Les gens ! Tout d'abord, je vous fait mes plus plates excuses, je vous avais promis ce chapitre pour début juin, il a fini par vous parvenir fin juin... je ne suis pas très fiable en gros ! Je vous prie de m'excuser d'autant plus qu'en tant que lectrice, je déteste attendre, c'est l'un des choses qui m'horripile, parce qu'attendre me frustre, je VEUX connaître la suite, donc voila, je vous comprends tout à fait, et je n'ai que des mots pour vous demander de me pardonner... Alors voilà, ce chapitre seras le dernier, il fallait enfin clore cette fic, elle n'avait que trop attendu ! J'espère que la fin ne vous décevra pas, et que ce dernier chapitre sera à la hauteur de vos attentes... Mes examens sont finis, donc je vais pouvoir me consacrer un peu plus à l'écriture, et, pour tout vous dire, une autre fanfiction me trotte dans la tête ) Allez croisez les doigts pour que j'aie ma mention :p Merci aux revieweuses(reviewers) : ) Je vous dois tout !! Bonne lecture !! Chapitre 6 : Seuls, à deux. « Ce jour qui se lève, verra-t-il l’achèvement de toutes ces pensées qui me torturent ? » Encore un papier qui part à la poubelle. Draco le froissa rageusement. Il ne trouvait pas ses mots. Et pourquoi ? Tout simplement parce que ce qu’il avait besoin d’écrire, besoin de dire à Monsieur Potter, c’était beaucoup trop fort pour des mots. Ca sonne con dit comme ca, mais on s’en fout. Et pourtant, il n’avait pas le choix. Il n’en pouvait plus d’attendre. Il ne supportait plus ces jours, tous semblables, qui défilaient à une lenteur insupportable. Et ces jours, qui le rapprochaient de la fin. Après cette fameuse nuit, et le week-end qui s’en était suivi, Harry avait disparu. Le week-end avait été parfait. Potter lui avait dit que... pourquoi avait-il mal rien qu’en y pensant ? Pourquoi avait-il ce pouvoir sur lui ? Il lui avait dit qu’il voulait être juste Potter. Et qu’il était trop tôt pour parler d’amour, mais qu’il était prêt à être … son putain de petit copain. Alors pourquoi, pourquoi n’était-il pas la ce petit con ? Où était-il, maintenant que Draco avait envie de le prendre dans un coin noir ? Où était-il, alors que Draco passait des nuits innombrables seuls, dans son lit trop grand ? Où était-il quand Draco avait le plus besoin de lui ? Voila deux semaines qu’il avait disparu, comme si de rien était, sans laisser un mot, sans un baiser d’adieu… Hé oui, ce sont encore les pensées de Draco Malfoy, même si elles ressemblent plus à celles d’une demoiselle en manque… un Draco en manque, ca ressemble à une demoiselle, j’y peux rien, c’est comme ca. Donc voila, Draco était frustré, et sa frustration empirait et grandissait de jour en jour. Mais plus qu’être frustré comme le mec en manque de sexe qu’il était, il était également inquiet. Il savait que ca n’était pas dans les habitudes de Potter d’inquiéter ses « amis » même si en ce qui le concernait, il se considérait plutôt comme son « amant » … Au contraire, Potter prenait toujours sur lui, il faisait tout pour ne pas inquiéter les autres. Un nombre incroyable de scénarios avaient déjà était construits par le cerveau perturbé de Draco, mais aucun n’aboutissait, aucun ne le rassurait. Et la vérité était qu’il n’avait vraiment pas la moindre idée d’où ce cher Potter pouvait se cacher… Il pourrait bien aller demander à Dumbledore ou au roux, ou à l’autre intello … mais franchement, quel droit avait-il sur Harry ? Que savaient-ils de leur relation ? Potter avait bien mentionné quelque chose à propos de son meilleur ami la carotte, mais bon, il ne s’en souvenait pas vraiment… la suite était tellement plus importante que le nom « Ron ». Alors voila, Draco Malfoy, qui détestait attendre, qui détestait dépendre des autres, en était réduit à attendre bêtement, et à se morfondre. Et si tout avait été un rêve ? Voila qu’il en venait même à se torturer tout seul, histoire de ne plus l’être par Potty… Il savait que ca n’était pas un rêve. Il avait entendu ces mots sortir de la bouche de Potter. Il avait senti sa présence les deux jours qui avaient suivi. Il sentait encore son dos, et ses fesses qui lui faisaient mal, après deux semaines d’abstinence ! Il sentait son corps se tendre, se morfondre de l’absence de Potter. Il sentait son cœur se briser un peu plus à chaque jour qui passait. Potter allait payer quand il reviendrait. Et puis les mêmes doutes l’assaillaient, les mêmes questions, répétées inlassablement, formulées un peu différemment, mais qui, au fond, se résumaient en celles-ci : Où était-il, quand reviendrait-il, et surtout allait-il bien ? Était-il encore en vie ? Quand il reviendrait, il ne referait pas surface avant au moins trois jours. Et après ces trois jours, il ne pourrait plus se lever, ca c’était clair. Merlin ce qu’il pouvait lui manquer. Il se détestait d’être aussi faible, et il détestait Potter, parce qu’il le faisait poireauter pendant si longtemps. Il avait intérêt à se damner avec application lorsqu’il reviendrait. Et ce futur incertain le tuait. Et cette lettre qu’il n’arrivait pas à écrire. Mais à quoi bon de toute façon, il ne savait pas où il aurait bien pu l’envoyer. « - Ron, viens voir. - Mais, mione… - Viens j’ai dit. - Je te dis que j’y suis pour rien. Il est têtu comme… - Est-ce que j’ai dit quelque chose ? - Euhh- - Bon alors, donne-moi cette lettre. - Mais… - J’attends... » Ronald Weasley finit par céder devant tant de force de persuasion, et donna à Hermione la lettre qu’il venait de recevoir. Elle était adressée au Ronald Weasley en question. « Ron, C’est toi qui avais raison. Mais j’ai pris mes mesures pour arrêter de le blesser maintenant, parce que je ne suis pas digne de l’aimer. Viens me voir, si tu le veux bien, je suis seul depuis deux semaines et je crois que je vais finir par craquer. Je me terre dans le trou de Sirius, parce que comme lui, je ne sais plus où j’en suis. Ne dis rien à Hermione, je sais qu’elle tout dire à Dray sinon … A bientôt, Harry » « - Mais ! s’écria Hermione, il est pitoyable ! Tu lui as dit que tu n’irais pas le voir j’espère, qu’il avait qu’à revenir lui ? lança t’elle à Ron. - Ben non, je lui ai dit que je viendrais demain. - Et bien tu n’iras pas. - Pardon ? - Ron, merci de m’avoir montré ta lettre, mais je vais devoir faire ce que Harry ne voulait pas. Il est trop bête pour comprendre tout seul, alors une fois de plus, je crois qu’il va falloir aider un peu son cerveau… - Herm’ s’il te plaît… - Ron, tu ne serais pas assez bête pour croire que ce que dit Harry contient une once de vérité je me trompe ? Tu sais très bien, que si quelqu’un n’en vaut pas la peine, c’est Malfoy, ou es-tu devenu un adepte de monsieur Draco dernièrement ? - Euh non, bien sûr que non ! - Alors, qu’est-ce qu’on attend ? On va ressusciter le Malfoy ? - Mouais… » Un bruit de pas, suivi de cris étouffés fit sortir Draco de ses réflexions. Il allait sortit crier un bon coup sur les serpentards réunis, qui, d’habitude, étaient pourtant les seuls à qui il épargnait ses petites scènes, mais dernièrement, il n’en avait plus rien à faire de personne. Que lui importait les sentiments de tant des gens, leurs pensées, leur présence, alors qu’il se serait contenté des sentiments et de la présence d’une seule et unique personne, qui n’était même pas foutue d’être la ? Il allait donc faire subir son courroux aux serpentards, mais lorsqu’il ouvrit la porte de sa chambre, ce fut pour se retrouver nez à nez avec les deux personnes qu’il n’avait pas voulu aller voir et qui le coupèrent net dans sa tirade. « - On dérange Malfoy ? se lança Hermione. - … - Bon, on rentre alors. » Et sur ces belles paroles, elle bouscula Malfoy et entra dans sa chambre. « - Pfiou, pas mal dis donc ! - Pourquoi on y pas le droit nous hein ? - Ron, si tu étais capable de prendre tes responsabilités, t’y aurais peut-être le droit… - Hé je … - Bon, vous avez fini oui ? J’ai mal au crâne. Et vous êtes pas là pour visiter que je sache… - Désolé Draco. - Bon alors quoi ? - Tu pourrais au moins nous offrir un siège… - Mais je te… - C’est bon, c’est bon, » fit Hermione tout en s’appropriant le canapé. Ron s’assit à ses côtés. Draco, trop nerveux pour s’asseoir, se planta en face d’eux. Hermione prit son temps pour sortir la lettre de sa poche. Elle y fouilla pendant un bon moment, avant d’en sortir un bout de papier chiffonné, qui s’avéra être le mauvais papier, puis elle interrogea Ron du regard, qui répondit par un petit signe de tête. Enfin, après ce qui parut une éternité à Draco, elle lui tendit la lettre disant juste : « - Je crois qu’il vaut mieux que tu voies ca par toi-même… » Et Draco lut. Les deux autres se turent, prêts même à s’en aller quand il le leur demanderait. Eux qui s’attendaient à une réaction violente, à des larmes, à un cri, à une expression changée sur son visage, ils ne virent rien. Strictement rien. Draco lisait, et les minutes s’écoulaient. Alors qu’Hermione venait de compter qu’il venait de lire la lettre trois fois, Draco fit simplement : « - Je peux la garder ? » Hermione hésita, la lettre était à Ron, il devait décider. « - Oui, fit celui-ci après avoir marqué un temps de réflexion. - Merci. Vous pouvez me laisser maintenant ? - Tu vas faire quoi Malfoy ? Tu vas… » Hermione ne laissa pas Ron finir sa flopée de questions, elle eut pitié de Malfoy et puis, elle savait très bien ce qu’il allait faire. Ils sortirent donc tous deux, laissant Malfoy à sa lettre, qu’il se mit à relire une fois de plus. Seul. Alors qu’il lui avait promis qu’il ne serait plus jamais seul. Il l’avait écrit de ses mains sur la paroi de douche, et de son corps écrit ces mots indélébiles dans le cœur de Draco. Plus jamais seul. Il ne l’était pas, car Harry avait tenu sa promesse. Potter pensait à lui. Et il irait le sortir de son trou, le sortir de sa solitude. Réchauffer son corps gelé. Il irait l’enserrer de ses bras, et il lui chanterait la même chanson, ce poème qui l’avait bouleversé, et que Potter lui avait murmuré une nouvelle fois, alors qu’ils baisaient. Il ne pouvait plus attendre. Un Malfoy était fait pour agir, un Malfoy était fait pour dominer. Pas pour aimer et parler comme une demoiselle. Mais tant pis pour son nom, tant pis pour ce qu’il devait être. Il ne devait pas laisser Potter seul. Il ne pouvait plus, maintenant. Et, machinalement, il pris sa cape, tout en tenant la lettre fermement, et sortit de sa chambre. Comme en transe, il parcourut les couloirs sombres de Poudlard, et envoya valser les pauvres énergumènes qui se trouvaient sur son chemin. La nuit était froide, et froide la lune qui brillait sur Draco Malfoy, qui avançait d’un pas décidé. Son visage était resté de marbre lorsqu’il avait lu la lettre. Mais elle avait remué jusqu’au tréfonds de son âme. Il l’avait lue plusieurs fois, pour s’assurer qu’il n’avait pas oublié un seul mot, et pour graver tous ces mots dans sa tête. Et même si elle ne lui était pas adressée, Potter y parlait de lui. Il y confessait que lui aussi, il allait devenir fou et perdre un peu plus la raison. Et chacun de ces mots avait été tracé par la main de Potter, avait été pensé par lui… Alors même si c’était stupide, après deux semaines d’absence, ces quelques mots étaient tout ce Malfoy avait eu. S’il n’avait pas déjà était si atteint, s’il n’avait pas déjà su qu’il était perdu, il se serait ressaisi. Il ne serait pas aller trouver Potter. Il ne l’aurait pas laissé avoir un tel pouvoir sur lui. Mais ce petit con s’imaginait qu’il le ferait moins souffrir en partant. Et ca, il se l’était imaginé comme ca, sans demander son avis au principal concerné. Pour changer. Mieux valait voir Potter tous les jours, même s’il ne l’aimait pas comme lui l’aimait. Même s’il n’en serait peut-être jamais capable. Une autre chose importait plus : être tous les deux. Et c’est ce qu’ils allaient être, bientôt. Une fois sorti de l’enceinte du Château, et toujours bien emmitouflé dans sa cape, bien qu’il ne sentit pas le froid, Draco se décida à transplaner, il gagnerait du temps. Et le temps lui était précieux, il n’en avait que trop perdu à cause de l’autre imbécile … « Alors, voyons voir, penser à une grotte, à Potter… ca ne devrait pas être trop dur… ! » Aussitôt pensé, Draco se retrouva devant… Une grotte. Vide. Il poussa un soupir de désespoir, où était-il encore allé se terrer l’autre ? Soudain, il vit une forme, tout au fond de la grotte. Elle tremblait. « Alors la, si c’est un ours, tu l’as dans le cul, et bien profond, Draco. » Il s’approcha doucement. Mais la forme n’était pas un ours, c’était Potter, j’allais dire, dans toute sa splendeur, mais là, en l’occurrence, c’est pas très approprié. Potter tremblait, et visiblement, pas uniquement de froid. Draco s’agenouilla, et, d’une main assurée, tira doucement Potter à lui. Celui-ci poussa un cri de surprise, mais Draco lui murmura : « Shht, c’est moi. » Il n’eut pas besoin de préciser plus, Potter leva des yeux embués et brillants dans le noir vers lui. Des yeux perdus. Après un semblant de résistance, Potter se laissa aller sans plus un mot contre lui. Et Draco lui murmura son poème à l’oreille, et plaça sa main dans ses cheveux. Harry se mit à sangloter de plus belle. Mais Draco n’en avait cure, ou plutôt, il savait qu’il ne devait pas s’arrêter et que s’il le faisait, Harry pleurerait encore plus. Il le laissait faire, le laissait évacuer tout ce qu’il avait besoin d’évacuer. Harry pourrait pleurer autant qu’il voudrait, il était là, et il ne partirait plus. Au bout d’un moment, les sanglots cessèrent, et le Potter que Dray tenait entre ses bras arrêta de trembler, mais il ne rompit pas l’étreinte. Potter approcha sa bouche de l’oreille de Malfoy et lui murmura « Dray » d’une voix rauque et encore hésitante qui fit tressaillir Draco. Et, sans rompre l’étreinte, il éloigna Harry quelque peu afin de pouvoir voir ses yeux dans la pénombre environnante. Il eut l’intelligence de murmurer un lumos, et put enfin distinguer Harry Potter qui l’avait quitté il y a deux semaines, et qu’il retrouvait à présent, dans une grotte. Le Potter en question était dans un état plutôt pitoyable, les yeux rougis d’avoir pleuré, les vêtements en désordre et sales, une égratignure sur la joue, et des traits tirés, plutôt fatigués. Et, bien qu’un millier de question lui brûlaient les lèvres, il s’abstint de les prononcer, il attendait qu’Harry parle. Et les mots vinrent. « - Draco je … inutile de te demander comment tu es arrivé ici, je savais que Ron ne pourrait pas s’empêcher de montrer la lettre à Hermione… Je… Je ne sais pas quoi te dire. - Alors ne dis rien, et viens là. - Mais pourtant, il faut que je te parle. Que je t’explique pourquoi je suis parti… mais – ( il fit un effort pour retenir les larmes qui menaçaient de revenir) – je ne voulais plus te voir souffrir… je… - Est-ce que j’avais l’air de souffrir quand tu étais avec moi ? - Pas vraiment non, fit Harry avec un sourcil suggestif, celui qui le rendait encore plus… bandant. - Et donc... - Tu as lu la lettre non ? Je suis pitoyable Dray je … - Potter. T’as pas fini de te rabaisser ? J’ai l’impression qu’on a inversé les rôles la, sauf que toi, tu ne m’aimes pas à en crever … » Draco ne put continuer car, à ce moment là, Harry le renversa et l’embrassa violemment. C’était si bon de retrouver ces lèvres, elles lui avaient tant manqué. Son goût. Son corps sur le sien. Alors même s’il touchait la poussière, même s’il était couché par terre dans une grotte, même si Harry était fatigué, Draco était heureux. Fichtrement heureux. Il avait compris. Harry n’était pas capable de s’exprimer avec des mots. Et c’était exactement le problème auquel Draco s’était trouvé confronté pas plus tard qu’il y avait quelques heures… Parce que les mots n’étaient pas assez forts pour exprimer ce qu’il voulait faire comprendre à Draco. Peut-être parce qu’il était trop tôt pour qu’il lui fasse des promesses d’amour éternel, à la vie, à la mort… Mais ce baiser violent, renversant, montrait à Draco ce que nuls mots, nul beau discours n’aurait su exprimer. Il lui montrait qu’il lui avait manqué. Et, l’ayant interrompu lorsqu’il disait qu’il était le seul à aimer dans leur relation, ce baiser montrait aussi qu’il l’aimait. A sa façon, peut-être pas à en crever, mais il l’aimait. Et il l’embrassait, comme si sa vie en dépendait. Comme s’ils avaient toute la vie devant eux. Il l’embrassait, oubliant tout ce qui l’entourait. Et Draco aussi oubliait tout. La raison de sa venue était allongée sur lui, et ses doutes se trouvaient satisfaits. Il savait que peu importe ce qu’ils diraient, ils seraient toujours tous les deux. Que peu importe à quelle distance ils se trouveraient l’un de l’autre, ils penseraient toujours l’un à l’autre. Et par cette absence, Harry lui avait montré à quel point il lui était impossible de continuer sans lui, et, même s’il avait peur de ce pouvoir que l’autre possédait, il était heureux. Oui, Malfoy était heureux de dépendre de Potter. Heureux d’être écrasé par son poids et de se faire mordre les lèvres violemment. Heureux d’aimer au-delà de toute limite, et de baiser dans une grotte, sans limite. Rien ne les retenait plus, ni les barrières qu’ils s’étaient érigées, ni le regard des autres, ni leurs doutes, ni les mots. Et ils avaient l’éternité pour se le prouver. Non plus seuls, il s’étaient trouvés. The END
Voilà, c'est ici que l'on se quitte, mais pour peu de temps j'espère !! Merci à tous celles (ceux) qui m'ont lues, car cette fanfiction vit pour vous et à travers vous. J'espère qu'elle aura su inspirer votre imagination débordante et que y aurez trouvé un moment de bonheur... Ca me fait presque mal au coeur de la clore la, comme ca, après tout le temps que j'ai passé à l'écrire !! A bientôt les zamis : ) Bien à vous, Johanna. |