Disclamer : JKR. Ça devient vraiment lassant de le répéter, vous ne trouvez pas ?

Pairing : Harry/Draco. Et – presque – un autre.

Note de l'auteur : Après Ginny, Astoria. Mais un OS assez différent. Assez triste, d'ailleurs. J'espère que vous l'aimerez quand même. Bonne lecture à tou(te)s !

P.S : J'écoutais Everything de Lifehouse pour ceux/celles qui veulent l'écouter en même temps.

Promesses.

Draco avait un regard étrange lorsqu'Harry débarqua au Manoir. Il était assis, les bras ballants et regardait dans le vide, blafard. Harry se précipita vers lui, inquiet. Qu'avait-il bien pu se passer depuis la dernière fois qu'il l'avait quitté, deux heures auparavant ?

-Draco ?

Il ne réagit pas. C'était comme si il ne respirait même plus. Harry lui secoua l'épaule.

-Draco ?

Il cligna plusieurs fois des yeux et sembla enfin l'entendre. Il leva les yeux vers lui et le cœur d'Harry se glaça. Draco avait pleuré. Harry s'agenouilla devant lui et posa ses mains sur ses genoux.

-Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

-Des …

Il se raclât la gorge et son regard se tourna vers la cheminée face à lui.

-Des employés du Ministère sont venus cette après-midi. I-Il y a eu un accident avec une potion au Département d'Astoria. Elle a été gravement blessée… Ils l'ont transportée à Ste-Mangouste mais … mais …

Harry entendit un bruit de gorge venant de Draco et il se rendit compte avec effroi que c'était un sanglot.

-Elle est morte, Harry.

Harry écarquilla les yeux, complètement sous le choc. Merde. Merde …

-Quoi ? Mais à Ste Mangouste ils n'ont … ?

-Son état était trop grave. Elle est morte. Morte. Morte. Morte.

-Arrête de dire ça, fit Harry en fronçant les sourcils.

Pourquoi s'infligeait-il ça à lui-même ? Il devait bien être assez malheureux, non ?

-Et pourquoi ? C'est pourtant vrai !

Draco se leva brusquement et Harry perdit l'équilibre et atterrit sur les fesses. De là où il était, Draco semblait immense. Immensément coupable.

-Elle est morte, Harry ! Elle est morte à l'hôpital. Et elle était toute seule ! Et toi et moi, on était … On était en train de …

Il se prit la tête entre les mains. Harry se releva et voulu le prendre dans ses bras. Draco le repoussa.

-Arrête. C'est vraiment pas le bon moment pour ça.

Harry fronça les sourcils mais répondit rien. Draco soupira et se rassit brusquement. Il semblait tellement perdu…

-Qu'est-ce que je suis censé faire, moi, maintenant ?

Harry prit une grande inspiration pour calmer son cœur et s'assit à côté de lui. Il fit attention à ne pas le toucher.

-Tu dois aller à Poudlard. Et le dire à Scorpius.

Draco tourna des yeux éteints vers lui. Le cœur d'Harry se serra.

-Et comment je vais bien pouvoir lui annoncer ça, hein ? Dis-moi, Harry, comment-suis-je censé dire à mon fils que sa mère vient de mourir et que je n'étais même pas avec elle à ce moment-là ?

Harry se passa une main dans les cheveux.

-Essaie de l'épargner le plus possible. Dis-lui juste qu'elle est… Enfin, ne raconte pas trop de détails. Parle-le-lui de l'accident et qu'on n'a pas pu la sauver. Mais tu dois le lui dire.

-Je sais, murmura-t-il pitoyablement et il baissa la tête. Harry ne l'avait jamais vu dans cet état.

Puis, il posa sa tête contre l'épaule d'Harry qui eut un soupir léger. Il passa un bras autour de ses épaules.

-Je suis désolé, Draco. Vraiment, murmura Harry en posant ses lèvres dans ses cheveux.

Draco se cala plus confortablement contre lui et plongea sa tête dans son cou.

-Je l'aimais, tu sais. Réellement. Ce n'était pas comme toi et moi, évidemment, mais c'était de l'amour quand même.

-Je sais, je sais. Tu l'aimais comme moi j'aime Ginny.

Harry ferma les yeux et entoura Draco de ses deux bras. Il sentit son corps trembler contre le sien et Harry le serra davantage contre lui. Il n'osait même pas imaginer dans quel état pouvait bien être Draco à l'intérieur. Harry savait qu'il se sentait coupable. Lui aussi culpabilisait. Draco devait sûrement avoir l'impression que c'était eux, que c'était leur amour qui avait tué Astoria. Parce que, s'ils n'avaient pas été ensembles à ce moment-là, alors peut-être que Draco aurait pu arriver à l'hôpital avant qu'elle ne meure. Au moins, elle n'aurait pas été seule.

Harry serra les paupières. Ses yeux le piquaient. Sa gorge était nouée. La pensée qui lui traversa l'esprit lui donna envie de vomir.

Draco est libre à présent. Complétement libre.

Ça ne tenait qu'à lui qu'ils vivent enfin au grand jour. Il n'avait qu'à dire à Ginny qu'il s'en allait, qu'il voulait divorcer et alors … et alors …

Draco remua un peu contre lui et cela tira Harry de sa rêverie. Il était vraiment égoïste pour penser un truc pareil dans un moment pareil. Draco n'avait pas besoin de ça. Harry inspira avidement l'odeur de ses cheveux et s'émerveilla lorsqu'il se dit qu'elle n'avait pas changé depuis des années. C'était étonnant. Et fantastique.

-Je t'aime, dit-il sans parvenir à s'en empêcher.

La main de Draco se posa son torse, au-dessus de son cœur et il eut un soupir contre sa gorge. Le cœur d'Harry s'emballât.

oOOoOOoOOoOOo

Il n'y avait pratiquement plus personne, à présent, dans le petit cimetière où avait eu lieu l'enterrement d'Astoria. Draco jeta un coup d'œil autour de lui. En réalité, il n'y avait plus que lui, Scorpius, le fils d'Harry et Harry lui-même, qui était parfait dans son rôle de père accompagnateur. Draco avait l'impression d'être un étranger, dans un lieu où il n'avait rien à y faire et qu'il avait regardé quelqu'un d'autre enterrer sa femme.

Son fils avait été inconsolable depuis ce fameux jeudi où il lui avait annoncé la nouvelle. Seule la présence d'Albus semblait apaiser son chagrin. Il regarda son fils et celui de Potter côte à côte. La tête blonde et la tête brune. Son cœur se serra. Au moins, eux avaient tout compris. Ils ne perdraient pas leur temps à se haïr pour des broutilles. Puis il se demanda ce qu'il se passerait si un jour, Scorpius et Albus …

Il secoua la tête, tenta de rendre ses idées claires. Le fils Potter et le fils Malfoy ensemble ?

Le destin aurait alors un sens de l'humour assez ironique, pas vrai ?

Il sentit une présence derrière lui et ferma les yeux. Harry était à ses côtés et le corps de Draco se tendit à sa présence.

Il vit le bras d'Albus entourer les épaules de son fils devant lui. Bien sûr, c'était Draco qui avait demandé à Albus de venir, son fils n'avait pas osé demander mais Draco savait que ça lui faisait du bien d'avoir un ami avec lui. Et puis, ça faisait lui énormément de bien d'avoir Harry avec lui également même s'ils devaient tous les deux jouer le rôle du père du meilleur ami de leur fils. Enterrer Astoria avait été bien plus douloureux que ce qu'il avait imaginé.

Draco avait envie d'avoir la main d'Harry dans la sienne. Il avait besoin de le sentir tout près de lui. De savoir, d'être totalement sûr, qu'il était vivant. Merlin, il ne voulait même pas penser au jour où Harry mourrait. Même s'il ne lui avait jamais avoué, il deviendrait complètement fou sans Harry. Draco se dit même qu'il ferait sans doute tout pour le rejoindre, en laissant absolument tout ce qu'il avait derrière lui. Oui, c'était égoïste, mais il s'en fichait.

Ne dit-on pas que l'amour est le seul égoïsme à deux ?

Et puis, vivre sans Harry serait bien pire que la mort, de toute façon.

Harry se rapprocha et sa main frôla la sienne. Draco se réjouit lorsqu'il sentit sa chaleur. Il le fixa un petit moment puis Harry lui dit :

-On va bientôt devoir partir. Ça ira ?

Draco déglutit. Bien sûr que non, ça n'irait pas. Mais il ne pouvait pas demander à Harry de rester avec lui cette nuit. Son fils était au Manoir.

Scorpius avait demandé de retourner à Poudlard la semaine d'après et Draco n'avait pas vraiment pu refuser. Il n'était même pas sûre de savoir s'il préférait l'avoir vers lui ou à Poudlard. Qu'était-on censé dire à son enfant qui venait de perdre sa mère ? Il était probablement mieux avec ses amis, non ? Eux, au moins, ils sauraient comment le consoler.

Draco n'avait jamais su comment consoler les gens. Il n'avait jamais pu consoler sa mère lorsque son père était mort. Il ne saurait jamais consoler son fils pour la mort de sa mère.

-Je pense que oui. Merci, Potter.

Harry lui lança un regard perçant. Draco eut la furieuse envie de l'embrasser et de le laisser le prendre dans ses bras. Il voulait poser ses lèvres contre son cou et sentir son odeur et son cœur battre. A la place, il enfonça ses mains dans ses poches et fit un signe de tête vers le jeune Albus.

-Ton fils peut dormir au Manoir, s'il veut. On a une chambre d'amis et puis … Je crois que ça aidera Scorpius, tu vois ?

Harry ne répondit pas mais ses yeux continuaient de le fixer et Draco comprit que lui aussi aurait aimé rester avec lui, qu'il avait très bien comprit que Draco avait besoin de lui. Draco haussa légèrement les épaules, pour lui faire comprendre qu'ils n'y pouvaient rien, qu'ils avaient chacun construit leurs vies de cette manière et qu'il n'y avait rien à faire pour les changer. La main d'Harry frôla encore la sienne à travers sa robe de sorcier, un peu plus longtemps cette fois.

-Je pense qu'il n'y aucune raison pour qu'il ne rentre pas avec toi. Tu penses pouvoir les emmener tous les deux jusqu'à chez toi ?

Draco se dit alors qu'Harry leur offrait une porte de sortie pour pouvoir profiter encore un peu de l'autre, sans que cela ne paraisse suspect. Draco se redressa un peu.

-Tu devrais pourtant savoir qu'on ne peut emmener qu'une seule personne en transplanant, Potter.

Harry eut une légère grimace mais Draco perçut le sourire dans ses yeux.

-Je transplanerais avec Al, dans ce cas. Il doit sûrement récupérer quelques affaires à lui à la maison avant.

-Très bien. On vous attendra au Manoir, alors, dans une demi-heure. Tu retiendras, Potter ?

Cette fois-ci, Harry ne put empêcher ses lèvres de trembler un peu lorsqu'il retint son sourire.

-Evidemment.

oOOoOOoOOoOOo

Harry arriva au Manoir exactement 28 minutes plus tard. On pouvait dire qu'il était ponctuel. Il entendit des pas dans les escaliers – sûrement Albus – et d'autres qui se dirigeaient vers lui. Harry posa sa main sur son épaule et son souffle balaya les mèches courtes sur la nuque de Draco. Il eut un frisson.

-Comment tu vas ? Réellement, je veux dire.

Draco eut un soupir.

-Je suis juste … horriblement fatigué.

Il se retourna et lui fit face. Dans la lueur des flammes, Harry n'avait jamais été plus beau que maintenant. Quelques mèches noires retombaient sur son front, ses yeux verts étincelaient et il y avait comme une lueur sauvage à l'intérieur. Draco se pencha, captura ses lèvres un bref instant. La douleur sourde dans sa poitrine s'atténua et il eut un sourire. Le souffle d'Harry était court et brûlant.

-Dès la fin de la semaine, je viens ici.

Le cœur de Draco fit un bond fantastique dans sa poitrine. Il allait vraiment venir vivre ici ?

-Q-Quoi ?

Harry hocha la tête, les yeux fermés. Avant de lui répondre, il l'embrassa longuement.

-J'ai pris une semaine de congés et j'ai dit à Ginny que je passais une semaine en Italie, pour le travail.

Draco recula légèrement. Il ne s'attendait pas à ce que la déception fasse aussi mal que ça.

-Oh. Bien sûr.

Harry fronça les sourcils et lui prit le visage entre les mains.

-Quand Lily sera à Poudlard, je la quitterai. Promis.

Draco le repoussa, énervé.

-Alors je dois juste t'attendre pendant ce temps-là ? Et te regarder parader avec ta rouquine en crevant de jalousie ? Evite de faire des promesses que tu ne tiendras pas.

-Ne parle pas de Ginny comme ça, dit-il dans un chuchotement agacé. Elle n'y est pour rien !

Draco secoua la tête et détourna les yeux. Il ne fallait pas qu'il croise son regard, sinon, il savait qu'il était fichu. Les yeux d'Harry l'avaient toujours perdu. Draco s'éloigna de quelques pas et se passa une main lasse dans les cheveux.

-Alors … On va juste devoir prier pour que ta femme meure aussi pour pouvoir enfin être ensemble, c'est ça ?

Il regretta ses paroles au moment même où elles franchirent ses lèvres. Harry lui lança un regard noir et horrifié. Il fit un geste pour venir vers lui mais finalement, se ravisa.

-Je n'arrive pas à croire que tu ais dit ça …

Sa voix était rauque et pleine de reproches. Draco haussa les épaules, indifférent. Ses paroles avaient dépassés sa pensée mais il savait qu'il y avait du vrai dans ce qu'il avait dit. Ils ne seraient jamais totalement libres. Il y aurait toujours quelque chose pour les empêcher d'être ensemble.Vraimentensemble.

-Tu sais bien que j'ai raison.

La bouche d'Harry se tordit en une moue écœurée. Oui, il savait qu'il avait raison. Harry se rapprocha finalement de lui, toujours autant en colère. Il lui agrippa le col, ses yeux lançaient des éclairs. Puis, enfin, ses lèvres se plaquèrent sur les siennes. Draco eut une impression de déjà-vu. Cette scène lui rappelait le tout premier baiser qu'ils avaient échangé. Ça avait été âpre, violent, passionné, merveilleux. Ça faisait tellement longtemps qu'ils n'avaient pas échangé un tel baiser !

Les mains de Draco plongèrent dans les mèches noires et les tirèrent en arrière. Il voulait sentir Harry plus profondément. Leurs langues s'entrelacèrent et Draco sentit le gémissement à même la bouche d'Harry. Il approfondit encore le baiser, sentit les mains d'Harry sous sa robe, contre son torse et son cœur accéléra sa course brutalement. Draco se colla à lui et émit un grognement qui le fit rougir.

C'était comme si leurs corps se fondaient l'un dans l'autre et la sensation n'avait jamais été aussi merveilleuse. Draco commença alors à se frotter contre Harry et l'une de ses mains descendit jusqu'à ses fesses. Il plaqua un peu plus son bassin contre celui d'Harry. Tous deux avaient le souffle court, ils peinaient à s'embrasser et se toucher en même temps, car ils voulaient tout toucher, tout embrasser de l'autre. Draco aurait aimé avoir plusieurs autres mains car la peau d'Harry semblait l'appeler. Leurs gestes étaient désordonnés, presque brutaux. Puis Harry s'écarta brusquement de lui et Draco eut froid.

Des pas résonnèrent dans les escaliers et Draco comprit que leurs fils descendaient. Merlin merci, Potter avait eu la force de le repousser. Lui n'aurait jamais pu.

Ils remirent rapidement de l'ordre dans leurs vêtements froissés et Draco vit du coin de l'œil Harry s'aplatir les cheveux. Leurs fils arrivèrent dans le salon, mal à l'aise. Ils jetèrent un coup d'œil furtif à leurs pères puis, Albus s'avança en se tordant les mains.

-Heu… Papa ? Je sais que je suis censé retourner à Poudlard demain mais …

Il échangea un bref regard avec Scorpius.

-Je pourrais pas rester jusqu'à la fin de la semaine ici ?

Puis il regarda Draco, mal à l'aise.

-Enfin si-si vous êtes d'accord, Mr Malfoy, bien sûr.

Draco haussa les sourcils et échangea un regard avec Harry. Puis regarda son fils. Il avait un regard suppliant qui lui fit un peu mal au cœur.

-Aucun problème de mon côté, Albus. Tu peux rester tant que tu veux.

Scorpius lui lança un regard reconnaissant. Albus lui adressa un sourire un peu crispé et se retourna vers son père. Harry déglutit.

-Et bien … Je suis d'accord aussi mais, bien sûr, tu devras rattraper tous tes cours.

Le garçon hocha la tête frénétiquement.

-Oui, oui, je le ferais, ne t'inquiète pas.

Il adressa ensuite un grand sourire à Draco.

-Merci, Mr Malfoy.

Puis il se retourna et prit Scorpius par le coude et ils se dirigèrent tous les deux vers les étages. Draco l'entendit marmonner quelque chose comme « tu vois, c'était pas si compliqué, finalement … ». Lorsqu'ils furent totalement hors de vue, Draco fixa de nouveau Harry. Celui-ci reprit la cape qu'il avait déposé sur le dossier d'un fauteuil et s'approcha de lui. Il se raclât la gorge.

-Je dois y aller. Gin … Enfin, on m'attend.

Il détourna les yeux, gêné de voir les mâchoires crispées de Draco. Avant de transplaner, il s'approcha de lui, jeta un rapide coup d'œil derrière et lui donna un baiser qui laissa les jambes de Draco tremblantes. Il savait s'y prendre, pour se faire pardonner …

Draco le retint un instant en agrippant son col et approfondit le baiser. Il se colla encore à lui, lécha sa lèvre, tortura sa langue un bon moment et se frotta contre lui. Puis, brusquement, il le relâcha. Il voulait juste lui rappeler ce qu'il perdait en s'en allant rejoindre sa précieuse rouquine. Harry, les joues rouges et le souffle court le regarda, déboussolé.

-Va la rejoindre.

Harry ne bougea pas pendant quelques instants, incertain puis il enfila sa cape et se détourna.

-Je reviens lundi. Promis.

Draco eut un geste agacé de la tête.

-J'espère que tu les tiendras, tes promesses.

Harry ne répondit pas. Ses yeux, par contre, semblaient désolés et le cœur de Draco se serra un peu dans sa poitrine. Sa rancœur disparut et il se dit qu'il n'aurait jamais dû le regarder dans les yeux, parce que, depuis toujours, ses yeux lui faisaient faire n'importe quoi. Draco avait toujours aimait le vert.

Harry sortit du Manoir. Draco se retourna alors vers les flammes de la cheminée. Il entendit un CRAC ! et il ferma les yeux. La douleur dans sa poitrine revint. Il espérait que le lundi arriverait vite. Harry lui manquait déjà.

Fin.

Alors, votre avis ?

J'espère que ça ne vous a pas trop attristé, en tout cas =)

Bisouuuus à tous !

PS : Je compte sur vous pour quelques commentaires ;)