que les animaux sentaient quand les humains avaient des émotions très fortes, alors il tenta de se calmer le mieux possible, mais se fut peine perdu. Doucement le loup avança. Penchant la tête sur le côté comme si il se posait la question de oui ou non lui sauter dessus. Le jeune garçon fit un pas en arrière, un léger coup de vent lui fit cligner des yeux et ses mèches noires s’envolèrent, dévoilant son front, et la cicatrise en forme d’éclair qu’il s’efforçait de cacher sous sa touffe de cheveux noir. Le loup eu un infime mouvement de recule à la vision de cette cicatrise. Pourtant, ce n’est pas cette vision qui l’empêcha de prendre une impulsion soudaine et de se jeter sur le petit garçon qui tomba au sol sous la surprise et le poids que lui infligea l’animal.
La douleur qu’il ressentit au bras quant l’autre le lui mordis violement le fit souffrir, mais ne lui fit pas apparaitre les larmes de douleurs dont celui qui se trouvait dans l’animal s’attendait à voir. Le loup n’entendit ni cris, ni sanglots. De tous les enfants et adultes qu’il avait mordu, ce devait bien être la deuxième personne à ne montrer aucuns signes de souffrance autre qu’une grimace de douleur qui tordait sa jolie petite frimousse. Le loup laissa donc le bras et mis sa gueule au-dessus de la tête de l’enfant. Le sang coulait de sa gueule ouverte sur des crocs impressionnants de l’animal pour s’échouer sur les joues de l’enfant, qui glissaient sur cette peau légèrement bronzé, tel des larmes de sang. Des larmes que le loup désespérait de voir.
Le loup admira l’enfant, si bel enfant, et disparu dans la nuit après avoir fait un bond spectaculaire. L’enfant attendit un peu avant de se lever, ramasser la nourriture et la remettre dans les sacs pour marcher plus vite en direction du 4 Privet Drive. Cette nuit là, Harry Potter s’était fait mordre par Fenrir Greyback.
Arrivant chez devant le n°4, Harry pos le sac contenant les pots de glaces au sol pour actionner la poignée de la porte d’entrée, ce qu’il ne savait pas c’est que sa tante guettait son arrivé depuis la fenêtre de la cuisine et se trouvait devant la porte au moment où il l’ouvrit. C’est donc des cris hystériques qu’il reçu pour son arrivé, car il salissait le sol avec son sang. Il se fit vite expédier dans la salle de bain pour se nettoyer et se soigner pour revenir ensuite nettoyer le tapis à l’eau froide et s faire enfermer dans son placard sans avoir mangé. Mais il avait prévu cette réaction, alors pendant qu’il était dans la salle de bain, prétextant devoir tirer de l’eau pour nettoyer le carrelage blanc taché de son sang, il s’était remplit l’estomac d’eau et avait réussi à avoir l’autorisation ultime de sa tante de pouvoir aller aux toilettes avant de se retrouver enfermer dans son placard.
Maintenant il attendait le sommeil en rêvant éveillé de se grand loup blanc qui lui avait mordu le bras. C’est en regardant ses araignées, Mathilde et Janette, faire de la balançoire sur leurs toiles qu’il trouva le sommeil, toujours en rêvant de ce grand loup blanc. |