(Septembre 2012)
Un poème bancal que je n'ai pas pu me résoudre à améliorer. J'ai attendu une suite, elle n'est pas venue.
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Elle ôta ses chaussures ses chaussettes étaient blanches
Et firent sur le tapis deux tâches éclatantes
Qui disparurent en s'y enfonçant
Le feu dansant dans le silence de la pièce
Eclairait les murs de secrets ondoyants
S'y reflétaient mes rêves fragiles également |