Rating T (non non, toujours rien là)
disclaimer: Tout est à J.K Rowling, à part les enfants, ce sont mes bébés à moi
ps: ceci est la fin, je ne savais pas comme faire quand je l'ai écrit. Je ne trouvais rien pour faire retrouver la mémoire de Draco, j'ai galéré longtemps aant qu'un beau matin, l'idée me vienne. Vous la trouverez bien à la fin =)
************
La Salle sur Demande s’était agrandie pour accueillir un groupe assez spécial. Et pour cela, elle avait été imaginée avec un bon nombre de fauteuils et de canapés, des coussins partout sur le sol, tout autour d’un feu.
Blaise et Théo avaient dû réexpliquer les raisons pour lesquelles leurs mémoires avaient récupérés plus vite et argumenter leur silence durant toutes ces années.
- C’est juste que ce n’était pas le bon moment, expliqua Théo doucement. Déjà, les enfants étaient petits. Ensuite, vous ne nous auriez pas cru. On s’est dit que le mieux était d’attendre que Gabriel et les autres passent dans notre passé pour qu’on vous révèle tout ça.
Hermione posa une main sur le bras de son mari, le calmant ainsi pour qu’il ne dise pas de bêtises ou de méchancetés.
- Mais vous ne vous êtes pas évanouis quand vous avez recouvré vos souvenirs, réfléchit Harry. En tout cas, on ne vous a pas vu tomber dans les pommes à l’hôpital.
- Potter, grimaça Blaise en roulant des yeux. Ce jour-là, entre s’évanouir et avoir mal, le choix a été vite fait. Et je te rappelle que nous, les Serpentards, nous ne sommes pas aussi douillets que les Gryffondors.
Cette pique avait été dite gentiment, et Ron sut le déceler. Il ne dit donc rien.
- Et pour Père? Demanda Eli, ramenant l’attention sur elle.
- Eh bien, commença Harry, pensif. C’est une premier jour plutôt concluant. J’avais raison de penser que Poudlard avec nous tous lui ramènerait quelques souvenirs.
- C’est vrai, approuva Gabriel avec un sourire. Eli est sortie parce que Père a menti sur un léger détail, par pur égoïsme. Et il est sorti sans même demander où la trouver.
- Il a mis dix minutes pour me retrouver! Protesta Eli avec un grand sourire.
- Il a peut-être l’habitude de te voir te cacher là, hasarda Ron, s’attirant le regard noir de tous les jeunes Potter-Malefoy.
- Impossible, contra Sinclair en remontant ses lunettes. Père a promis qu’il nous laisserait tranquille pendant la période scolaire, qu’on devait vivre en autonomie avec nos Maisons et donc qu’il n’avait rien à faire là.
- Mais et pour ses crises avec Eli? Répliqua Ron en roulant des yeux. Il ne se montrerait pas aussi protecteur s’il ne se mêlait pas de vos affaires!
Il avait raison. Et Merlin seul savait que cela exaspérait plus d’un jeune Potter-Malefoy. Depuis quand oncle Ron était aussi perspicace, hein?
- D’accord, soupira Harry pour calmer le jeu. On va dire que peut-être, c’est à cause de ses surveillances trop rapprochées sur nos enfants qui fait qu’il a réussi à trouver le lieu où se cachait Eli. Mais je tiens à préciser que tout à l’heure, dans l’après-midi, quand je suis allé voir ce Poufsouffle, comme le plan l’indiquait, Draco est arrivé, énervé contre moi et le garçon. Il l’a viré et m’a dit quelque chose comme « ta technique de drague est toujours aussi mauvaise »! Si ça, ce n’est pas la preuve que son subconscient revient à la charge!
- Peut-être que pendant la période d’après-guerre, tenta à nouveau Ron, tu as essayé de le draguer? Ce qui serait normal après tout. Tu le bouffais des yeux dès que tu le voyais!
- Je n’ai rien fait pour le draguer, grinça Harry.
- Tu lui faisais du rentre-dedans, répliqua Hermione avec un grand sourire. Qui aurait cru que le grand Draco Malefoy était en réalité très sensible au romantisme et à l’attention que tu lui portais!
- Papa? Demanda Liam avec des yeux ronds. Alors c’est encore toi qui a essayé de le reconquérir?
- Je dois t’avouer que lorsque vous êtes arrivés, hésita Harry, je n’ai fait que vous rendre service. Je n’étais vraiment pas plus attiré que ça par votre Père. C’était pour vous faire plaisir. D’après Hermione, c’est mon complexe du héros. Mais dans tous les cas, après notre premier baiser, j’ai voulu plus avec lui, alors… moui. J’ai essayé de le reconquérir même après. Parce que je l’aime et que je l’aimais encore même après avoir perdu mes souvenirs.
- Potter! S’écria Théo, faussement outré. C’est d’un Poufsouffle!
- Potter-Malefoy, soupira Harry avec un petit sourire.
Les discussions continuèrent jusque tard dans la nuit et chacun de retirèrent dans leur Maisons respectives. Les jumeaux, Harry et le couple Weasley se dirigèrent vers la tour des Gryffondors en se demandant encore quel scène ou évènement réenclencherait la mémoire du blond.
- Les chocolats, avait proposé Hermione. Tu l’as harcelé avec pendant plusieurs semaines. Ça serait un bon début.
Oui, ça, il y avait pensé dès le début du plan.
- Et si on donnait du lait au miel à Ethan, demain matin? Suggéra Liam, l’air de rien.
- Non! Refusa tout de suite son père, l’air horrifié. Déjà, quand on a apprit sa réaction étrange au lait et au miel, ton père ne s’est rappelé de rien, alors je préfère éviter le côté trop Serpentard de ton frère.
Les jumeaux plaisantèrent encore un peu mais ils étaient d’accord. Ethan, et son dédoublement de la personnalité, était une histoire à ne pas prendre à la légère.
*************
Le château était encore silencieux et vide de tout mouvement. Le soleil se levait paresseusement et il était là, dans les couloirs, tout seul, se dirigeant vers les cachots, une boîte blanche au ruban vert sous le coude, maintenant sa cape d’invisibilité qu’il avait piqué à ses enfants.
Gabriel lui avait donné le mot de passe de sa chambre de préfet, de tel sorte qu’il n’avait pas à parler en Fourchelangue pour entrer.
Il devait être aux alentours de six heures du matin. Il était un peu fatigué mais c’était pour son mari qu’il faisait ça. Alors il marchait presque silencieusement, le cœur battant de voir enfin sa tendre moitié.
Car oui, même s’il avait imposé leur anciennes relations d’ennemis au château, tout ce qui c’était passé, c’est qu’ils ne s’étaient pas vus depuis plus d’une journée. Il lui manquait déjà assez dans la semaine, quand ce dernier travaillait au château, alors si en plus, il devait perdre du temps pendant les vacances!
Il s’arrêta devant un tableau et prononça le mot de passe. Le passage s’ouvrit sans aucun problème et il pénétra enfin dans l’antre e tous les préfets en chef Serpentards. Très anciennement celui de son mari, actuellement celui de son fils aîné.
Il jeta un coup d’œil sur les alentours. Rien n’avait changé, tout était dans les tons verts et argents, c’était propre, c’était bien organisé, rien à redire. Et la forme dans le lit le fit ramener une vingtaine d’année en arrière, lorsqu’il était venu exécuter son plan.
Il s’approcha silencieusement du lit, un tendre sourire aux lèvres. Merlin qu’il aimait cet homme. Cette moitié qu’il avait pourtant haït presque toute son adolescence. Cet amour qui cachait une face bien plus belle que celle qu’il montrait aux autres.
Il déposa les chocolats sur la table de chevet, comme il l’avait fait par le passé et ne put résister à la tentation de poser un baiser sur le front du blond.
- Je t’aime, souffla-t-il dans les mèches au doux parfum de melon et de poivre.
Oui, il aimait cet homme, et il avait bien l’intention de ramener un morceau de son passé dans son cerveau…
*************
Que vous dire de plus si ce n’est que la semaine qui suivit fut un cauchemar pour Draco Potter-Malefoy, un vrai amusement pour tout le monde et une panique totale pour Harry?
La boîte de chocolat fut accepté certes avec plaisir (d‘ailleurs, toutes les suivantes connurent le même sort), Draco n’éprouva pas plus qu’une vague de mélancolie en ouvrant la boîte et souriant face aux mots d’amour de son mari.
La reprise de leur premier baiser ressembla presque à celle d’y a des années, parce que oui, on allait pas rappeler la bande de Serpentards fautive juste pour ça et Harry dût improviser. Faire croire à Draco que sa petite fille chérie de quinze ans était en train de se faire peloter par un garçon. Bien sûr, ce mensonge fit mouche et Harry entraîna son blond dans le même tournant d’il y a plusieurs années pour un baiser.
Ce baiser fut accepté avec plaisir parce que, après tout, ils ne s’étaient pas retouchés depuis tellement longtemps…
Cette affaire fut donc un échec.
Puis Harry voulut passer aux choses sérieuses et demanda à Blaise et Théo d’écrire un terrible bobard sur lui trompant le blond avec un élève. C’était une façon de l’amener à revivre leur toute première fois dans une salle de classe…
Mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’était que Blaise et Théo se donneraient à cœur joie dans cette histoire et que Draco était bien plus puissant maintenant que lorsqu’il était encore un adolescent.
Il fallut toute la science d’Hermione et l’agilité d’Auror de Ron pour arrêter Draco avant que le brun ne finisse en poussière.
- Tu vas y laisser des plumes, l’avertit Ron en se réinstallant, essoufflé.
- Je n’espère pas, marmonna Harry en faisant léviter le blond.
La scène d’après fut un démenti total de ce qu’avait raconté les deux Ex-Serpentards et il le lui prouva en lui faisant l’amour dans une salle de classe qui avait connu des jours meilleurs.
Étrangement, Draco versa quelques larmes pendant l’acte. Non de douleur, bien sûr, mais on aurait dit que son corps réagissait à quelque chose « d‘ancien » tandis que son cerveau ne se rappelait de rien.
Les trois jours qui suivirent, Harry désespéra et finalement, se dit qu’il n’avait plus qu’à profiter de son mari et des instants qu’ils partageaient, que de tenter quoique ce soit qui ne marchait pas.
Les enfants décidèrent de passer les derniers jours chez les Grands parents Weasley, pour la plus grande joie de Gabriel, et Peter les accompagna.
Les quatre autres adultes décidèrent de les laisser tranquille, en amoureux et partirent à leur tour de l’école.
Ce n’est que le dernier jour des vacances que le couple décida de faire leur valise et connaissant Harry, il y avait plein de choses éparpillés partout dans la chambre. Au grand damne de son mari.
- Harry! S’écria Draco en sortant un slip de sous le fauteuil. Tu es vraiment sale! Comment ai-je pu te supporter pendant toutes ces années?!
- Mais amour… ce n’est pas à moi.
- …, Gabriel, soupira Draco en balançant malgré tout le sous vêtement dans la salle de bain.
Harry continuait de plier chemises sur t-shirts pendant que Draco râlait de retrouver plein de choses sous le mobilier.
Ce ne fut que lorsqu’il atteignit le dessous de lit et qu’il attrapa une paire de chaussettes propres qu’il eut comme un flash. Il tourna précipitamment la tête vers le mur où reposait la tête de lit et s’insinua un peu plus, se rapprochant de ce mur, faisant fi de la poussière.
« Tapoter trois fois la brique lisse et siffler »
Draco s’exécuta, ne se demandant même pas d’où venait ces instructions venant d’un autre temps.
- Chéri?
Il n’écoutait pas, il n’entendait pas, il tapota trois fois la brique lisse et siffla. Cela devait être du Fourchelangue, mais lui, il siffla comme il sifflait un chien. Mais la cachette s’ouvrit, montrant ainsi son trésor vieux d’une vingtaine d’année.
« Personne ne le saura, mais c‘est un moyen pour moi de conserver ces souvenirs. Même si ce n‘est pas moi qui la retrouve »
- Draco?
Il n’écoutait pas, il n’entendait pas, il sortit la pensine qui contenait plusieurs tubes en son sein et la tira jusqu’à la lumière. Merlin, son cœur battait extrêmement vite.
- Amour? Mais qu’est-ce que c’est? C’est à Gaby?
- Non, souffla Draco, les mains tremblante en posant la pensine sur le bureau. C’est à moi. Je l’ai laissé ici il y a des années.
- Mais… tu ne m’en avais jamais parlé.
- Je n’en avais pas le souvenir non plus, avant de me retrouver à quatre pattes sous le lit.
Le blond étala la dizaine de tubes en verre sur le bureau et choisit le plus ancien, « mars 1997 »
Il y versa le contenu dans la pensine et regarda longuement Harry. Ce dernier, remarquant sa détresse lui prit la main et murmura un « ensemble » qui rassura sa moitié. Ils plongèrent tous les deux la tête dans l’objet de pierre et la sensation de chute les prie.
*************
Draco était assis à son bureau, les jambes croisées, tandis qu’il lisait une lettre, la pensine et plusieurs tubes vides étalés un peu partout. En se rapprochant un peu, ils pouvaient lire:
Mon fils,
Comme tu nous l’as demandé, voici la pensine et quelques récipients qui pourront t’aider à te vider un peu la tête durant cette dernière année des ASPICS. C’est une bonne idée que tu as eu, cela te permettra de faire la part des choses entre tes devoirs de préfet en chef, tes devoirs et tes révisions. Fais-en bon usage,
Lucius Malefoy
Mon chéri, comment vas-tu? Ton père a accepté que j’y glisse un petit mot. Manges-tu assez? Ne te démènes pas trop, tu auras tes ASPICS haut la main. Je t’aime,
Maman.
Le Draco du passé poussa un profond soupir avant de regarder la pensine. - Si seulement vous saviez, grogna Draco en sortant sa baguette. Des gamins du futurs, un Potter pour mari… Si seulement vous saviez…
La scène s’estompa et fit place à la salle commune des Serpentards. Une troupe de jeunes Verts et Argent s’étaient agglutinés autour de leurs enfants et Draco leur faisait face. - Père! Lança une Eli souriante.
- Ne m’approche pas, cracha le blond en se reculant un peu. Je ne sais pas qui tu es, je ne veux pas savoir d’où tu viens, mais je suis sûre que c’est une blague du balafré pour me déstabiliser. Je ne peux pas avoir des bâtards avec lui, c’est impossible, vous seriez des erreurs de la nature! Il doit bien se marrer à l’heure qu’il est. Dis-moi, il vous a payé cher non? Pour faire toute cette mise en scène? Tu n’as pas honte? À ton âge faire de la prostitution pour étaler ton image et ainsi prendre l’argent qu’on te donne?
CLAC
- Je pensais que ce serait Papa le plus difficile à convaincre de son homosexualité par rapport à toi. Mais là, tu dépasses les bornes, Père. Si j’avais su que tu étais comme ça dans le passé… Tu me déçois, vraiment.
Et elle s’en alla.
- Père a été trop loin, annonça Gabriel à ses jumeaux qui venaient d’entrer, en se frottant le visage.
- Elle doit avoir ses règles pour s’être emportée au quart de tour, répliqua Ethan, toujours affalé dans le fauteuil où il avait suivi l’altercation alors que Gabriel avait essayer de calmer le jeu entre les deux camps.
- Ethan! S’écria ses frères, rougissant de gêne.
- Bah quoi? Je dis la vérité. Faut peut-être aller la chercher là, non? Rajouta-t-il à l’adresse de son père qui n’avait toujours pas bouger. On discutera après.
- Allez la chercher vous-même, cette folle, gronda Draco Malefoy en essayant de garder autant de dignité. Je me demande ce qu’elle fait chez nous alors qu’elle est aussi impétueuse et incontrôlable que les Gryffondors.
- Draco, intervint Pansy. Cette fois-ci, tu es allé bien trop loin avec elle. Que ce soit ta fille du futur ou non, tu n’avais pas à lui parler de la sorte. La traiter de bâtarde, ou d’erreur de la nature parce qu’elle s’est montrée un peu trop émotive…
- Vas-y, Malefoy, lui lança Théodore Nott. Même avec une jolie demoiselle, on ne se comporte pas comme ça.
Sentant qu’ils étaient tous ligués contre lui, il partit, la tête haute, aussi dignement qu’il le pouvait encore.
- Ah, elle doit se trouver sous le grand saule pleureur du parc! Le prévint Ethan avant que la porte de la salle commune ne se ferme.
La scène changea de nouveau, laissant place au parc de Poudlard. Les deux adultes cherchèrent le Draco plus jeune et Eli et virent une silhouette s’avancer vers le lac. Le blond semblait pensif et lorsqu’il s’approcha de la jeune fille, cette dernière souriait, mais ne le montrait pas. Un faible « désolé » fut prononcé et ils partirent tous deux quelques temps après.
Les deux spectateurs sentirent qu’ils étaient rejetés des souvenirs et revinrent à la réalité.
- Merlin, souffla Draco, pâle comme la mort.
- Chéri?
- Les enfants ont tenté de me faire revivre la dernière scène, lui expliqua Draco en tremblant. Comment est-ce possible? Pourquoi est-ce que je ne m’en rappelle pas?
- Tu veux continuer? Hésita Harry qui sentait que son cœur allait exploser de bonheur.
- Je… il le faut. Merlin, ce sont vraiment mes souvenirs…
Harry suivit son blond dans tous ses souvenirs.
La réunion des préfets organisée d’urgence en plein milieu de la nuit après l’explosion, le sort de silence lancé sur les préfets pour qu’ils gardent l’affaire secret, Draco qui devenait rouge de rage d’entendre de tels inepties sur des enfants qu’il était sûr de ne jamais avoir avec le balafré, sa colère.
Puis le lendemain, lorsqu’il fut convoqué chez le directeur avec Harry, et que ce dernier s’évanouit en apprenant la nouvelle. La discussion qui s’ensuivit ensuite dans l’infirmerie lorsque ses amis Serpentards vinrent lui rendre visite.
Le tête à tête père-enfants Potter-Malefoy ensuite, où Draco apprenait que Pansy mourrait dans le futur mais qu’il resterait tout de même proche de Blaise et Théo.
Les discussions avec Gabriel sur des anecdotes du futur, sur ses enfants et une vie de famille chaleureuse, aimante, tout ce qu’il n’avait jamais réellement eu en étant enfant unique.
L’éloignement des enfants qui le rassura un minimum mais la complicité qui se formait avec les Gryffondors le rendit jaloux. Sans compter que Potter décida de devenir un Mister Sex et de lui faire perdre tous ses moyens.
La rage et la jalousie qui le rongèrent lorsqu’il aperçut un Poufsouffle dragué Potter dans les couloirs. Ce n’était pas encore le couvre-feu mais il leur enleva plusieurs points pour se venger. Et l’arrivée de ses aînés ne lui plu guère. Après tout, il était à deux doigts de frapper le balafré de l’ignorer de cette façon!
Le fou rire qui entraîna ses jumeaux au sol le fit sourire malgré ses sueurs froides. Son lui du passé arriva, ne comprenant pas pourquoi Potter était gêné, et les jumeaux pliés de rire à chaque mots qu’il prononçait. Il fit rapidement le rapprochement entre le poème de mauvais goût qu’il avait trouvé sur Harry récemment et ce que cachait Gabriel dans sa main dans le souvenir.
Le baiser qu’Harry et lui échangèrent dans un couloir, le même qu’il y a plusieurs jours. Et qui lui fit sentir le doux parfum de rose et d’orange sur son brun. Les boîtes de chocolat, leur première fois, la formation de leur couple, sa personnalité demi-Poufsouffle qui faisait rire Harry. Les larmes ne cessaient de coulées pendant que les souvenirs reprenaient leur place dans sa mémoire. Le philtre que lui avait fait ingurgiter Severus s’effilocha et Draco perdit connaissance.
*************
Voilà! C'est la fin! la semaine prochaine vous aurez droit à l'épilogue!
merci de m'avoir suivit jusque là!
EliH |