Principes Malfoyen VS Potter

Auteur : Moi, Pesu

Genre : Romance, et un peu d'humour

Public : Pour l'instant je dirais tout âge car je ne sais pas si je vais mettre des lemons ayant un peu de mal à les écrire, je changerai le raiting si j'en mets

Attention : Cette histoire met en scène un couple homosexuelle donc elle est pour un public averti. Et les homophobes pas la peine de commenter, ni de lire cette histoire, la sortie est par là-bas en enfer. MWAHAHAHAHAH !Pardon je me ressaisis.

Disclaimer : Malheureusement les personnages ne sont pas à moi

Note de l'auteur : J'ai décidé d'écrire cette histoire depuis très longtemps mais étant une flemmarde j'avais la flemme. Maintenant que j'ai commencé je vais essayer de l'écrire vite mais ne vous étonné pas si je mets longtemps entre chaque chapitre. Et surtout désolé pour les fautes d'orthographes.Ah et je ne prends pas en compte les tomes 6 et 7, et j'ai également fait survivre Sirius lors de l'attaque au ministère sinon c'était trop triste donc attendez-vous à un HAPPY END.

Couple : HP/DM pour le moment il y en aura plusieurs autres par la suite….patience patience

Résumé : Les Malfoy ont des principes, mais quand un certain Harry Potter apparait difficile de les tenir.

Prologue

C'était un jour comme les autres pour Draco Malfoy -un jour comme les autres pendant les vacances d'été car aucun jour n'était comme les autres à Poudlard malheureusement ou heureusement pour lui il ne saurait le dire.

Soit il s'amusait à martyriser les Poufsouffles avec ses amis Serpentard, jeu très drôle qui consistait à les fixer d'un regard si méchant qu'il finissait par pleurer ou déguerpir en vitesse, ou alors il répliquait d'un ton horriblement méchant à chaque fois que ces êtres au bon sentiment leur parlait.

Soit il s'amusait à battre les Serdaigles en cour ce qui faisait pleurer de rage ces petits être intelligents, ce qui était le plus drôle c'était qu'il n'avait pas à se forcer pour les battre, la seul personne qu'il n'arrivait pas à battre était Hermione Granger mais elle n'était pas une Serdaigles, il se demandait toujours pourquoi ce castor n'y était pas mais bon la vie réserve parfois des surprises.

Soit il emmerdait joyeusement les Gryffondor ce qui était vraiment vraiment vraiment très drôle. Ceux-là réagissaient au quart de tour et finissait automatiquement avec un visage rouge de colère.

Soit cas à part il s'amusait encore à faire chier les Weasley, deux seulement il n'arrivait pas à détester le reste de la famille C'était ce que la société attendait d'eux les Malfoy, et c'est ce qu'il montrait en public mais en réalité aucun membre de sa famille ne détestait les Weasley au contraire sa mère s'entendait extrêmement bien avec Mme Weasley, aussi folle l'une que l'autre à son avis. Il détestait juste Ginny il n'avait aucune idée du pourquoi mais il détestait cette peste, et Ron car c'était à cause de lui que Potter avait refusé son amitié.

Potter sa Némésis personnel. C'était surtout à cause ou grâce à lui qu'aucun jour n'était comme les autres à Poudlard. Ils se disputaient tous les deux au moins une fois par jour, se fixait avec hargne mais plaisir tout le long des déjeuner, plaisir de pouvoir détester quelqu'un car cela fait du bien d'évacuer. Il se lançait pique sur pique. Mais en même temps il était jaloux lui recevait sa haine et les autres son amitié. Il faudrait le torturer pour qu'il avoue ceci. Et voilà qu'à peine lever il pensait à lui, il en pouvait plus c'était comme ça tous les jours, il pensait au moins une fois par jour à sa Némésis.

Nous étions donc la deuxième semaine de vacance et il venait de se réveiller dans sa chambre spacieuse. Un appartement certain dirait vu le nombre de pièce qu'il y avait mais pour sa famille il y avait tout juste de place pour dormir. Et oui les Malfoy voyaient la vie en grand, en très grand.

Un grand lit à baldaquin était dans le coin gauche de sa chambre sur le côté du lit une petite table de chevet dans le même bois que le lit, de l'ébène si on en jugeait par son aspect noirci. Plus loin sur la droite deux porte une menant à sa salle de bain personnelle et l'autre menant à son dressing celui-ci était plus grand que la chambre elle-même Draco aimant la mode. Au centre de la chambre ce trouvait un luxueux fauteuil ainsi qu'un grand canapé en bois d'ébène eux aussi tous ces meubles était en ébène car il appréciait l'aspect noir de ce bois .On pourrait penser que cela assombrirait la pièce mais pas du tout car il y avait une immense baie vitrée qui prenait tout le reste du côté gauche ne prenant pas en compte le lit. Le reste des murs était peint dans les tons ivoire. En face du coin salon se trouvait une immense cheminé à gauche de celle-ci se trouvait une porte la bibliothèque personnelle de Draco. De l'autre côté une autre porte menait à sa salle de jeu. Quand on vous disait que les Malfoy voyaient la vie en grand. Tous le mur de droite était lui recouvert de photo de son enfance, de Poudlard... Tous les tissus de la chambre étaient d'un beau vert émeraude allant des rideaux à la parure de lit ainsi que celle des fauteuils il n'était pas Serpentard pour rien.

Donc en ce beau jour d'été Draco ouvrit paresseusement les yeux, conscient qu'il faudrait qu'il se dépêche s'il ne voulait pas se faire enguirlander par son père avec un principe Malfoyen pour sa paresse: « Un Malfoy se lève tôt » qu'il lui dirait. Draco était persuadé que son père l'avait inventé lorsqu'il avait commencé à protester pour dormir encore au début des vacances car c'était la première fois qu'il l'avait entendu. Après s'être étiré il sourit en regardant ses photos.

Et oui les Malfoy savait sourire mais c'était un secret fièrement gardé, car il ne fallait jamais montrer ces émotions pour ne pas en souffrir, principe inventé par son arrière, arrière-grand-père lorsque que celui-ci se fit avoir par un ami de la famille à cause de ces « dites » émotions. Personnes ne sut jamais pourquoi mais ce principe était maintenant encré dans leur veine pour ne pas souffrir comme lui « Un Malfoy ne montre pas ces émotions en public ».Depuis chaque fois qu'il arrivait quelque chose d'important un nouveaux principe était inventé le plus drôle de tous étant:

« Un Malfoy à le droit de montré sa jalousie et de torturer et couper les couilles des malotrus regardant leur compagne ou compagnon d'un peu trop près» principe inventé encore une fois par son père Lucius lorsque sa mère Narcissa ce fit reluquer d'un peu trop près par un jeune homme. Draco trouvait celui-ci vraiment très drôle mais il ne pourrait pas l'appliqué avant un certain moment ne sachant toujours pas si il préférait les hommes ou les femmes, chaque fois qu'il en parlait avec ses parents ceux-ci le regardaient et explosaient de rire sachant visiblement la réponse mais voulant qu'il la trouve par lui-même. Il avait beau se creuser la tête il ne voyait pas comment ils pouvaient être au courant avant lui. Après cela il se promit de ne plus leur demander, il verrait bien à Poudlard après les vacances car pour l'instant il ne voyait vraiment pas comment l'apprendre les seuls personnes qu'il côtoyait pendant l'été était ses parents, ses elfes de maison et bien sur ses meilleurs amis Blaise Zabini et Théodore Nott.

Mais revenons à ce beau jour d'été. Après s'être suffisamment étiré il alla dans sa salle de bain. Celle-ci était très éclairée faite en marbre blanc. Elle était également immense avec une baignoire, une douche un lavabo une grande armoire contenant tous ces produits de beauté. « Un Malfoy prend soin de son corps » Principe inventé par lui tout simplement.

Il alla prendre une douche relaxant bien son corps. Puis après s'être lavé et avoir appliqué diverse crème sur son corps et avoir coiffé ses cheveux pas avec le gel comme à Poudlard il préférait les laissé lâche pendant les vacances. Il sortit de la salle de bain une serviette noué autour de sa taille et se rendit dans son dressing. Il mit bien 20min à choisir ses vêtements le temps qu'il passe en revue ses 2000 vêtements. Il ne comptait bien sûr pas s'arrêter au 2000, un Malfoy étant ce qu'il est. Il choisit donc une chemise noir cintré ainsi qu'un jean noir cintré également. Banal si ce n'est qu'ils le rendaient extrêmement séduisant

Puis après s'être admiré dans le miroir il descendit à la petite salle à manger, la grande étant réservé au visite. Celle-ci n'était pas si grande c'était même la plus petite pièce de la maison après les placards à balai. Elle contenait juste une grande table en pin pouvant accueillir 6 personnes et avait les murs dans les tons vers forêt. Le manoir était immense alors il mit bien 10min pour y aller. Arriver là-bas il ne vit pas ses parents, pourtant ceci l'attendait pour manger d'habitude. Il vérifia l'heure mais il n'était pourtant pas si tard il était 8h30 ses parents se réveillait tous les jours à 7h30 et l'attendait ensuite pour petit déjeuner. S'il n'était pas là c'était qu'il y avait un problème. Et il est bien connu que les problèmes se résolves dans le petit salon, le grand salon étant lui réservé au bien être en famille. Il s'enquit donc d'aller au Petit Salon. Il eut un mauvais pressentiment ses vacances n'allaient pas être si calme qui le pensait.