manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
L'Héritage des Dragons
Par Fee-Clochette
Eragon  -  Action/Aventure/Fantaisie  -  fr
10 chapitres - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 4     Les chapitres     6 Reviews    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Chapitre Troisième

Et me voila avec un nouveau chapitre =DDD Bon j'espère qu'il ne vous décevra pas ^^ Vue qu'il y a tout de même beaucoup de changement.

Merci à Natalea de rester fidèle à ma fanfiction =) J'en suis toute contente. Et puis sinon que personne n'hésite à poster des reviews, je ne mords pas =D Je vous le pormet ^o^

__________________________________________________________________________

Chapitre Troisième :

 

Les flammes vacillaient devant Morgane. Elle se frotta les bras. Le froid la saisissait. Tremblante et fiévreuse la demoiselle c'était assise contre un arbre. Son épée à la taille elle regardait les flammes. Son regard se perdait alors qu'elle espérait que les soldats ne la retrouve pas. En effet la fumée risquait de les attirer, mais en même temps elle grelottait de froid. Morgane s'allongea sur le sol froid et humide. Trop fatiguée pour lutter contre le sommeil elle pourrait dormir partout. Les paupières de la dragonnière se fermèrent toutes seules. A cause du froid elle ne sentait plus ses orteils, ni ses mains d'ailleurs. Ce fut sur ces douloureuses pensées qu'elle plongeât dans un sommeil profond. Mais profond ne voulait pas dire calme, bien au contraire, ce fut un sommeil long agité de cauchemars.

Morgane se retrouvait dans la demeure attaquée par les soldats. Mais elle était elle sans réellement l'être. Elle se voyait se battre aux côtés de ses serviteurs pour protéger son Grand-Père. D'ailleurs elle avait l'air pitoyable à faire des moulinets avec son épée. Ses vêtements déchirés et ses vêtements défaits lui donnaient des allures de sauvageonne. Mais pourtant prise dans les feux de la batailles elle ne se rendait compte de rien. Ses yeux brillaient de haine. Jamais elle n'avait vue cela. Puis tout bascula. Le premier domestique tomba. Morgane vit son corps qui gisait sur le sol, le sang de l'homme coulant entre les dalles de pierre. Morgane hurla tendant une main. Mais elle n'était pas réellement, c'était juste un horrible cauchemar. La pire étant qu'il avait eu lieu. Un serviteur avait saisit la Morgane du rêve pour aller la mettre à l'abri. Celle-ci se débattait. Puis des bruits étranges se firent entendre. Ce n'était pas les bruits du rêve, mais de l'extérieur. Morgane dût se faire violence pour sortir de son cauchemar.

Morgane se releva d'un coup. Son cœur battait encore à une vitesse folle. Les bruits qui l'entouraient l'inquiétaient, les soldats approchaient. Elle entendait leurs voix bourrues et graves. D'un bon elle se leva, vérifiant bien si sa ceinture était en place elle éteignit bien son feu avant de partir en courant vers la forêt. La demoiselle pensa qu'il aurait été plus commode de monter dans un arbres, mais le problème était qu'elle avait un bras meurtri. Morgane ne pouvait escalader quoi que ce soit dans son état. Seule sa peur, et ses jambes pouvaient la sauver. Si elle ne mourrait pas de faim et de froid d'ici là. Voyager sans rien était une chance, mais aussi une grande malédiction, certes elle gagnaient en vitesse, mais elle n'avait rien du tout pour se couvrir ou se nourrir. Il faudrait qu'elle s'arrête au village le plus proche. Enfin, si elle le pouvait et que les soldats n'étaient pas trop près d'elle. Ce qui pour l'instant n'était pas le cas. La brune entendait leurs pas martelé le sol plus loin. Morgane maudissait ses jambes qui commençaient à faiblir, il fallait vite qu'elle trouve un moyen de sauver sa peau. Que la demeure n'es pas été détruite pour rien.

Finalement les soldats avaient retrouvés Morgane, bon c'était un peu de sa faute, elle n'avait pas été assez discrète. Dire que la demoiselle avait toujours rêvé de voyage et d'aventure. Et bien maintenant elle était servit. Pour être plus discrète elle avait intimé l'ordre à sa dragonne de rester en dehors de tout ça et de volé assez haut et assez loin pour ne pas être repérée. La dragonnière entra dans un village, qui ne semblait pas protégé par des soldats. Tant mieux, elle pourrait tenter de se cacher dans un coin. Du moins elle osait l'espérer. Malheureusement ou heureusement les rues étaient quasiment désertes. Les quelques marchand qui exposait dehors la regardaient passé, surpris plus qu'autre chose. Surtout quand il voyait les soldats armés jusqu'aux dents la poursuivre. Morgane soupirait intérieurement en entendant les cris des soldats derrière elle. Toute les petites rue qui auraient puent lui donner une échappatoire étaient enfaite des impasses. Morgane croyait que c'était finit, qu'elle n'avait plus aucune chance de leur échapper. Elle était trop fatiguée, ses jambes ne suivaient plus, elle avait juste besoin de repos.

Ce fut là qu'elle remarqua une silhouette connue. Portant une longue cape noir assortie à ses cheveux. Il lui tournait le dos et semblait s'occuper d'une famille que des soldats avaient solidement attachée. Mais Morgane ne se préoccupa pas de cela. Sans qu'elle eut réfléchit les mots passèrent ses lèvres, ou plutôt le nom du garçon.

 

-MURTAGH !!!!

 

Surpris qu'on l'interpelle ainsi, le dit Murtagh se tourna vivement. Il découvrit alors une demoiselle courant droit vers lui, suivit par deux soldats braillant comme des cochons. Il fut d'autant plus surpris qu'il ne connaissait pas cette demoiselle. Même si elle lui rappelait vaguement quelqu'un. Il la regardait avancer à une vitesse folle. Mais elle semblait fatiguée, et ne remarqua pas la pierre que son pied percuta de plein fouet. Voyant qu'elle allait s'écraser au sol Murtagh fit quelque pas et la rattrapa de justesse, ses bras prirent la taille de la demoiselle. Morgane souffla un bon coup alors que ses mains c'étaient accrochées aux épaules du dragonnier rouge. Elle n'arriva pas à poser son pied à terre, sa cheville la faisait souffrir, maudite pierre. Bien qu'elle eut mal, elle ne pleura pas. Elle n'était pas faible, ou plutôt si elle avait seulement ouvert la bouche, elle aurait hurler sa douleur.

Les soldats se stoppèrent net devant Murtagh qui tenait toujours Morgane. Ils s'inclinèrent respectueusement. Murtagh les regarda tour à tour, comme s'il attendait quelque chose, mais ces derniers ne comprenaient pas ce que le dragonnier voulait. Murtagh soupira, consterner par une telle incapacité à comprendre.

 

-Pourquoi poursuiviez vous cette...

 

Murtagh se stoppa. Il avait voulut examiner la demoiselle pour la définir au mieux. Bien qu'elle soit couverte de crasse avec des vêtements déchirés, et des cheveux emmêlés. Il ne put s'empêcher de fixer l'épée qu'elle portait autour de la taille, ce fourreau, il l'avait déjà vu. Ce n'était pas une épée mal faite, non, c'était une épée qui avait été travaillée pour un noble. Et il pensa immédiatement à Matthew. C'était lui qui portait cette épée durant leurs entrainements. Comment cette fille l'avait eut ? Les soldats le tirèrent de ses pensées.

 

-Cette gueuse ? C'est un ordre du roi. Il la veut.

 

Murtagh sentit que la demoiselle se détachait de lui. Il ne dit rien mais leva la main voyant qu'elle allait protester. Elle referma la bouche. Murtagh soupira. Il avait tellement de question à poser à cette fille. Et puis la laisser entre les mains des soldats étaient risqués, ils la laisseraient s'échapper. Surtout qu'elle ne semblait pas dénuée de cervelle. Finalement il prit le bras de la jeune femme. Un sourire légèrement narquois et satisfait. Morgane qui avait frissonner quand Murtagh lui avait saisit le bras frissonna encore plus en voyant le sourire qu'il affichait. Jamais elle ne lui avait vue cette expression. Mais ce n'était en rien rassurant.

 

-Je vais m'occuper personnellement d'elle. Il lança quelques pièces aux soldats. Pour vous remerciez, vous n'avez qu'à aller boire et manger à la première taverne que vous trouverez.

 

Les soldats rigolèrent avant de partir. Murtagh se tourna vers ses autres soldats. Eux n'avaient rien des soldats qui venaient de ramener Morgane, ils étaient plus inquiétants, et plus musclés. L'un d'eux avait une cicatrice tout le long de son visage. L'autre avait une grande hache attaché dans son dos. Morgane déglutit difficilement quand ils la regardèrent.

 

-Vous savez ce que vous avez à faire. J'ai une autre affaire à régler. On se retrouve demain à la clairière.

 

Brusquement il prit l'initiative de marcher, tenant toujours le bras de Morgane. Derrière lui la demoiselle peina à suivre. Ses muscles étaient endoloris, et sa cheville la lançait. De plus son bras lui faisait encore mal. Franchement Murtagh aurait pût être plus délicat tout de même. Bon, certes il ne la reconnaissait sans doute pas, mais il fallait être délicat avec les Lady. Morgane pestait intérieurement. Surtout que la douleur tiraillait chacun de ses muscles, d'ailleurs elle n'avait même pas remarqué que certains existaient avant aujourd'hui. Les gens baissaient les yeux sur leur passage. Morgane était quasiment sûr que même si elle avait hurlé « A l'aide ! » personne ne serait venue. Ils avaient trop peur. Murtagh entra dans une auberge. La dragonnière eut à peine le temps de lire l'enseigne qui indiquait « Le dragon d'Or » C'était un nom assez commun que Morgane jugea peu original.

La demoiselle se retrouva poussé de force dans une chambre assez petite, et miteuse. Murtagh avait fermé la porte à clé derrière eux. Morgane regarda le lit deux places dont les couvertures étaient à moitiés rangés par les mites et les souries sans doute. Le sol avait subit des dégâts dont il lui restait des traces, certaines que Morgane ne voulait même pas identifié. L'armoire semblait vide, et sur ce point la dragonnière comprenait que Murtagh ne veuille pas y entreposer ses affaires. Levant les yeux elle regarda le plafond, l'humidité l'avait bien abimer, et Morgane n'aurait pas voulut vivre ici. En plus une odeur étrange lui rentrait dans le nez, une odeur insupportable qui lui soulevait le cœur. Murtagh la fit asseoir sur le lit. Ce fut là qu'il reçu comme un électrochoc, il n'avait pas pensé à regarder les yeux de celle qu'il avait embarqué. Maintenant qu'il les voyait, il y pensait, Matthew. Cette fille lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, mis à part les cheveux et la poitrine. Murtagh prit Zar'Roc et mit la lame sous la gorge de Morgane.

 

-Qui es-tu ? Que fais tu là ? Ou as tu eu cette épée ?

 

Il appuya la pointe de l'épée contre la gorge de Morgane qui voulait reculé, mais ne bougea pas alors qu'un filet de sang coulait le long de sa gorge descendant sur sa poitrine, et sur son ventre. Morgane eut un léger frisson alors que ses yeux plongeaient dans ceux de Murtagh. Il la fixait comme s'il venait de la découvrir, bien, maintenant il fallait qu'elle lui dise la vérité.

 

-Je suis Matthew. Enfin quand je met ma tenue d'homme. Enfaite je m'appelle Morgane, cette épée est la mienne comme tu l'auras deviné. Maintenant si tu enlève la tienne de sous ma gorge je t'expliquerais tout.

 

Murtagh resta un moment sans pouvoir bouger. Finalement, prit d'une piquante curiosité il retira sa lame et s'assit aussi sur le lit. Avant il mit en place quelques petits sorts sur la porte. Juste au cas ou cette demoiselle aurait eut envie de déserter. Il eut un léger mouvement pour repointé son épée sur la demoiselle, mais il se rendit compte qu'elle ne faisait que remettre bien ses vêtements et essuyer le filet de sang.

 

-Bien, explique toi, et tu as intérêt à être convaincante. Matt... Morgane.

 

Voilà que maintenant il ne savait plus comment l'appeler. Bon, il allait l'appeler Morgane. Ça allait bien à la demoiselle et c'était tellement proche de Morzan qu'il n'aurait aucun mal à s'en souvenir. Enfin, telle n'était pas la question. Il la vit chercher ses mots, réfléchir à comment elle allait lui expliquer la situation.

 

-Voilà, ma mère était la fille de mon grand-Père elle s'est mariée avec un noble de la cour. Mais celui-ci est mort. Elle à dût retourner chez son père alors qu'elle était enceinte de moi. Mais elle est morte en couche, après m'avoir mise au monde, enfin je ne connais pas les détails. Le seul problème c'est que j'étais une fille. Et selon la loi, seul les hommes peuvent hérité. Alors mon grand père me déguisa en garçon. A part les serviteurs personne ne devait savoir. Comme ça j'étais assuré d'hériter de tout. Quand tu es arrivé Grand-Père ne voulait pas que je te montre qui j'étais réellement alors, je suis resté Matthew.

 

Murtagh écoutait, et il se disait que le récit de cette demoiselle n'était pas si invraisemblable que cela. Au contraire. Mais elle lui avait quand même mentit. Alors qu'il lui avait fait confiance, d'ailleurs il n'accordait jamais sa confiance, mais ce jeune garçon aux allures candides et efféminées. Il comprenait mieux maintenant c'était une jeune fille avec des formes, et des cheveux longs. La dragonnier soupira.

 

-Et que c'est-il passé pour que tu sois ainsi poursuivis par les soldats ?

 

Il vit le regard de sa jeune prisonnière se ternir. Il n'avait encore jamais vue cette tristesse dans les yeux de la demoiselle. Il lui laissa un peu de temps pour faire son récit. D'ordinaire il n'était pas patient avec les prisonniers, mais c'était différent cette fois, et puis ce n'est pas comme si elle travaillait pour les Varden. Quoi que ça il ne le savait pas.

 

-Trois mois après votre départ nous avons vue une troupe de soldat débarquer. Personne ne voulait quitter la maison, nous avons été encerclés. Les soldats tiraient des flèches enflammées. Nous ne pouvions pas nous échapper. J'étais paralysée par la peur, j'avais de plus en plus de mal à respirer. Grand-Père à demandé à un serviteur de m'éloigner et de tenter de me faire sortir. Je ne pouvais pas quitter ce carnage des yeux. J'ai vue les serviteurs tomber un à un. Et après.... Grand-Père, il à... Il l'ont... Une flèche enflammée. Il s'est écroulé. Notre serviteur m'as retenue alors que je voulais sauver Grand-Père. Il m'as fais passer par un passage que je ne connaissais pas. Nous nous sommes retrouvés dans la forêt. Pendant deux jours nous avons voyagé ensemble. Ils l'ont tué ensuite. J'ai dû continuer seule. Finalement les soldats m'ont rattraper, en entrant dans ce village je n'y croyais plus et puis je t'ai vue... Tu va m'aider pas vrai ?

 

Il la vit lever des yeux pleins de larmes sur lui. Voilà qu'elle pleurait. Murtagh se leva d'un bond serrant les dents. Si elle pleurait il ne savait pas ce qu'il ferait. Pourtant elle le fit, elle pleurait maintenant à chaude larmes, les petites gouttes formant des sillons sur ses joues blanches. Murtagh n'avait jamais vue une femme pleurer. Et maintenant il était heureux que cela ne se soit jamais produit, et ce serait bien entendu avec lui même si ça n'était pas arrivé aujourd'hui. Alors que Morgane essuyait ses larmes qui semblait toujours coulés plus. Agacé Murtagh soupira.

 

-Bon tu va arrêter de pleurnicher ? Oui c'est triste ce qui t'arrive, mais c'est la vie. Je vais t'amener au roi, et il verra ce qu'il va faire de toi.

 

Morgane le fixa, souffler par la dureté de Murtagh. Il l'avait habitué à de la sympathie, pour ne pas dire de la gentillesse. Le regard assassin qu'elle lui lança ne le fit même pas reculé. Morgane se leva d'un bond. Furieuse, elle qui avait placé tant d'espoir en Murtagh, il la décevait grandement. Ses yeux argentée était remplis de colère.

 

-Tu n'es qu'un sale égoïste ! Tu n'auras pas le plaisir de m'amener au roi ! Je pars !

 

Murtagh haussa un sourcil alors que Morgane s'avança vers la porte et tenta de l'ouvrir, soupirant elle ouvrit le verrou. Mais toujours rien. La porte était coincée. Morgane s'acharna dessus sous le regard amusé de Murtagh. Profitant de la distraction qu'offrait la porte, Murtagh prit des chaines qu'il gardait dans son sac durant ses voyages quand il avait des arrestation à faire. Allant derrière Morgane il lui entoura les poignets des fers sans lui laisser le temps de réagir. Morgane se recula violemment. Murtagh recula de quelques pas ses côtes légèrement touchées. Il vit la demoiselle tirer sur les liens qui lui enserraient les poignets. Murtagh se saisit de la chaine qui tenait les fers et tira avec une certaine violence dessus attirant Morgane contre lui, Morgane en eut les larmes aux yeux pour son bras et sa cheville, ce parjure n'avait donc pas remarqué qu'elle était blessée ?

 

-Bien, maintenant que tu semble prête à m'écouter je vais te dire les choses franchement. Je vais te ramener au roi, de gré ou de force. Je n'hésiterais pas un seul instant à te faire du mal, aussi jolie sois tu, maintenant si tu veux que tout aille bien, tais toi ! Et cesse de te débattre tu te fais mal pour rien. Murtagh fit une légère pause. Bien nous partons demain à l'aube pour le palais.

 

Morgane en venait à se demander comment elle avait put apprécier ce mufle. Aller jusqu'à presque lui donner son cœur. C'était impossible. Il était tellement méchant et mesquin. Murtagh repoussa une des mèches de cheveux de Morgane du visage de celle-ci, la demoiselle tenta de le mordre. Il l'éloigna de lui faisant une grimace, un peu plus et elle lui mordait la main. Le dragonnier rouge alla finalement attacher sa prisonnière à une des poutre de la chambre consolidant le tout avec quelques sorts. Avec cela il serait tranquille pour la nuit.

Le lendemain Morgane se réveilla des cernes sous les yeux, et le teint pâle. Sa nuit avait été infernale, mais cela ne semblait affecter Murtagh qui fit une rapide toilette mettant des vêtements propres. Et sans un mot il prit les chaines de Morgane pour la tirer dehors. La dragonnière serra les dents. Ils finirent par partir vers le palais à dos de dragon.

 

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>