manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Cauchemars à tous les étages :
Par sflagg
Originales  -  Horreur/Fantastique  -  fr
5 chapitres - Complète - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 2     Les chapitres     0 Review    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
2ème Hantise

 Le soldat Steve Malcom, tout juste vingt ans, entra dans la ville allemande d’Oppenheim ravagée par les obus qui lui tombaient dessus, telle une averse, depuis plusieurs jours déjà. Il faisait partie des premiers soldats américains à y fouler le sol boueux de ses rangers usés par la longue marche qui l’avait conduit de la plage d’Omaha Beach en Normandie jusqu’à cette ville allemande bordant le Rhin. Après quelques escarmouches sanglantes, le calme avait l’air de vouloir revenir, et, même si les armes étaient toujours prêtes à cracher leur venin mortel, dans la tête des soldats américains c’était un tout autre genre de liquide qu’ils avaient envie de distribuer. Eh oui ! leur sexe les démangeait. Alors quand Steve vit cette jeune blonde, qui ne devait pas avoir plus de dix-huit ans, s’engouffrer dans une ruelle sombre, c’était sans hésiter qu’il s’y était engagé à sa suite. Lorsqu’il la rattrapa, il la plaqua sur le sol, et relevant sa robe et baissant sa culotte, il commença à la violer, indifférent aux cris de terreur qu’elle poussait (surtout qu’il ne comprenait pas ce qu’elle pouvait bien hurler, ne parlant pas l’allemand).

 Il était là, en plein va-et-vient, lorsqu’il entendit le bruit d’une mitraillette que l’on armait. Il n’eut pas le temps de voir celui qui le tenait en joue, qu’une rafale les déchiqueta de part en part, les figeant dans leurs ébats.

 Steve jouit dans la blonde qui n’eut même pas le temps de s’en apercevoir, morte sur le cou. Puis, il tomba dans les pommes et commença à s’enfoncer dans le sol.

 Lorsqu’il revint à lui, il se trouvait dans une pièce aux murs noirs recouverts de taches de sang coagulé. Sur lui, un monstre hermaphrodite était alors couché. Il était nu et possédait trois bras, dont un en place de nombril. Les deux positionnés à leur place habituelle tenant fermement Steve par les épaules et le troisième se caressant la partie masculine de son double sexe. La partie féminine entourant, quant à elle, le propre sexe de ce dernier, qui, malgré toute la panique et la peur qui l’envahissaient, bandait à en éclater. Le monstre avait aussi deux seins protubérants d’où coulait, en guise de lait, du pus à l’odeur fétide. Il approcha sa bouche aux lèvres violettes et craquelées de la sienne et lui fourra dedans sa langue plus râpeuse que du papier de verre. Steve sentit alors des insectes passer d’une cavité buccale à l’autre, descendre jusqu’à sa gorge et remonter par son conduit nasal pour ressortir par son nez, et tout cela sans oublier de le mordre et de lui arracher des bouts de chairs au passage. Puis, l’attrapant par les cheveux, il le força à engloutir sa verge, et lui éjacula dans la bouche un liquide verdâtre au goût d’oeuf pourri avec lequel Steve faillit s’étouffer. Après quoi l’abomination se mit à lui parler d’une voix suave qui dégoûta pourtant Steve dès qu’il l’entendit :

“ Ho mon amour ! je sais que tu aimes me prendre comme une grosse chienne, mais si tu veux pouvoir continuer à me la fourrer et qui sait, si tu veux que j’en fasse autant avec ton petit trou de balle, il va falloir que toi aussi tu promettes allégeance à mon Maître Satan ; que tu promettes de le servir sans faillir et que tu mènes ses hordes démoniaques à travers toute la planète dans une guerre qui en éradiquera cette maudite engeance de dieu qu’est la race humaine. Ho, mon bébé ! dis oui et plus jamais nous ne nous quitterons, et je te ferais connaître la jouissance éternelle.

— Non, jamais ! Jamais je ne suivrais ton maître, plutôt souffrir mille vies que de servir une telle pourriture. Et puis si tu veux te faire baiser, va lui demander à lui de te la fourrer au plus profond, car moi, je n’ai aucune envie de te satisfaire, saloperie !

— Pourtant, vu comme tu es tendu, on pourrait penser le contraire, on pourrait croire que tu y trouves du plaisir à me labourer la chatte, mon amour. Allons ! ne fais pas ton timide, et admets que tu y prends ton pied.

— Non ! C’est juste la peur qui me fait me dresser comme ça. Toi, tu me débectes, tu me donnes envie de gerber, de mourir.

— Soit, si tu le prends ainsi, alors tu vas mourir, mais pas aujourd’hui, car je vais te laisser une deuxième chance de changer d’avis, mais attention la prochaine fois que je viendrais te visiter, si tu refuses encore je te saignerai comme le porc que tu es, mon bébé.

 Le monstre enfonça alors deux doigts prolonger de griffes pointues dans l’anus de Steve et commença à enfoncer ces dernières dans sa prostate le faisant en suivant éjaculer, et il conclut :

— Un avant-goût de tout le plaisir que je peux te procurer, mon amour, ainsi cela t’aidera peut-être à prendre la bonne décision, car j’ai tellement envie de t’avoir à mes côtés, mon bébé. ”

Puis il partit d’un rire glacial et s’évapora dans la pièce, laissant Steve seul sur le béton froid. Ce fut à ce moment-là qu’il ressentit une vive douleur venant de son scrotum, il baissa alors les yeux et souleva celui-ci et y vit des tout petits scorpions lui déchiquetant la peau de leurs pinces, un de ses testicules s’échappant déjà à moitié du sac protecteur à présent en lambeaux. Puis, son cerveau n’en supportant pas plus, il finit par s’évanouir. Et Louis Vermon se réveilla en sursaut, pensant encore être Steve Malcom l’espace d’un instant avant de reprendre totalement ses esprits et de se souvenir qui il était vraiment. Pourtant ce rêve avait l’air si réel, la personne qu’il avait incarnée si vivante, qu’il en fut perturbé. Surtout qu’il se souvenait de détails qui pourtant n’avaient même pas été dans ses songes, comme le fait qu’après sa rencontre avec le monstre il s’était réveillé dans un hôpital de campagne, un docteur penché sur lui en train de le recoudre. Oui cela était vraiment curieux, pas normal, les rêves n’étaient pas censés se dérouler ainsi, même les pires d’entre eux, même si bien souvent ils semblaient réalistes, jamais ce n’était à ce point-là. Louis le savait bien, et se posait des tonnes de questions alors que le sommeil le regagnait à nouveau. Et il s’endormit d’un sommeil paisible, tandis qu’à l’étage supérieur une autre personne commençait à son tour à s’agiter dans son lit...

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>