Les premiers chapitres sont publié rapidement car déjà écrit et publie.
Bonne fin de journée en espérant que cela vous plait.
CHAPITRE 1 : Première rencontre.
PDV : Merope.
Encore un journée à l'internat. Beaucoup penserait, qu'elle pauvre jeune fille, mais moi je sais que je ne dois rien demander de plus, et je suis bien ici accompagnée de tout ces enfants. Ce qui ne plaît pas forcément à ma pensée qui continu de me dire à chaque fois que je pense ça ''Tu ne dois pas les aimer, ils sont là pour te servir toi la fille du plus grand mage noir''. La directrice m'a accepté alors que je n'avais que trois ans. Depuis je lui suis dévouée. Elle m'a tout donné, et depuis hier, je lui en devait encore plus : elle m'a permis d'aller au collège, alors que j'avais toujours suivis les cours à l'internat ! Ce qui me parut étrange c'est que ma pensée a été folle de joie.
Quand elle me l'a annoncé j'ai eu l'impression que toute ma vie changerait. De plus elle m'a dit qu'aujourd'hui l'un des professeurs de cette école viendrais m'expliquer le déroulement de celle-ci, qui était particulière car j'y resterait dix mois sur douze. Je n'était pas dupe, je savait dans quelle genre d'école j'irai car ma pensée m'avait expliqué que c'était ma chance de prendre sa revanche, pendant je ne sais combien de temps après avoir reçut la lettre. Il était seulement six heures du matin lorsque je me levais ne pouvant plus dormir. Mon père, et oui c'est lui ma pensée, me l'interdisait disant qu'il fallait que je me prépare. Juste le fait de savoir que j'allais pouvoir sortir d'ici, même si je m'y sens bien, rencontrer de nouvelles personnes, et vivre plein de nouvelles choses qui ne me serait jamais arrivée ici à l'orphelinat. Après avoir fini de rêvasser, j'allais donc dans le salon et y rencontrait Amélia, la seul jeune fille qui travaillait pour l'orphelinat, elle commençait à mettre la table pour les vingt cinq autres jeunes qui vivaient ici. Je décidais donc d'aller dans la cuisine et commençait à préparer le petit déjeuné. Faire la cuisine me permettait de pouvoir réfléchir sans être déranger car c'était mon monde, et tout le monde savait qu'il ne fallait pas m'embêter. Tout le monde moins mon père qui me disait que ça ne servait à rien. Finalement au bout de deux heures, j'allais amener tout dans le salon quand Catherina, l'une des seul personnes avec qui je m'entendais bien, vient me prévenir qu'il fallait compter une personnes de plus pour le petit déjeuner car, mon futur professeur était arrivé dans la nuit.
J'étais toute excitée ! J'allais enfin pouvoir connaître les personnes qui m'entoureront pour les années à venir. Je me précipitait dans ma chambre, je la partageait avec Catherina, et me préparait à recevoir mon professeur. J 'allais dans la chambre des plus petits et je les réveillaient. Puis petit à petit tous se réveillèrent et s'installèrent dans la salle à manger, en attendant notre directrice et notre invité d'honneur.
J'avais demandé à tout le monde d'avoir un comportement irréprochable car je ne voulait pas que le professeur juge mal notre école et il pourrait ainsi y inscrire d'autres enfants dans son école. Ça c'était l'espérance de la jeune fille qui ne veut pas croire tout ce qui l'entoure. Ma mère me l'avait dit et mon père me le répète tous les jours. Au moment ou le dernier enfant s'installait, la directrice entra et tout le monde se leva, lui dit bonjour et se rassit. Derrière elle était entrée un homme d'un certain age, joufflu, les cheveux noir, il portait des vêtements mal assortie. Typique de notre monde me dit mon père. De loin je ne pu le voir correctement. Il s'assit à côté de la directrice, juste en face de moi. Je lui fit un sourire et, me reconnaissant sûrement, il fit de grand yeux, étonné. Le repas se passa dans un vacarme insupportable pour des personnes normales, mais le professeur semblait y être habitué. Quand tout le monde eu fini, Amélia se leva, car elle mangeait avec nous, pour débarrasser et je fit de même pour l'aider, quand la directrice demanda à Catherina de le faire à ma place car nous devions parler avec le professeur. Je me levait et les suivit. ''Le moment temps attendu est arrivé, ma vengeance est là'', quand pourrais-je le faire taire.
La directrice nous emmena dans son bureau ou la conversation commençât ainsi :
'' Monsieur, je suis très honoré que votre école choisisse Mérope mais, comme je l'ai dit à votre directrice, cette enfant à très peu d'argent et ne peut payer ses études.
Pour cela Madame ne vous inquiété pas, notre école à mis en place un service d'aide pour les personnes comme Mlle Jedusor.
Bien, sur ce point nous somme tranquille. Maintenant parlons de votre école. J'ai essayer de faire des recherche dessus mais je ne trouve rien. Comment cela ce fait-il ?
Notre école n'aime pas la publicité et nos élèves sont généralement des élèves discrets. Cela dit je dois vous dire que vous avons pour habitude de discuter uniquement avec les élèves de cette école.
Vous voulez dire que, je dois vous confier une enfant qui est sous ma responsabilité sans rien savoir de votre école ?
Je crois qu'il vaudrait mieux pour vous de ne rien savoir effectivement.
Je refuse de...
Madame, si je puis le permettre, tentais-je d'intervenir car je voyait que la situation commençait à partir trop loin, pour une fois j'écoutais à mon père, ou je risquais de ne plus pouvoir partir. J'aimerais parler seul à seul avec le professeur Londubat.
C'est votre choix. Mais prenez bien votre temps pour vous décider, d'accord ?
Bien sur madame. Merci. »
Je me levais et indiquais le chemin au professeur. En traversant le couloir je remarquais que tout le monde nous regardait. Il est vrai que je vais être la première de l'orphelinat à ne pas suivre sa scolarité dans la classe de l'internat. Je le fit entrer dans ma chambre et je remarquais que Catherina était assise sur son lit et regardait quelque chose que je n'avais encore jamais vus la première fois que je me tournais vers, puis j'eus un pincement au cœur, en reconnaissant le cadeau que nous lui avions offert pour son dernière anniversaire c'est à dire un album photo que nous essayons de le remplir petit à petit. Je ne comprenait pas pourquoi elle le regardait maintenant, finalement elle remarqua notre présence et sortie de la chambre. Je m'assis et regardait encore en direction de la porte fermée quand le professeur Londubat commençât à parler :
''- Es-tu proche de cette jeune fille ?
Oui. C'est la seul vrai amie que j'ai ici, et comme on est les deux seul du même age on s'entraide.
Je peux comprendre. Sache que ce que je vais te dire risque de te choquer donc je t'autorise à en parler à la directrice et à cette camarade de chambre mais uniquement si tu es sur qu'elles peuvent garder un secret sinon il ne vaudrait mieux pas. Mais avant il faut bien sur que je demande l'autorisation à la directrice de l'école.
De quel école s'agit-il ?
Cette école est pour les personnes spéciales mais pas pour les fous ne t'inquiète pas.
Comment s'appelle cette école ?
Poudlard. C'est une école de...
Ha ! Vous êtes professeur dans l'école de sorcellerie Poudlard ! Et voilà je vient de me faire engueuler par mon père pour avoir parler trop vite. En même temps il m'en parle tout le temps j'ai pas pus m'en empêcher.
Co...Co...Comment connaît tu l'existence de cette école ?
He bien c'est ma mère qui m'en a parlé. Dans ce cas vous pouviez parler devant la directrice car elle connaît aussi l'existence de notre monde. Ho non ! Je ne devait pas le dire ! Ma mère m'avait fait promettre de ne jamais révélé que je connaissait l'existence du monde des sorciers ! Et encore moins que la directrice le connaissait. Je suis trop bête ! S'il vous plaît ne dite rien à personne ! Sinon on risque encore d'avoir des problèmes ! A partir de ce moment je décidais de renvoyer mon père pour pas qu'il en sache trop. C'est une technique que ma mère m'a apprise.
Non ne vous inquiétez pas je ne parlerais pas de vous. Mais vous pouvez m'en dire plus ?
Ma mère m'as donner ceux-ci pour une certaine Minerva McGonagall.''
Je partie chercher la boite en verre, seul souvenir de ma mère. Je la montrais au professeur Londubat. Il l'ouvrit et regardât les objets qu'elle m'avait confié : une lettre, une clé, et une photo. La photo je l'avait ajouté, c'était la seul photo que j'avais de ma mère et je ne m'en séparait jamais. Le professeur Londubat me regardât et me sourit.
Il reprit la conversation ainsi :
'' - Je dois dire que quand le professeur McGonagall m'a dit de venir vous chercher je ne m'attendait pas le moins du monde à trouver une jeune fille qui était déjà au courant pour notre monde. Néanmoins si je ne m'abuse vous ne connaissez pas tout. Cette petite clé que votre mère vous à laissez est la clé d'un coffre dans la meilleure banque de sorcier, cette lettre a été sellé de manière à ce que seul le professeur McGonagall puisse l'ouvrir. Maintenant mon travail est presque fini n'ayant pas besoins de vous expliquez ce qu'est le monde magique je te donne cette liste fourniture scolaire que tu dois acheter avant le 1 septembre. Ensuite, je vais t'accompagner les acheter parce que tu ne dois pas connaître le chemin de Traverse. Je crois que c'est le plus important. Avez vous des questions ?
Oui une seul. Est-il courant chez les sorcier d'entendre des voix dans leur tête ?
Quoi !
Oui, quand je suis énervée, vexé ou très contente, ou même quand je le renvoie pas dans le coin sombre de ma tête. j'ai comme une autre personne qui me parle dans la tête. En ce moment par exemple elle ne veux pas que je vous dise qu'elle existe. Même enfermer je sentait ce qu'il voulait mais il ne pouvait pas voir et entendre ce que je disais. Ou encore quand vous avez dit votre nom il à dit que vous étiez un traître à votre sang. Et quand nous avons parlé de Poudlard il à éclatée de rire, mais un rire de joie et il as dit qu'il aurait sa revanche.
T'as t-il dit qui il était ?
Non, il m'as juste dit qu'il était mon père mais ma mère m'as toujours dit de ne pas lui faire confiance que mon père était un être maléfique. Et comme vous êtes le premier sorcier que je rencontre depuis mes trois ans, je voulais poser la question. Mais je vois que ce n'est pas courant.
Il serait mieux que vous parliez de cela avec la directrice à votre arrivé. Je vous laisse préparez quelque affaire et je vais parler un peu avec votre directrice pour lui expliquer quelques petites choses.
Très bien. Merci.''
Il sorti et le pendant que je commençais à ranger mes affaires Catherina rentra dans la chambre gênée. Je me tournais vers elle pour voir ce qu'il se passait et je remarquais qu'elle avait les yeux bouffis, elle avait pleurée. Je l'a connaissait et elle était la fille la plus forte qui soit, pour qu'elle pleure c'est qu'il y avait quelque chose de grave. Je lui sourit et l'invitait à s'asseoir avec moi sur mon lit, peut importai que nous soyons pressé, je ne pouvais la laisser comme ça. Elle vient s'asseoir et me regardât un moment. Au moment ou je m'y attendait le moins elle se mit à parler.
'' - Maintenant que tu vas dans ce collège tu risque de ne plus penser à tes amis de l'orphelinat n'est-ce -pas ?
Bien sur que non ! Bon il est vraie que je ne vais pas penser à Sophia, elle se mit à rire, mais toi ou la directrice je ne pourrait jamais vous oublier. Tu m'entends ! Vous m'avez toute les deux énormément aidée dans les pires moments de ma vie et nous avons toujours été ensemble, alors tu peux me dire pourquoi sa changerait ?
Tu risque de découvrir d'autres personnes mieux que nous, plus riche et qui ont des familles qui peuvent vous accueillir pendant les vacances. Il serait normal que tu finisses par nous oublier.
Que je sache ces personnes peuvent être aussi bien qu'ils le veulent, il ne t'arriveront jamais à la cheville tu sais pourquoi ? Parce qu'il ont toujours eu ce qu'ils voulaient et n'ont jamais compris, ou pas encore, que la vie n'est pas simple. Contrairement à toi qui à toujours compter que sur toi, même si la directrice s'occupe bien de nous, ce n'est pas la même chose que de vivre avec des parents.
Mais pourquoi tu serais accepté dans une école externe de celle de l'orphelinat et pas moi ? Pourquoi que toi ?
Je...je ne peux pas te le dire. Je suis désolée. Mais je peux déjà te dire que ça concerne ma bizarrerie et que ça vas m'aider à la résoudre. Et ne t'étonne pas si tu reçoit des lettres envoyée par des hiboux.
Elle sourit et je su tout de suite que notre petit mal entendu était réglée. Finalement elle m'aida à faire mes bagages et nous étions entrain parler de ce que nous allions faire quand je reviendrais pour Noël, car il était impossible que je ne revienne pas.
Au bout de dix minutes, ma valise était prête, le professeur vint me chercher et je descendis. Nous devions aller acheter tout ce qui était inscrit sur la liste scolaire. Pour ma part, même en connaissant Londres, je ne voyais pas ou l'on pouvait acheter des baguettes, des chaudrons, des plantes dont les noms ne me disent rien du tout, des robes de sorcier, ou tout autres choses de ce genre. Mon père étant de retour il me dit que tout se trouvait sur le chemin de traverse, ce qui ne m'aidait pas beaucoup. Nous sortîmes de l'orphelinat et commençâmes à marcher dans Londres. Il est vrai qu'il aurait été plus simple de prendre une voiture mais le Professeur Londubat n'avais jamais réussit son permis ''moldus''. Finalement au bout de deux heure de marches, mes pied n'en pouvaient plus, nous arrivâmes à l'entrée d'un pub qui ne me disait rien de bon. Avant d'y entrer le professeur Londubat se tourna vers moi et me dit :'' Écoutez, sans que je puisse vous en dire d'avantage, il est préférable que vous ne disiez à personne votre véritable nom. C'est pourquoi la directrice de Poudlard a décidé de vous donner un nom que personne ne connaît. A partir de maintenant vous vous appellerez Merope dimpt. D'accord ?'' Je hochais la tête en signe de compréhension, même si je ne voyais pas ce que pouvait avoir mon nom. Quand à mon père il n'était pas des plus heureux, il voulait que tout le monde ai peur de moi en entendant mon nom.
Nous rentrâmes dans le pub, le barman salua d'un signe de tête le professeur en lui montra un hiboux qui tenait une lettre. Le professeur me dit d'attendre à une table puis il alla chercher le hiboux et la lettre. En revenant il avait le visage inquiet, préoccupé je lui demandais ce qui se passait et il me répondu que sa femme avait quelque soucis avec sa grossesse, et qu'elle le voulait au près d'elle. Je lui proposais de faire mes courses seule mais il répondu qu'il avait un ami qui travaillait à l'hôpital de Saint Mangouste, l'hôpital des sorciers, qu'il allait le contacter et y envoyer sa femme. Le temps qu'il écrive une lettre, et que l'hibou reparte, nous nous avancions dans l'allée derrière le bar. Devant nous se tenait un murs, le professeur Londubat sorti sa baguette et tapa sur une brique, celle-ci se mit à tourner et quand toute les briques se déplacèrent pour laisser un passage, je me trouvai face à l'inconnu. Moi qui croyait que ma mère m'avait raconté tout ce qui pouvait exister sur ce monde, je ne savais plus ou regarder : des hiboux volaient en tout sens, des personnes en robes se baladaient dans l'allée de pavée, des animaux des plus étranges étaient disposés sur des caisses. Le professeur m'invitât à avancer, j'étais tellement émerveillé par tout ce que je voyais que je ne pouvais m'empêcher de me précipiter à tout endroit pour voir ce qui si cachait. Puis quand je me calma, le professeur me donnât la liste qui se trouvait avec la lettre de Poudlard. Plus je regardais la liste et plus je me disais que, peut importe la somme d'argent que ma mère m'avait laissée, je ne pourrais jamais acheter toutes les fournitures. Finalement, après avoir vue , plus ou moins ce qu'il me fallait, nous nous dirigeâmes vers le plus grand bâtiment qu'il y avait dans la rue, la banque des sorciers Gringootts, gardée par des gobelins, allé savoir ce que c'est, je n'en est aucune idée. Même avec la description faite par mon père, qui n'arrêtait pas de me dire que les gobelins étaient des êtres inférieures, ce qui n'était pas mon avis, mais je ne le précisais pas. Je connaissais trop bien sa colère. Finalement quand nous sommes rentrée je vis enfin à quoi ils ressemblaient. C'était de petites créatures avec des oreilles pointus et de grands ongles. Ils auraient pu être mignon s'ils n'avaient pas cette air suffisant collé au visage. Nous étions dans la banque, qui me semblait être un énorme salon où travaillait de nombreux gobelins, et je dois dire que je n'avais jamais vue personne d'aussi concentrer, qu'eux, quand une personne nous appela dans le silence de la salle personne ne bougeât, et il eu comme un écho. Je me retournas et vis un homme d'une grande taille, qui avait du mal à passer à travers la porte. Il vint à notre rencontre et se tournant vers le professeur Londubat lui parla ainsi :
« Dit moi Neville, tu as reçut l'hibou de Luna ? Elle va vraiment pas bien, tu devrais la rejoindre. Hé mais dit moi qui est cette jolie jeune fille ? J'ai l'impression d'avoir déjà vus son visage quelque part ?
Bonjour Hagrid ! Je suis content de te voir. J'aimerais bien pouvoir être au près de Luna mais c'est impossible, je suis en mission pour Poudlard, je dois aider cette jeune fille à préparer sa rentrée.
Ah bon ? Mais ce travaille ne te concerne pas normalement, non ?
Je dirais que cette mission est plus spécial. Malheureusement je ne peux pas t'en dire plus.
Bon temps pis. Ah oui ! Au fait, McGonagall m'as dit de te dire que si je te croisais, elle attendais un compte rendus, le plus rapidement possible.
OK merci Hagrid. »
Sur ces faits nous nous séparâmes. Nous sommes allée voir un gobelin, je lui montrais ma clé. Étrangement, le gobelin me regarda avec de grand yeux (en tout cas plus grand que la normal), mais n'as rien précisez. Sentant qu'il était temps, je renvoyais mon père dans son coin, ce qui ne lui fit pas spécialement plaisir mais il n'avait pas le choix, même s'il se battait, et je remarquais que plus le temps passait et plus cela devenait facile.
Finalement, après être passé par un étroit passage, il nous fit monter dans un wagon. Au bout d'un moment qui me parut infinie, surtout pour mon estomac (avec ses virages serrée, ses descendes abyssales, et autres), j'ai bien cru que j'allais rendre mon petits déjeuné. Enfin en descendant, nous partîmes en direction d'une grande salle. Une chaîne pendait au sol, je jetais un regard au professeur Londubat, et il m'indiquât qu'avant, les gobelins élevaient un dragon pour protéger les coffres des vieilles familles sorcier mais que Harry Potter et ses amis l'avaient libéré. Ce qui me parut le plus étrange, était que nous nous dirigions vers ces coffres. Ainsi l'information que ma mère ne voulait pas me donner sur ces origine sorcière, se trouvait dans ce coffre, la première étant qu'elle faisait partie d'une vieille famille de sorcier. D'après le regard du professeur, cette information, lui était également apparus. Mais pourquoi cherchait-il, lui aussi, des informations sur moi ?
Enfin nous arrivâmes devant le coffre. Quand le gobelin l'ouvrit, je découvris une chose qui m'émouvait : la majorité du coffre contenait des documents sur moi : des photos (moldus et sorcière), les lettres et petits mots que je lui envoyais du pensionnat en secret, malheureusement je savais à quelle date ses informations s'arrêtaient. Il y avait également des coffres remplis d'or ainsi que certaines pièces d'or traînant par terre, mais le plus important et ce qui me fit monter les larmes au yeux fut la lettre avec mon nom gravée dessus, de l'écriture de ma mère, sur le tabouret au centre de la pièce. Je me dirigeais d'abord vers la lettre et la prie dans mes mains, je ne pouvais plus contrôler mes larmes qui coulait à librement sans que je puissent les arrêter. Au même moment le gobelin dit une chose qui m'étonnât au plus au point : ''Vous êtes bien sa fille, aussi sensible qu'elle. Elle m'avait demandé d'ensorceler cette lettre de sorte que vous seul puissiez la prendre''. Le professeur Londubat et moi nous nous tournâmes vers lui comme un seul homme, afin d'avoir plus d'explication, mais son regard de nouveau dur nous indiquât qu'il ne dirait rien de plus. Mon père quand à lui, qui à cause de ma sensibilité était revenu pendant un moment, fulminait à cause de ma mère. Je rangeais soigneusement la lettre dans ma poche de manteau, et me dirigea vers un coffre d'or. Je tentais de l'ouvrir par tous les moyens qui me venais à l'esprit, mais il restait hermétiquement clos. Alors je me tourna vers le gobelin car je savais qu'il connaissait la manière de l'ouvrir. Après tout c'est lui qui s'occupait du coffre de ma mère. Il s'approchât de moi me prit le doigt et le mit sur le coffre, celui-ci s'ouvrit grâce à mon empreinte digital. La présence de sorcellerie et de technologie moldu au même endroit me fit rire car c'était bien le genre de ma mère de ne pas faire de différence entre les deux.
Une fois que j'eus suffisamment d'or nous sortîmes. Nous allions quitter Gringootts quand le gobelin, décidément je ne me souviendrais jamais de son prénom, m'appela à son bureau sous prétexte qu'il voulait me faire signer des papiers seul à seul, mais le professeur et moi n'étions pas dupes, tout le temps de notre remonté des grottes j'avais bien vus que le gobelin voulait me parler. Quand je le suivis dans son bureau il me montra une feuille de papier que je devais effectivement signer. Le temps de ma signature, le gobelin me parla en ses termes : '' Quand vous saurez qui vous êtes, ou plutôt qui est votre père, n'en voulez pas à votre mère. Avant de vous avoir, elle n'avait qu'un rêve, se faire accepter par sa famille, et cette occasion lui a était offerte par votre père. Elle a accepté sans regret, jusqu'au moment ou elle vous êtes née. Elle a voulu tout arrêter mais il était trop tard. Sachez qu'elle vous aimait plus que tout. N'oubliez jamais ça. Et quand vous saurez tout, ce qui ne devrait pas tarder si vous êtes comme votre mère, venez me rendre visite je vous parlerais d'elle.'' Je ne compris qu'une seul chose dans ce qu'il disait, ma mère avait eu peur de mon père et avec raison. Ce qui me conforta dans l'idée de le laisser le plus longtemps possible dans sa cage. Je fini de signer la sortie d'argent, et rejoignit le professeur. Je vis dans son regard qu'il mourrait d'envie de savoir ce que le gobelin avait voulu me dire mais, même si je faisais confiance au professeur, je préférais garder pour moi ce qu'il m'avait dit tout comme la lettre de ma mère que je serais fort dans ma poche.
Nous avons continué nos course, et petit à petit j'oubliais ma mésaventure chez Gringootts. Nous avions presque, il ne me manquait plus que mes robes de sorcier et mon animal de compagnie. Nous allions rentrer chez la meilleure vendeuse de robes, selon le professeur, quand quelqu'un nous appela au loin. Je me retournais et vis un groupe de plusieurs personnes s'approcher. Il y avait deux magnifique jeune fille :une au visage angélique avec des cheveux roux, qui tenait le bras de l'autre, qui avait les cheveux châtains. La première paraissait beaucoup plus jeune que la seconde, de plus autant la première mettait en avant les attraits de son visage, autant la seconde préférerais le cacher (une frange qui lui tombe devant les yeux et une coupes carrée qui cache les belles forme de son visage). Derrière elles se trouvait un groupe de trois jeune garçon : le premier, plus grand que les autres, tenait une feuille identique à la mienne et, cela se voyait bien, il voulait montrer au deux autres qu'il connaissait tout et qu'il pouvait se débrouiller seul. Il était grand et plutôt bien bâtie. Il avait des yeux noisettes ou l'ont pouvais voir toute leur malices. Le second garçon, légèrement plus petit, avait un air de ressemblance avec le premier mais il n'avait pas ces yeux espiègle, de plus il avait également une feuille de Poudlard mais il paressait inquiet comme s'il avait peur, comme si c'était la première fois qu'il y allait. Et enfin, le troisième n'avait aucune ressemblant avec les deux autres, il était plus petit (peu être un ou deux ans par rapport au second), moins musclé et avait la même texture de cheveux que la plus grande des deux filles. Derrière eux venait un groupe de quatre personnes de même age, ou presque, que le professeur Londubat. Deux d'entre eux ( un rouquin et une rouquine) devaient sûrement être frère et sœur car ils avaient tout deux des cheveux roux (ça je l'est déjà dit), des taches de rousseur sur tout le visage, mais il y avait une grande différence entre les deux : la fille paressait heureuse et épanoui, et on pouvait voir qui était les responsables de se bonheur au regard qu'elle jetait à l'homme à ses côté et également aux enfants devant elle. Mon père forçat l'entrée de la cage et me criât qu'elle était également une traite à son sang et qu'elle s'appelait Ginny Weasley. Tandis que le rouquin, regardait tout avec un œil d'enfant comme s'il était rester en enfance et il était souvent réprimander par la femme à ses côté. Mon père me dit la même chose le concernant et m'informât qu'il s'appelait Ron Weasley. Cette femme qui ne cessait de la rappeler à l'ordre était splendide : elle avait les cheveux châtain bouclés, coupé dans un magnifique dégradé des yeux marrons lumineux et un visage qui démontrait son intelligence. Là je ne pouvait plus retenir mon père, il me jura que si je m'approchait de cette sang de bourbe (je compris que ce mot n'était pas des plus sympathique) il me le ferait payer.) L'homme qui tenait la main de la rouquine, avait des cheveux couleur de jais en pétard comme s'il n'avait pas eu le temps de les coiffer avant de sortir de chez lui, il avait également des yeux vert émeraude. Il avait une cicatrice en forme d'éclair sur le front. A ce moment mon père eu une réaction qui me surprenait, il rigola haut et fort, disant que ce garçon était Harry Potter son pire ennemi, celui qui pensait l'avoir détruit. Tout les neuf s'approchèrent de nous et, quand je le regarda, je vis la crainte dans le regard du professeur. Avait-il peur pour eux ? Pour moi ? Tout ce que j'ai pus comprendre avant leur arrivée c'était qu'il y avait un lien entre moi et Harry Potter.
Ils arrivèrent et saluèrent chaleureusement le Professeur. Intimidée je me mis en retrait jusqu'à ce que l'un des trois garçon, le second vienne me parler :
'' Coucou. Je m'apelle Albus et toi ? Je t'es jamais vu avec Neville.
Bonjour, je m'appelle Merope, le professeur Londubat est venu me chercher aujourd'hui.
Ah ! Tu dois être une née moldus non ?
Heu... heu... (je ne savait pas quoi dire avec le mensonge de l'école).
Ah ! Albus je voit que tu as fait la connaissance de Merope. Intervint le professeur, ce qui me permit d'échapper au question. Merope je te présente des amis de Poudlard : les deux frères Ron et Ginny Weasley Potter, la femme de Ron, Hermione Granger Weasley et enfin le mari de Ginny, Harry Potter. (Ce que le professeur ne savait pas c'est que tout cela je le savais et bien plus encore). Et je te présente leur enfant : Hugo et Rose Weasley, celle-ci fait son entrée à Poudlard tout comme toi, ce sont les enfant de Ron et Hermione. Lily Luna, Albus Severus et James Sirius Potter, ces deux dernier sont a Poudlard, James depuis un ans et Albus rentre également cette année.
Enchanté de faire ta connaissance, Mérope ? Me demanda Ginny.
Vol...Dimpt. Je ne m'était pas encore habitué à mon nouveau prénom.
Et d'où viens-tu ? Je regardais le professeur ne sachant que répondre.
Elle vient d'un orphelinat de Londres, et nous ne savons pas si ces parents sont des moldus ou des sorciers. McGonagall fait des recherches. Répondis à ma place le professeur Londubat.
Maman il me faut de nouvelles robes. Demanda le prénommé James.
Hé bien rentrée tout les quatre, et commandées-les, le temps que nous discutons un peu avec Neville. Albus aide un peu Mérope si elle ne si retrouve pas.
Oui maman.'' Nous allions rentrer dans le magasin quand je sentis un regard peser sur moi, je me retournais et vis que Harry Potter me fixait. Nous somme rentrée dans le magasin et une dames rondelettes vint nous voir nous demandant ce qu'il nous fallait. Nous montrions notre liste et elle nous installas sur des pilotis et commençât à nous mesurer.
P.D.V Albus :
''Hé le futur Serpentard tu te lèves !'' Quoi ? Moi à Serpentard mais je ne veux pas ! Je me réveillais en sursaut quand mon imbécile de frère me sauta dessus. Je me levais en pensant à la veille. Nous avions reçu deux hiboux de Poudlard, un pour James (qui rentrait dans sa deuxième année) et un pour moi. Je l'ouvris et découvris les mots inscrit :
Mr Albus Severus Potter,
Nous avons le grand plaisir de vous annoncer que cette année vous serez accueillie, si vos parents l'accepte, à l'école de sorcellerie Poudlard. Nous vous envoyons si joint une liste de fourniture scolaire que votre malle devra contenir. J'espère fortement vous voir sur le quai 9 ¾ le lundi 1er Septembre.
Cordialement,
La directrice McGonagall.
J'étais au paradis, mais comme me l'avait indiqué mon frère si sympathiquement, une fois que l'on sais que tu as des pouvoirs, t'es quasiment certain d'être admis à Poudlard. Mais ça ne changea rien à ma joie ou à celle de mes parents. J'étais tellement heureux que j'envoyai immédiatement un hibou à Rose, une grande amie à moi et également ma cousine, pour savoir si elle aussi avait été accepté. Peu de temps après je reçus la réponse et j'eus la joie de voir qu'elle avait également reçut ça lettre. Nos parents respectif décidèrent d'aller acheter nos fourniture le lendemain. Donc aujourd'hui. Et je venais de me réveiller avec vingt minutes de retard. Mon frère, James Sirius Potter, était à Poudlard depuis un an. Et il était à Griffondor. C'était à propos de ça que nous étions, encore, en train de nous disputer :
''Je te dit que j'irais pas à Serpentard. J'irais à Griffondor ou au pire à Serdaigle.
Tu n'es pas assez courageux pour aller à Griffondor, ainsi que pas assez intelligent pour aller à Serdaigle, et tu n'es certainement pas assez gentil pour aller à Pousoufle, donc tu iras à Serpentard.
Il est hors de question que j'y aille !
Arrêter de vous disputer ! Ils y en a qui n'ont pas encore la chance d'avoir été accepté et qui doivent attendre encore un an ! Vous vous rendez compte ! Un ans c'est immense, trop long ! Nous coupa Lily, notre petite sœur.
Je crois que votre sœur à raison les garçons. Et James, je te pris de bien vouloir arrêter d'embêter ton frère.'' Répondu notre mère.
Après ces deux magnifiques remarques, lancée par les deux femmes de la famille. Nous finîmes de nous préparer, et attendîmes notre père qui était sorti pour son travaille, quelqu'un avait essayé de torturer des moldus ce qui explique pourquoi mon père avait du intervenir. Quand finalement il arriva, nous prîmes la poudre de cheminée et, chacun notre tour, entrâmes dans la cheminée et cria distinctement ''chemin de traverse'' nous nous faisions emporter par la cheminée pour arriver au chemin de traverse, le meilleure endroit de Londres pour acheter tout ce dont nous avons besoin pour Poudlard. Une fois tout les cinq sur le chemin, nous nous dirigeâmes vers un café pour attendre mon oncle Ron, ma tante Hermione et nos cousin. Une fois qu'ils arrivèrent nous nous dirigeâmes comme toujours lors de nos passages sur le chemin de traverse, dans la boutique de farces et attrapes de notre oncle George et de notre tante Fleur. Je sais que personne n'aurais penser ma tante Fleur capable de participer dans un magasin de farces et attrapes, mais elle a étonné tout le monde : elle à réussi à inventer une poudre d'illusion de manière à ce que les personnes qui respire la poudre pense tomber du septièmes étages d'un immeuble. Quand nous arrivâmes au magasin, il était, comme à son habitude, plein. Nous rentrâmes et James nous abandonna pour aller chercher les nouveaux trésors, pour ses farces à Poudlard. Il avait décidé de battre notre oncle sur le nombre de bêtises faite à Poudlard. Même si apparemment quatre personnes avaient fait pire que lui. Notre oncle George refusait de nous dire qui, ce qui faisait déprimer James, et moi bien rire. Je partis également de mon côté, et tombait nez à nez avec Emiliana Scoot, une jeune fille qui était arrivée il y a deux ans, son père avait été muté et à présent il travaillait avec mon père. Elle avait le même age que mon frère et était aussi à Poudlard. Je savais qu'elle aimait mon frère mais lui ne remarquait rien. Que voulez-vous ? Une fois les salutations faite, elle me demanda où était mon frère, comme d'habitude, et où était mon père car le sien avait besoin de lui. Je lui indiquais où se trouvaient les deux personnes et elle parti sans plus de cérémonie. Je continuais mon tour quand je tomba sur une chose qui me stupéfia : ma cousine Rose était au bras de Scorpius Hyperion Malfoy. Je restais pétrifié. Puis suivent mon instinct je me dirigeais vers eux, mais je fus couper par ma sœur qui me dit :
'' Tu n'es pas bien ! Tu veux que Rose ai une crise cardiaque ?
Tu peux me dire se que fait Rose avec ce... ce... ce...
Ce gentil garçon avec qui elle sort depuis 6 mois. Et bien je dirais qu'elle profite du monde pour le voir sans que son père ou celui de Scorpius ne les voient. Pourquoi ça te pose un problème ?
Et un grand ! Tu sais ce que son père a fait, qui il était ?
Oui , c'était un mangemort que papa à sauvé. Et il l'est devenue que pour faire plaisir à son père, je te rappelle. Et que je sache Scorpius n'y est pour rien.
Mais... tu le défends bien ! Tu es au courant depuis combien de temps ?
Depuis le début, pourquoi ?
Et tu l'as dit à personne ? Tu as pas obligé Rose à le dire à qui que ce soit ?
Si. Maman est au courant et c'est elle qui m 'a convaincus d'en parler à tante Hermione mais j'en ai pas eu besoin Rose la fait toute seule.
Et papa ? Et oncle Ron ? Et papie Weasley ? Et James ?
Il le seront en temps voulu ma dit maman. Et toi si tu dis quoi que ce soit je peux te promettre que tu verra Poudlard par la vitre de ta cage à rat quand j'irais.'' La menace était réelle et, même si elle était plus petite que moi, je savais ma sœur très forte en magie. Je l'avais surprise plus d'une fois à essayer des formules dans les livres de James. Je me retournais et continuais mon chemin mais je me promis d'avoir une petite conversation avec ma cousine, mais loin des oreilles indiscrètes de ma sœur. Finalement j'en eu assez du magasin, et je n'avais pas réussit à trouver mon oncle, ni ma tante, donc je décidais de sortir. Je respirais une grande bouffée d'air et, juste devant mes yeux, je vis passer une jeune fille magnifique : elle avait les cheveux bruns ondulées, des yeux marrons noisette, de petite pommette, un corps ni trop gros ni trop maigre. Je restais paralysé quand je la vis, mais le plus étonnant ce fut de la voir avec un grand ami à mes parents, Neville Londubat, professeur à Poudlard. Je les vis se diriger vers Gringootts et, après avoir passer le teste d'entrée il rentraire dedans. J 'avais envie de les suivre pour savoir qui elle était mais je ne pouvais, malheureusement pas, je ne devais pas m'éloigner du magasin. De toute façon elle ne m'avait même pas vus, alors à quoi bon.
Je fus coupé dans mes pensée par une main immense qui se posa sur mon épaule. Je sursautais et me retournais pour voir Craup. Il me fit un sourire et dit de sa voie forte :''Bus'' (et oui c'est comme ça qu'il m'appelait, il n'arrivait pas à dire Albus). Derrière lui ce tenait Hagrid qui me salut et me demanda des nouvelles de mes parents. Je lui indiquais qu'ils étaient encore à l'intérieure du magasin. Déçut de ne pas les voir, il me dis de leur dire qu'il va a Gringootts pour Graup et qu'il repassera les voir ici en sortant. C'est à se moment que j'ai eu une idée, je demandais à Hagrid s'il pouvait se renseigner sur la jeune fille qui était avec Neville chez Gringootts si il les croisait. Tout heureux de me rendre service il y alla.
Je n'eus malheureusement pas le temps de revoir Hagrid, car mes parents étaient sorti et nous nous dirigions vers les autres boutiques pour, enfin acheter nos fournitures scolaires. Au bout d'un moment qui me parut une éternité : mon frère voulait tout neuf, et il se disputait dans tous les magasins avec ma mère ma sœur voulait qu'on lui achètes des choses pour compenser et mon père se disputait avec ma mère à ce propos. Moi je n'avais pas la tête à ça, toute mes pensées étaient dirigé vers cette fille, je voulais revoir son visage ou au moins revoir Hagrid pour qu'il me donne les informations que je lui avais demandé. Au moment ou nous allions rentrer dans un magasin pour que James achète son balai (quelle chance il avait ! Les première années ne peuvent pas jouer !), un hibou s'arrêta sur mon épaule. Je le regardais et vis qu'il portait une lettre. Je l'ouvris et lus :
''Coucou les Potter, peut importe qui lira cette lettre. Je voulais vous demander de dire à mon mari de bien se dépêcher avec sa mission pour Poudlard car je vais bientôt accoucher et papa a dit que si le père n'assiste pas à l'accouchement l'enfant risque de ne pas avoir une bonne santé. Donc je vous confie cette mission. Merci et bonne course.
Bien à vous, Luna Louvegood Londubat.''
Cette lettre ressemblait bien à la grande amie de mes parents qu'était Luna. Je transmis la lettre à mes parents et, une fois qu'ils l'eurent lu, nous nous mirent en route pour retrouver Neville. Finalement, c'est en allant au magasin pour robe de sorcier que nous le trouvâmes, il était sur le point d'entrer accompagner de cette fille. Ma sœur et Rose étaientt à l'avant et discutaient de ce qu'allait faire Rose pendant son année et de ce qu'elles allaient faire ensemble l'année prochaine. Nous nous trouvions un peu en retrait avec James et Hugo (mon cousin et frère de Rose). Ils parlaient tous les deux mais je n'entendais pas ce qu'ils disaient. Mes parents appelèrent Neville, et tout deux se retournèrent. Quand nous arrivions devant eux je vis qu'elle était plutôt gênée, je décidais de lui parler et je m'approchais d'elle en lui disant cela :
''Coucou. Je m'appelle Albus et toi ? Je t'ai jamais vus avec Neville.
Bonjour, je m'appelle Merope, le professeur Londubat est venu me chercher aujourd'hui.
Ah ! Tu dois être une née moldus, non ?
Heu... heu... elle paraissait ne pas savoir. Elle ne sais pas d'où elle vient ou quoi ?
Ah ! Albus je vois que tu as fait la connaissance de Merope. Intervint Neville. Merope je te présente des amis de Poudlard : les deux frères Ron et Ginny Weasley Potter, la femme de Ron, Hermione Granger Weasley et enfin le mari de Ginny, Harry Potter. Et je te présente leur enfant : Hugo et Rose Weasley, celle-ci fait son entrée à Poudlard tout comme toi, ce sont les enfant de Ron et Hermione. Lily Luna, Albus Severus et James Sirius Potter, ces deux dernier sont a Poudlard, James depuis un ans et Albus rentre également cette année.
Enchanté de faire ta connaissance, Mérope ? Me demanda Ginny.
Vol...Dimpt.
Et d'où viens-tu ? Elle jeta un coup d'œil à Neville.
Elle vient d'un orphelinat de Londres, et nous ne savons pas si ces parent sont des moldus ou des sorciers. McGonagall fait des recherches. Répondit Neville. Je comprenais mieux sa réaction à ma question.
Maman il me faut de nouvelles robes. Demanda James, il ne pensait qu'à lui celui-la, insupportable.
Hé bien rentrée tout les quatre, et commandées-les, le temps que nous discutions un peu avec Neville. Albus aide un peu Mérope si elle ne si retrouve pas.
Oui maman.'' J'étais heureux, ainsi je pourrais m'approcher d'elle. Elle paressait timide. En entrant dans le magasin, j'eus le temps d'entendre Neville dire à mes parents que cette jeune fille ne ressemblait pas à ce qu'ils pensaient et qu'elle avait beaucoup souffert sans le savoir.
Finalement nous sommes rentrée dans le magasin et la propriétaire commençât à prendre nos mesures. |