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Principes Malfoyen VS Potter
Par Pesu
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
4 chapitres - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 3     Les chapitres     4 Reviews     Illustration    
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Un horrible été pour Harry Potter

C'était la troisième semaine de vacance pour Harry Potter, et il n'en pouvait déjà plu. Elle ne se déroulait pas comme ses autres vacance, mais alors pas du tout.

Les vacances des autres années se déroulaient dans l'indifférence de la famille Dursley et certaines corvées qu'il devait faire dans le silence, et son cousin qui l'embêtait.

Ainsi sa tante Pétunia Dursley anciennement Evans une espèce de grande asperge au long coup, au trait pincé, et à la mine sévère l'obligeait à faire le repas ce qui ne le dérangeait pas car il adorait faire la cuisine. A s'occuper de ses plantes, ce qui ne le dérangeait toujours pas car il pouvait ainsi profiter du temps ensoleillé et se rafraîchir sous le jet d'eau. Elle l'obligeait aussi à mettre la table et la débarrassé, il trouvait cela normal car c'est lui qui préparait le repas alors c'était à lui de la ranger.

Quant à son oncle Vernon Dursley une énorme boursouflure dont se détachait une petite tête, toujours en colère lui l'obligeait à aller lui chercher le journal, à ranger le garage, à aller lui faire les courses. Cela ne le dérangeait pas plus que les corvées que lui donnait la sœur de sa mère car ainsi il pouvait s'occuper. Car si on ne lui donnait pas toute ces corvées il passerait ces journées dans sa chambre,-qui était anciennement la salle de jeu de Dudley- à ne rien faire ce qui n'était vraiment pas drôle pour un garçon de quasiment 16ans.

Ensuite il y avait son cousin Dudley Dursley, physiquement comme son père quoi que un peu plus mince, et plus baraqué. Lui par contre ce qu'il lui faisait le dérangeait vraiment. Il trouvait toujours un moyen de le faire engueuler et de le pousser avec une force surprenante « malencontreusement ». Mais il arrivait à le supporter.

Les années précédentes il n'avait certes pas le droit d'aller chez les Weasley, sauf au mois d'août mais il pouvait toujours leur envoyer des lettres .Ce n'était pas les vacances rêvée pour une personne normal mais il s'en contentait car il les avait toujours connu comme ça.

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Alors que cette année rien n'était plus pareil ,tout avait changé depuis que Dumbledore lui avait interdit d'aller chez les Weasley au mois d'août ,interdit d'envoyer des lettres, interdits de tous les plaisirs qui faisaient que ses vacances étaient supportables . Pour sa sécurité qu'il disait. Il préférait mourir tué par des Mangemorts plus tôt que continuer ses vacances ainsi. Car les Dursley avant n'osaient rien faire contre lui car il avait le droit d'envoyer des messages donc de prévenir quelqu'un contre les mauvais traitements, mais maintenant qu'il était privé d'envoyer des lettres ils avaient complétement changé d'attitude envers lui.

Ils le traitaient comme un elfe de maison, le battaient s'il ne leur obéissait pas. Il ne comptait plus le nombre de fois où il s'était retrouvé baignant dans son sang après une correction infligé par les Dursley père et fils .Sa tante elle se contentait d'afficher une mine dégouté et de lui ordonné de nettoyer le sang qui avait sali son « si précieux parquet », pourtant cela ne faisait que trois semaine qu'il était ici pour lui cela correspondait plus à une éternité.

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Il venait de se réveiller dans son lit, dans son placard à balais sous l'escalier. Oui ils avaient osé le remettre dedans, car c'était Dumbledore qui les avaient obligé à le mettre dans la deuxième chambre de Dudley, maintenant ils pouvaient sans remords le remettre dans son ancienne chambre, le placard à balais. De toute façon qui oserait les dénoncer ?

Quand il était dans son placard il ne pouvait quasiment plus bouger une fois qu'il dormait dans son lit, car il était beaucoup trop grand maintenant. Enfin lit, il dirait plutôt matelas de bébé avec couverture miteuse en guise de couette.

Il ne mangeait également plus à sa faim, il continuait toujours à faire les repas mais il était étroitement surveiller par sa tante pour qu'il ne mange pas. Au début des vacances il avait essayé de piqué un morceau de fruit servant à préparer une tarte au pomme ,sa tante avait alors appelé son oncle qui l'avait mis au sol avant de lui fouetter le dos de toute ses forces avec sa ceinture, et à chaque fois que des lambeaux de chair partait il rigolait, à chaque fois que le sang giclait il rigolait. Oui son oncle se transformait en monstre dans ces moments-là. Depuis il n'osait plus tenter l'expérience.

Il était beaucoup trop terroriser par ce qui l'attendait pour essayer. Alors il se contentait de manger le morceau de pain et le fruit que sa tante lui donnait, une fois par jour. Ce n'était pas suffisant pour tenir toute une journée dans son état déplorable, mais cela lui évitait une sérieuse correction, car sa « famille » détestait les voleurs, d'après eux ils mériteraient la peine de mort. Et mourir de leur main très peu pour lui. Il préférait se contenter de ce qu'il avait plutôt qu'ils le battent à mort.

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Donc aujourd'hui il se réveillait après avoir entendu son oncle tapé contre la porte du placard.

-Harry réveille-toi ! Tout de suite ! Ne me fait pas répéter ou tu sais ce qu'il t'en coutera.

A ce moment-là Harry prit peur, il sorti en trombe de son lit ouvrit la porte avec ses vêtements -enfin vêtements si on pouvait appeler comme ça cette masse informe rouge de sang « chemise »-, et couru s'enfermer dans la salle de bain pour se changer. Ses douleurs le faisaient atrocement souffrir. A tous les coups il allait avoir une septicémie mais il ne pouvait pas appeler d'aide, ni de médecin, ni sortir pour aller en chercher, alors il souffrait, mais en silence oui en silence, il ne valait mieux pas se plaindre devant les Dursley. Il enfila ses vêtements en quatrième vitesse et refis le chemin inverse pour aller préparer le petit déjeuner de sa famille, ils étaient tous là, à table attendant qu'il leur prépare leur petit-déjeuner comme l'esclave qu'il était.

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Sa tante commença à lui parler.

-Alors Harry qu'attend tu pour mettre la table.

-Tout de suite ma tante.

Il s'exécuta, oui, il était vraiment un elfe de maison.

Sa tante s'adressa alors à son fils uniquement à son fils car Vernon étant toujours d'accord avec le choix de son fils quand il s'agissait de nourriture et elle était d'accord de tous ses choix. Oui Dudley était vraiment un gamin pourri gâté, et cela n'allait pas en s'améliorant.

Sa tante demanda donc à son « Dudlynouchet d'amour » ce qu'il voulait manger. A tous les coups il allait lui demander un truc compliqué à faire et ils allaient le frapper parce qu'il avait mis trop de temps. Il s'y attendait alors il n'espérait pas s'en sortir. Il poussa un profond soupir, il essayait de se maintenir debout en s'appuyant contre l'évier, car quand il n'avait rien à faire c'était très difficile de se concentrer sur autre chose que ses douleurs, et dans ses moments-là il commençait à voir flou et ses jambes meurtris avait du mal à le tenir debout, alors il espérait sincèrement que cette fois sa famille ne mettrait pas longtemps avant de se décider.

-Que veut tu manger mon Dudley d'amour susurra Pétunia

-Des croissants maman.

Bon pour une fois il se décidait vite il pourrait vite s'y atteler, le seul bémol étant qu'il ne savait pas mais alors pas du tout faire les croissants, il espérait que sa tante est un livre de cuisine qui expliquait la recette car sinon il était mal mais il n'avait pas le droit d'aller les chercher avant qu'elle ne lui donne la permission alors il attendit.

-Des croissants quelle merveilleuse idée mon chéri ! Et bien qu'attends-tu Harry !S'écria-t-elle.

-Mais je ne sais pas faire des croissants tante Pétunia.

-Prends un livre de cuisine et cherche, je ne vais pas t'expliquer ton travail tout de même s'égosilla-t-elle.

C'est bon il avait sa permission.

Il alla donc chercher un livre de cuisine. Après avoir lu la recette il réfléchit à comment la réaliser. Ce n'était pas si compliqué que ça, enfin il l'espérait. Il se m'y donc à la dure tâche de faire des croissants. Une heure après il les fit cuirs. Quinze minutes après ils étaient prêts. Mais il savait déjà qu'il allait ce faire battre. Pendant l'heure de préparation son oncle avait fait plusieurs réflexions sur sa lenteur, c'était le signe qu'il allait être battu. Il espérait que les croissants seraient bons, car son oncle était plus magnanime s'il s'était régalé. Il obtenait un peu moins de 10 coups de ceinture, et de pieds, si il avait trouvait ça vraiment délicieux, un peu moins de 20 coups si cela était juste très bon, 30 si c'était bon et 50 si c'était passable, il n'avait encore rien fait de mauvais mais si ça devait arriver il ne savais pas ce qu'il risquait, et il ne préférait pas l'imaginer.

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Après que son oncle l'eu frappée 8 fois avec sa ceinture il le laissa retourné dans son placard. Il n'en sortait que pour faire les corvées, pour prendre sa douche ou quand son oncle était tellement énervé qu'il avait besoin de se défouler, et quoi de mieux que de battre son neveu pour cela? Ou alors il en sortait quand son cousin décidait de s'amuser avec lui.

Il y avait deux jours de cela son cousin avait trouvé très drôle de jouer aux fléchettes .La cible ? Lui, tout simplement. Ce jour-là Harry avait vraiment souhaité mourir tellement la douleur avait été forte, car chaque fléchettes s'étaient plantées dans une de ses blessures. Les rouvrant une par une et cela avait duré tout une heure jusqu'à ce que son corps soit couverts de sang.

Il souffrait vraiment énormément. Son dos, ses bras et ses jambes étaient remplis de plais profondes, et il devait avoir quelques os cassé, mais il ne pouvait pas dire lesquelle tellement son corps le faisait souffrir, il ne pouvait plus faire un geste sans ressentir d'affreuses douleurs. Quant à son visage, lui il était épargné car si sa famille recevait de la visite il pouvait toujours enfiler un pull et un jean et ainsi caché le fait qu'il était battu.

Ils avaient bien fait.

Car une fois Mrs Figg sa voisine qui était une amie de Dumbledore était venue s'enquérir de sa santé et de son état d'esprit. Sa tante avait alors demandé à son cousin de lui passer un vieux pull pour pouvoir cacher ses plaies, car il ne lui restait aucuns vêtements sans tache de sang. Lorsqu'il avait dû descendre il avait dut faire comme si il allait bien, car il était épier depuis le salon par son oncle qui surveillait le moindre geste suspect de sa part qui aurait pu mettre la puce à l'oreille de la vieille dame sur son mauvais traitement.

Mrs Figg avait été rassuré de sa parfaite santé et était repartie chez elle. Tout ceci s'était déroulé il y a cinq jours. Il aurait aimé hurler sur Mrs Figg que « Non il n'allait pas bien son corps était une blessure à lui tout seul,tellement il avait de plaies et de cicatrices! Alors elle ferait mieux d'aller prévenir se salopard de Dumbledore qu'il ramène ses fesses ici ! ».

Malheureusement il n'avait rien pu dire. Et à chaque fois que son oncle le frappait des dizaines de plaies se rouvraient et ses os se cassaient toujours plus, le sang recouvrait la quasi-totalité de son corps. Il aurait pu l'enlever mais il n'avait le droit qu'à une douche tous les deux jours.

Aujourd'hui justement était le jour où il avait le droit de prendre sa douche. Après être resté au moins une heure dans son placard et avoir vérifié que son cousin n'était pas au premier étage là ou se situait la douche il courut à la salle de bain retira ses vêtements, ouvrit le jet d'eau chaude, se glissa à l'intérieur de la cabine et laissa son corps ressentir cette eau bienfaisante. Il ne pouvait pas se laver car sinon ces plaies se rouvrait une par une alors il ne faisait que se laver les cheveux et laissé son corps se laver de tout le sang qu'il portait.

A chaque fois qu'il se douchait l'eau devenait rouge de son sang, et cela le dégoutait .L'eau chaude le faisait atrocement souffrir aussi mais grâce à elle le sang de ses différentes plaies s'arrêtait de couler après être sorti de la douche, et dans les heures qui suivaient la douleur était plus supportable car l'eau chaude agissait comme un désinfectant sur ses plaies mal soignées.

Après s'être habillé il retourna dans son placard, dans 2heures se serait l'heure de préparer le repas et il recevrait enfin son repas quotidien .Heureusement il n'était jamais battu les journées en semaine, le soir oui,mais jamais la journée car son oncle travaillait, son cousin allait jouer avec sa bande de brute dehors, et sa tante elle lui faisait juste faire les corvées comme les vacances d'avant, sauf les courses et arroser les plantes car les voisins pourrait ainsi voir qu'il subissait des sévices.

Mais maintenant ces corvées était devenu un supplice, avant cela ne le dérangeait pas de les faires mais maintenant que tout son corps le faisait souffrir il préférait rester allonger dans son lit et ne rien faire, juste attendre que quelqu'un vienne l'aidé, n'importe qui pourvu que quelqu'un le sorte de là.

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Le soir venu sa famille était heureusement pour lui, sortie. Bien sur son oncle l'avait battu avant de partir jusqu'à ce qu'il soit incapable de bouger pour ne pas qu'il appelle de l'aide. Ensuite il l'avait forcé à retourner dans son placard et avait fermé toute les issus à double tours pour plus de sécurité.

Et ainsi allongé dans son lit et au bord de l'inconscience Harry songea que dans moins de deux jours cela serait son anniversaire. Et il espérait sincèrement que quelqu'un vienne l'aidé, avant celui-ci, oui il l'espérait.

 

 
 
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