manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Pourquoi ne devrions-nous jamais procréer
Par Colbie Caprice
Harry Potter  -  Humour  -  fr
5 chapitres - Rating : K+ (10ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 5     Les chapitres     3 Reviews    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Jouer, c'est s'entre-tuer

Pourquoi ne devrions-nous jamais procréer

Chapitre 5

Hola todos!

Et oui, me revoilà avec les aventures de Principe et de ses étudiants sommairement intéressés! XD J'avoue que j'ai beaucoup de pression pour ce chapitre car ça fait longtemps que je n'ai updater cette histoire. Toutefois, je ferai de mon mieux! ;) (Ce nouveau chapitre a été composé alors que j'étais sur ma pause dîner au travail lol)

Donc, la matière que nous verrons aujourd'hui, les enfants, sera comment s'amuser avec nos enfants d'une manière sécuritaire et propice à l'apprentissage car c'est comme ça qu'il faut jouer… non?

C'est en tout cas ce qu'aura tenté d'expliquer madame Principe à nos copains-copines de Poudlard!

Chapitre 5 : Jouer, c'est s'entre-tuer

Madame Principe était dans une fureur noire. En fait, tous étaient en beau calvaire dans l'ancienne petite salle de débarras. Bon, je sais, je ne vous apprends rien mais cette fois, c'était pire que d'habitude. En effet, se faire assommer par un bouquin et avoir une dette envers les petits sacripants qui lui avaient sauvé la vie ne faisait absolument pas sa journée. Voilà donc pourquoi elle était adossée contre sa chaise professorale, une compresse d'eau froide contre la tempe et qu'elle regardait d'un œil noir ses maudits élèves accomplir le travail qu'elle venait de leur hurler.

Bon Dieu qu'elle les détestait! Le jeune Neville ressemblait à un caniche sur le point de faire une crise d'épilepsie tant il était nerveux, sa main cramponnée à Jordy comme à une bouée de sauvetage et ses yeux allant de son parchemin au bâton de bambou. Ce n'était pas quelqu'un pour élever un enfant, constata-t-elle avec mépris.

Son regard se posa alors sur Hermione Granger, entourée d'environ cinquante morceaux de parchemin tous remplis et nourrissant Laurent du mieux qu'elle le pouvait. Mme Principe n'haïssait pas vraiment Harmonie, mais elle la trouvait hautaine et un peu trop fière. Enfin, dans le temps, les femmes se devaient de barater le beurre et de travailler dans les champs et elle doutait que la jeune fille accepte. Non, elle ne l'aimait pas non plus.

Madame Principe refusa de s'attarder une seule seconde sur le jeune Roonil qui dormait sur son bureau, son enfant cyclope jouant avec la plume pointue.

Son regard tomba cette fois sur leSurvivor, soit Henry Potter. En saleté d'incompétent, il tâchait de contenir les reflux gastriques et intestinaux de James. Elle le regarda avec mépris : elle, elle aurait su comment si prendre! Comment, ne lui demandez pas, elle aurait sûrement trouvé quelque chose!

La dernière personne à tomber sous ses yeux perçants fut Drago Malefoy et c'est bien sûr à ce moment que le semblant d'harmonie qui régnait dans la salle de classe s'écroula avec grâce tel Godzilla piétinant Time Square. En effet, Principe (étonnamment) tiqua :

  -  Un problème, monsieur Malefoy? demanda-t-elle en serrant les dents.

Elle ne savait même pas pourquoi elle demandait : bien sûr que ce petit chenapan trop laqué avait un problème! Les mots 'emmerdé et emmerdeur' semblaient avoir été gravé au troisième degré dans le visage de cette chose. En effet, en plus de n'avoir manifestement aucun remord à l'idée d'avoir tabassé son professeur à coup de bouquin, il arquait à présent son sourcil gauche dans la représentation mondialement connue de son expression faciale apparentée à l'insolence la plus franche, soit le 'qu'est ce que tu me veux, connasse'.

Comme l'on peut s'en douter, c'est à ce moment que la situation dégénéra.

-   Je rafistole le crâne de Prince, déclara-t-il en montrant le ruban adhésif, la paire de ciseaux et l'agrafeuse qu'il manipulait depuis tout à l'heure.

Si c'était possible – et dans mon histoire, ça l'est, héhé, madame Principe devint encore plus blanche que d'habitude.

-   Vous faites quoi?

Dans une attitude franchement propice à la résolution de conflit, Malefoy leva les yeux au ciel et lui braqua son lance-flammes intégré… heu Prince Sissi au visage.

-   Sortez immédiatement de cette classe, espèce de… de….

-   Pas question que je me promène avec ce truc dans l'école! hurla-t-il tandis que Prince tripotait les bouts de cervelle qui lui sortait du nez. C'est dutapeou rien d'autre!

-   Oh et puis faites donc ce que vous voulez, oiseau de malheur! De toutes façons, vous serez obligé de trimballer Prince partout et ce, dès les prochaines vingt minutes, s'exclama-t-elle en se rasseyant, triomphante.

C'est ce qu'on appelle couper l'herbe sous le pied, mes enfants. Et on peut dire que madame Principe était assez fière de son petit effet.

-   Eh oui, poursuivit-elle en reprenant sa démarche d'éléphant à patte cassée, comme vous pouvez vous en douter par le devoir que je vous ai donné… Voulez-vous cesser? hurla-t-elle à l'adresse de Malefoy qui avait recommencé à rafistoler Prince.

-   Non, dit-il en tâchant de faire entrer les bouts de cerveau qui sortait du nez de sa fille-mutante.

Elle régla donc la situation avec tout ce qui lui restait de diplomatie : elle lui abattit un coup de bambou bien senti sur la tête et lui arracha Prince Sissi.

-   Mon lance-flammes! s'exclama-t-il avant de faire ce qu'il faisait le mieux, c'est-à-dire bouder.

-   Veux-tu bien la boucler, Malefoy, ronchonna Harry en lui jetant un regard noir.

-   Toi ta gueule…

-   SILENCE! hurla madame Principe en fourrant l'héritière Malefoy dans une cage à homards (voyez-vous, madame Principe adorait ce sport malodorant). Ce que nous pratiquerons comme activité est… la pêche aux homards! s'exclama-t-elle, triomphante. Et avant de poser vingt mille questions, dit-elle à l'adresse d'Hermione et son poing levé, vous écouterez ce que j'ai à dire! Nous irons pêcher dans le lac près de Poudlard et nous cuisinerons accompagnés de nos enfants de succulents homards rôtis! assena-t-elle, satisfaite.

Timidement, Hermione demanda :

-   Peut-on poser des questions, maintenant?

-   Bien que je ne vois pas ce qui n'a pas été clair, miss Grenadier, faites, faites.

Il n'en fallait pas plus.

-   Où voulez-vous qu'on trouve des homards? dit Ron, les yeux au ciel, il n'y en a pas, dans ce lac!

-   Ron a raison. Selon mes livres, c'est improbable que…

-   Pas question que je monte sur un bateau débile pour me faire bouffer par le calmar! C'est un travail pour les elfes de maison!

-   Les elfes ont le droit de vivre, Malefoy! Selon mon association…

-   Je suis végétarienne, professeure. En effet, les homards peuvent être infectés de Pitis, une espèce très dangereuse des Nargols!

-   Je ne sais pas faire cuire des homards… Les Dursleys n'ont jamais voulu que j'essaie!

-   Mon elfe de maison, c'est le plus rapide! Je l'appelle… Aïe, Granger!

Et c'est dans ce brouhaha que madame Principe dit posément :

-   Prenez chacun une cage et vos gueules.

 

C'est ainsi que vingt minutes plus tard, ils étaient tous au bord du lac par 5 degrés Celcius, une cage fétide à la main, dans le but de faire une activité ''familiale'', comme le disait si bien madame Principe, car tous savent pertinemment que le meilleur moyen de s'amuser, c'est de capturer de pauvres bêtes sans défense pour les bouillir avec cruauté (je suis partisane des associations protectrices des animaux, est-ce que ça parait? XD), c'est bien connu!

Toutefois, ce n'était pas le sort des homards qui préoccupaient Draco :

-    Dieu merci, personne ne va me voir faire un travail d'esclave, dit-il en personne hautement conscientisée qu'il était.

Il regarda autour de lui puis poussa un soupir de soulagement.

-    Vous êtes certaine que…

-    Pas d'elfes! À-la-main! s'écria Principe en martelant bien chaque mot.

-    Comme un moldu! s'écria notre laqué préféré en retenant un vomissement.

Hermione, qui embarquait dans le minuscule bateau, le toisa d'un regard méprisant :

-    Ça ne devrait pas trop de faire de mal, le précieux!

Ils embarquèrent tous dans le bateau rouge et blanc… ben qui avait déjà été rouge et blanc. Désormais, il ne restait plus que des écailles de peinture ici et là, celle-ci ayant été remplacée par la rouille. Toutefois, Principe affirmait que ce moyen de transport était très sûr :

-    Ce bateau est insubmersible! Moi et mon père voyagions toujours derrière son aviron et tout allait toujours…

Un léger craquement se fit entendre.

-    …bien.

-     Heu… Madame Principe? dit Hermione d'un ton anxieux. Il semble que le bateau penche.

-    Sottise!

-    La Sang-de-bourbe a raison! On cale!

Madame Principe, en tant que capitaine de bateau désigné, calma ses matelots de la meilleure des manières, soit avec un coup bien sentit de bambou sur le crâne de Malefoy (elle avait une très nette prédilection envers ce mioche lorsqu'il était question de violence…). Toutefois, celui-ci perdit pied et tomba face contre terre de l'autre côté du bateau (qui faisait 2mètre de long, on fait avec ce qu'on a!), là où tous les autres se trouvaient.

Ce qui devait arriver arriva, bien entendu.

Le bateau se mit à couler d'un seul côté, un peu comme le Titanic avait fait, ce dont Neville s'empressa de dire :

-    Hé! C'est comme le Titanic et c'est marrant car vous avez fait une allusion à ça tout à l'heure et…

L'expression de Neville passa de riante à terrifié :

-    Oh non! On a la poisse! On va mourir! HAAAAAA!

-    Malheureux, qu'avez-vous fait? pleurnicha Principe à l'intention de Malefoy. Nous allons mourir!

-    Désolé! répondit-il en s'épluchant l'orange qu'il avait trouvé en fouillant dans les effets personnels de Principe.

Et c'est ainsi que se termina les aventures de la classe de Parents avertis : sombrant là où des milliers avant eux ont sombré et crevant chacun avec ceux qu'ils détestaient le plus au monde.

C'est comme cela que l'histoire se serait terminée si Ron ne s'était pas écrié :

-    Oh! Ça va j'ai oublié de décrocher le bateau! On est sur le bord de la rive. On ne crèvera pas finalement.

Tout de même troublée, Principe resta assise sur le pont du bateau alors que les enfants descendaient et s'asseyaient sur le gazon.

-    Vous voulez de l'aide, madame? demanda Harry le Serviable.

Elle les regarda tous attentivement. Ils n'en avaient absolument rien à foutre d'apprendre. Rex se jouant dans le nez, Hormone sortant un livre de son sac tandis que sa poupée se noyait dans une flaque de boue, le Binoclard se précipitant tout d'un coup sur sa poupée en train de s'étouffer dans son vomit, la gitane sénile qui disait éloigner les Nargols, le faible paniquant à l'idée seule de nourrir son fils et le laqué, LE LAQUÉ, montant d'un pas rageur les marches, son monstre se râpant le front contre ces horribles marches pas du tout esthétiques…

Et puis tout d'un coup, elle sourie. Elle avait atteint sa limite. Elle allait exploser. Elle voulait les noyer un à un et voir sur leur visage une expression de souffrance épouvantable. Alors, elle alluma une allumette et…

Non, non! Ça, c'est dans un autre livre! Hum hum… Reprenons!

Donc, elle se leva et, découragée par ce qu'elle voyait et par le futur désastreux qu'elle envisageait étant donné que ces égocentriques étaient les futurs parents de demain, prit la décision de partir là où les gens avaient encore une conscience : l'Amazonie.

-   Je quitte! Je quitte, là où mon bambou m'a été donné et où l'éducation veut encore dire quelque chose, bande d'affreux! Je quitte!

Ils la regardèrent avec des yeux ronds.

-   Vous n'avez pas de provisions, fit remarquer Hermione.

Mais elle était déjà partie loin, loin où le vent la guidait. Elle fendit la brise, au gré de la mer… jusqu'à ce que, délirant sous le soleil, affamée et épuisée, elle s'échoua dans un barrage à castors et, recueillie par des chasseurs, elle se fit rencontrée par les policiers à l'hôpital moldu le plus proche. Elle leur raconta comment elle en avait eu assez des jeunes sorciers se foutant des poupées, des Nargols qui la tourmentaient et du calmar géant… Ils firent donc ce qu'il y avait de mieux pour elle.

Elle se fit enfermer dans un asile psychiatrique et elle encore, aujourd'hui, soignée par son nouveau médecin…. Finissant à l'école de médecine.

La vie, c'est pas facile.

Et voilà! C'est la fin des aventures de Principe, du moins, pour cette fiction-ci! J'ai adoré Principe, ses étudiants et sa folie et j'espère que vous aussi car mon but était d'innover avec cette fic… Si jamais vous voulez, je peux toujours essayer de la ramener, peut-être au temps des Maraudeurs qui sait! Toutefois, je vais tâcher de me consacrer à mes autres fics et bien que je sais pertinemment qu'il y aurait eu des tas d'autres sujets à aborder dans Pourquoi ne devrions-nous jamais procréer, je préfère m'arrêter là alors que j'ai encore des idées plutôt que de faire traîner de la patte à cette fiction.

Au plaisir de vous voir suivre mes autres fictions les lapins, Colbie Caprice! :)

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>