Destin contrôlé… ? Bien sur, rien n’est à moi, tout appartient à la fabuleuse J.K.R. sauf les aventures spécifiques que les personnages vivront dans sa fic. Attention je ne sais pas encore vraiment pour le moment, mais il est fort probable qu’il y est des couples slash (rapport amoureux entre deux personnages de même sexe) dans cette fic dont sans doute un HP/DM dans un bon moment, donc si cela devait déranger quelqu’un que cette personne passe son chemin tout simplement. NdA : je remercie mon chéri qui veut bien me servir de béta sur cette fic, vous prie d’être indulgent pour ce premier travail et vous souhaite une bonne lecture… ! Chapitre 1 : Patrimoine génétique Contemplant le soleil qui déclinait lentement vers l’ouest, un homme d’une trentaine d’années, peut être plus, attendait caché dans les recoins du toit d’un magnifique manoir au sommet de Godric Hollow. Il révisait son plan et se préparait à agir. Ce soir. Ça devait se passer ce soir…. Depuis des siècles, le monde, contrairement à tout ce que l’on croyait, était dirigé dans l’ombre par un petit groupe de sages, d’oracles, et de combattants surentraînés du monde entier : la Confrérie du Grand Equilibre. Cette confrérie œuvrait à l’insu de tous pour maintenir l’équilibre des forces sur la planète et permettre au monde de vivre dans une paix relative (les guerres étaient malheureusement nécessaires aux grandes découvertes). L’un des plus grands projets de ce cercle pour l’Angleterre avait pris naissance il y a des siècles et devait être sur le point de se réaliser. En l’An 923, quelques années avant l’époque des grands fondateurs de l’école Poudlar, l’une des plus grandes oracles que la confrérie est connue, prédit un grand bouleversement. Dans à peu près mille ans, un mage noir encore plus terrible que les précédents ferait son apparition en Grande Bretagne et mettrait le pays à feu et à sang avant d’assujettir le monde à sa volonté. La confrérie devait donc tout faire pour créer un parfait guerrier qui rétablirait l’équilibre. Ainsi, il fut décidé de préparer le patrimoine génétique de cet ultime guerrier. Après de multiples recherches, les sages de la confrérie sélectionnèrent en secret quatre enfants pour débuter ce vaste projet. Godric Griffondor, fils de Wilfrid Griffondor et d’Andagora Macgadwin, deux nobles de l’Aristocratie Saxonne Magique, fut sélectionné à l’âge de 14 ans pour sa grande maîtrise des techniques de combat, ainsi que pour sa bravoure éprouvée lors d’un épique combat entre le jeune garçon, tout juste âgé de 13 ans, et un hyppogriffe qui tentait de piétiner la petite sœur de Godric, Ewen, âgée seulement de 6 ans. Salazar Serpentar, fils d’Eléazar Serpentar et de Dogmaëla Wayne, nobles redoutés de l’Aristocratie Normande Magique, fut retenue à l’âge de 12 ans pour son esprit ambitieux et rusé dont il faisait preuve lors des jeux d’esprit très prisés par la cour. Rowena Serdaigle, fille d’Aldwin Serdaigle et de Reinelda Campfield, gardiens des savoirs de la famille royale, fut choisie à l’âge de 8 ans pour sa grande soif de connaissances et sa mémoire colossale. A l’âge de 8 ans, Rowena maîtrisait déjà le savoir magique d’une enfant de 14 ans. Helga Poufsoufle, fille d’Humfroy Poufsoufle et de Mathilde Gwennin, herboristes renommés dans toute l’Europe, fut prise à l’âge de 11 ans pour ses grandes connaissances et intuitions dans le domaine de l’herbologie et ses facilités en médicomagie au niveau de la faune et la flore. On proposa aux parents de ces quatre élus, une formation exceptionnelle pour leur enfant. Tous acceptèrent. On ne refuse pas un enseignement de Merlin lui-même ! Merlin était en secret le sage à la tête de la Confrérie du Grand Equilibre. Dès le début de leur formation, les enfants furent répartis à leur insu par deux. Godric Griffondor avec Helga Poufsoufle et Salazar Serpentar avec Rowena Serdaigle. Ils étaient deux aussi bien durant les cours que pour les devoirs communs. Merlin entretenait subtilement une forte amitié entre ses quatre initiés et une relation plus ambiguë entre les binômes qu’ils avaient organisés. Grâce à cette formation unique ces quatre jeunes gens devinrent rapidement les plus grands sorciers de leur époque. Pour les obliger eux-mêmes, ainsi que leurs descendants, à approfondir sans cesse leurs connaissances et leurs capacités, la confrérie, à travers son leader, leur insuffla l’idée de fonder une école pour transmettre leurs savoirs aux jeunes générations dans un premier temps et faire dans un second temps de la recherche. Poudlar vit donc rapidement le jour par l’intermédiaire de ces quatre grands fondateurs, Godric Griffondor, rapidement marié à Helga Poufsoufle et Salazar Serpentar, époux de Rowena Serdaigle. La confrérie avait tout prévu, ces deux couples donneraient lieu à deux grandes lignées et chacune d’entre elles aurait ses inclinations particulières. La descendance de Godric et Helga privilégierait la puissance magique, l’art du combat, les valeurs humaines, de la Terre et du courage. La lignée de Salazar et Rowena mettrait en avant l’intelligence, la sagesse, la connaissance, la stratégie et les jeux d’esprit. Au final, les derniers descendants de ces deux grandes familles, deviendraient les parents du guerrier parfait. Pour pouvoir créer un patrimoine qui se conserve efficacement et durablement, Merlin, s’arrangea pour placer à la dérobée un sort sur les jeunes mariés. Le premier né de chaque couple bénéficierait alors de l’intégralité de l’héritage psychique et magique de ses deux parents. Ce sort se transmettant de premier né en premier né à chaque génération, on se limitait à deux grandes lignées. Les autres enfants seraient comme les enfants d’un couple normal, ils auraient seulement un peu de l’héritage de chacun de leurs parents. Godric et Helga eurent un fils qu’ils nommèrent Angadrème, du germain angil, la lame et drugan, combattre. Angadrème se montra rapidement aussi bon combattant que son père et passionné par son environnement que sa mère. Salazar et Rowena eurent des jumeaux, une fille et un fils, Amaël du celtique princesse/chef et Ewald du germain waldo, celui qui gouverne. Mirdin dut revérifier lequel des deux jumeaux avait hérité de la totalité de l’héritage de leurs deux parents. Ce fut Amaël, mais il s’en fallu de peu car il manquait certaines parties de l’héritage de Rowena chez Ewald. C’est donc la lignée qu’engendrerait Amaël que la confrérie surveillerait et guiderait dans l’ombre au travers des siècles. Pour qu’il n’y ai pas de rapprochement trop rapide entre les descendants d’Angadrème et d’Amaël, Merlin fit une ultime manipulation. Il dressa progressivement Salazar et Godric l’un contre l’autre, jusqu’à ce qu’ils aient un différent qui créerait une haine insurmontable entre les deux lignées. Dès leur jeunesse, les jumeaux eurent des caractères diamétralement opposés ; autant Amaël se servait de la ruse et de l’esprit stratégique de son père avec la sagesse de sa mère, autant Ewald se montrait fourbe et malveillant. Quand les enfants eurent 12 ans, Salazar quitta seul le château suite au différent qu’il avait eu avec Godric et Ewald en conserva une profonde rancœur, de plus en plus grandissante au fur et à mesure du temps. Il en voulait également beaucoup à sa sœur et sa mère pour ne pas avoir fait blocus en faveur de son père. Tout au long des siècles, la confrérie dirigeât dans le secret les unions de chaque premier né. Il apparu cependant très vite que cette accumulation de pouvoir toujours plus importante de générations en générations allait donner des sorciers trop puissants, ce qui pourrait bientôt devenir problématique. La Confrérie apposa donc un enchantement sur la quatrième génération après les fondateurs, pour brider la plus grosse partie des pouvoirs des enfants à venir. Ces enfants seraient juste un petit peu au-dessus de la moyenne et verrait leurs magies particulières comme le fourchelangue dormir en eux. Pour garantir que les lignées ne s’éteigne pas d’un coup suite à la mort du premier né sans avoir donné d’enfant, l’héritage de chaque aîné sans enfant s’activerait en cas de danger de mort pour les sauver et se rendormirait une fois le danger passé. Mais revenons plus particulièrement sur chacune de ces grandes familles. Angadrème fut uni à un petit brin de femme adorable, mais qui se battait comme une lionne, elle s’appelait Gwennaïg. Elle était la fille d’un grand chevalier sorcier et avait passé son enfance à épier et copier son père et ses frères en cachette. Pendant plusieurs générations l’aîné fut toujours un fils et son union était systématiquement faite avec une jeune femme connue soit pour son courage, sa générosité, sa loyauté, soit pour son don dans les branches de la médicomagie et de la nature. Cependant, en 1467, Nathalan Griffondor et son épouse Laïg eurent une fille aînée Onnen. Cette dernière épousa le célèbre duelliste Finnian Mac Claverson et ils eurent à leur tour une fille, Aziliz qui épousa le dernier né de la grande famille Potter, Hendric. Amaël Serpentar épousa un grand chercheur en runes et arithmancie, Gilhem Peterson et sa lignée fut vite oubliée par l’Histoire. En effet, jaloux des pouvoirs de sa sœur et de la préférence évidente des gens envers elle, mais aussi en raison de ses rancœurs, Ewald Serpentar raya son nom de l’arbre généalogique des Serpentar. Depuis, les cours d’histoire de la magie enseigne que Salazar et Rowena eurent un fils unique, Ewald Serpentar. La Confrérie orienta les descendants d’Amaël et Gilhem vers des époux sélectionnés pour leur intelligence et leur grand sens stratégique, elle forma même certaines unions avec des moldus. Elle s’arrangea pour que Léonora Owlsen, la descendante d’Amaël, tombe enceinte de Napoléon Bonaparte et que par la même occasion Livie, arrière petite fille de Léonora, soit la maîtresse d’Albert Einstein. En 1959, la fille de Livie, Maéva, épousa en se faisant passer pour une moldu un grand ingénieur, Eliot Evans, veuf et père d’une petite Pétunia âgé de 3 ans. Ils eurent ensemble Liliane Evans. oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO La Confrérie surveillait attentivement chaque génération de sorcier pour évaluer les dangers potentiels et éventuellement trouver ses futures recrues. Albus Dumbledor fut donc repéré une première fois suite à l’impressionnante protection qu’il avait développée pendant sa période de gestation, puis une deuxième fois à l’âge de 9 ans, où il se montrait déjà comme un sorcier très prometteur. Les membres de la confrérie l’avaient observé durant toute sa scolarité et l’avaient recruté à sa sortie de Poudlar où ils avaient complété sa formation en vue de le faire entrer dans la caste des combattants. Pour faire ses preuves, Albus était venu à bout avec l’aide de ses confrères, du mage noir Grindwarld. Suite à cette prouesse, Albus s’était vu confier la mission Ultime Guerrier. Il avait donc œuvré, pendant les 7 ans qu’avaient duré leur formation à Poudlar, au rapprochement puis à la mise en couple de Lyly Evans et de James Potter. Pendant ce temps, Albus avait mené un autre projet de front, former Yuki Saï, jeune karatéka japonais, pour le préparer à devenir le maître de formation de l’Ultime guerrier. Et c’est donc par cette fin de journée de novembre, un peu plus d’un an après le mariage des Potter, que Yuki se trouvait sur le toit du manoir des Potter à revoir ses projets pour la soirée. Les Potter devaient rentrer comme chaque soir vers les 18h30. Ils prendraient leur repas vers 20h et se coucheraient sur les coups de 23h pour être en forme le lendemain au travail. Yuki Saï entra donc en douce dans le manoir vers les 18h en faisant bien attention d’éviter les sorts d’alarme et se dirigea directement vers les cuisines où il savait qu’il y trouverait les elfes de la vénérable famille Potter. Une fois devant la porte des cuisines, il sortit de l’intérieur de son kimono un étrange objet ressemblant vaguement à une toupie et le lança dans la salle. L’objet lévitât dans les airs en tournant sur lui-même tout en émettant un étrange sifflement. Après quelques secondes, Yuki attendit l’objet se taire et tomber sur le sol. Il entra à son tour dans la pièce. Tous les elfes semblaient dormir debout, les yeux grands ouverts. Saï savait qu’il n’en était rien, ils étaient juste sous le coup d’un puissant sortilège d’hypnose et attendaient ses ordres. Il leur donna tout d’abord un premier onguent à étaler en une fine couche invisible sur l’assiette des Potter. Une fois les aliments en contact avec l’assiette, la pommade se mélangerait automatiquement avec la nourriture de façon indétectable, il s’agissait d’une décoction extra forte de fécondité. Puis il confia ensuite aux elfes une poudre indétectable qu’ils devraient mélanger à la boisson. La poudre était un puissant aphrodisiaque qui ferait effet aux environs de 3h30 après ingestion. Ceci fait, Yuki sortit des cuisines et partit se cacher dans une pièce proche de la chambre à coucher de Lyly et James. Les elfes accompliraient leurs missions, détruiraient les preuves et oublieraient tout ce qui aurait pu être anormal au cours de la soirée. ---------------------------------- Les Potter rentrèrent vers 18h30 et ne remarquèrent rien d’étrange de la soirée. Après manger, Lyly s’installa dans la formidable bibliothèque ancestrale des Potter et continua ses recherches sur un contre-sort au nouveau maléfice que lançaient les mangemorts, pendant que James assit sur le canapé placé près de sa femme, un verre à portée de main, mettait une dernière touche à son rapport d’Aurore qui portait sur sa mission de la journée. Ils se couchèrent un peu plus tôt que d’habitude enlacés l’un à l’autre et tombèrent rapidement dans les bras de Morphée, épuisés qu’ils étaient. Vers 23h30-40, Lyly se réveilla progressivement, un sourd désir montant petit à petit de ses entrailles. Elle avait terriblement envie de James. Elle remua légèrement dans ses bras pour regarder son mari, l’homme de sa vie, dormir un sourire béat accroché sur les lèvres. (Nda : on se demande à quoi il rêve pour avoir cette tête là ! moi quand je dors t’as plutôt l’impression qu’il va falloir utiliser une pelle pour me sortir de mon matelas, cf. mon adorable fiancé…) Lyly hésita à le caresser, elle le savait fatigué et ne voulait pas l’embêter. Au moment où elle allait renoncer, un petit gémissement de plaisir sortit de la bouche de James, lui donnant une vague idée du type de rêve que faisait celui-ci. Le léger mouvement de hanche qu’il fit et la protubérance généreuse qui vint se coller contre sa cuisse le lui confirmèrent… (Nda : Lyly n’a pas été la seule à boire de la soirée !) Sans plus aucun scrupule, Lyly se décida. Elle allait le réveiller et ce soir il y aurait du James à la crème pour le dessert ! Délicatement, elle fit courir ses doigts sur son torse, redessinant les courbes et les lignes parfaites que ses muscles avaient joliment sculpté. James gémit légèrement plus fort dans son sommeil. Elle le fit tendrement basculer sur le dos et se pencha amoureusement sur lui, laissant ses doigts redécouvrir à loisir ce corps tant aimé. Sa langue vint doucement jouer avec son nombril puis, tout en se mettant à califourchon sur James, elle fit remonter au travers de savantes arabesques, sa langue vers deux petites pointes de chaires roses qu’elle prit l’une après l’autre dans sa bouche, se mettant en tête de les honorer comme il se doit. Les gémissements s’accélérèrent… Lyly reprit son ascension avec sa langue dans le cou, puis vers les lèvres de James, tout en laissant sa poitrine frôler son torse. Alors que James papillonnait des yeux pour se réveiller, elle captura ses lèvres entrouvertes d’un langoureux baiser et se mis à frôler doucement la verge de son mari, dans un mouvement de va et vient, avec sa propre intimité. Elle haleta doucement dans la bouche de son amour. Lâchant à regret les lèvres tant convoitées, elle se pencha sur son oreille et susurra : J’ai envie de toi James… Le dit James se sentit d’un coup bien réveillé et tout à fait prêt à satisfaire les moindres désirs de madame. La suite ne fut plus que caresses, soupirs, plaisir, volupté et promesse d’amour éternel échangée… (Nad : désolé pour ceux qui attendaient un lemon, je ne me sentais pas encore capable d’en faire…) Dans la pièce où il se trouvait, Yuki regardait sa montre. Il sourit, tout s’était déroulé dans les temps, les bruits avaient cessé vers 00h40. Le coït s’était déroulé au moment prévu par la Confrérie, ce soir entre minuit moins dix et minuit cinquante. La Terre était placée dans l’axe idéal par rapport aux astres, favorisant la création d’un sorcier puissant. Il attendit encore quelques minutes puis se dirigea en silence vers la chambre, il entrouvrit la porte sans bruit, jeta un sort de sommeil sur la pièce et entra. Doucement, il s’approcha de Lyly et tira sur le drap pour faire apparaître son ventre. Sa baguette en main, il dessina d’étranges runes sur l’abdomen de la jeune femme en récitant d’antiques formules. Lorsque ses mouvements et ses paroles cessèrent, Lyly brilla légèrement, puis tout redevint calme et Yuki repartit en silence après avoir retiré son sort de sommeil. YUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYUYU Quelque part au fin fond de l’Ecosse, dans une pièce circulaire au sommet d’un très ancien château, un vieux sorcier à la longue barbe blanche veillait, assit derrière son bureau. Un toc-toc s’éleva en provenance de la fenêtre et le vieil homme se précipita pour ouvrir à un étrange oiseau porteur d’une missive. L’homme décacheta sans attendre le parchemin, il le lu et un sourire satisfait se forma sur ses lèvres. Il déposa la lettre ouverte sur son bureau, nourrit l’oiseau et partit se coucher heureux. Sur la lettre, ces quelques lignes : Mission accomplie : l’enfant à naître devrait être puissant et n’aura pas le sortilège qui bride les pouvoirs, ceux-ci devraient comme prévu se développer progressivement dès la période de gestation. Y.S. Fin du premier chapitre A suivre si ça vous plait… Une petite review pour me dire si c'est la peine ou non que je continue svp ? |