manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Les descendants
Par laurhence
Harry Potter  -  Romance/Mystère  -  fr
8 chapitres - Rating : K+ (10ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 5     Les chapitres     0 Review     Illustration    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Amitié avouée

CHAPITRE 4 : Amitié avouée.

Je venais de finir la lettre de ma mère et je ne savais que pensée : d'un côté j'étais heureuse de savoir qu'elle avait pensée à me laisser une lettre lorsqu'elle comprit qu'elle allait mourir, mais d'un autre côté sa lettre, se serment inviolable, cette envie qu'elle avait de me cacher certaines choses, une partie importante de mon histoire, sa me blessait.

De plus, je ne comprenais pas trop le rapport avec moi. Dans cette lettre elle me parlait de mon enfance, de son abandon par sa famille, de cette potion bizarre et puis d'un coup elle passait à moi, et à ses années qu'elle avait passées avec moi. De plus elle ne me parlait pas de sa rencontre avec mon père, et de leur vie ensemble. Même de son vivant ma mère avait toujours refusé de m'en parler. Qu'est ce que cela pouvait cacher ? Mais le pire c'était que je savais que je passais à côté de quelque chose, malheureusement je n'arrivais pas à mettre la main dessus. Il fallait que je trouve la réponse à ces questions coûte que coûte. Pour cela j'avais déjà sous la main une personne, même si elle n'en connaissait pas beaucoup elle pouvait en connaître une partie, Margarette. Je me tournais donc vers elle et lui priait de me raconter tout se qu'elle savait, et sans rien omettre. Son amitié pour ma mère étant trop grande la seul chose qu'elle réussi à me dire fut :

« Ta mère m'as autorisé à te dire que toute cette histoire a été le fruit de sa volonté pour être accepter par les votre mais surtout par sa famille. Elle pensait en avoir la possibilité. Comment ? Tu dois te douter qu'elle ne pouvait me le dire mais je sais que ça passait par cette potion qu'elle prenait de temps en temps, par toi et par le maître de ses deux plus jeunes sœurs. Pourtant quelqu'un a réussi à la faire douter des biens faits de cette personne car elle a prit longtemps avant de t'avoir et au moment ou elle est tombé enceinte de toi la seul chose qu'elle m'a dit c'est ''avec de l'amour elle ne lui ressemblera jamais''. Je ne sais se que veux dire cette phrase et c'est tout ce que je sais. »

Je voyais dans son regard qu'elle disait la vérité. Cette révélation pouvait m'aider pour une seule chose : les circonstances de ma naissance. A ce moment mon père tenta de sortir de sa cage. Il voulait savoir se qu'il venait de se passer mais je lutais, il ne devait surtout pas savoir que ma mère m'avait laissé une lettre qui parlais de lui. Finalement on commençât un combat mental. Je me souvenais des quelques fois ou nous nous étions battus comme cela. Sa ne finissait jamais bien, ou bien mon père réussissait et dans ce cas il prenait le contrôle pendant deux jours (au plus) ou bien je réussissais a garder le contrôle mais dans ses cas, je finissais épuiser pendant un moment et alors mon père en profiter pour m'agressait régulièrement. Margarette et Catherina me regardait avec des yeux inquiets, elles connaissaient mes batailles mentales. Petit à petit, elle disparaissait de ma vue. Oh non, cela voulais dire que mon père était en train de gagner. J'essayais de me concentrer sur leur voix qui me disait de ne pas le laisser faire, de me battre mais c'était de plus en plus difficile. Puis, je vis certain souvenir de ce moment arriver, une partie de ma discussion avec Margarette, moi en train de récupérer la lettre, en train de l'ouvrir... j'allais abandonner quand une grande douleur me fit me ''réveiller'' d'un coup. Mon père tenta encore un moment de prendre le contrôle mais, la douleur étant tellement grande, je réussi à le renvoyais au fond de mon esprit, que je refermais aussitôt pour éviter toute autre sortie éventuelle. Mais la douleur persistante me déconcentrait fortement. Une fois que je pensais sa ''prison'' suffisamment fermée, je revenais dans le monde réel.

Quand je revins à moi, le premier regard que je croisais était celui de Catherina qui regardait au niveau de ma main avec horreur. Je suivis son regard, et je vis percher sur ma main avec une lettre accrocher à sa patte, un hibou me mordant la main et me fixant de ses grands yeux noirs (car en se moment il était noir profond, comme mon humeur durant le combat) : c'était Penelope . Sentant que je me sentais mieux sans pour autant être heureuse, elle s'éclaircie et resta dans une teinte grisâtre. Quand elle se transforma, Catherina poussa un cri de surprise et Margarette commença à regarder l'animal comme la scientifique qu'elle aurait aimé être. Néanmoins Penelope n'avait d'yeux que pour moi. C'est alors que je compris : seule la douleur pouvait me faire vaincre mon père, et c'est pour cela qu'elle m'avait mordu. Je me tournais vers les deux personnes qui m'accompagnais et leur di :

''Je vous présente Penelope, le hibou que j'ai acheté pour m'accompagner à Poudlard. Comme vous avez pu le voir elle a une grande faculté : elle change de couleur selon mon humeur. C'est pas mal hein ? Mais je viens de voir qu'elle est aussi très intelligente, regardez ce qu'elle a fait quand elle a compris que j'avais un problème.'' Je fis signe à Penelope de monter dans son perchoir, mais ne voulant m'écouter elle parti de sur ma main pour se mettre sur les jambes de Catherina. Celle-ci, fu étonnée mais fini par caresser son plumage et, tel un chat, on entendit un bruit étrange sortir du ventre de Penelope. Nous rîmes toute les trois et, après nous être calmé, je leur montrais ma main. Margarette poussa un crie choquer et partie chercher la trousse de secours. Pendant qu'elle me désinfectait la main je leur di :

''Je vous l'ai dis cette chouette est super intelligente. Quand elle a vu se qui m'arrivait elle ma mordu et c'est la douleur qui m'a comme réveillé. Maintenant on a une super technique pour quand il recommencera : il suffira de me blesser.

Il est vrai c'est toi qui ressent la douleur et non lui. Ce n'est pas une mauvaise idée. Me répondit Margarette.

Trop bien. Je vais pouvoir t'assommer ! Si tu savais comme j'en rêvais. S'esclaffa Catherina.'' Je rigolais avec elle soulager d'avoir une solution a ce problème. C'est a se moment que je me rendis compte que Peneloppe avait toujours la lettre accrochée a sa patte. Je lui fit signe de monter sur mes jambes, et une fois que ce fut fait, je lui retirais la lettre et la remerciais. Une fois sa mission terminée, elle parti sur son perchoir. Je défis la lettre, elle venait de Rose Weasley. Il y était écrit :

''Coucou Merope (je peux me permettre de t'appeler par ton prénom?). Je voulais te demander si toi et la responsable de ton... ton orphelinat, accepterai que Lily et moi venions passer quelques jours avec toi avant le départ. On a discuté avec Neville de la journée (tu sais le professeur Londubat) et on c'est aperçut que mes parents ont totalement oublié de te dire où se trouvait le quai 9 ¾, du coup on en a profité pour demander si on pouvait rester avec toi et t'y accompagner. Donc on attend ta réponse avec impatience.

Mot de Lily : juste pour te dire que je suis impatiente, et que j'espère que nous pourrions être de grande amie et mieux connaître ton amie de l'orphelinat. Grosse bises.

Lily Potter et Rose Weasley.''

J'étais étonné. Pour le peu que nous avions discuter, elle voulait tout de même rester avec moi pour la première fois ou je quitterais l'internat. Je montrais la lettre à Margarette puis a Catherina, elle était tout autant concernée. Margarette me dit qu'il n'y avait pas de soucis pour elle du moment qu'elles respectaient le règlement de l'internat. Catherina, quand à elle, me dit que c'était génial comme cela elle pouvait voir qui resterais avec moi. Il faut dire que pendant de nombreuses années, Catherina avait agis comme une grande sœur pour moi, et notre future séparation l'inquiétait tout comme moi mais jamais je ne l'avouerais jamais. Finalement je pris un papier et un stylo, et leur écrivirent que nous serions très heureuse de les avoir avec nous le temps qu'elles voudraient. Mon père quand à lui était au paradis. Il me disait : ''si tu deviens amis avec eux, il sera encore plus simple de faire du mal à se stupide Potter. Lui et son idéale d'amour, il va bientôt comprendre que l'on ne peut me laisser sans surveillance.'' Je l'avais rarement vu oublié si rapidement une de nos dispute. Je ne lui répondis pas, de toute façon il m'était impossible de profiter de ses personnes à cause de leur gentillesse, mais je ne pouvais lui dire cela, du moins tout de suite car je ne me sentais pas prête à ressentir de nouveau sa colère.

Finalement, Helena vint taper à notre porte demandant à la directrice de venir régler un problème. Margarette nous souris et sorti. Je profitais de son absence pour commencer à sortir mes achats, je savais très bien se que je faisais : je savais que si je sortais les livres Catherina n'allais pas pouvoir résister longtemps. Elle est ce que l'ont peut appeler une fanatique de lecture, et tout peut passer, que se soit du fantastique, de l'historique, de l'imaginaire... Elle li absolument tout. Une fois tous les livres sorti, je me retournais vers mon armoire pour sortir quelques affaires et les mettre dans la malle, quand je revins vers mon lit je me mis à rire : Catherina n'avait pas pu résister et elle lisait l'histoire de Poudlard. Une fois ma malle presque prêtent (il me manquait que les livres à mettre, que nous avions décidées de lire, et quelques affaires de dernière minute). Nous étions en pleine lecture de l'histoire de Poudlard quand quelqu'un frappa à la porte de notre chambre. Je permis à la personne d'entrée. La personne qui avait frappé était la seul personne de tout l'orphelinat que je ne pouvais supporter : Angela. Cette fille me haïssait depuis toujours mais je n'avais aucune idée du pourquoi. Tout ce que je savais c'était quel faisait tout pour que je me sente mal. Etant Catherina et moi allongé sur mon lit, elle alla directement sur le lit de Catherina. Elle se tourna vers moi et me sourit hypocritement. Après deux minutes de silence à nous fixer, elle se décida à nous dire la raison de sa venu :

'' Je suis venu pour savoir si vrai ?

De quoi parles-tu ? Quel sont les derniers ragots ? Demanda Catherina d'un air réprobateur.

Apparemment le mec qui est venu se matin, est le professeur d'une école pour élève ''spécial''. C'est vrai ?

On peut dire sa. Pourquoi tu t'intéresses à ça ? Demandais-je à la fois étonnée de la voir s'intéresse à autre chose qu'à elle mais aussi car je sentais bien que ses pensée n'étaient pas si innocente que ça.

Donc vu que tout le monde c'est qu'il est venu pour toi, tu es d'accord pour dire que tu es une fille ''spécial'' ?

Oui. Mais où veux-tu en venir ?

On a autre chose à faire alors dépêche toi de t'expliquer.

Ok. Maintenant que vous avez confirmez cela je vais être tranquille, la ''bizarre'' va partir pour son asile. Et son amie va rester toute seule. C'est génial tout mes rêves vont devenir réalité ! Tient je vais aller voir la directrice pour qu'elle me donne votre chambre, puisque Catherina n'aura pas besoin de deux lits. '' Et elle continua à parler comme si nous n'étions pas là et elle fini, enfin, par partir comme elle était venu. Je regardais Catherina et commençais à rire d'un rire franc : Angela restera la même, elle n'a jamais aimé l'amitié qui nous liait avec Caterina et elle avait toujours eu peur de moi. C'est pour cela qu'elle avait toujours été odieuse avec moi jusqu'au jour ou mon père a pris le contrôle et tout ce que je puis en dire c'est que depuis elle parlait de moi uniquement en me surnommant sans jamais dire mon prénom. Mon père, qui avait assisté a tout, me dit ''Lorsque j'avais ton âge tout ses moldus qui osaient me parler comme ça souffraient mais sans que personne ne sache jamais qui c'était. Bientôt tu vas devoir le faire aussi sinon je crois bien que je vais devoir reprendre le contrôle comme cette fois-ci. Quelle jouissance ! C'était comme au bon vieux temps.'' Ces paroles me fire froid dans le dos. Je n'aimais pas entendre parler de mon père à l'époque ou un membre de la famille Jedusor Voldemort avait essayé de prendre le contrôle du monde sorcier car je savais qu'il été un membre important de cette entreprise. Ces événements avait la manie de faire sortir de ses gong Catherina mais par la suite nous avions appris à en rire. Ces pourquoi quand je reçus la nouvelle lettre des cousines, l'hibou de la famille Weasley nous trouva plier en deux sur mon lit. Je récupérais la lettre et la déplia il y était écrit dessus :

''Comme les cours reprennent dans une semaine, Lily et moi avons décidé de venir chez ''toi'' (si on peut dire ça) demain (en fait on voulait venir aujourd'hui mais ma mère nous a fait remarquer que vous auriez peut-être pas le temps de tout préparez donc on a décidé de venir demain) vers huit heure de matin. Par contre, Lily doit repartir la veille de la rentrée, sa mère à besoin d'elle. Me demande pas pourquoi. Donc on se retrouve demain. Comme je suis pressé d'être à demain. Je te laisse tout préparer. A demain^^''.

Une fois le message lu, je me tournais vers Catherina et lui montrait le mot. Je ne savais pas comment elle allait réagir. Nous avions toujours été que toute les deux et malgré son accord de tout à l'heure j'avais peur qu'elle se sente exclu. Une fois qu'elle lue le mot, elle se tourna vers moi et... se mit à rire. Elle me dit après s'être calmé :

''Tu devrais voir ta tête ! A croire que je vais te crier dessus. Tu sais je suis sassez contente qu'elles aient proposée de venir ici et non que toi tu y ailles. Comme ça je pourrais connaître certaines des personnes que tu vas côtoyer et ça me rassure. Et puis temps que je les aurais pas vus je ne peux pas parler donc t'inquiète, je suis sur que l'on va s'amuser.

Tu sais que tu m'as fait une grosse peur ! Avec ta réaction de tout à l'heure comment tu veux que je réagisse ! Et puis met toi une chose dans la tête, tu savais tout de mon histoire et tandis que bon nombre des jeunes d'ici mon tourné le dos et m'ont laissé seul, toi tu n'as pas cherché à savoir quoi que se soit et tu es reste avec moi. Donc tu auras toujours la priorité dans ma vie d'accord ?''

Elle me regarda et je vis les larmes lui monter aux yeux. Alors je levais mon petit doigt, elle fit de même et nous croisâmes nos doigts et rejoignîmes nos pouces, ce signe était le signe de notre amitié. Puis une fois nos regard accrocher l'une a l'autre pendant quelque seconde, nous nous tournâmes comme un même homme (ou plutôt femme dans notre cas) et criâmes au même moment :

''Mme la directrice il nous faut deux autres lit dans cette chambre pour demain !

Amélia il faut prévoir des repas surprenant pour les prochain jours !'' Et nous sortîmes de la chambre pour préparez la venu des deux jeunes sorcières dans un orphelinat moldus.

PDV Albus :

Nous étions dans la voiture au retour de l'orphelinat et je n'arrivais pas à sortir son visage de ma tête. Quand elle nous avait décrit se qu'était un orphelinat, j'avais été chagriné pour elle mais il faut dire la vérité, la chaleur dans avec lequel elle avait été accueillie par la directrice et la jeune fille qui l'accompagnait m'avait quelque peu réconforté sur les conditions de son enfance.

J'ai été sortie de mes réflexions par une remarque de ma sœur :

''Maman, au fait tu crois qu'elle sait où se trouve la voie 9 ¾ ? Parce que vue qu'elle n'était pas au courant du monde magique... et vue comment papa a eu du mal...'' Mais elle a raison. Comment va faire Merope si elle ne sait pas où se trouve la voie comment elle va faire ?

'' Si il faut on la retrouvera sur le quai de la gare comme grand-mère Weasley la fait avec moi. Répondis mon père.

Et si elle passe par un autre côté ? La gare est grande non ?

Et pourquoi tu nous dirais pas ce que tu veux vraiment ? Je vous est vu parler Rose et toi. Alors ? demanda ma mère.

Et bien... Comme Rose et elles vont a Poudlard et qu'elle ne connaît personne, on pensait que peut être le fait de se connaître mieux avant la rentrée pourrait l'aider. Plusieurs fois tante Hermione nous a dit que si elle connaissait des personnes avant sa rentrée a Poudlard, et bien sa se serait mieux passé pour elle.

Mais se qu'elle ne t'a pas dit c'est que si ça avait été le cas, nous n'aurions peut être pas pu être amis, tu ne crois pas ? Demanda mon père alors que nous rentrions chez nous au 12 Square Grimmaurd.

Moi je crois que c'est une bonne idée. Repondis ma mère alors que Kreatur, notre elfe de maison récupérais nos affaire.

Tu en pense quoi Kreatur ? Demanda Lily, elle savait que Kreatur suivait toujours ses idées.

Kreatur pourrais donner son avis mais Kreatur ne sais pas de quoi Mlle Lily et ses parents parlent.

Ils sont en train de demandez si Lily peut aller chez Merope Dimpt une fille qui était avec Neville et qui va a Poudlard. Informa James en montant les escaliers vers sa chambre. Si cela intéresse quelqu'un je suis dans ma chambre. Au fait Papa, Tedy est censé venir dans pas longtemps avec Mme Tonks non ?

Oui ils sont censé venir mercredi pourquoi ?

Lily doit être présente alors ?

Mais pour une fois je peux ne pas être la ça va tuer personne ?

Lily ! Tu sais quel importance à cette rencontrer chaque année pour chacun d'entre nous ! Donc c'est décidé si ta cousine veut y aller temps mieux mais toi tu n'y va pas ! Repondis mon père. '' Je n'avais pas participé à la conversation espérant que ma sœur, allait réussir à les convaincre, ainsi je pourrais revoir Merope avant la rentrée qui étrangement me paressait très loin. Voyant mes espérances partir en fumée. Je commençais à réfléchir à toute vitesse pour pouvoir réussir à trouver une solution. Finalement comme une étincelle, et alors que mon père commençais à remonter les escaliers, se qui signifiait que la situation était close je dis : '' Et si Lily y allait pour deux jours ? Comme ça elle peut toujours profiter de Rose durant les derniers jours des vacances. Ces une bonnes idée non ?'' Et j'attendis... mon père se retourna et me il me regarda de se regard qui nous montrait bien qu'il pouvait voir au plus profond de nous. Il n'était pas un auror pour rien. Alors ma mère intervint : ''Ces une excellente idée Albus ! Comme ça ta sœur ne se sentira pas trop exclut. Lily va parler avec Rose et prévoit le tout. Demand aussi à tante Hermione si elle peut venir ici comme ça on vous déposera là-bas.

On pourrai y aller maintenant ? Demandais-je plein d'espoir.

Et tu crois que la directrice aurait le temps de tout préparez pour accueillir deux personnes de plus pendant une semaine ? Me répondis sarcastique ma sœur. Je voyais dans son regard que j'allais subir ses ''douces'' moquerie pendant longtemps. Mais peut-être veux-tu absolument te débarrasser de moi, même si c'est plutôt la spécialité de James, ou alors tu veux absolument revoir une certaine personne.

Je pencherais plus pour la belle jeune fille. Rétorqua James hilare.'' Je les détestais. Par chance ma mère fit remarquer à ma sœur que si elle ne se dépêchait pas elle ne pourrait plus partir chez Merope. Celle si détala rapidement. Puis mon père fit remarquer à James que s'il voulait essayer son nouveau balai il avait intérêts à se dépêcher d'aller au jardin avant qu'il ne se mette à pleuvoir.

Heureusement que mes parents étaient là. Je me réfugiais dans ma chambre et là je vis, lover sur mon lit, Penelope, le hibou de Merope. Qu'est-ce qu'elle faisait là ? Je m'approchais d'elle et la fit monter sur mon bras. Puis entendant un ''pop'' dans le hall, je descendis doucement les marches de peur de réveillez la cruche. C'était le nom de que nous donnions au tableau de Mme Black que jamais, même Kreatur, n'avais réussie a enlevé et rejoignit ma famille ainsi que ma tante Hermione et ma cousine. Au moment où j'arrivais à l'entrée de la cuisine j'entendis ma mère et ma tante parler :

''Tu imagine Ginny, Rose et Scorpius ! Quand elle me la dit je n'y croyais pas. Il faut dire que venant du fils de Malfoy.

Oui mais il y a une chose qu'il ne faut pas oublier, quelque soit les préjugés que nous avons on ne peut pas les faire passer avant nos enfants. C'est se que je viens de dire a Harry quand on a parlé de la petite Merope. Mais si tu savais comme il a peur que tout recommence.

Mais comment veux-tu que cette petite est le moindre rapport avec lui ! Dix-sept ans sont passés !

Oui tu as raison et puis même si elle a un lien avec lui, je crois qu'après se qu'il c'est passée avec Rogue on devrait attendre avant de la juger.

Mais tu crois qu'Harry et Ron le font ! Ron encore plus qu'Harry. Ce sont de vrais Griffondor, ils agissent et après ils réfléchissent.

Oui tu as raison. Mais changeons de sujet ou presque, tu sais la scéné qu'on a eu en rentrant? Albus qui faisait tout son possible pour que Lily parte le plus tôt possible a l'orphelinat.

Comment ça se fait ? Il veut se débarrasser d'elle ou quoi ?

Non, je crois plutôt que mon petit Albus connait les même tourments que moi a son âge.

Sauf que toi tu les avais déjà un an plus tôt.'' Et elles auraient bien continué a parler de moi si Penelope n'avais pas décollé de mon bras en me griffant et si je n'avais pas crié de surprise. Bien entendu ma mère et ma tante se sont retourné et mon fait les gros yeux. S'il y avait bien une chose qu'elles ne supportent pas ses qu'on écoute leur conversations. Après cela, je parti rapidement rejoindre mon frère, ma sœur, ma cousine et mon père qui étaient dans le jardin. En arrivant, je vis Lily et Rose qui fixaient une lettre sur la patte de Penelope. Quand celle-ci s'envola, je m'en rapprochais des deux jeunes filles et m'allongeais au près d'elles en regardant mon frère et mon père qui faisait une partie de Quidditch. J'adorais se jeu autant qu'eux mais aujourd'hui j'avais une autre préoccupation. Celle-ci était d'écouter les deux jeunes filles à mes côté pour voir ce qu'il en résultait de leur sortie à l'orphelinat. Ces ainsi que j'appris avec plaisir qu'elles avaient envoyé leur proposition et qu'elles attendaient la réponse rapidement. Une fois rassurée de leur intention et ne voyant rien d'autre a faire qu'attendre la réponse de la jeune orpheline, je me levais, et partie chercher le balai que mes parents m'avaient offerts pour mes neuf ans. Je parti ensuite rejoindre mon frère et mon père et nous fîmes une partie de quidditch : mon frère voulant être un poursuiveur, mon père jouait le gardien et moi le batteur a fin de l'aider à se perfectionner.

Au bout d'un certain moment, James fini par demander un temps mort et nous descendîmes des balais afin de profiter des merveilles que nous avaient préparer Kreatur ainsi que ma mère : quand ces deux là ce mettaient aux fourneaux il valait mieux être mort de faim tellement c'était bon. Puis, comme si elle n'attendait que ce moment, Penelope revins avec la réponse de Merope. Mon cœur fut soulager, elle répondait enfin, puis mon cœur explosa de joie quand je vis le sourire victorieux de Rose alors que celle-ci montrait la réponse, qui était favorable, à Lily.

Commença alors, pour les deux jeunes filles, la préparation des affaires a emmener et surtout ce qu'elles allaient apprendre a Merope. Mais une point noir m'apparut : Merope avait une grande amie et celle-ci n'était pas une sorcière comment allaient- elles faire avec cette jeune moldue autour d'elle. Je fis par de mes inquiétudes à mon père et avant que celui-ci n'ai pu me répondre James me fit remarquer :

''tu voix, c'est pour ça que je te dit que tu vas aller a Serpentard, tu réfléchis toujours avant d'agir et tu regarde toujours toute les possibilités.

James laisse ton frère tranquille veux tu ! Répliquas ma mère avant qu'une énième dispute n'apparaisse.

Pour te répondre Albus, Lily et Rose n'ont rien à craindre car cette jeune moldus est au courant de tout, Neville avait demandé au professeur McGonagall si Merope pouvait la mettre au courant. Ce qui était plus simple pour elle. Et se fut accordé. Il n'y a donc aucun problème. ''

Rassuré, et tranquille quand au sort des quatre jeunes filles (il ne faut pas croire que je m'intéresse qu'a Merope), j'écoutais mes sœurs tout préparer mais surtout, elles envoyèrent une autre lettre, cette fois-ci par l'intermédiaire de mon hibou, comme quoi j'avais raison en disant qu'ils étaient les plus pratiques, disant qu'elles arriveraient le lendemain très tôt. Voyant revenir Hermes sans réponses de la part de l'orpheline, les deux jeunes filles partirent préparer leurs bagages pour le lendemain. Tandis que mon père et mon frère reprenaient leur partie alors que ma mère et ma tante reprenaient leur conversations et que Kreatur partait nettoyer je ne sais quel endroit, Je m'allongeais sur l'herbe de notre jardin et regardais le ciel en pensant a la joie que j'aurais de revoir la belle demoiselle le lendemain. A se moment même la peur d'être envoyé a Serpentard ne pouvait m'enlever le sourire que j'avais sur le visage. Et c'est en pensant à ce beau visage que je m'endormie, les cheveux ce balançant au rythme du vent.

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>