Part. 5 :

    Quelque part dans les bureaux du système de défense terrien, branche secrète du gouvernement américain et se trouvant au Pentagone, un homme est en pleine discussion téléphonique :

“Bien sûr monsieur le président que je comprends, mais... Oui, nous mettons ça en place, mais... Oui monsieur, je mis rend ensuivant après notre conver... De quoi !! Si je peux me permettre monsieur le président, c’est une très mauvaise idée qu... ha ! Nous n’avons pas le choix, sinon... Une condition non discutable, je comprends mon... Très bien monsieur, je ferais avec puisque j’ai pas le choix... Vous comprendrez que je suis sceptique, elle n’est... Bien, je vous tiendrai au courant des avancées du proj... Au revoir, monsieur le président. Une fois raccroché, le général marmonna pour lui même. Il ne me laisse jamais en placer une, je déteste vraiment tous ces politicards. Il appuya sur l’interphone. Sergent Clapson est-ce que mon hélico est prêt ?

— Sergent Clapton  mon générale et oui, votre hélicoptère vous attend sur l’héliport comme convenu.

— Désolé pour votre nom, Clapton, je ne m’y ferais jamais. Bon, je parts sur le champ, veillez à faire transférer tous les appelles importants vers là-bas. Et puis je vous ai déjà dit de ne plus m’appeler général quand nous sommes seuls.

— Bien mon gén... Monsieur, je m’occupe de ça de suite.

— Je n’en doute pas.”

Conclua le général Jack O’neil avant de désactiver l’appareil et de partir pour la base SGC.

  Pendant ce temps-là les trois membres de SG-1, qui étaient revenus du Canada depuis peu, entraient dans le bureau du général Landry :

“Bonjours à tous, je suis heureux de vous revoir.

— Nous aussi mon général, surtout que nous avons plein de choses importantes à vous raconter. Répondit Daniel.

— Bien, mais allons à la salle de débriefing, le Major Mitchel et Vala nous y attendent.

— Ils sont de retour de mission ? Tant mieux ! mais savez-vous si ça s’est bien passé ?

— Il semblerait, colonel, qu’ils aient réussi à persuader le chef du village de P3X340, de ne pas suivre la voie des Oris et de rejeter le Prêcheur la prochaine fois qu’il reviendrait les voir.

Le temps que le général leur dise ça et ils se retrouvèrent devant la porte de la salle qui était ouverte.

— Mais c’est mon petit docteur qui arrive, vous m’avez manqué sur cette planète, Daniel, ils sont si pauvres et il y fait si chaud, je ne la conseillerait pas pour aller y prendre ses vacances, surtout qu’il n’y a rien à y vol... à y faire. Et vous ! Votre voyage s’est bien déroulé ? J’espère que vous n’avez pas pris froid ? Car je me suis renseignée, il fait pas très chaud en cette saison au ca...

-Vala ! taisez-vous et asseyez-vous, s’il vous plait ! La coupa alors le lieutenant-colonel Mitchel. Vous êtes impossible ! Dire que j’ai dû vous supporter pendant quatre jours tout seul, je mériterais une médaille pour ça.

— Ne me dites pas que vous n’avez pas apprécié nos longues discussions et nos têtes à têtes. Le taquina-t-elle

— Vala, ça suffit !

— Bon, bon, je me tais et je m’assoie. Si on ne peut plus rien dire maintenant...

Elle s’installa sur une chaise tout en continuant à ronchonner et se mit à faire tourner le stylo se trouvant sur la table devant elle entre ses doigts.

— Bien ! Si tout le monde est calmé, on va pouvoir commencer. Reprit le général Landry. Docteur Jackson, si vous voulez bien débuter, on vous écoute.

— Merci, mon général ! Donc, vous devez déjà tous savoir que nous avons trouvé au canada une nouvelle porte des étoiles et son DHD avec des symboles différents dessus. Nous savons à présent que ces symboles sont la représentation amérindienne de constellations connues ou inconnues. Tout en disant cela, il leur passe trois feuilles, une avec la représentation de la porte, une autre avec celle du DHD et la dernière avec un tableau contenant une représentation de chaque symbole, son nom indien et pour certaines, celle d’une constellation. Nous en avons eu la confirmation par une spécialiste de cette culture, ma consoeur, le professeur Duboy. Après avoir fait une comparaison avec une carte du ciel actuel, nous en avons déduit que la plupart se trouvent dans une partie de la galaxie où il ne se trouve aucun chapa’ai  de répertorié. Une zone que ni nous, ni les Goa’uld, ni les Tok’ras, que nous connaissons, n’auraient visitée. Un endroit que les Asgardes et les quatre autres grandes races n’ont jamais indiqué ou alors effacé de leur carte des mondes habités. Vous imaginez les conséquences de cette découverte ! 

À cette nouvelle, tous en restèrent sans voix quelques instants...