Disclaimer : L’univers HP appartient à JKR, il n’y a que la présente histoire qui soit tout droit sortie de mon petit cerveau.

Prairing : HPDM alors les homophobes vous connaissez le topo et la SORTIE !

Rating : T

Correctrice : Love Gaara of the Sand

Petit mot de moi : Voilà un épilogue que j'ai hésité au départ à publier et puis je me suis dis "Zut! allons-y !" donc il est là et c'est le petit dernier il faut donc le savourer ^^. Bonne lecture. W.

Note : Je ne prends pas en compte la mort de Dumbledore et la fuite de Rogue, par contre je fais allusion à la fuite de Drago. Je sais c’est pas très logique mais que voulez vous c’est ça le génie, ça part un peu dans tout les sens… Arrgghh ! Je vais finir comme la tante Marge si ça continu !! mdr ;)

Résumé : Harry se consume d’amour jusque dans ses rêves, jusqu’au jour où un conte de fée, revu et corrigé par Fred et George Weasley, va venir tout chambouler…

                                             - BLANCHE NEIGE ET LES SEPT NAINS -

EPILOGUE

Dumbledore s’arrêta devant la boutique des Farces pour sorciers facétieux. Comme toujours la devanture attirait l’œil et le magasin était bien éclairé.

Le vénérable directeur finit par pousser la porte et un carillon au son étrange – proche du craquètement de Peeves - retentit. Il y avait quatre clients.

- Professeur, l’accueillit la jeune vendeuse. 

- Bonjour, Betty. 

- Mr et Mr Weasley vous attendent dans leur bureau. Si vous voulez bien me suivre, professeur.

Ils passèrent par une petite porte à côté du comptoir et pénétrèrent dans un étroit couloir.

Ding ! Ding ! Ding ! 

-Ah, dit Dumbledore, je crois qu’un de vos client s’impatiente. Allez-y, je connais le chemin.

Après un dernier sourire, Betty fit demi-tour et repartit dans la boutique.

Dumbledore passa devant la réserve et l’atelier, d’où des petits bruits s’échappaient. Il arriva au pied de l’escalier en colimaçon qui menait à l’étage. Il posa sa main sur la rambarde et leva les yeux.

-Aaaah, soupira-t-il, mes rhumatismes ne vont pas apprécier. 

Puis il commença à gravir les marches lentement.

L’escalier débouchait directement dans la pièce où se trouvait l’immense bureau en chêne des frères Weasley. 

-Bonjour, professeur, l’accueillirent les jumeaux.

- Bonjour, messieurs. Je ne m’habituerai jamais à cet escalier.

- Patacitrouille ? proposa Fred en guise de remontant.

- Avec grand plaisir.

- Asseyez vous je vous en prie.

Après s’être mis à leur aise et après avoir dégusté quelques Patacitrouilles, Dumbledore entra dans le vif du sujet.

- Eh bien, messieurs je vous remercie.

- Mais de rien, professeur, répondit George, nous vous devions bien cela. Après tout ce que nous vous avons fais subir à vous et à Poudlard.

- D’ailleurs, renchérit Fred, je me demande comment le château à fait pour rester debout.

- En tout cas aujourd’hui, reprit Dumbledore, grâce aux résultats de votre invention, je suis sûr que Poudlard ne risque plus de s’effondrer à cause des rixes incessantes entre Gryffondors et Serpentards. Ce temps là est révolu...pour l’instant.

- Harry et Malefoy, dit Fred, qui l’eut cru.

- Pas moi en tout cas, dit George.

- Mais comment saviez vous qu’ils allaient se « rapprocher » ? Vous aviez l’air tellement sûr de vous quand vous êtes venu nous demander de vous aider.

- Sans me vanter, je dirais que j’ai beaucoup d’intuition, répondit Dumbledore. Et puis vous savez, pour moi, une telle haine ne pouvait, à coup sûr, cacher qu’une seule chose. Après tout entre haine et amour il n’y a qu’un pas.

- Je ne savais pas, professeur, qu’en plus de votre rôle de directeur, vous jouiez les entremetteurs. Un passe temps je suppose.

Dumbledore ri faiblement.

- J’aimerai bien n’avoir que des tâches de la sorte, cela prouverai que tout le monde vit en paix. Mais non, Mr Weasley, je visais avant tout un rapprochement Gryffondor-Serpentard pour mettre fin à leurs stupides conflits, et surtout pour « renforcer les rangs ». Alors quoi de mieux pour cela que de rapprocher les deux « chefs ». 

- Votre but alors n’était que de faire cesser les conflits ? demanda George.

- Oui et non. Je ne vous ai pas demandé un philtre d’amour, ça j’aurai pu le faire moi-même, pour que Harry et Drago tombent amoureux et qu’au final tout ne soit qu’illusion. Ils étaient déjà amoureux, je n’ai fais que jouer mon rôle de directeur, en leur donnant un coup de pouce. 

- Ah. 

- Mais il est aussi vrai que mon but n’était pas tout à fait désintéressé. Vous devez comprendre que, maintenant que la plupart des enfants de Mangemorts ont rallié notre cause, il faut que tout le monde soit soudé pour être plus forts dans la Bataille. Et puis, je dois avouer que je peux travailler et dormir plus tranquillement maintenant qu’il n’y a plus d’explosions et d’altercations en tout genre entre nos Lions et nos Serpents.

- C’était quand même le bon temps. Tu te rappelles Fred, lorsque nous avions enfermé Montague dans l’armoire à disparaître, poursuivit George avec nostalgie.

- Oui, et la fois où Flint s’est retrouvé tout nu en cours de Métamorphose…

- Excusez-nous, professeur. Crise de nostalgie aiguë.

- Une chance pour vous que je ne puisse plus vous donner des heures de retenue, dit Dumbledore avec une lueur de malice dans les yeux. En tout les cas je dois vous avouer que j’ai été surpris par votre invention.

- Nous n’étions pas vraiment surs des résultats, avoua Fred. Nous avons essayé d’être « subtiles » connaissant Harry et Malefoy…

- Vous avouerez quand même que cela n’a pas du être facile pour Harry et Drago, dit Fred, avec toutes ces rumeurs et ces articles dans la Gazette.

- Oui, confirma Dumbledore, mais ils s’en sont admirablement bien sortis. Ce sont des jeunes gens forts. En tout cas, je vous remercie encore une fois, messieurs, dit le vieux directeur en se levant. Et je garde précieusement la boîte de « Blanche Neige et les sept Nains » que vous m’avez faite parvenir. Comme quoi, il ne faut jamais sous estimer la magie des contes de fée.

- Et l’inventivité des moldus ! Il est vrai que leur répertoire littéraire est bien plus diversifié et intéressant que ce que je croyais. N’hésitez surtout pas à nous contacter pour une autre collaboration, professeur. C’était un plaisir.

- Je n’y manquerai pas.

- Professeur, dit Fred, pourriez vous offrir ce petit présent à Madame Pomfresh, s’il vous plait ?

- Bien entendu, répondit Dumbledore en prenant la petite boîte que lui donnait Fred. Pardonnez ma curiosité, mais qu’est ce que c’est ?

- Du parfum.

- Vraiment ?

- Oui, c’est pour lui demander pardon d’avoir envoyé tant d’élèves à l’infirmerie quand nous étions encore à Poudlard, et même après.

- Oui, renchérit George, et en plus c’est un parfum un peu spécial et puis la bouteille est très jolie.

- Un parfum spécial, dites-vous ?

- Oui, répondit George. Attrape cœur est un parfum envoûtant.

- Vous m’intriguez, jeunes gens.

- Eh bien, reprit George, disons que ce parfum n’a pas la même odeur pour tout le monde. Cela dépend de ce que chacun aime.

- Intéressant, dit Dumbledore, très intéressant. De l’Amortensia sous forme de parfum.

- Pas tout à fait. Même si ce parfum prend, comme l’Amortensia, une odeur différente pour chacun, ce n’est pas à proprement parlé un philtre d’amour. Disons qu’il peut aider les gens à se rapprocher mais il n’oblige pas les gens à s’aimer. Il peut donner un « coup de pouce » c’est tout. A vrai dire c’est ce parfum que nous pensions envoyer à Harry et Drago, mais nous avions peur que cela ne soit pas assez puissant, et puis ça aurait été beaucoup moins amusant que notre « Blanche Neige ».

- Il est vrai que Poudlard n’avait pas autant ri depuis un long moment. Mais dites-moi, ce parfum fonctionne-t-il ?

Fred et George se regardèrent, complices.

- Demandez à Hermione Granger et au professeur McGonagall !

                                                                             FIN

Voilà, c’est fini. Mais non, ne soyez pas tristes. Alors ça vous a plu ????

Je vous fais plein de BISOUS !!

Wiktorila.

Cette fois-ci je crois que c’est vraiment bon pour ce qui est des corrections !!

Merci beaucoup à Love Gaara Of the Sand pour son aide, sa gentillesse, sa rapidité et sa patience pour lire tout mon blabla dans les mail que je lui envoie !