Ce chapitre se passe au même moment que le précédent mais vu par d'autres personnages.

J'espère que ça vous plaira, bonne lecture !

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POV d'Emmett

Je rejoignis ma femme sur la piste de danse. Rosalie bougeait son corps sensuel au son de la musique attirant tous les regards. Ceux des hommes reflétaient leur désir pour elle, l'envie de sa chair. Ceux des femmes étaient envieux, jaloux de sa beauté et de son élégance.

J'enlaçais sa taille de mes bras musclés et l'attirait vivement contre mon torse. Elle se retourna et me gratifia de son plus beau sourire. Elle était magnifique, vêtu d'un ensemble couture d'un styliste français. Le bustier était un simple bandeau de cuir noir qui enveloppait sa poitrine généreuse et dévoilait son ventre plat. La jupe, de la même matière que son top, moulait ces fesses rebondis. Ses cheveux blonds tombaient en cascade sur ses frêles épaules et ses yeux ambrés transperçaient mon âme. Ce petit bout de femme avait fait de moi un vampire en me ramenant à son créateur et depuis, elle était mienne.

Je l'embrassais fougueusement et introduisis ma langue dans sa bouche entrouverte. Le désir nous submergea tous deux et je l'entendis gémir à mon oreille voulant approfondir nos ébats.

Edward sembla s'énerver contre un humain, mais je n'y prêtais guère attention, complètement fasciné par ma Rosalie.

Je l'attirais dans une alcôve sombre de l'espace VIP et la plaquais violement contre le mur. Sa respiration se fit haletante pendant que son corps se soumettait sous la contrainte de mes baisers. Je caressais ses fesses par-dessous sa jupe et arrachais sans difficulté son string, seul rempart à son intimité. Elle poussa un gémissement de plaisir, m'incitant à continuer.

La proximité des gens et les regards qui auraient pu surprendre notre étreinte ne faisait que renforcer notre excitation.

D'une main ferme, je saisis ses poignets et lui releva les bras par-dessus la tête pour lui interdire de me toucher, augmentant ainsi son désir pour moi. Elle était toute à moi, simple poupée de chiffon entre mes mains expertes. Je léchais mon index sensuellement et l'introduisis sans ménagement dans son intimité déjà humide. Elle soupira de plaisir pendant que j'excitais son point le plus sensible. Prise d'un excès de fièvre, elle se libéra de mon emprise et me retourna contre le mur provoquant un léger tremblement de tout le bâtiment. Elle me retira rapidement ma chemise et entreprit d'explorer mon corps de sa bouche pulpeuse et rosée. Habilement, elle déboutonna la braguette de mon jean pendant que j'embrassais ces seins voluptueux couleurs d'albâtre. Ne tenant plus, fou de désir pour mon épouse, je la soulevais de terre et commença nos vas et viens sensuels au rythme de la musique envoutante de la boite de nuit.

-« Je peux me joindre à vous ? »

Je restais figé tant surpris par les mots que par la personne qui les avaient prononcés.

Tanya nous reluquait depuis un moment semble-t-il et ne paraissait pas gêné le moins du monde par le spectacle. Je jetais un coup d'œil à Rosalie et nous nous comprirent d'un simple regard. Nous attrapâmes chacun une de ces mains et l'invitait à se joindre aux réjouissances, un sourire coquin sur nos lèvres.

Depuis ma transformation en vampire, je n'avais couché qu'avec ma femme et nous n'avions pas vraiment envisagé le triolisme comme une alternative pour pimenter notre relation, étant donné que peu de vampire sont ouvert d'esprit côté sexe et que le faire avec un humain présentait bien trop de risque (pour notre secret mais surtout pour sa vie, si nous nous laissions vraiment entrainer par notre passion).

Tanya arracha le bandeau de cuir qui retenait encore les seins de Rose et entrepris de lui mordiller les mamelons. Ma femme me regardait en se léchant les lèvres et en caressant les cheveux soyeux de notre amie, ce qui décupla mon envie.

Je poussais un grognement sourd et releva la robe en soie rouge sang de Tanya pour dévoiler son cul ferme et rebondi. Je ne sais si elle n'en avait pas mis en partant de la villa ou si elle l'avait enlevé avant de nous rejoindre, mais elle ne portait pas de culotte. Je frottais mon sexe contre sa cambrure tandis qu'elle embrassait ma femme goulument. En voyant leurs deux langues se mélanger, ma tension sexuelle atteint son paroxysme et j'introduisis avec fougue mon sexe dans le vagin humide de Tanya. Elle gémit de plaisir et j'augmentais la vitesse de mes coups de reins. Elle se cambra et baisa la tête entre les cuisses affutées de Rose pour lécher l'excitation qui suintait de sa vulve, tout en s'agrippant à sa taille fine. Ma femme me regardait droit dans les yeux, ne pouvant retenir des cris de jouissance ce qui multiplia mes à-coups dans le corps de Tanya. Un frison parcouru mon dos et j'exultais dans un grognement bestial.

Soudain, une forte odeur humaine se dégagea et une toux forcée se fit entendre. Rosalie se couvrit la poitrine de son bras tendit que Tanya se retourna pour toiser le gêneur. Visiblement, le vigil ne savait pas comment s'y prendre et se contenta de nous dire :

-« C'est un établissement de bon standing ici. Je vais devoir vous demander de quitter les lieux. »

Le pauvre type était rouge comme une pivoine. Je me rhabillais promptement pendant que Tanya rattachait le top de mon épouse. Un sourire béat marquait nos visages bien que l'interruption du garde soit arrivée bien trop tôt à notre gout à tous.

Je m'approchais de la table de mes frères et sœurs.

-« Ou sont Carlisle et Esmée ? Il faut qu'on s'en aille. » affirmais-je.

-« Pourquoi ? » demanda Alice avec une moue boudeuse.

Edward éclata littéralement de rire, surement en lisant notre mésaventure dans nos pensés, et Rosalie le fusilla du regard espérant qu'il ne raconterait rien au reste de notre famille.

FIN

Voilà la fin de ma fic, n'hésitez pas à me faire part de toutes vos remarques : Review ;)