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Bonjour! .. Voici ma "Première" Fanfiction.. Héhé C'est pas de la superbe écriture je tenais juste à le préciser. J'essaierai de terminer un jour cette fanfiction. J'espère que le sujet vous plaira ;).

C'est une fanfiction concernant les maraudeurs et Harry Potter (mais aussi le trio d'Harry Potter)
Sur ce.. Bonne lecture ^_^

Tout à Jk Rowling.. Rien de rien à moi

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Introduction


Souvenez vous, lors de la 3ème année à Poudlard d'Harry Potter. Ce dernier découvre que son parrain Sirius Black est un innocent animagus.
Et souvenez vous, il lui a sauvé la vie, grâce à son amie Hermione et surtout à ce fabuleux objet : Le retourneur de Temps.
Certes Hermione Granger l'avait bien précisé, ne jamais changer le cours du temps, au risque de devenir fou et même de se tuer.
Certaines paroles peuvent être bien vite oubliées... et peuvent provoquer un énorme chamboulement dans la vie d'un sorcier...


CHAPITRE I

Un soir de pleine lune, éclairé par un de ses rayons, un garçon dormait, Quelques chouettes hululaient autour de sa fenêtre, mais cela ne le réveilla pas. Ses lunettes étaient posées sur sa vieille table de nuit.. et quelques livres étaient entassés à la va vite sous le lit.. Sur son bureau une boîtes de bonbons était déja ouverte et apparemment son propriétaire en avait mangé une bonne partie, des lettres d'anniversaires colorées étaient empilées les unes sur les autres à côté d'un journal nommé "La Gazette du Sorcier" où on pouvait voir une photo représentant un homme avec une grise mine, de longs cheveux abimés par le temps et une petite barbe mal rasée.. Il avait de longues cernes et il bougeait dans tout les sens..en dessous de son visage on pouvait lire en gros titre:"Sirius Black, l'échappé d'Azkaban inretrouvrable..."

Tout d'un coup Harry Potter sursauta de son lit et se retrouva en sueur sur son lit. Il poussait de profondes respirations tout en regardant autour de lui, comme pour vérifier si rien n'avait changé au cours de la nuit. Quelques secondes passèrent, le jeune homme se leva avec son pyjama deux fois trop grand, et se fixa façe à sa fenêtre.
C'était encore le même rêve idiot. Harry fixa la pleine lune au loin, tout en essayant de se remémorer les étapes de son cauchemard. Lui et Sirius vivaient ensemble dans une vieille cabane près de la mer, oui ils étaient paisiblement ensemble.. puis soudain le temps changea vite d'apparence, un éclair apparu dans le ciel, des nuages apparurent et la mer se déchainait.. et de nombreux Détracteurs étaient arrivés et avaient donné un baiser à son parrain.

C'était un rêve tellement niais vu de l'extérieur mais ignoble à y penser, Harry ferma les yeux et retira cette pensée de sa tête, il ne voulait pas songer à ce qu'il pouvait très bien arriver même si il fallait anticiper les plus mauvaises surprises de la vie.. Poussant un profond soupir il ouvrit sa fenêtre silencieusement, essayant de faire le moins de bruit possible. Une petite brise fraiche toucha son visage et frappa ses cheveux décoiffés. Harry respira un grand coup. Il regarda au loin si sa fidèle chouette était revenue de sa chasse, apparemment non car il ne voyait rien de blanc au loin.. Fermant doucement la fenêtre il s'approcha de son bureau et souria devant les cartes d'anniversaires éclairées par la lune, il les prit aussitôt et les relus pour la énième fois de la soirée.
Il consulta sa montre, et murmura tout bas pour lui même " Dans 5 heures je serai enfin au Terrier..." Cette pensée le fit sourire.. ça n'avait pas été simple de convaincre son oncle. Harry s'asseya sur une chaise près de son bureau, sa valise n'était pas encore finie. Il repensa à la matinée d'hier, tout d'abord il avait reçu une des lettre qu'il tenait dans ses mains à cette instant même, elle provenait d'Hermione, qui lui annonçait que Ron l'invitait chez lui pour passer le mois d'août au Terrier. Il se souvint du Terrier et cette ambiance familiale et chaleureuse qui s'y dégageait dès qu'il y était, après Poudlard c'était un peu sa deuxième maison. Cette nouvelle l'avait plus que réjoui .

Hermione lui avait préciser que Molly et Arthur iraient le chercher directement. Harry s'était donc entraîné à annoncer la nouvelle à son oncle Vernon dans sa chambre, puis il s'était lançé, espérant obtenir son accord. Harry ferma ses yeux et se rappela de cette matinée.

*
Harry avait relu, et relu cette lettre, il l'a posa doucement sur son bureau à côté de la Gazette du Sorcier qui était ouverte à la page 12 où le visage de son parrain apparaissait. Harry avait réfléchi intérieurement  ce qu'il allait bien pouvoir dire à son Oncle pour qu'il le laisse partir. Il s'était entrainé bêtement et avait choisi des mots bien précis. Mais au bout du compte il décida d'improviser. Il tassa sa longue tignasse pour être un peu plus présentable, même si avec son pyjama trop grand le mot présentable n'avait plus aucun sens.
Il descendit les escaliers pas à pas, perçevant les bruits de la cuisine, Vernon devait prendre son petit déjeuner à cette heure là. Il arriva dans le salon, Dudley était dans son pyjama qui lui collait à la peau, il était vautré dans le canapé regardant un stupide dessin animé, un bol de céréales dans les mains et la télécommande de l'autre, son cousin croquait bruyamment les céréales et ne leva pas les yeux vers Harry trop absorbé par les supers héros qui allaient sauver leurs super planète en super danger..

. Le jeune sorcier entra dans la cuisine, se demandant comment il allait pouvoir demander une faveur à son oncle. L'odeur des tartines grillées embaumait toute la pièce.Vernon était assis, un journal en main, une tartine beurrée dans l'autre, et son bol de café devant lui . Pétunia,elle, était à côté de la fenêtre occupé à épier les moindres gestes des voisins qui venaient d'acquérir une toute nouvelle voiture.

Harry s'asseya en face de Vernon en murmurant un petit Bonjour, evidemment personne ne s'apercut de sa présence, pas même un bonjour ni un joyeux anniversaire. Au bout de 14 ans d'existence il n'y avait rien de surprenant pour notre sorcier.


Quand Harry eut finit de s'installer, il tapota ses mains sur la table ce qui fit prendre conscience à Vernon que son neveu était présent. Il posa sa tasse et son regard croisa celui d'Harry.
Pétunia elle, commenca à toussoter, un peu génée que sa matinée soit gachée par ce garçon insolent.
Harry arrêta de taper des doigts. Il fallait à tout prix ne pas énerver son oncle. Alors il décida d'esquisser un léger sourire et observa attentivement Vernon.
Ce dernier cligna des yeux, et décida de parler le premier:
- Je pense que tu n'es pas là par hasard.. Alors que veux tu ?
Harry qui savait que son attitude énervait encore plus son oncle arrêta de sourire et dit d'un ton très léger pour que ses mots soient mieux digérés par son oncle.
-Et bien, tu as raison je ne vais pas y aller par quatre chemins.. Un ami de .. "mon monde" m'a invité durant le mois d'Aout.
Harry aurait voulu rajouté que c'était demain et que donc cela l'arrangeait pas mal  de ne plus voir leurs sales visages ingrat durant un mois mais il se tut. Il tourna la tête vers Pétunia, qui avait un petit air surpris, Vernon et elle se regardèrent un instant puis soudain son oncle s'écria:
-Un ami ? Un ami comme .. toi ? de ta race?
-Quand je dit "un ami de mon monde" c'est à peu près ça.. un ami de ma race comme vous le dites.
Il soupira.. surtout ne pas s'énerver.. .. accepter toutes les critiques.. penser aux moments qu'il va passer auprès d'Hermione et Ron. Ne pas s'énerver!
Pétunia se tourna vers Vernon et elle prit la parole de sa petite voix criarde du matin:
-On peut le laisser y aller après tout.. ne me dit pas que tu le veux sous ton toit ? Justement .. Je pense que.. c'est parfait..
Harry avait comme à son grand étonnement très envie d'embrasser Pétunia, pour une fois qu'elle pensait comme lui.. et encore c'était juste par intérêt.
Vernon tripota ses moustaches du bout de ses gros doigts boudinés, il réfléchissait, Harry savait à quoi il songeait: d'un côté il aurait voulu refusé pour empoisonner encore un peu plus la vie d'Harry et de l'autre il adorerai passer un mois sans "un être du méchant monde des sorciers"
Puis il fixa Harry de ses petits yeux porcins.Le sorcier gardait toujours un air détaché. Ne montrer aucune joie ni colère.. la neutralité avant tout. Et soudain son oncle ouvrit la bouche, le verdict allait tombé.
- C'est d'accord.
Harry esquissa un léger sourire. Puis soudain son oncle s'écria:
-Je ne sais pas de quelle manière tordue tu vas partir! Mais... AUCUNE CHOSE VOYANTE! AUCUN BRUIT! SI TU N'ES PAS DISCRET JE PEUX T'ASSURER QUE LES PROCHAINES ANNEES TU LES PASSERAS SEUL !
Tandis qu'il s'écriait sous l'oeil compatissant de sa femme, il poustillonait quelques miettes de pain sur son journal
Harry secoua la tête pour acquiecer et il murmura un bref : Promis aucun bruit. Puis il se retira en quelques secondes pour aller se réfugier dans sa chambre.

*

Et le voila quelques heures après, assis sur une chaise à attendre patiemment que le temps passe. Quand soudain il se leva, posa la lettre qu'il avait dans les mains et observa sa chambre. Il avait complétement oublier un petit détail: sa valise n'était pas encore prête. Le sorcier soupira et commença à s'insulter intérieurement Il consulta sa montre, il était onze heure du soir, jamais il ne pourra s'endormir tellement il était impatient, . Il s'empressa d'aller rassembler ses affaires.

Des Parchemins prêts à l'utlisation jusqu'aux chausettes Harry s'activait à ranger ses affaires. Puis soudain, entre quelques grimoires ayant servis lors de ses années précédentes se trouvait un vieux livre rouge. Harry le reconnaissait, c'était Hagrid qu'il lui avait offert. Il ne l'ouvrit pas, il avait souvent mal au coeur quand il regardait les photos, revoir Sirius l'aurait rendu encore plus nostalgique. Harry stoppa son rangement et ses pensées commencèrent à le travailler. Un instant une stupide idée lui était entrée en tête.. mais elle paraissait tellement idiote et irréalisable qu'il préféra ne pas y songer. Il rangea soigneusement le livre de photo dans sa valise, entre les lettres d'anniversaire et son manuel pour balai...

Il était 4heures du matin, Harry somnolait un peu face à la fenetre, Hedwidge dans sa cage était rentrée un peu plus tôt, et sa valise était bouclée depuis deux heures, le sorcier se demandait pourquoi les Weasleys allaient toujours le chercher à des heures pareilles. Mais quand il songea aux éclats de cris de Vernon de ce matin il songea que une heure aussi tardive serait le plus discret.
Et soudain un bruit de vent aigü se faisait entendre, dans un vif mouvement Harry vit une espèce de flou bleu puis une voiture apparut. Elle était bleu ciel, elle ne ressemblait pas du tout à la Ford Anglia, elle faisait plus nouvelle et plus acceuillante. Deux têtes rousses étaient tournées vers Harry.
Molly et Arthur lui souriaient et lui faisaient un geste de la main, la voiture volante se posta devant la fenêtre de chambre d'Harry. Ce dernier se leva doucement, il tendit l'oreille vers la porte de sa chambre pour guetter le moindre bruit de son oncle: Rien du tout. Satisfait Harry embarqua Hedwidge et ses valises en quelques secondes et entra dans la chaleureuse voiture.
En peu de temps, Arthur démarra la voiture. Elle était silencieuse, et volait délicatement dans le ciel. Il entama une discussion amicale avec Harry sur les toilettes moldues et Harry répondit à ses questions sur les lampadaires, Molly stoppa leur discussion en sermonnant son mari qu'il ne fallait pas saouler les invités avec ses hobbies. Elle tourna sa tête vers l'arrière, elle parlait énormément, Harry lui admirait le paysage en écoutant d'une oreille discrète ce qu'elle racontait, il était fatigué. Le ronronnement silencieux du moteur l'endormit peu à peu..

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