CHAPITRE 2 :rencontre étrange.

PDV Merope :

Nous étions à peine rentré dans le magasin que le prénommé James se précipitât au comptoir et, parla à la vendeuse comme si c'était une connaissance de longue date, il lui demanda des robes toute aussi improbable les unes que les autres : une qui pourrait changer selon son humeur, une couleur bleue foncée car le noir ne lui allait pas, et bien d'autre qui étaient plus ''spécial'' (selon les termes qu'il utilisait) que les précédentes. Malheureusement pour lui, et heureusement pour nous et la pauvre vendeuse qui ne savait plus quoi faire, ces parents rentrèrent à se moment. Je dirais que James eu beaucoup de chance de se trouver dans le magasin vu le regard que lui lança sa mère sinon il aurait passé un mauvais car d' ès cette belle intervention, la vendeuse se mit au travail : elle demanda à James de monter sur un tabouret, pris ses mesures, les dicta à voix haute vers sa machine à coudre (qui se mit à coudre toute seule). Elle répétât la même manœuvre sur Rose, Albus et moi. Je ne me sentais pas trop à l'aise, mais je me devais de faire bonne figure. Mais apparemment cela ne passa pas inaperçue car Albus se tourna vers moi et me donna quelques conseils. Une fois que se fut terminé, elle récupéra la robe de James et fit les quelques retouches qui lui fallait. C'est ainsi que passa une bonne demi-heure chacun de nous remonta sur le tabouret pour faire les retouches à chaque robes, et je dois dire que plus je passais sur le tabouret plus je me sentais à l'aise. à se moment mon père se manifesta et me dit que je ne devais en aucun cas lui faire honte sinon il me le ferait payer cher. Finalement, chacun paya ses achats et nous sortîmes sous les rires après une blague de James. Je me sentais tellement à l'aise avec eux, se qui était très rare car je ne suis pas du genre à m'attacher facilement. Je me tournais vers Albus qui me demanda se qu'il me manquait encore comme fourniture et lui répondis que seul mon animal de compagnie était encore manquant et, quand je me retournais de nouveau, je bousculais une jeune femme. Elle était grande, avait des cheveux blond platine, des yeux marrons. Elle portait une robe noir qui lui tombait jusqu'au pied et elle nous regardât tous un à un avec un regard dédaigneux en commençant par Hagrid, qui nous avait rejoint, et en finassant par moi... A se moment, mon père prit le contrôle de mon corps, m'envoyant dans mon subconscient sans que je ne puisse rien y faire. Quand nos regards se croisais, je ne pus me contrôler et, levant ma manche gauche, je fis un signe étrange : il ressemblait à un cercle plat avec une ligne qui sortait de se cercle pour faire un parcourt sinusoïdale. Mon père savait ce qu'il faisait et se que cela aller provoquer. Il n'arrêtait pas de dire '' ils vont voir, ils ne se doutaient pas que j'avais cette carte en main. Je vais tous les vaincre. Et tu vas m'aider, alors arrête de te battre et soumet toi, ne fais pas la même erreur que ta mè je réussis à reprendre le contrôle, tous les regards étaient braqué sur mon avant bras, comme si une marque y était inscrite. Instinctivement, je remis ma manche à sa place. Je regardais chacun, espérant avoir un petit soutient. Mais cela n'arriva pas : Hagrid me regardait comme si j'étais un être étrange Hermione et Ginny, elles me regardaient avec de la peine presque avec pitié (chose que je ne supportais pas) Ron passait son regard sur chacun comme si il n'avait pas compris se qui venait de se passer, Harry me regardait avec des yeux remplis de haine et de rage mais également d'incompréhension et enfin, le regard que je n'osais pas regarder le professeur Londubat, mais lorsque je pu je vis qu'il me regardait comme si il était déçut et qu'il cherchait à savoir comment expliquer cela. La tristesse m'envahis, je venait de décevoir la seul personne qui m'avait fait confiance sans connaître rien de moi et sans la demande de ma mère. Mon père, que j'avais réussis a vaincre, me dit ''c'est ce qui t'attend en étant ma fille. Les personnes te craindront, ou te haïront.'' Maintenant je l'avais déçut, ma mère m'avait dit plusieurs fois de ne pas le laisser prendre le dessus, de ne pas baisser ma garde mais là devant tout le monde, il avait réussi si facilement à faire ce qu'il voulait. J'étais vraiment bête ! Remarquant ma gêne, James et Albus, comme un seul homme, me prirent par les mains et m'emmenèrent vers les boutiques d'animaux. Ils me montrèrent différents animaux, ils m'expliquèrent comment utiliser chacun d'eux, mais ils durent s'apercevoir que je ne les écoutais car nous partîmes dans un café ou ils demandèrent trois bière au beurre. Une fois les commandes prêtes et payé, on s'installa sur la terrasse et nous fûmes rejoint peu de temps après par Rose et Lily qui étaient resté pour voir la réaction des parents. Elles nous informèrent que mon geste avait eu un grand impacte sur l'état de tout le monde, mais qu'elles n'avaient pas compris pourquoi.

PDV Albus :

James, James, James... Quelque fois, je me demandais comment il faisait pour être si inconscient ou si il avait vraiment quelque chose dans la tête, à peine étions-nous rentrer dans le magasin de Mme Bibounet qu'il se mit à lui demander des choses impossible. Le pire c'est qu'il sait très bien que ces robes n'existent pas, mais il fait cela pour s'amuser car il trouvait marrant de mettre la vendeuse mal à l'aise. Sa devise étant de toujours satisfaire ses clients, rien de mieux pour James que de lui demander des choses impossible. Mais bon, cette fois la j'aurais aimé qu'il ne fasse rien car Merope était avec nous et elle risquait d'avoir une mauvaise opinion de nous. Finalement, nos parents accompagnée de Neville, entrèrent dans le magasin, et après une réprimande de ma mère, James se calma un peu. Ainsi Mme Bibounet à pu commencer son travail. Elle commençât par les coutures de James, puis se fut le tour de Rose, le mien, et quand ce fut le tour de Merope, je remarquais qu'elle était anxieuse, ce qui me fit rire car pour moi c'était tout à fait normal. Tout le temps ou elle se trouva sur le tabouret, je restais à côté d'elle et j'essayais d'engager la conversation avec Rose sur son ''petit copain''. Mais cela se révéla impossible : ma sœur m'en empêchas en me lançant des regards incendiaire, elle ne perd rien pour attendre. Je décidais donc de lui en parler dans le train pour Poudlard. Finalement nous refîmes quelques tours sur le tabouret pour les retouches. Plus le temps passait plus je vis que Merope était se détendait. Je devais avouer que dans cette robes sorcière elle était belle, oui je sais sa fait un peu mec in love, mais il faut dire ce qui est vrai. Elle avait de très belle forme que la robe mettait parfaitement en valeur. Je devais avoir une tête très explicite car Hugo me donna un coup de coude avec un sourire que seul lui pouvait faire : cela se résumait à un sourire en coin en me montrant Merope. Je le trouvais bien trop intelligent pour son age. Tout comme Lily. Ils promettaient dans leur études ! Puis nous sommes sortie, après avoir payer. Nous étions mort de rire après une énième blague de James quand tout ce passa. Merope bouscula une femmes que je connaissais de visage, elle la fusilla du regard et d'un coup, Merope eut les yeux dans le vague et fit un signe que nous connaissions tous comme étant le signe des mangemorts sur son bras. Je vis mon père se crisper et mon oncle Ron se reculer. Le seul qui ne paressait pas étonnée était Neville. Pourquoi faisait-elle ça ? Si elle n'avait pas vécut dans le monde sorcier, elle ne pouvait pas connaître se signe... alors comment a-t-elle pu le faire ?! Et pourquoi Neville ne paressait pas choquer mais...comme si il si attendais ? Je ne comprenais rien. Quand je sorti de mes pensées je vis que Mérope était gênée par la situations et malgré le signe qu'elle venait de faire, je ne pouvait pas la laisser comme ça. Je fis un signe à James, qui avait déjà compris, et un autre signe Lily et Rose pour qu'elles restèrent et regardèrent la situation. Il fallait dire ce qui était vrai, on formait une belle équipe tous les cinq, mais en même temps on avait de l'expérience.

Nous prîmes Merope par le bras et nous sommes allé dans le magasin d'animaux pour qu'elle puisse choisir le siens mais je vis bien que rien ne l'interessait. Nous sortîmes rapidement du magasin et nous dirigeâmes vers un café pour prendre une bierre au beure. Quand Rose et Lily arrivèrent. Pour ne pas déranger Merope nous fîmes comme si son signe ne signifiait rien pour nous. Rose nous informa de l'état d'espris de chacun : la femme était parti en marmonant dans sa barbe, Ron était boulversé et disait tout le temps ''c'est pas possible, dix sept ans plus tard ces pas possible !'', Hermione faisait les cents pas en réfléchissant à voix haute, Maman regardait tout le monde et d'après Rose , elle était la plus calme. Neville et Papa se regardait et Neville disait que tout était normal mais qu'il ne pouvait rien dire a cause de Poudlard mais que c'était normal.

Nous étions tous là, assis réfléchissant à la situation. Puis d'un coup, alors que personne ne si attendait, Merope se leva et nous demanda pour retourner dans le magasin acheter son animal, et ensuite aller expliquer la situation aux parents. Tout en me levant, je la regardais alors qu'elle parlait à Rose et Lily, je ne puis que penser qu'elle était bien forte pour une si jeune fille et qu'elle devait avoir vécu bien des choses...
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