Salut tout le monde!!! Ouah ça faisait longtemps que j'était pas venue poster un truc! Pardon à toutes celles (tous ceux?) qui ont attendu. Bon alors je dois vous prévenir qu'il n'y a pas eu de relecture sur ce chapitre pour la simple et bonne raison qu'après l'avoir réécris plusieurs fois je n'ai pas eu le courage de le relire (surtout que me connaissant j'aurait été capable de le changer encore une fois et vous seriez pas prêt de l'avoir^^).

J'espère que vous aurez pas l'impression d'avoir attendu pour rien.

Bonne lecture.

« Personne ne passe. Rebroussez chemin ! s’exclama l’armoire à glace qui faisait face à Draco.

-J’aimerais bien voir ça. » déclara le blond en sans ralentir son pas le moins du monde. 

Ce ne fut que lorsque que l’extrémité d’une baguette se posa sur son torse que le dernier des Malfoy se décida enfin à s’arrêter et à jeter un regard noir qui aurait fait s’évanouir un groupe entier de Poufsouffles à son interlocuteur.

« Veuillez retirer cette chose de ma poitrine immédiatement ou je vous jure que je me fâche. Lança-t-il de sa voix la plus froide.

-Seulement quand tu seras à nouveau à une distance respectable de ce cachot. Et tu peux bien te fâcher autant que tu veux moustique, tu ne ferais pas peur à un elfe de maison. »

Le gardien devait être très fier de sa remarque car il s’autorisa un rire gras. Cependant toute hilarité mourut dans sa gorge lorsque sa propre baguette se retrouva sur sa jugulaire à la suite d’un mouvement rapide du jeune sorcier.

« Ecoute moi bien gros lard sans cervelle. Ne t’avise plus jamais d’insulter un Malfoy ou je te jure que même Merlin ne pourrait rien faire après que nous nous soyons occupé de ton cas. Maintenant tu vas gentiment m’ouvrir cette porte et peut-être que je te rendrais ta baguette une fois que j’en aurais fini. »

Sans un mot mais à grand renfort de tremblements et de claquement de dents, le gardien s’exécuta tout en se maudissant de ne pas avoir reconnu le jeune homme.

Lorsque la geôle fut ouverte, il s’écarta pour laisser passer le jeune sorcier et referma derrière lui.

Draco marqua un temps d’arrêt afin de s’habituer à la pénombre ambiante et à l’odeur nauséabonde qui régnait dans la pièce. Le cachot était taillé directement dans la pierre et seul de petits interstices permettaient à la lumière de passer. Il ne disposait d’aucun mobilier et un trou dans le sol servait de toilettes. Les deux prisonniers qui l’occupaient ne semblaient pourtant pas trop s’en soucier, apparemment plus intéressés par le nouveau venu que par ces préoccupations bassement matérielles.

« Drake ? Mais qu’est-ce que tu fous là ?

-Je te prierais de m’appeler Malfoy à l’avenir ou de ne pas m’appeler ça me génerait d’entendre mon respectueux nom dans la bouche d’un traître à son sang.

-Mais Draco…

-Qu’est-ce que tu n’as pas compris dans ce que je viens de dire traître ?

-…

-J’aime mieux ça. A partir d’aujourd’hui c’est moi qui m’occuperai de vous et ce jusqu’au jour de votre procès c'est-à-dire après demain. Je peux vous assurer que vous n’aller pas être déçu du voyage. »

Et sans plus de préambules, Draco Malfoy leva sa baguette et lança un doloris sur les deux jeune gens, un sourire fou aux lèvres.

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Deux jours plus tard, Blaise et Théodore virent à nouveau leur ancien ami entrer mais cette fois il n’était pas seul. Un homme d’une carrure impressionnante était à ses côtés le visage caché par un masque de mangemort.

« Alors les traîtres, vous êtes prêts à affronter le Magenmagot et à subir son courroux ? »

La question n’attendant pas réellement de réponse, il fit un signe de tête à son acolyte qui entreprit de ligoter les deux sorciers sans douceur avant de les pousser sauvagement devant lui sans compassion pour leur membres douloureux des nombreuses séances de torture qu’ils avaient subies. Draco suivi le mouvement un sourire sadique aux lèvres.

Ils ne tardèrent pas à remonter à l’air libre où une pluie battante les accueillit, les trempant jusqu’aux os. Le petit groupe continua cependant son chemin comme si de rien n’était s’avançant d’un pas vif vers l’immense bâtisse que constituait le manoir Malfoy.

La demeure présentait une apparence froide et austère avec ses pierres grises et ses tourelles gothiques aux grands toits d’ardoises pointus. Les deux prisonniers savaient pour y avoir séjourner parfois que l’intérieur était plus ou moins conforme à ce que l’on pouvait voir de l’extérieur mais ils n’eurent pas le privilège d’en juger cette fois-ci car deux agents du ministères les attendaient sur le seuil encadrés de détraqueurs.

« Bien le bonjour messieurs ! lança le premier, un homme moyen aux cheveux blonds fillasses et au nez crochu. 

-Bonjour à vous. Répondit Mafoy.

-Nous prenons la relève ici jeune Mr Malfoy. Veuillez nous remettre ces prisonniers. Déclara le deuxième homme d’une voix atone tout en tout en remettant sur sa tête le chapeau melon qu’il avait retiré pour saluer le blond.

-Ils sont tout à vous messieurs. Cependant prenez garde, bien que je me sois occupé personnellement d’eux, ce qui devrait assuré leur incapacité à tout mouvement fatiguant, ils n’en restent pas moins des Serpentards capable de tout pour arriver à leurs feins.

-Ne vous inquiétez pas, avec l’équipe de gardiens d’azkaban que nous avons là ils e risquent pas de nous fausser compagnie.

-Parfait, nous nous reverrons probablement au tribunal, j’y ai été convoqué comme témoin de l’accusation. Bon voyage messieurs. »

Le jeune sorcier blond fit signe à son acolyte de prendre congé avant de se diriger vers la lourde porte de chêne qui marquait l’une des entrées secondaires du manoir, laissant les détraqueurs prendre sa place auprès de Blaise et Théo.

Ces deux derniers sentirent le froids autour d’eux s’intensifier tandis que tout espoir et toute pensée agréable qui aurait encore pu s’y trouvé quittaient leurs corps.  Théodore qui avait bien plus mal supporté les visites quotidiennes de Draco que son compagnon d’infortune, n’en supporta pas d’avantage et s’évanouit. Le métis le rattrapa tant bien que mal avec ses poings liés.

Lorsqu’il fut à peu prés sur que son ami ne s’écraserait pas sur le sol, il releva la tête vers le blond essayant de déceler dans son regard quoique ce soit qui puisse lui donner un peu de courage ou d’espoir. Mais c’était peine perdue, devant lui se tenait un Draco Malfoy dans toute sa splendeur et dans ses yeux brillaient une lueur qu’il n’avait jamais vue, balançant entre la haine et la folie.

Ce fut le moment que choisit Nez Crochu pour éclater de rire :

« Eh bien, si c’est là toute la résistance d’un résistant, nous n’avons pas grand soucis à nous faire pour l’avenir !

-Il semblerait en effet que j’ai présumé de leurs forces. Déclara Malfoy avec un sourire méprisant. Ils sont bien ridicules en effet, le ministère n’a vraiment pas d’inquiétude  à avoir si tous les membres de l’Ordre du Phénix leur ressemblent. Je ne peux décemment pas vous laisser un tel poids mort à emmener seuls, mon homme va vous aider. »

Sur ses mots, il rappela le colosse qui l’avait accompagné pour les sortir du cachot et lui ordonna de porter Théodore jusqu’au tribunal et de trouver ensuite un moyen de le réveiller sans trop l’amocher afin qu’il ne soit pas dit que la famille Malfoy ne traitait pas ses prisonnier avec humanité. Une fois l’ordre donné, il rentra sans plus se soucier des hommes qui se tenaient pour encore quelques secondes dans son jardin.

Blaise bouillonnait de rage. Draco ne s’était pas contenté de leur faire subir l’enfer, il venait en plus de les humilier avant de les abandonner à leur triste sort. Son incapacité à faire quoique ce soit à les sortir de cette situation ne l’aider pas à décolérer et c’est impuissant qu’il regarda le mangemort soulever Théodore et le jeter sur son épaule comme s’il n’avait pas été plus qu’un sac avant d’être lui-même pousser violemment en avant vers une vieille boîte de chocogrenouille.

Le portoloin les mena directement dans une petite pièce attenante à la salle du Magenmagot. Leurs liens furent défaits et Théo s’éveilla lorsque le contenu d’un seau d’eau fut renversé sur sa tête.

Le procès ne tarda pas à commencer et, tandis qu’il se déroulait, les deux jeunes sorciers comprirent le sens du mot solitudes. Depuis leurs sièges de pierre au centre de la salle, ils assistèrent aux différents discours des hommes de loi, aux témoignages des élèves et professeurs de Poudlard, hormis McGonnagal, personne ne parla en leur faveur, les gryffondors dont ils avaient espéré l’aide n’avaient pas eu le droit de parler.

Ils avaient même renoncé à écouter quand vint le tour de Draco Malfoy. Le témoignage de celui-ci, portant sur la confiance trahie, déclancha de grandes exclamations indignées dans l’auditoire, personne n’aurait pu souhaiter avoir les serpentards pour amis après avoir entendu ses mots. Le préfet en chef des vert et argent endossé le rôle d’une victime, d’un homme trahi qui fit mouche.

Tout à coup le silence se fit. Surpris, Zabini et Nott relevèrent la tête pour découvrir avec stupeur que tout continuait à se dérouler comme si de rien n’était : Draco parlait avec l’air de porter toute la peine du monde sur ses épaules, l’audience réagissait à grand renfort de cris et le président du Magenmagot effectuait de larges gestes pour demander le silence. Mais de cette scène qui aurait du être bruyante ne parvenait aucun son.

C’est alors qu’ils virent le plafond exploser répandant poussière blanche et planches dans toute la salle. Ils remarquèrent alors que tous, à part eux, avaient les mains plaquées sur les oreilles, le visage tordu en grimace de douleur. Les chaînes qui les retenaient cloués à leurs fauteuils se mirent à vibrer avant d’éclater comme un cristal soumis à des sons trop hauts.

Avant qu’ils aient pu s’interroger sur ce phénomène, ils se sentirent soulevé de leurs sièges et projeté dans un coin de la pièce au milieu des débris de bois. Et le bruit revint.

Une alarme semblable à celle qu’ils avaient utilisée pour créer diversion retentissait mais accompagnée d’un son suraigu qui paralysait totalement les personnes présentes.

Blaise et Théo profitèrent du chaos qui régnait dans la salle pour se camoufler sous une grosse planche et un amas de sciure. De leur cachette ils purent observer le tour que prenaient les évènements.

Au milieu de la pièce, se tenaient tout un groupe de sorciers apparemment insensibles au bruit ainsi…qu’eux même. Ils observèrent stupéfié la demi douzaine d’homme entraîner leurs doubles en courant avant de disparaître dans les couloirs du ministère. Quelques secondes plus tard le bruit cessa et une division d’homme se lança à la poursuite des fugitifs.

« Bon sang c’est pas possible ! Comment avez-vous vous faire avoir de la sorte ? hurlait Draco à la face des aurors encore présents. Et là qu’est-ce que vous attendez pour leur courir après ? Une invitation ? Vous pouvez être sûr que mon père entendra parler de tout ça. »

Le blond continua à vociféré après tout le monde tant et si bien qu’il ne resta bientôt plus que les membres du Magenmagot, le premier ministre et lui dans la salle.

« Mais comment cela a-t-il pu arriver ? demanda encore le blond au comble du désespoir.

-Je n’en sait rien Mr Malfoy, mais vous pouvez compter sur moi pour le découvrir. Déclara solennellement Dolores Ombrage. Nous allons organiser une enquête. Il y a forcément des traîtres au ministère pour qu’une telle chose ait pu se produire.

-Allons n’en faisons pas toute une histoire, ils n’iront pas bien loin étant donné que toutes les issues sont bloquées et qu’il est impossible de transplaner d’ici. déclara Thicknesse.

-Mr le ministre, les prisonniers ont disparus !

-Comment ça, disparut ?

-Nous les avions encerclé et nous apprêtions à les arrêter quand l’un d’eux à lancé une fiole sur le sol. Une épaisse fumée les a enveloppé et ils n’étaient plus là lorsqu’elle s’est dissipée.

-Bon sang j’avais oublié cette invention de Dumbledore ! Réunion d’urgence de toutes les forces magiques du ministère nous devons retrouver ces gamins avant qu’ils ne soient dans le repère de l’Ordre sinon nous n’aurons plus de si belle occasion de le découvrir. »

Les adultes quittèrent la salle sans plus de cérémonies laissant derrière eux un jeune sorcier blond qui maudissait tous les incompétents jusqu’à la treizième génération.

Lorsqu’il eut crier et gronder encore quelques instant, le colosse au masque de mangemort s’approcha de lui et lui posa la main sur l’épaule.

« Malfoy il faut y aller, maintenant.

-Très bien. »

Sans un mot de plus, le blond se drapa de sa cape et sorti de la pièce d’un pas digne. L’homme qui n’avait pas bougé de sa place attendit qu’il fût sorti avant de faire volte face et de se diriger vers leur cachette tout en jetant des coups d’œil aux alentours. Il finit par se planter devant eux.

 « Aller vous deux sortez de là, on a pas de temps à perdre. Ordonna-t-il en soulevant la planche. Mais ne restez pas prostré comme ça bon sang, vous allez nous faire reprendre si vous ne bougez pas d’ici. »

Voyant que ses interlocuteurs n’étaient pas prêts à l’écouter gentiment, le colosse les attrapa par les épaules avant de les placer sur leurs pieds. Quand ce fut fait, il retira son capuchon et son masque dévoilant ainsi son identité.

« Hagrid ? Mais comment ?

-Vous ne pensiez tout de même pas que nous allions vous laisser tomber comme ça après ce que vous avez fait pour Hermione ? Je suis là pour vous emmener en lieu sûr.

-Mais comment comptez-vous réussir un tel exploit ? Nous ne pouvons pas transplaner d’ici et les portoloins sont restreins aux employés du ministères dignes de confiances. 

-Ne te fais pas de soucis Nott, tout est arrangé en ce moment tous les membres importants du ministère soit en pleine réunion avec le ministre soit en train de poursuivre vos doubles dans les rues de Londres.

-Mais ils vont finir par se faire prendre !

-Oh ce serait le cas s’il y’avait vraiment quelqu’un à poursuivre mais ce ne sont que des illusions crées par les jumeaux. Leur génie est parfois effrayant. Vous savez que ce sont eux qui ont eu l’idée des chants de harpies pour briser vos chaînes ? A ce propos j’ai eu la main un peu lourde sur le sort de silence, j’espère que ça ne vous a pas gêné.

-…

-Oh mais je parle, je parle et on perd du temps. Buvez ça histoire de vous requinquer et suivez moi. »

Quelques minutes plus tard, un Théodore Nott et un Blaise Zabini au mieux de leur forme suivaient le demi géant dans les couloirs du ministère tout en se demandant où ce dernier pouvait bien les emmener. Ils ne tardèrent pas à entrer dans un grand bureau richement décoré.

« D’ici nous pourront sortir. Certain ministres ont obtenu le privilège d’une zone de tranplanage directement dans leur bureau comme ça ils n’avaient pas à côtoyer la vermine de ce monde plus que nécessaire. Donnez moi vos mains je m’occupe de choisir notre destination. »

Les deux sorciers s’exécutèrent et après quelques secondes de silences ils disparurent tous dans un plop retentissant pour reparaître dans une chambre où ne trônait rien d’autre qu’un grand lit et une armoire aux couleurs sombres.

« Où sommes nous ? demanda Blaise.

-Je ne sais pas vraiment. Répondit Hagrid. Comme on  ne pouvait pas aller directement au quartier général de l’Ordre, nous faisons escale ici. Par contre il y a quelque chose qui cloche. Nous devrions avoir un portoloin et d’autres affaires pour partir mais je ne vois rien de tout ça.

-C’est tout simplement parce que quelque chose a mal tourné. S’éleva une voix que tous reconnurent.

-Malfoy qu’est-ce que tu fous ici ?

-Du tourisme ça se voit pas ? Je me suis dit que trop de parties du manoir Malfoy m’étaient encore inconnues et je suis parti en exploration.

-Le manoir Malfoy ? Nous sommes dans le manoir ?

-En transplanant depuis le bureau de mon père c’était assez évident que vous atterririez ici. Bienvenu chez moi.

-Hagrid qu’est-ce que ça veut dire ? Vous êtes passé à l’ennemi ou quoi ?

-Tu as finit de dire des bêtises ? Draco tu n’étais pas censé être là. Où sont les affaires dont nous avons besoin ?

-Comme je l’ai dit il y a eu un petit imprévu qui fait que je dois vous imposer ma présence. Mon père a compris et quand je suis sorti de son bureau avec tout ça (il désigna un petit sac de toile de la tête) il m’attendait. J’ai du faire appel à toutes mes capacités sportives pour lui échapper. D’ailleurs je suis sûr que si vous tendez bien l’oreille vous l’entendrez crier à la porte.

-Mais…

-Donc pas de temps à perdre. Hagrid voici l’argent pour dédommager les jumeaux, malgré ce qu’ils en disent ça a du leur coûter cher tout ça. Là ce sont les documents demandés par Remus, j’en ai fait tomber quelques uns en route mais le plus important y est je pense.

-Mais…

-Enfin voilà les baguettes, j’ai eu du mal à les récupérer. Elles sont scellées je n’ai pas un assez bon niveau pour remédier à ça mais on m’a assurer que quelqu’un en serait capable dans votre petite bande.

-Mais…

-Théo si tu continue à répéter toujours la même chose avec cet air débile je vais commencer à me poser des questions sur ta santé mentale.

-Mais tu as été tellement cruel avec nous.

-Parce que tu crois que si j’avais été un enfant de chœur on m’aurait laissé être votre gardien ? Et puis croyez moi vous ne voulez même pas imaginer ce qui aurait pu vous arriver si quelqu’un d’autre s’en été chargé. Mais… Je suis vraiment désolé, je n’avais pas d’autre choix. »

Les deux sorcier qui s’était apprêté à répliquer stoppèrent net leur action, c’était la première fois qu’il voyait Draco présenter des excuses et baisser le regarde devant quelqu’un.

-Arrête ça Dray ! C’est flippant comme situation, toutes mes bases s’effondrent.

-De toute façon on est pas totalement innocents non plus. Intervient Théo.

-Ah ça je vous le fait pas dire !!! Vous vous rendez compte qu’à cause de vous j’ai du manger trois par jour avec Crabbe et Goyle ? Vous devriez avoir honte de m’infliger des choses pareilles ! »

Ses deux amis le regardèrent avec des yeux ronds avant d’éclater de rire. Celle là ils ne l’avaient vraiment pas vue venir.

« Bon c’est bien gentil tout ça mais il faut y aller.

-C’est vrai ça. Le portoloin est la statuette en forme de chat au fond du sac. Il suffit de visualiser la destination et de dire la mot de passe pour qu’il vous emmène n’importe où. Le mot de passe est émeraude, ne me demandez pas pourquoi ?

-Ok tout le monde en place. Draco, vu les évènement tu viens avec nous.

-Je ne pense pas que ce soit possible. Mon père m’a lancé un sort de localisation. Où que j’aille il me retrouvera et l’Ordre n’a pas vraiment besoin de ça.

-Mais…

-Blaise tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ! Ne vous inquiétez pas pour moi. Mon père a beau être un connard fini, il ne va pas me laisser tomber, il y a un code d’honneur dans la famille Malfoy et des liens de sang plus puissants que ceux de servitude tissé avec Voldemort. Cela se règlera probablement en privé et je recevrai une bonne punition mais ma vie n’est pas en danger.

-Comment tu peux être aussi calme ?

-J’ai le sang froid. Maintenant hors de chez moi ! Mon sort de verrouillage ne tiendra plus bien longtemps. 

-Merci Dray, tu peux compter sur nous pour te rendre la pareille en cas de besoin.

-Ecoutez si ça  doit arriver, vous verrez le portoloin s’éclairer en vert dans le cas contraire promettez moi de ne rien tenter.

-Promis.

-Maintenant dégage je veux plus voir vos tronche avant de vous l’avoir demander.

-A plus Drake ! Sois sage en notre absence ! 

-Emeraude. »

Draco se retrouva alors seul dans la pièce où le silence n’était brisé que par le bruit sourd des contresorts de son pères sur le pan de bois de l’entrée. Résolu à en finir le plus vite possible, le blond se tourna afin de faire face à la porte et leva le sortilège qui la tenait fermée.

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Quelques jours plus tard, le dernier des Malfoy fut conduit devant un comité très restreint de sorciers du ministère de la justice magique. Ayant déjà été désigner coupable, le blond n’était là que pour connaître sa punition. Ce fut ainsi qu’après quelques doloris pour la forme, on le conduisit devant l’établissement moldu St Brutus.

A suivre...

Ce sera tout pour aujourd'hui!!! En espérant que je serais plus rapide pour la suite.  Un grand merci à tous ceux qui ont lu jusqu'à la fin et n'oubliez pas que je ne reçoit rien d'autre en échange de mon écriture que vos reviews alors ne soyez pas avares avec celles-ci.

Gros Bisous

Nightsky