A comme Amaya
Il n'y a qu'Amaya qui m'aille
Et dans mes rêves je t'aime
Mais je sais très bien ta haine
Que vers moi tu jettes
Stop je te dis arrête
Plus besoin de haines
Juste envie d'aimer
Envie de dire merde
Je comprends ta violence
Violence, qui contre ce monde pourri te défonce
Pourris par des politiciens merdeux
Politiciens, oui, menteurs à fond
Mais je t'en pris, ne nous confonds pas, non
Et encore en ce moment où j'écris ces vers
Des hommes innocents souffrent des lois débiles du pouvoir
Et moi, je suis triste de ne pas pouvoir
Pouvoir te dire ces vers
Alors je vais voir ailleurs
Chercher une autre caille
Et je t'écris ces dernières lignes
Pour te dire, Caroline
Dont je suis amoureux
Mais mes pensées sont pour tes yeux
Qui d'un bleu luisant brillent.
(18/05/92) |