Cette fic est essai complètement délirant de ma part alors, je vous demande aimablement d’être indulgent (traduction en langage de jeunes : Fais pas ton relou ! ^^)
Note : pour cette histoire on considère qu’Harry et sa bande de copinoux sont en sixième année.
Note Bis : Cette histoire est totalement déconnectée de l’histoire de base de J.K. et ne prend pas en compte le temps de guerre et Voldi.
PROLOGUE
Albus Dumbeldore n’est pas l’homme qu’on croyait. Non, en effet il n’était pas le directeur passif et bienveillant du collège Poudlard. En réalité, et ce que tout le monde ignorait c’est qu’il n’est autre que le directeur fouineur et manipulateur !
Vous ne me croyez pas ? Pourtant, je dis toujours la vérité pure … enfin presque ! Mais l’histoire que je vais vous conter vous prouvera mes dires.
Tout commence un vendredi au collège Poudlard, dans le bureau de celui dont tout le monde se trompe sur son identité … Dumbeldore, quoi ! Faut suivre ! Je disais un vendredi, au collège poudlard, dans le bureau de celui … Bref, ce vendredi, et comme chaque jour, notre directeur adoré s’installa face à son bureau. Devant lui, là ou l’on aurait cru trouver un tas de parchemin usés étalés en désordre, trônait une magnifique boule de cristal. Vous devez vous demander que faisait-elle là, ou bien si Albus projetait de prendre la place du professeur Trelawney pour enseigner la divination. Et bien pas vraiment. Albus, observait chaque jour que tout allait pour le mieux dans son école grâce à cette boule de cristal. Il épiait les faits et gestes de tous, élèves et professeurs confondus à l’insu de chacun.
C’est à ce stade de mon histoire si prenante que vous m’interrompez pour me dire que ce n’est parce qu’Albus veille au bon fonctionnement de son école et que pour cela il utilise une boule de cristal qu’il est manipulateur et fouineur. C’est donc aussi à ce moment où je m’exclame : « Bon sang ! Ils me laissent terminer mon histoire ou mince ! ».^.^
Je reprends, donc en ce vendredi, au collège, dans son bureau au moyen d’une boule de cristal, Albus scrutait l’école discrètement. Depuis une période indéfinie, il avait observé quelques changement dont le commun des mortels ne s’était pas aperçut. Il fallait être supérieurement intelligent pour savoir tout cela et surtout posséder une boule de cristal de bonne qualité ! Donc ce jour là, Albus s’installa confortablement dans son fauteuil et commença à manger son pop-corn. (Bon ok, là j’exagère mais c’est pour vous mettre dans l’ambiance). Il scrutait donc les actions de chacun, et ce matin en particulier de Mcgonagall qui se recoiffait. La bouche ouverte, on voyait presque la bave … Oooh, ne faites pas semblant d’être choqués, Albus aussi a le droit d’éprouver du désir et de l’attirance pour une femme (je vous passe les détails car je sens que vous avez déjà la nausée à l’idée d’un Albubus en couple).
Après avoir essuyer la bave qui s’accumulait au coin de sa bouche, le directeur se concentra sur deux élèves qui séchaient leur première heure pour aller bronzer sur l’herbe du parc et nota de le signaler au directeur de leur maison. Puis, il se souvint qu’en se moment même se déroulait le cours le plus intéressant de tous : le cours de potion des 6èmes années. En effet, c’était là, sa source de réflexion mais aussi de divertissement car il fallait bien l’avoué, Albus adorait se fendre la poire en écoutant les répliques acerbes du professeur Rogue ! Cependant, ces derniers temps, les cours de ce bon vieux Séverus n’étaient plus aussi amusants qu’auparavant. Les élèves qui habituellement contribuaient au débat animé entre Serpentard, Gryffondor et Rogue restaient amorphe, rêveur et complètement passif. Albus mettait ce fait sur le compte de beaucoup trop de non-dits et de préjugés. Il avait la ferme conviction que si les deux groupes d’élèves acceptaient leur différence et ne se soucait plus de la norme social (non, mes cours de communication n’influencent en rien mon récit) tout irait pour le mieux. Mais bien sûr, chacun connaît le caractère têtu commun aux deux maisons.
Pendant qu’Albussou réfléchissait intensément, un hibou gratta soudain à la fenêtre. Sursautant, Dumlbeldore se leva doucement et alla ouvrir la dite fenêtre. Le hibou pénétra alors dans le bureau, en ce vendredi au collège Poudlard. C’était un hibou plutôt petit et l’air agité. Il portait un parchemin accroché soigneusement à sa petite patte. Albus se saisit de la lettre en question, la déplia en faisant attention de ne pas l’abimer et reconnu une écriture enfantine mais si mignonne. Il lut alors :
« Chère Parain Bubus, Je t’écris car mes copains sont tous des gros vilains. Aujourd’hui, ils se sont tous moqué de moi. Et la maitresse, et ba elle était pas contente et elle a dit que je ne devrais pas dire ça. Mais je comprends pas pourquoi tout le monde ils veuillent pas que moi je sois amoureux. Même que ils se moquent de moi parce que je suis amoureux d’un autre garçon alors que je sais pas pourquoi j’aurai pas le droit d’être amoureux de qui je veux. Mais de toute façon moi je m’en fiche car Carl il m’a dit que lui ça le génait pas que je l’aime. Dis Bubus les gens ils sont tous méchants ? Signé : Ton neveu adoré »
Bubus fut pris de tendresse suite à ce petit mot de son neveu de 6 ans. Cependant, il savait que cette déception n’était que la première d’une longue lignée, car dans le monde sorcier comme dans le monde moldu, notre entourage n’est pas toujours ouvert à la différence. Mais il trouvait pourtant l’innocence de cet enfant très attendrissante. Il se rappela qu’à cet âge nous somme tous plutôt naïf, et chacun dit directement ce qu’il pense sans vraiment se soucier de l’avis des autres.
Cette dernière pensée lui mit la puce à l’oreille. Albus Dumbeldore, en ce vendredi au collège Poudlard, après lecture de cette lettre, avait enfin trouvé LA solution au problème qui lui avait tourné dans la tête des mois entiers maintenant. Il était tellement content que si ses vieilles jambes le lui permettaient encore il aurait pu sauter de joie. Il courut presque jusqu'à sa bibliothèque pour prendre le livre dont il avait besoin. Il le trouva assez rapidement. C’était un livre imposant, au moins aussi gros qu’un dictionnaire, sa reluire était magnifique, le seul défaut que l’on pourrait trouver à ce livre était la poussière qui s’y accumulait pour cause d’usage peu fréquent. Il feuilleta délicatement les pages, puis s’arrêta sur la bonne. Il lut attentivement le passage concernant sa solution et dit d’une voix claire et forte : « Torna retro » en pointant sa baguette sur la boule de cristal.
Quiquonque se trouvant approximativement dans les environ de … Ben en fait quiquonque au Royaume-Uni put entendre alors un cri effroyable. Puis, à Poudlard des pleurs incessant et un chahut innommable s’éleva alors en provenance des cachots …
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