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au 31 Mai 21 :
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C'est le mien
Par EliH
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
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    Chapitre 11     Les chapitres     32 Reviews    
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Paul Nott se réveilla en clignant des yeux, maudit soleil d'été.

Pourtant, il ne chercha pas à se rendormir et se leva en poussant un soupir. Quatorze juillet. Il avait douze ans.

Et il allait passer cette journée à ne rien faire, comme les autres années. Alexandre était chez ses grands-parents et devait sûrement s'amuser comme un fou à la campagne. Quelle ironie.

Depuis qu'ils étaient en âge de marcher, les jumeaux passaient les deux premières semaines du mois de juillet chez leurs grands-parents Parkinson et y fêtaient leur anniversaire le soir, quand leur père finissait le travail. Mais depuis leur… l'affaire du lapin, ils y allaient à tour de rôle, ne supportant pas la présence de l'autre dans la même pièce.

Le poufsouffle bailla et entra dans la salle de bain pour prendre une douche. Sa mère avait dû préparer son petit déjeuner d'anniversaire, il avait senti l'odeur du pain perdu dans le couloir.

Il remit son pyjama, n'aimant pas se balader en serviette, même chez lui. Paul repassa dans sa chambre, caressa les plumes d'Oléine et, quand elle hulula énergiquement, il préféra imaginer qu'elle lui souhaitait un joyeux anniversaire, plutôt que « Donne-moi à manger, j'ai faim ». Un tee-shirt et un short plus tard, il descendait les escaliers, un léger sourire flottant sur ses lèvres, qu'il perdit en voyant que sa mère n'était pas seule.

- Mange autant que tu veux, disait-elle à l'« Autre ». Il ne va pas tarder à se lever.

- C'est gentil à vous, Madame Nott, fit l'« Autre » avec un grand sourire. J'espère qu'il va apprécier mon cadeau !

- Qu'est-ce que tu fous là !

- Paul ! s'écria la voix indignée de sa mère. Qu'est-ce que c'est que ce langage ?

- Salut !

« Salut ». Était-il sérieux ?

- Joyeux anniversaire au fait.

- Malfoy, qu'est-ce que tu fous là ?

- Paul !

Artémis Malfoy était assis à la table de SA cuisine et il avait l'impression d'halluciner. Il portait une robe de sorcier légère et ses cheveux semblaient ébouriffés comme s'il était arrivé ici en courant, les cheveux au vent.

- C'est toi qui nous a dit que ton anniversaire, c'était le quatorze juillet ! protesta le brun. Alors comme tu m'as souhaité le mien, je voulais faire de même. D'ailleurs, Victoire a dit qu'elle passerait aussi !

Lui qui pensait être tranquille aujourd'hui, il n'était pas gâté.

- Ouvre ton cadeau, au fait !

Le garçon regarda le paquet rectangulaire que lui tendait le Gryffondor et, en soupirant, il décida d'obéir.

- Sache que tu n'étais pas obligé, grommela-t-il pendant que le ruban tombait sur la table.

- Ça me fait plaisir !

Ça se voyait...

Finalement, un livre épais, relié en cuir, fut découvert et il écarquilla les yeux en voyant le titre.

« Toutes les créatures inimaginables du monde » de Luna et Rolf Scamander.

Paul ouvrit sur la première page, où un Éruptif était dessiné de façon extrêmement réaliste. Ses yeux brillèrent en voyant l'animal bouger magiquement sur la page et les pages suivantes furent tout aussi… magiques. Des explications courtes mais succinctes accompagnaient chaque illustration : des centaures qui bandaient leurs arcs, des niffleurs, des sombrals et leurs petits, des licornes si blanches et si pures…

- Ça te plaît ?

Il releva la tête sur le visage embarrassé de son... ami. Il se sentit rougir et acquiesça d'un signe de tête.

- C'est un très beau cadeau, Artémis, intervint sa mère, inquiète. Très cher.

- Je sais que Paul adore les animaux, répondit gentiment le gryffondor. Et je doute qu'un lapin en chair et en poil vous aurait plu.

Le jumeau écouta sa mère discuter et plaisanter sur les animaux avec le brun et s'installa pour prendre son premier repas de la journée.

Il avait douze ans. Il n'allait peut-être pas passer son anniversaire tout seul, pour une fois.

Victoire Weasley est une jeune fille de douze ans, appartenant à une famille unie et… multiculturelle quoique les cultures dont étaient issus ses parents n'étaient pas très éloignées l'une de l'autre. Elle avait une petite sœur, un petit frère, ses deux parents qui travaillaient dans la finance et des grands-parents chaleureux des deux côtés. Une vie tranquille en soi.

Ce matin-là, une chouette l'avait réveillé. C'était Ducray. Artémis l'envoyait pour lui demander si elle voulait venir chez Paul pour fêter son anniversaire. Elle dut avouer que c'était terriblement gênant d'aller chez les gens sans prévenir. Et s'ils dérangeaient ? Et si Paul était en vacances ailleurs ? Et si Alexandre, son jumeau maléfique, s'y trouvait aussi ? Mais elle avait appris qu'Artémis Malfoy, tout héritier Malfoy qu'il était, n'était pas vraiment plein de bonnes manières et… engoncé dans les traditions. Non. Après les vacances d'hiver, elle était revenue de chez elle avec plein de préjugés. « Les Malfoy sont froids et méprisants, les Malfoy regardent de haut tout ce qui n'est pas sang-pur et se moquent des traîtres à leur sang. Les Malfoy ne traînent qu'avec des serpentards et sont manipulateurs au possible, balançant rumeurs sur rumeurs.

Et ces préjugés, que ses oncles Ron et George lui avaient enfoncé dans la tête… avaient tous été brisés, un par un, devant le caractère chaleureux et insouciant de son ami. Oui. Son ami. Pas une seule fois, elle ne l'avait vu regarder une autre personne de haut. Il était souvent avec Ethan Huang, pourtant sang-mêlé, et il ne colportait pas de rumeurs. Il les subissait plutôt.

Pour un Malfoy, elle l'avait trouvé un peu bête au début. Toujours là à sourire, à courir dans la bibliothèque avec une pile de livres trop importante et inutile dans les bras. Pourtant, il s'était avéré qu'il était sérieux et travailleur, intelligent aussi, courageux et secret.

- Victoire, que vas-tu faire aujourd'hui ?

La jeune fille leva la tête de son roman et réfléchit.

- Tes grands-parents nous ont invités à voir la parade du 14 juillet à Paris. Ça te dit ?

Ses yeux brillèrent. Avant de sentir une vague de culpabilité. Paul ou une parade ?

- C'est l'anniversaire d'un ami aujourd'hui, murmura la rouquine en tripotant son livre.

- celui pour qui tu as acheté ce livre, c'est ça ?

- Maman ! C'est Tante Luna qui m'a donné deux exemplaires de son nouveau livre ! Je sais que Paul aime beaucoup les animaux fantastiques alors je vais lui en faire profiter.

- Dominique et Louis vont rester à Paris ce soir, hésita encore Fleur. D'ailleurs, ton père et moi aussi. Es-tu sûre de ne pas vouloir y aller ?

- Je pourrais rester chez grand-mère Molly…

Sa mère se pinça les lèvres et soupira, vaincue.

- Va préparer tes affaires, ordonna-t-elle. On va les mettre chez tes grands-parents avant que tu n'ailles chez ton ami.

Victoire était contente. Depuis la fin des cours et des examens, elle n'avait pas revu ses deux agaçants amis, Ted non plus d'ailleurs. Elle avait échangé quelques hiboux avec Paul et s'était disputé une ou deux fois avec Artémis, ordonnant ainsi au hibou de sa famille d'aller lui mordre les oreilles après qu'il ait reçu sa lettre.

Elle avait ricané comme une sadique en recevant la lettre du brun, puis avait culpabilisé quand son père lui avait expliqué que ce n'était pas bien de faire ça, même à un Malfoy.

- Ma chérie ! s'écria sa grand-mère en ouvrant la porte du Terrier. Ça faisait longtemps. Entrez donc ! Dominique et Louis ne sont pas là ?

- Bill les a emmenés chez mes parents, en France, expliqua Fleur avec un sourire crispé, puisqu'ils nous ont invités pour deux jours. Mais Victoire insiste pour aller à l'anniversaire d'un de ses amis alors elle a demandé à rester chez vous.

- Mais bien sûr ! s'exclama Molly Weasley avec un grand sourire. Il y a tellement de places ici, maintenant qu'ils sont tous partis. Ron a été le dernier à quitter la maison et Ginny…

Sujet sensible. Victoire préféra se diriger vers le jardin, où elle était sûre de trouver la cabane secrète de son grand-père. Mais elle s'arrêta à mi-chemin en entendant un pleur, de bébé. Le cœur battant, elle se retourna et poussa un cri de joie. Tante Hermione était installée sur une chaise longue et la regardait avec un grand sourire, le petit Hugo pleurnichant alors que son biberon se préparait tout seul à côté.

Finalement, au lieu de s'éclipser rapidement, Fleur Weasley resta pour déjeuner avec sa belle-famille. Molly, Hermione et elle discutèrent une bonne partie du repas ensemble, partageant leurs expériences sur les enfants. Hermione les écouta surtout. Elle en était à son second enfant. Fleur, trois quant à Molly… Victoire ne cessa de contempler le visage de son cousin, plus brun que roux, qui faisait une sieste dans le berceau. Il était deux heures lorsque la mère et la fille se rappelèrent qu'elles avaient des choses à faire.

- Je peux emmener Victoire, si elle le veut, proposa sa tante. Le voyage jusqu'en France est assez éprouvant, autant que tu y ailles tout de suite.

Sa mère se pinça à nouveau les lèvres avant d'acquiescer.

- Merci, Hermione, soupira la blonde avec un léger sourire. Je dois t'avouer que je ne sais même pas où habite son ami et comme Bill doit m'attendre depuis un moment…

- Ne t'en fais pas, la coupa la jeune femme en la poussant hors de la maison. Vas-y vite. Maman s'occupe d'Hugo.

Victoire donna l'adresse de Paul et vit sa tante écarquiller les yeux.

- Monde moldu ? demanda-t-elle, heureusement que je connais ce coin. Allez ma chérie, donne-moi la main, je pense qu'il doit t'attendre depuis un moment, ton petit copain.

Victoire ne put protester contre cette taquinerie, qu'elles transplanaient déjà.

- Comment s'appelle ton ami déjà?

Elles avaient atterri dans une ruelle déserte et, après s'être orientée, Hermione Weasley avait estimé la maison à une dizaine de minutes.

- Paul. Nott.

- Nott ? Ça me dit vaguement quelque chose…

- Je t'ai demandé de signer ton livre pour lui, tata.

Mais elle ne semblait pas convaincue.

Le quartier était tranquille, les maisons identiques et, derrière les jardins de droite, une forêt s'étendait.

- C'est là.

Effectivement, le numéro treize se tenait devant elles.

Hermione sonna, se demandant quelle famille de sorciers habitait ici. Né-moldus sans doute.

Un petit garçon enfariné ouvrit la porte, l'air énervé.

- Paul ?

La jeune femme se tourna vers sa nièce, l'air interrogateur. Alors c'était lui son petit-ami ? Mais elle ne pouvait pas poser de question, la Serdaigle était pliée de rire alors que « Paul » semblait furieux maintenant.

- Oh c'est bon, grommela-t-il en secouant la tête vivement pour faire partir un peu de farine. Artémis est insupportable depuis que maman lui a proposé de faire des cookies pour le dessert. Elle n'a pas cherché à rester avec nous pour aider, en disant à l'Autre que je savais « cuisiner ».

- Chéri ? Qui est-ce ?

Une femme élancée apparue derrière lui, les cheveux noirs coupés en carré, un air de… bouledogue.

- Parkinson ?

- Granger…

- VICTOIRE ! Tu es venue ! On ne t'attendait plus !

Artémis se tenait dans l'encadrement d'une porte, un peu plus loin, de la farine dans les cheveux, le visage rayonnant et… des œufs dans les mains.

- Dis Paul, reprit-il, surexcité, comment on casse des œufs ? Avec une cuillère ? En l'écrasant avec les mains…

- Non ! Artémis, arrête de toucher aux ingrédients ou je t'étripe !

- Paul, voyons, le réprimanda sa mère, oubliant momentanément qui se trouvait sur le perron de sa maison.

- Victoire, soupira Paul en s'effaçant. Entre si tu veux démolir ma cuisine ou m'aider à démolir Artémis…

- Allez-y les enfants, ordonna Pansy Nott en poussant gentiment la rouquine chez elle.

- Bonjour madame ! s'écria soudain Artémis, les œufs toujours dans chaque main. Merci d'avoir amené Victoire aujourd'hui !

Un sourire troublé lui répondit et le trio pénétra dans le champ de bataille qu'était en train de devenir la cuisine.

- Alors c'est ta fille ? renifla dédaigneusement l'ancienne Serpentard.

- Ma nièce, répondit calmement la jeune femme pendant que son regard restait tourné vers la porte de la cuisine. Paul est ton… fils, c'est ça ? Et… Artémis ?

- Malfoy.

Acquiescement perdu, froncement de sourcils.

- Il ne ressemble pas à Draco, je sais, ricana légèrement Pansy.

- Effectivement… il ressemble tellement à…

- Tu viendras chercher la petite à quelle heure ? changea de conversation la maîtresse de maison.

- Je ne sais pas. Quand ils auront fini peut-être, ça ne dérange pas ?

- Une Weasley chez moi ? Pas de problème.

Hermione fronça les sourcils, hésitante. Se moquait-elle ? Pourtant, elle voyait bien que ce n'était pas méchant. Juste des restes d'un passé commun.

- Alors à tout à l'heure.

Pansy acquiesça et referma la porte sur elle.

Pendant qu'Hermione se dirigeait vers la zone de transplanage, elle se dit que ce Malfoy ne ressemblait pas à un Malfoy, plutôt à un Potter. À Harry Potter. Et que ce que Ron lui avait dit n'était, finalement, pas du tout farfelu.

Paul se promit de ne jamais refaire entrer ces deux fou-furieux chez lui. Pourquoi ? Parce que l'un n'avait jamais cuisiné avant ce jour et l'autre ne savait rien faire de ses mains. Préparer la quantité de sucre exacte avait été catastrophique, la farine... n'en parlons même pas. Le paquet de levure avait vu des jours meilleurs et le chocolat…

Il s'était absenté deux minutes, pour faire ses besoins naturels. Il les avait laissés en étant certain que le mélange à la main de tous les condiments n'était pas sorcier. Mais en réalité.

- Wow, wow, wow! s'écria Paul, furieux, en revenant des toilettes. Mais qu'est-ce que vous faites là ?

Ce qu'ils faisaient ? Ils se cachaient sous la table, tous les deux en proie à un fou rire hystérique.

- Je pensais… un sort pour mélanger tout seul… ça a marché !

C'est ce que parvint à comprendre Paul avant de se prendre de la pâte à cookie sur le visage.

Les rires reprirent de plus belle.

- Par Salazar tout puissant !

Ah… sa mère était descendue.

- Madame, souffla Artémis en essayant de reprendre un minimum de sérieux. Je suis désolé. Tout est de ma faute.

- « Finite Incantatem », « Recurvite ».

Le fouet cessa son combat contre le fond du saladier vide et la cuisine redevint propre.

- Ça me rappelle quand je suis devenue Madame Nott, soupira-t-elle en mettant son tablier. Les enfants, amenez-moi du sucre, de la farine, du chocolat - sans le manger - des œufs et un sachet de levure.

Le trio s'activa, redevenant sérieux.

- Prenez chacun un saladier, on va faire ça à la « moldu », annonça-t-elle en coulant un bref regard d'avertissement à la rouquine.

Paul dut l'avouer, plus tard, il s'était bien amusé. Il avait l'habitude des fouets et du four, des saladiers et des mixeurs mais pas Artémis qui n'avait jamais cuisiné et ne savait pas cuire un œuf et encore moins Victoire dont la mère faisait tout avec sa baguette magique.

Il se moqua d'Artémis quand ce dernier tenta de casser son œuf et que des petits morceaux de coquilles tombèrent dans le mélange. Il se moqua de Victoire quand cette dernière se mit de la farine sur le visage par accident et on se moqua de lui quand il fit des « boulettes » de cookies.

- C'est tout aussi bon, grommela-t-il en se léchant les doigts.

- Mais ça va être tout cru au milieu, protesta Victoire en se lavant les mains.

- Le mien, c'est le plus beau, s'enorgueillit le brun en fixant la porte du four.

- On ne sait même pas ce que tu as fait, répliqua Paul en se lavant les mains à son tour.

- C'est un hippogriffe !

- On dirait un tas de vomi, réfléchit Victoire.

- Un véracrasse…

Pansy les regarda se chamailler, son cœur se réchauffant à la vue de son fils pourtant si taciturne et si discret, devenir moqueur et souriant.

Si on lui avait dit, quelques années plus tôt, qu'après le froid entre ses jumeaux, Paul trouverait des amis en la personne d'une Weasley et d'un… Potter, elle ne l'aurait jamais cru.

Paul se coucha dans son lit, les deux exemplaires de « Toutes les créatures inimaginables du monde » dans les mains. Ces deux amis avaient eu la même idée mais quelle importance.

Sa journée d'anniversaire avait été mouvementée mais pas désagréable. Quand Alexandre était rentré avec ses grands-parents, en fin d'après-midi, il avait perdu son sourire et vit Artémis se raidir. Ça n'avait pas duré longtemps, heureusement. Son père et Draco Malfoy étaient arrivés à la maison en même temps et Artémis avait pu rentrer chez lui, sans avoir adressé la parole à son ancien ami.

Victoire était restée un peu plus longtemps, attendant sa tante avec nervosité. Ses grands-parents maternels la fixaient avec froideur et il s'était senti désolée pour la jeune fille jusqu'à ce qu'elle jure en français parce qu'elle avait remarqué une tache noire sur sa robe. Les Parkinson avaient soudain éprouvé un vif intérêt pour son côté bilingue et le jeune homme avait vu Alexandre monter les escaliers pour ne pas assister à tout ça.

La tante de Victoire était arrivée peu avant six heures et la jeune fille l'avait embrassé sur les deux joues en lui souhaitant à nouveau un joyeux anniversaire avant de s'en aller.

Paul rougit en se remémorant le sourire narquois de sa mère et éteignit la lumière.

Fêter son anniversaire avec des amis n'était pas aussi désagréable qu'il ne le pensait…

 

*************

 

Ma bêta trop forte m'a dit que la fin était mieux après une petite réécriture, vous avez réussi à suivre ? =)

à la prochaine, où Artémis et Teddy vont se battre !

 
 
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