Chapitre 1

Dans une chambre....

Le jeune homme blond prenait ses affaires et les jetaient dans un grand sac. Tout les objets de valeur, pour celui-ci, atterrir aussi dans le sac.

« Il faut que je me dépêche, je doit le faire...Oui même si je risque beaucoup.... » Pensa-t-il, en espérant que son ami ne vienne pas tout de suite, d'habitude il attendait plusieurs heures avant de venir; pour lui laisser le temps de se calmer mais là, il devait s'enfuir pour...

La porte de la chambre s'ouvrir doucement sur le blond sans qu'il ne s'en rende compte.

Un raclement de gorge, le fit se retourner en sursautant.

« Tu comptais nous fausser compagnie, Draco?! » demanda l'homme aux cheveux blancs, un sourire inquiétant sur ses lèvres. «  A moins que tu fasses du rangement? » Continua-t-il avec une pointe d'ironie, vu le bordel causé précédemment par Draco et connaissant les tendances maniaques de son vis-à-vis.

Draco avala difficilement sa salive et recula contre le rebord de son lit. « Dante...Je...Tu...je ne t'attendais pas de sitôt... » Sa voix tremblait un peu.

« Disons que...j'avais peur que tu faces...une bêtise, comme je dirais...aller là-bas..!! » dit-il en se rapprochant comme s’il avait une proie sous les yeux.

A cet instant, Draco avait vraiment l'impression d'en être une. Il recula le long de son lit jusqu'à se trouver dans le coin de sa chambre. Totalement bloqué.

« Tu...connais mon point de vu je n'ai rien de plus à dire... ».

Draco commença à trembler, Dante pouvais être très menaçant quand il voulait...même plus que son père, ce qui était dur.

Un Malfoy ne cède jamais, un Malfoy est fort, un Malfoy est méprisant avec tout le monde sauf un autre Malfoy ou Sang-pur. Les vieux principes qui avaient commandé sa vie pendant longtemps refirent brutalement surfacent et par automatisme Draco les appliqua mettant son masque d'indifférence.

« Et puis je fais ce que je veux...Qui êtes-tu pour m'empêcher d'y aller? Je suis libre, aux dernières nouvelles »répliqua-t-il avec sa voix traînante qui utiliser à Poudelard avant la Grande Guerre.

« Oh! Tu veux jouer à ça. Alors je t'explique les règles: Tu n'es pas majeur quelque soit le statut que tu te donne, tu es sous mon toit donc tu m'obéis. C'est clair, G.A.M.A.I.N. ? » Lui ordonna Dante une lueur froide et dure dans ses yeux et dans ses paroles.

Dieu qu'il détestait qu'en Draco reprenait ses vieilles habitudes inculquer par son père, Dante ne comprendrai jamais qu'on puisse appeler ça...comme ça. Il avait réussi en un peu plus d'un an réussit à briser la carapace du sorcier et à se comporter comme un être vivant. Mais parfois, quand se dernier ne savais plus comment faire ou s’il était acculé et savait qu'il allait perdre, les vieux tics reprenaient le dessus.

« Mais...il...je...tu ne peux pas me demander ça, si je ne vais pas à Fortu... »

« Draco tu sais que tu vas tu faire tuer, si tu vas là-bas. C'est des cinglés, ils voudront te disséquer pour comprendre et te tuerons.... »

« Oui, mais je devrais bien y aller un jour ou l'autre, tu sais?! » ajouta Draco d'une voix douce pour essayer de rassurer Dante, qui ne faisait que s'inquiéter pour lui.

« On ne connait pas toute l'histoire, ni qui est derrière tous ça. Pour l'instant c'est trop dangereux »

Draco acquiesça mais était toujours déterminé à y aller. Dante l'observa et son visage s'assombrit, l'instant d'après il assomma le blond, qui n'avait rien vue venir.

« Désolé... » Fut tout ce qu'il entendu avant de sombrer dans l'inconscience.

« Il va vraiment t'en vouloir lorsqu'il se réveillera. » constata Trish qui se tenait dans l'embrasure de la porte.

« Je sais »

« C'est la première fois que je te voit agir comme ça avec quelqu'un. Habituellement tu n'es pas aussi...gentil et attentionné avec les gens qui te sont proche...Qu'es ce qui arrive au grand Dante, Chasseur de Démon? » Demanda-t-elle.

« Je ne sais pas depuis la première fois que je l'ai vu, j'ai été attiré par lui...il m'a intrigué et d'ailleurs il m'intrigue toujours...C'est assez bizarre »marmonna-t-il

« Je crois que j'ai tout entendu là. Toi être intrigué par un vulgaire humain, enfin ce qu'il en reste...Vraiment tu m’étonneras toujours »

« Tu dis ça, mais tu l'aime bien aussi? »fit-il un sourire goguenard sur les lèvres et un regard amusé.

Trish détourna la tête, les lèvres pincée, un peu gênée. « Mouais. Il a un caractère attachant avec ses sautes d'humeurs. »

Dante souleva son précieux fardeau et le glissa, avec douceur, dans le lit. Il alla chercher un flacon dans l'armoire de la salle de bain et fit boire son contenu à Draco, en lui soutenant la tête en arrière, pour faciliter la déglutition.

« Ça le fera dormir, le temps que je contacte une vieille connaissance qui m'en doit une »

« Ah! C'est rare »

« Pourquoi? »

« Tu devais plutôt des services à tes connaissances jusqu'à maintenant. Comme quoi tout arrive! »Rigola la femme aux deux pistolets.

« Tu veux bien arrêter de te foutre de ma gueule ?! »grogna Dante en passant à coté d'elle. « Maintenant aide-moi »

« A quoi? Mon chou »

« A trouver un de ses stupides volatiles... »

« Tu veux dire un hiboux? »

« Voui! »

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A plusieurs centaines de kilomètres, à Poudelard...

Albus Dumbledore, le maintenant-que-deuxième-plus-grand-sorcier, observait le parc de Poudelard avec son éternel lac qui était pour le moment vide. L’établissement avait été fermé lors de son assassina par Severus pour sauver le jeune Malfoy, tentative qui avait malheureusement échoué car se dernier avait disparu de chez ses parents peu après leurs fuite de Poudelard. Cette supercherie avait tout de même permis à Snape de faire parti des Généraux de Voldemort et leurs avait donné un effet de surprise lors de la Dernière bataille. Après un an et six mois de fermeture, Poudelard pouvait rouvrir ses portes, permettant à la génération de Harry de passée leur aspics.

Mais il s'en voulait toujours un peu de n'avoir pu sauver le jeune homme, qui était juste né dans la mauvaise famille et qui ne voulait que plaire à son père. Mais c'était surtout Snape qui ne se pardonnait pas de son comportement vis à vis de son neveu, lors de cette supercherie, il pensait que pour une fois il aurait pu l'aider. Il l'avait laissé, quelques heures à peine seul avec ses parents, qu'il disparaissait sans qu'on ne retrouve son corps, ou quelques restes que se soit.

Perdu dans ses pensées, Le directeur ne remarqua pas tout de suite le hibou qui c'était posé sur le dossier de sa chaise. Lorsqu'il le remarqua, enfin, il fut étonné par son aspect, ses plumes étaient toutes ébouriffées, voire brûler à certain endroit et la lueur de peur dans ses grands yeux marrons. Un message mal attaché, pendait sur la patte que lui tendait le volatile.

Albus ouvrit le message et fut surpris en découvrant l'identité de son auteur et de son contenu. Il sourit, répondit à la lettre et la rattacha au hibou prenant soin avant de le nourrir et de lui rendre son aspect normal, ce qui paru lui plaire. Il comprenait maintenant la cause de son état.

« L'année promet d'être aussi intéressant que les précédentes, bien qu'un nouveau danger semble être apparu »pensa le vieux sorcier, légèrement tendu.

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Merci Atsuna pour tes conseils, voilà la suite en espérant qu'elle te plaise ^^