Harry se réveilla dans sa position allongée devant la porte pour trouver les hobbits au complet. Frodon, Merry et Pippin étaient pelotonnés sur ses genoux, mais Sam était blotti contre ses flancs confortablement. Il ne pouvait bouger mais il eut un sourire à la chaleur qui se propageait à travers lui, la chaleur que causait le fait de savoir qu’il avait une famille, pas une meute, à nouveau. Quand il releva les yeux il vit Remus les yeux fixés sur eux tendrement, ses yeux plein de larmes. Harry lui adressa un sourire plein d’amour et mima, « Je t’aime Papa ». Avec cela les larmes commencèrent à couler sur le visage de Remus et il se retourna pour les dissimuler à Harry.
Harry réveilla doucement ses petits frères et indiqua Remus en leur faisant signe de rester silencieux. Ils hochèrent la tête de compréhension avant de se lever lentement en permettant à Harry de se lever. Puis il leur fit signe de se rapprocher, quand ils furent assez proches il murmura, « Remus a besoin de se remonter le moral mes petits frères, pensez-vous que vous pouvez m’aider » demanda-t-il.
« Bien sûr, Papa a besoin de sourire plus souvent de toute façon ! » dit joyeusement Pippin.
Les trois autres hochèrent la tête en accord, puis Harry leur parla de son plan et ils acquiescèrent. Puis il se redressa de sa position accroupie et se dirigea vers Remus avec les hobbits le suivant de près. Elrond s’arrêta juste à temps pour voir Harry et les quatre hobbits sauter sur Remus en formant une pile de corps emmêlés. Le rire emplit ses yeux et il sourit, cette famille était entrée dans son cœur et il ne semblait pas pouvoir se fâcher avec elle. Remus sentit son cœur se gonfler alors que tous ses louveteaux le plaquaient en poussant des cris d’un simulacre de guerre et il commença à rire avec eux.
« Je suis désolé de briser une scène aussi chaleureuse, mais Harry, Remus, et Frodon sont demandés au Conseil ce matin », dit Elrond un sourire tendre sur le visage.
« Eh bien, il semble être l’heure de lécher les bottes mon cher frère », déclara Harry à Frodon alors qu’il l’aidait à sortir de la mêlée.
Remus se leva et claqua un baiser sur le dessus de sa tête, « Souviens-toi de ce qui est arrivé la dernière fois que tu as laissé ta bouche parler avant de penser ? » sa voix était menaçante.
Harry hocha la tête les yeux larges, « Fais cela encore une fois et la même punition sera appliquée », lui dit Remus avant de passer devant lui avec une dernière tape sur l’épaule.
« Qu’est-ce qui est arrivé la dernière fois ? », demanda curieusement Merry.
« Tu n’as pas besoin de savoir ça mon petit farceur ! » dit Harry un peu trop rapidement, puis il agrippa la main de Frodon et se précipita hors de la chambre.
Ils furent bientôt rattraper par Remus, Elrond ferma derrière eux, « Qu’est-ce qui est arrivé la dernière fois Papa ? » demanda Frodon à Remus en esquivant le bras tendu d’Harry.
« Pourquoi toi petit serpent ! Ne lui dis pas Remus John Lupin ou je parlerai de la fois où tu as fait le tour de Poudlard habillé comme un… » mais Harry fut interrompu lorsque Remus couvrit sa bouche.
« Tu ne leur parles pas de ça et je ne parlerai pas de la dernière fois », négocia Remus sa main fermement posée sur la bouche d’Harry.
Harry hocha la tête et Remus retira lentement sa main de la bouche d’Harry. Pendant ce temps ils arrivèrent dans l’aire où le Conseil se tenait. C’était un patio spacieux ouvert qui dévoilaient les jardins en-dessous et une chute d’eau cascadait non loin de là. Quand il vit Gandalf, Harry courut vers lui et sauta sur le dos du vieil homme le surprenant dans sa conversation avec un nain.
« Tu devrais rester sur tes gardes vieil homme, tu ne voudrais pas mourir dans tes premières années, n’est-ce pas ? » demanda Harry avec espièglerie, ses jambes et ses bras enroulés autour du vieux sorcier.
« Morveux arrogant ! » cracha le sorcier avec tout autant de malice.
Puis Harry descendit de son dos et se tourna vers Remus, « Où est-ce que j’ai déjà entendu ça avant ? Je pense que toi et le vieil homme avez besoin de corriger votre vue, je ne ressemble en rien à Drake ! »lui dit Harry en secouant la tête, honteux.
Remus ne fit que rire et tira l’une de ses mèches, « Tu as raison Bambi, tu n’es pas arrogant », puis quand Harry eut un regard suffisant, « Tu es agaçant ! », finit Remus.
« Hey ! » cria Harry sur la défensive, il donna un coup de coude dans les côtes de Remus.
« Ouch ! Reviens ici sale mioche ! » cria Remus en se tenant le flanc et en montrant le poing au dos d’Harry.
« Sauve-moi Frodon ! » cria comiquement Harry en essayant de se cacher derrière le jeune hobbit.
« Ah non ! Je ne suis pas celui qui a été assez stupide pour fâcher Papa ; tu te débrouilles toi-même cette fois ! » dit Frodon en se décalant sur le côté pour donner à Remus l’accès sur Harry.
« Toi petit traître ! » cria Harry avant que Remus l’attrape et qu’il n’éclate de rire quand Remus commença à le chatouiller sans pitié.
C’est à ce moment-là que Grands-pas s’avança avec les autres elfes de Fondcombe et qu’il vit Harry se faire chatouiller. Harry le vit aussi, « Aide-moi Grands-pas, tu es mon seul espoir ! » l’appela-t-il d’un ton tragique avant de retomber dans un éclat de rire.
« Ne pense pas que citer Star Wars va t’aider, cabotin ! » cria Remus, mais ses yeux brillaient de gaieté.
Mais il arrêta bientôt et laissa Harry haletant sur le sol de la place du Conseil, « Toi, mon cher Moony, tu es un démon ! Je suis tellement fier de toi ! » dit-il en essuyant une larme imaginaire de son œil alors qu’il se redressait debout tout seul.
Remus ne fit que grogner et s’assit à la gauche de Gandalf, Harry, vit que le seul siège libre était à côté de Frodon qui était assis de l’autre côté de Gandalf, aussi le prit-il en passant son bras autour des épaules de Frodon. Les autres membres du Conseil prirent bientôt leur siège. Ceux qui attirèrent le plus l’attention d’Harry étaient les supposés dirigeants représentant chaque race. L’un d’eux était un Elfe blond platine, dont les cheveux étaient tirés en arrière en tresses lâches pour révéler ses oreilles pointues. Ses yeux étaient d’un bleu pur perçant et ses regards étaient justes, comme beaucoup d’autres. Son visage était aristocratique, et il se tenait avec une certaine arrogance mais semblait humble. Puis il observa un nain avec les cheveux aussi roux que l’étaient ceux des Weasley. Ils étaient tressés en arrière, et sa barbe était aussi frisée que les cheveux d’Hermione et avait aussi quelques petites tresses. Ses yeux marrons étaient chaleureux mais contenaient force et rudesse. Enfin Harry se mit à observer un Homme, ses cheveux châtains clairs lui arrivaient au menton, et il portait une barbe. Ses yeux étaient verts et Harry pouvait dire qu’il allait suivre sa propre opinion. Il était arrogant, mais il y avait également de la bonté en lui, il était vraiment un guerrier puissant.
Puis le Conseil débuta ; Elrond se tenait debout, ses yeux argent étincelant dans la lumière dorée du soleil, « Etrangers venus de terres éloignées, amis de longue date… vous avez été appelé ici pour répondre à la menace du Mordor. La Terre du Milieu est au bord de la destruction. Nul ne peut y échapper, vous vous unirez ou vous tomberez. Chaque race est liée à ce sort, à ce destin », Elrond se tourna vers Frodon et lui fit un geste du bras, « Montrez l’anneau, Frodon », lui dit-il.
Frodon se leva avec hésitation et déposa l’anneau sur la table au centre du patio. Puis il revint à son siège et Gandalf posa une main sur son épaule et lui adressa un sourire que lui rendit Frodon, mais Harry pouvait voir la souffrance du petit hobbit. Il tendit son esprit et parcourut celui de Frodon et sentit son attachement à l’anneau.
« Est-ce que tu aimerais que je te construise une barrière entre toi et les paroles trompeuses de l’Anneau ? » demanda-t-il à Frodon par la pensée.
Frodon se tourna vers lui, les yeux grands ouverts mais il hocha néanmoins la tête. Aussi Harry se mit-il à construire les boucliers autour de l’esprit de son petit frère. Pendant qu’il faisait ça, il écoutait ce que le Conseil disait, l’homme d’avant s’avança.
« C’est un don. Pourquoi ne pas utiliser l’Anneau ? Tant que mon père, l’intendant du Gondor, garde les forces du Mordor à distance, le sang de notre peuple est versé pour garder vos terres en sécurité. Donnez au Gondor l’arme de l’ennemi ; laissez-nous l’utiliser contre lui ! » dit l’Homme, il lui rappela un peu Ron avec son dévouement à sa famille, mais il était un imbécile.
« Vous ne pouvez le soumettre ! Aucun de nous le peut ! L’Anneau Unique répond seulement à Sauron, il n’a pas d’autre maître ! » lui dit Grands-pas en essayant d’éloigner cette pensée de l’Homme.
Harry hocha la tête pour approuver, en notant que Frodon et Remus faisait la même chose, « Et que connaît un rôdeur à ça ? » demanda l’Homme avec colère.
L’Elfe qui rappelait beaucoup Drago à Harry se leva, furieux, « Ce n’est pas qu’un simple rôdeur ! Il est Aragorn, fils d’Arathorn ! Vous lui devez votre allégeance », dit l’Elfe.
Harry regarda Grands-pas avec confusion, qu’est-ce que cela voulait dire ? L’Homme sembla surpris, « Aragorn ? L’héritier d’Isildur ? », parla-t-il la voix incrédule.
« Est-ce que tu sais de quoi il parle petit frère ? » demanda-t-il à Frodon, mais il eut bientôt une réponse.
« Et l’héritier du trône du Gondor », dit l’Elfe, la voix démontrant son allégeance à Grands-pas.
Harry et Frodon regardèrent Grands-pas avec surprise, 'bien que je suppose que son nom soit maintenant Aragorn', pensa Harry.
« Asseyez-vous Legolas »,dit Aragorn à l’Elfe des bois en elfique, exaspéré et tendant la main.
L’Homme sembla furieux et se tourna vers Legolas, « Le Gondor n’a pas de roi », puis il se tourna vers Aragorn, « Le Gondor n’a pas besoin de roi », et puis il s’assit, le visage tiré par la colère.
Gandalf prit la parole en essayant de briser la tension qui planait dans l’air, « Aragorn a raison, nous ne pouvons l’utiliser ! » proclama-t-il.
Elrond hocha la tête puis parla, sa voix résonnant à travers la salle, « Vous n’avez qu’une solution, l’Anneau doit être détruit », dit-il au Conseil.
« Alors qu’attendons-nous ? » demanda le nain roux avant de pousser un cri, de se lever et d’attraper une hache qui était posée près de lui.
Il se lança en avant, et tout le monde semblait être sur le bord de leurs sièges ; et alors il l’abattit pour seulement voir la lame être brisée en morceaux au contact. Lorsque la hache toucha l’anneau, Harry encore profondément dans l’esprit de Frodon, vit ce que Frodon vit. Un grand œil sans paupière, entouré d’une flamme, la pupille fendue, les regardait fixement. Lui et Frodon tressaillirent et Harry travailla rapidement au renforcement des boucliers autour de l’esprit de Frodon. Il tira Frodon à ses côtés en sachant que le hobbit avait maintenant mal à la tête, et se mit à tracer des cercles apaisants sur ses tempes.
Il ignora le regard inquiet de Gandalf et écouta Elrond alors qu’il parlait, « L’Anneau ne peut être détruit, Gimli, fils de Gloïn, par aucun des moyens que nous possédons ici. L’Anneau a été forgé dans les flammes de la Montagne du Destin, il ne pourra être détruit que là. Il doit être amené au plus profond du Mordor et jeté de nouveau dans le gouffre de feu d’où il vient. L’un de vous doit le faire », il s’arrêta et regarda autour de lui en fixant dans les yeux chaque membre du Conseil.
Le Gondorien prit la parole, sa voix sonnait fatiguée et craintive, « On ne peut tout simplement pas entrer dans le Mordor. Ses portes sont surveillées par des gardes pires que des orcs, le mal qui est là-bas ne dort pas, et le grand œil est toujours vigilant. C’est une terre aride dévorée par les flammes, recouverte de cendres et de poussière, l’air que l’on y respire est intoxiqué par la fumée, et ce n’est même pas avec dix mille hommes que vous pourriez y aller, c’est de la folie » dit-il.
Harry sentit la peur de Frodon, alors qu’il achevait les barrières, et le serra, ‘N’aies pas peur, petit frère, personne ne te blessera tant qu’il restera un souffle dans mon corps. Je te le garantie ‘, promit-il à Frodon.
Frodon et Harry sentirent Remus se joindre à leur conversation, ‘Pareil pour moi, aucun de mes petits ne sera blessé tant que j’aurais mon mot à dire !’ son ton était déterminé et Frodon se sentit se détendre.
L’Elfe, Legolas, reprit la parole, « Avez-vous entendu ce que le Seigneur Elrond vient de dire, l’Anneau doit être détruit », dit-il avec colère.
« Et je suppose que vous êtes celui qui va le faire ! », dit le nain, Gimli, en bondissant de fureur, « Je voudrais être mort avant d’avoir vu l’Anneau dans les mains d’un Elfe ! » cria-t-il de colère.
Les Elfes se levèrent en criant avec colère, et bientôt les autres nains rejoignirent la dispute. Après que les Hommes l’eurent rejointe, Gandalf se leva bientôt et se mit lui aussi à argumenter. Elrond s’était rassis sur son siège avec un regard agacé, comme l’avait fait Aragorn. Harry pouvait entendre les chuchotements satisfaits de l’Anneau mais ils n’avaient pas sur lui l’emprise qu’ils avaient sur les autres. Enfin il en eut marre, il embrassa Frodon sur la tête avant de ramener son bras et se leva.
« Silence ! », mais lorsque aucun d’entre eux ne se tut, il poussa un sifflement aigu.
Tout le monde se tut et se couvrit les oreilles au son strident, ils se tournèrent ensuite vers Harry, « Bon maintenant que j’ai votre attention, je peux vous dire que vous êtes tous des idiots ! Vous laissez ce morceau criard d’une personne de merde et que vous osez appeler bijou obtenir une prise sur vos esprits. En luttant entre vous, vous dévoilez vos faiblesses et vous lui donnez les moyens de l’exploiter. Vous lui faîtes plaisir lorsque vous vous battez ! Je dois entendre ce morceau faire des tentatives de persuasion de merde et vous n’aidez pas mon mal de tête en criant ! Maintenant, fermez-la, montrez que vous êtes des grands garçons et que vous avez quelque chose dans le caleçon, et déterminez qui diable va être le porteur de l’Anneau ! » leur dit-il avec colère, ses yeux verts étincelants.
Tout le monde le regarda avec surprise devant son audace, « Beaucoup mieux, maintenant tranchez, tranchez ! Je n’ai pas toute la journée, et je commence à avoir assez faim », leur dit Harry en claquant plusieurs fois des doigts.
Aragorn ne put empêcher un sourire de lui étirer les lèvres, ce garçon était vraiment stupéfiant ! Frodon s’avança, un éclair de bravoure le traversant soudain, « Je le ferai ! J’emmènerai l’Anneau en Mordor. Bien que je ne connaisse pas le chemin », finit-il tranquillement.
Gandalf ferma les yeux, comme s’il souffrait pendant quelques instants, puis il les rouvrit et sourit, « Je vous aiderai à porter ce fardeau, Frodon Sacquet, tant que ce sera le vôtre », dit-il au jeune hobbit en posant une main sur son épaule et en restant derrière lui.
Aragorn s’avança et commença à parler à Frodon, « Si par ma vie, ou ma mort, je peux te protéger, je le ferai ! » il s’agenouilla devant Frodon et prit sa main entre les siennes, « Tu as mon épée » jura-t-il.
Legolas arriva peu de temps après, « Et tu as mon arc », s’engagea-t-il.
« Et ma hache » dit Gimli en avançant pas à pas, la voix fière.
Le regard de Legolas était impayable et Harry et Remus eurent du mal à ne pas rire. Bientôt l’Homme s’avança devant eux, « Tu portes notre destin à tous petit, si c’est effectivement la volonté du Conseil alors le Gondor le fera », promit-il au petit hobbit.
Puis Aragorn se leva avec une main posée sur l’épaule droite de Frodon, Legolas derrière Frodon était légèrement à sa gauche, Gimli était à côté de lui, et Boromir à côté de Gimli. Harry s’avança et s’agenouilla devant Frodon et plongea son regard dans le sien.
« J’ai vu beaucoup de moi-même la première fois que je suis entré dans ton esprit pour te montrer la guerre, petit frère. Remus et moi avons déjà promis de te protéger, mais maintenant je m’engage à te donner tout ce que j’ai ! Je te donne mon cœur, ma loyauté, et ma sagesse lorsque tu en auras besoin, ils sont tiens tu peux les prendre », s’engagea Harry en l’embrassant d’abord sur le front, puis les joues, et enfin ses paupières. Remus s’avança et fit de même, avant de rejoindre Harry à côté d’Aragorn.
« Hey ! Monsieur Frodon ne partira nulle part sans moi ! » cria Sam en bondissant de sa cachette derrière les buissons en allant se planter aux côtés de Frodon avec les bras croisés.
« Non en effet, il est presque impossible de vous séparer quand il est convié à une réunion secrète et que vous ne l’êtes pas », dit Elrond, son visage montrant son amusement.
« Hey, nous venons aussi ! » entendirent-ils Pippin crier, et ils virent Merry et Pippin courir pour se mettre aux côtés de Frodon.
« Tu devras nous attacher dans un sac et nous renvoyer à la maison pour nous arrêter ! » déclara Merry à Frodon avec un sourire joyeux.
« D’ailleurs il faut des gens intelligents pour ce genre de mission… quête… chose », conclut Pippin.
« Et bien cela t’exclut Pip », murmura Merry.
« Très bien vous serez la Communauté de l’Anneau », déclara Elrond, exaspéré par les frasques des hobbits.
« Génial ! Où allons-nous ? » demanda Pippin.
Tout le monde se tourna vers lui pour le regarder comme s’il était stupide, mais Harry et Remus virent qu’il essayait simplement d’alléger l’atmosphère. Harry répondit, « Tu sais une mission… quête… chose », plaisanta-t-il.
Tous les hobbits et Remus rigolèrent, Harry ne fit que les regarder d’un faux air innocent, « Je n’ai aucune idée de pourquoi vous riez, c’est très important ! » dit-il indigné.
Cela ne sembla que les faire rire davantage, « Quelque chose ne va pas avec eux », se moqua-t-il tout bas au reste du groupe.
Cela les fit rire, Harry haussa les sourcils, « Vous êtes sûrs qu’ils doivent partir pour cette mission… quête… chose, ils semblent avoir un grain », dit-il à Elrond en les regardant avec une horreur feinte.
Bientôt Elrond se mit aussi à rire, « Ils sont en train de devenir fous ! » s’exclama Harry en agitant les mains en l’air dramatiquement avant qu’il ne commence aussi à rire avec eux.
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