Voilà un nouveaux chapitre je m'excusqe sincèrement pour l'attente, si il y a encore des gens pour me lire je vais essayer de publier plus souvent =)

Merci mon Ange

A des kilomètres de là, se trouvait une petite maison campagnarde, entourée d’un grand jardin. Un ruisseau longeant le terrain, près d’une forêt remplie de légende et de conte.

Dans le jardin, se trouvait un jeune homme de taille moyenne et mince. Mais d’une minceur musclée. Avec de longs cheveux attaché à mi-chemin entre le blond et le clair de lune. Il était penché au-dessus d’un parterre de rose, de toutes les couleurs possible et inimaginable, plus loin se trouvais une serre remplie de plantes exotique, ou qui n’aime pas les changements de température.

« Eleanor, Eleanor, il est bientôt l’heure de manger ! Tu viens m’aider à préparer le repas, ma puce ?! »Appela le jardinier.

Le jeune homme se retourna vers la maison. Laissant ses yeux d’argent observer les alentour à la recherche d’Eleanor.

« Ah ! Ah ! J’arrive… »Répondit une petite voix pleine de vie.

« Eleanor ! Qu’est-ce que tu fais ? » Demanda soucieux, le beau blond ; Il jeta un regard anxieux vers la forêt, direction d’où était venu la voix.

Un tornade brune arriva en courant vers le blond et lui sauta dessus. Les deux tombèrent dans l’herbe fraiche.

« Mais rien ! Je me promenais dans les bois ! »

« J’espère que tu ne t’es pas trop éloignée ? Tu sais que je n’aime pas trop ça ! »

« Euh ! Qu’es-ce que tu entends par loin ? » Demanda la brune, les yeux malicieux.

« Eleanor ! »

« Je t’aime Papa ! » dit la petite fille en embrassant son père.

« Moi, aussi ma puce, mais ne t’éloigne plus de la maison c’est dangereux ! »

L’enfant se redressa, elle ne devait pas avoir plus de six-sept ans. Elle était magnifique. Ses cheveux étaient d’un brun profond qui contrastait à merveille avec le teint pâle de sa peau, surement hérité de son père qui avait le même. Ses yeux était le détail le plus frappant, ils étaient vert, d’un vert profond, près de l’iris puis se dégradait au fur et a mesure vers l’argenté. Cette couleur donnait un regard particulièrement pénétrant à la petite fille.

« Dit papa, demain on pourra aller au marché ? »

« Pourquoi ? »

« Euh !...c’est…que…enfin tu vois j’aimerai…euh…acheter quelque chose »balbutia Eleanor, les yeux rivés vers ses pieds.

« Ah ! » Une lueur d’amusement passa dans les yeux de son père qui avait compris pourquoi, car dans 5 jour se sera son anniversaire, le jour de la pleine lune.

« D’accord, on ira faire un tour dans le village demain, mais par contre tu n’iras pas dans la forêt. J’ai besoins d’aide dans la maison, tu ne trouve pas qu’il faudrait la « relookée » ? »

« Ok ! Pas de bleme ! »

« Humm ! Eleanor… »

« Pardon, pas de problème ! »

« Merci mon ange » dit le blond en passant affectueusement sa main dans les cheveux de sa fille.

« PAPA !! Je déteste que tu m’appelle comme ça ! »

« Je sais Mon, Ange !! »

Eleanor croisa les bras et prit un petit air boudeur. Son père éclata d’un cri cristallin qui fit sourire la petite fille. Elle trouvait que son papa était l’homme le plus gentils, le plus intelligent et que tout le monde serai unanime pour dire qu’il était le plus beau.

Le blond avançait vers la maison d’un pas svelte et gracieux, avec une démarche féline le tout donnant un effet des plus sensuels. De plus le soleil couchant jouant avec les reflets des sa chevelure, faisait ressentir encore plus sa beauté. Quiconque l’aurait vu, aurait pensé à une apparition car il était, en se moment, la réincarnation de la beauté.

« Draco ! Draco ! » Cria une jeune femme rousse qui arrivait devant la maison.

« Maria ! Comment vas-tu ? Tu reste manger ? »

« Alors, Oui et oui, j’adore quand tu fais à manger ! » répondit avec entrain la femme, en embrassant chaleureusement Draco.

« C’est sûr ! Ca doit te changer de tes horribles plats » plaisanta Draco, connaissant le talent inexistant en cuisine de son amie.

Son amie lui répondit en lui tirant la langue de manière puérile. Puis appela la fille de Draco en se dirigeant vers le jardin où la petite fille boudée.

Draco regarda Maria rejoindre sa fille, d’un regard bienveillant et protecteur. Il adorait ses deux femmes, elles lui apportaient du bonheur et de l’amour tout les jours. Il avait été déboussolé au début, n’étant pas habitué à en recevoir. Maintenant, il ferait tout pour les protéger. Un voile sombre passa dans les yeux de Draco, qui le chassa vite avant d’aller à la cuisine préparer le repas pour les deux ventres qui s’amusaient avec l’arrosoir derrière la maison.

Après le repas, Maria parti. Elle embrassa sa petite sœur comme elle aimait appeler Eleanor. Le père et la fille regardèrent leur amie partir, jusqu'à qu’elle disparaisse dans le crépuscule.

« Aller, au lit, demain on se lève tôt »Murmura Malfoy en prenant sa fille dans ses bras.

« Dit papa ? Tu veux bien me racontais encore l’histoire de la forêt qui est à coté de la maison ? Dis papa tu veux bien ? »

« L’histoire de Brocéliande ? »

« Oui ! Oui ! »

« D’accord ma puce, mais d’abord va te laver les dents et en pyjama… ». Le blond eut à peine le temps de finir que l’enfant était déjà parti. Elle est rapide quand elle veut.

Dix minutes après, le jeune père arriva dans la chambre de sa fille. La chambre était dans les tons terre. Les murs beiges étaient décorés avec des photos de lui et de sa fille des un an de celle-ci, jusqu’à maintenant. Son lit à baldaquin était en bois avec de fin rideaux vert émeraude.

« Alors tu est prête ? »

« Oui ! Dépêche-toi, vite… »Déclara la jeune fille sur existée.

Draco regarda pensivement le livre poser sur la table de chevet, son regard se remplit des tristesses.

« Papa…Papa… »Demanda, la voix pleine d’angoisse, Eleanor.  « Tu va bien…Papa ? »Demanda-t-elle ressentant une vive douleur à la poitrine, mais cette douleur venait de son père ; elle en était persuadée.

« Hein ! » Draco émergea rapidement de ses pensées devant les yeux brillant de la petite fille. « Qu’est qui se passe ? Mon chou »

« Tu… était…triste et elle m’a serrée le cœur…. » Répondit –elle la voix entrecoupée de sanglots.

Draco s’approcha d’elle et la prit avec une énorme douceur, la couvant d’un regard plein d’amour.  « Là, là, c’est rien chut, calme-toi ». Draco lui susurra ses mots, pendant un moment pour calmer Eleanor. Qui s’endormit, rassurée dans les bras de son père.

Après s’être occupé de son ange, Draco parti se promenait dans le la forêt. En prenant soin, en partant, de mettre des sortilèges de protection puissants sur la maison.

Il repensa à l’« accident » dans la chambre. Ce genre de chose arrivait, lorsqu’il se souvenait de son sombre passée, un lien profond entre lui et sa fille apparaissait et celle-ci arrivait à ressentir sa douleur. Il avait peur de la tuer. Car cette douleur menaçait de le tuer lui parfois. Demain, il devra rappeler à son petit bout de chou qu’il ne fallait pas qu’elle se connecte psychiquement avec son père. Tout comme lui devait fermer son esprit plus souvent.

Draco réfléchissant a la manière d’expliquer ça à Eleanor, et ni vit pas une ombre s’approcher silencieusement par derrière.

« Bou ! »

« AH ! »cria Draco s’éloignant de l’agresseur, terrorisé.

« C’est moi »déclara une voix grave pleine de sagesse que Draco aurait reconnue entre mille.