manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
Héritage imprévu
Par noveski
Harry Potter  -  Romance/Action/Aventure  -  fr
6 chapitres - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 2     Les chapitres     0 Review    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Chapitre 01 : Une connexion pourtant impossible

Chapitre 01

Une connexion pourtant impossible

----------------------------------------------------------------------------------------------------

Quelle petite pièce maintenant qu'elle y pensait. Les murs semblaient se rapprocher à mesure que le compartiment montait rejoindre son étage. Elle ne put s'empêcher d'inspecter ses pieds, reposant dans des chaussures vernies noires. Elle avait pris soin de les nettoyer pour l'occasion. L'angoisse prenait progressivement possession de son corps. Elle leva finalement la tête, la rejetant en arrière tout en soupirant. Pourquoi devait-elle s'y rendre déjà ? Ah oui ! On la contactait pour une affaire d'héritage lui avait-on dit. Quelle histoire encore...Comme si elle n'avait pas déjà mieux à faire entre sa rentrée qui approchait et Voldemort qui prenait de plus en plus de puissance. Qui pouvait bien lui faire le coup de lui céder quelque chose ?

Un nouveau soupir passa ses lèvres. Elle n'aimait pas du tout l'idée d'avoir un rendez-vous avec un gobelin. Ils étaient loin d'être agréables et elle avait du mal avec leur air féroce, tel des lionnes protégeant ses petits mais eux s'affairaient à garder des biens disons, plus précieux. C'était comme si toute personne leur faisant face était un potentiel voleur. Cette sensation d'être totalement scrutée la mettait extrêmement mal à l'aise. Encore une fois, pourquoi y allait-elle déjà ? Ah oui ! Parce que Ron et Harry insistaient sur le fait que si quelqu'un prenait la peine de lui céder quelque chose, elle se devait de répondre à cette attention et ainsi se rendre directement à la banque pour prendre connaissance de celui-ci.

Par Merlin, elle ne se sentait pas bien et voyait déjà le mal de crâne pointer le bout de son nez. Un tintement significatif retentit, la figeant sur place devant les portes de l'ascenseur qui s'ouvrirent devant elle, lui ouvrant le passage vers sa destination. Bon ! Elle était une Gryffondor, et en cela elle devait faire honneur à sa maison en se comportant comme telle. Elle posa un premier pied dans le couloir sombre qu'elle devait emprunter. Car oui, elle était de loin de la longue allée marbrée, éclairée par un toit en verre. Elle avait l'honneur de se retrouver dans les bureaux de la banque, un lieu dirions-nous plus révélateur de l'état d'esprit de ces gardiens d'or. Tout était dans un bois sombre vernis, augmentant cette sensation de couloir interminable. Elle posa un deuxième pied devant elle, sortant définitivement du petit espace. Un, deux, trois autres pas mais toujours aucun indice sur le bureau à atteindre. On ne lui avait indiqué que l'ascenseur. Elle se crispa soudainement en ayant eu l'impression de passer devant une ombre. Son visage se tourna lentement, faisant durer le suspense. Elle n'était pas seule dans ce couloir, son instinct le lui hurlait. Ainsi, ses yeux tombèrent sur un gobelin à l'air encore plus austère que ses congénères à l'accueil. Il souleva un sourcil en constatant le bond de surprise qu'elle fit en le remarquant :

« _ Miss Granger si je ne m'abuse ? s'informa-t-il de sa voix grave, voire trop grave pour un si petit corps.

_ Tout à fait, affirma-t-elle tout en se redressant et lui tendant la main.

Celui-ci regarda sa main telle une chose désagréable dont il ne consentait pas le toucher. Il l'ignora et remonta son regard vers ses yeux avant de partir sans une réponse. Elle reprit sa main rejetée qui se crispa. Ça commençait bien. Souffler….Souffler ! Elle le suivit sans en tenir compte plus longtemps jusqu'à une porte. Il posa sa main sur celle-ci qui s'ouvrit instantanément. Il l'invita à entrer du regard, ce qu'elle fit après une légère hésitation. Il semblait y avoir encore moins de lumière dans cette pièce que ce long couloir. Il fallait le faire tout de même ! Il referma lourdement la porte derrière elle et s'installa à un grand bureau tout en lui désignant le fauteuil face à celui-ci. Elle s'y installa immédiatement. Plus vite ils commençaient, plus vite elle serait rentrée. Il ramena ses mains l'une contre l'autre sur le meuble, la regardant silencieusement. C'était pas vrai. Ils souhaitaient la rendre folle ou quoi ?

_ J'ai cru comprendre qu'on m'appelait pour une histoire d'héritage, amorça-t-elle.

_ Parfaitement Miss Granger, confirma-t-il après un grattement de gorge profond, sans en rajouter plus.

Elle l'observa, attendant une suite logique qui ne vint pas. Prenait-il plaisir à faire durer cela ?

_ Écoutez, pourrions-nous aborder directement le sujet que je puisse rentrer chez moi. Cela serait bien aimable de votre part.

Elle crut voir l'ombre d'un instant son fameux sourcil se lever. Certes, elle venait d'insinuer qu'il pouvait être aimable. Par Merlin ce n'était pas la fin du monde. Il ouvrit un tiroir et en sortit un parchemin d'un lourd dossier en cuir. Il le lui présenta et désigna de son long doigt ce qu'elle devait regarder. Elle se pencha et y vit un long texte concernant le décès de « Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore » Venait-elle de bien lire ? Comment pouvait-elle se retrouver sur l'héritage de son directeur ? Elle posa le parchemin.

_ Etes-vous sûr de ne pas vous tromper ? Je n'ai aucun lien de parenté avec Dumbledore.

_ Je vous assure Miss, que nos informations sont formelles, conclut-il tranchant, ayant moyennement apprécié le fait qu'elle se permette de remettre en doute leur travail.

Elle comprit le message muet et continua sa lecture. Elle arriva jusqu'à la partie des héritiers et trouva deux noms :

Henriette Jean

Hermione Granger

_ Pourquoi mon arrière grand-mère se trouve sur ce parchemin ?

Là elle ne rêva pas ce sourcil se soulevant, remarquant même l'accentuation de celui-ci.

_ Votre arrière grand-mère vous dîtes, souffla-t-il pensif. Nous cherchions à identifier la première héritière qui est totalement introuvable dans nos archives sorcières. Nous comptions faire des recherches du côté moldu mais vous venez de nous faciliter la tâche.

_ Cela ne change rien au fait que mon arrière grand mère est une moldu et n'a aucun lien avec le monde de la magie. Je suis la première à développer des pouvoirs dans ma famille. Enfin…., se coupa-t-elle dans ses pensées en revoyant sa grand-mère en grandes discussions avec ses amis sorciers. Elle connaissait de nombreux sorciers, même avant la réception de sa lettre…

_ Pourriez-vous la contacter et revenir avec elle Miss ?

_ Euh….Oui bien-sûr, répondit-elle automatiquement tout en se relevant. »

Elle venait de nouveau de se prendre une bombe en pleine figure. Elle n'aurait jamais imaginé que son arrière grand-mère soit relatée à son directeur. Comment cela pouvait être possible…?Elle sortit de la banque et transplana une fois dans la rue. Elle atterrit directement dans le salon de son aïeul, la faisant légèrement sursauter.

« _ Ohhh Hermione ma chérie ! Je ne savais pas que tu passais aujourd'hui ! Tu aurais pu me prévenir que je sois un peu plus présentable.

_ Euh oui désolée Henriette, je ne voulais pas te déranger.

_ Tu ne me déranges jamais voyons, répondit-elle tout en se levant pour lui faire un câlin et la regarder dans les yeux tout en la tenant par les bras affectueusement.

Ainsi, Hermione se mit à l'observer. Celle-ci était une femme vraiment charmante malgré son âge. Ses rides étaient toutes en belles courbes souples et régulières. Son teint était pâle, remonté par une petite touche de maquillage. Son visage était fin légèrement en pointe avec des lèvres fines et de grands yeux d'un bleu pétillant. Ces yeux….Elles s'était déjà fait la réflexion qu'ils dégageaient la même chose que ceux d'Albus. Si elle savait à l'époque qu'elle n'était pas loin de la vérité. Elle posa sa main sur celle de sa parente avec un sourire.

_ Henriette pourrais-tu m'accompagner à la banque de Gringott's ?

_ Tu veux dire la banque sorcière ?

_ Oui.

_ Bien sûr ma chérie ! Je vais de ce pas passer une robe plus adaptée, déclara-t-elle avant de filer vers son dressing.

Oui on parlait bien de dressing et non une simple chambre. Hermione prit place sur un des fauteuils qui composaient le spacieux salon richement décoré. Elle se trouvait dans le manoir familiale et pourtant n'était pas mal à l'aise. Il n'avait rien à voir avec les bâtisse des sorciers de sang-pur qui ne dégageait aucune chaleur. Ici, la joie de vivre s'épanouissait. Certes, cela puait la richesse mais pas seulement à travers les meubles mais également par les nombreux souvenirs que sa grand-mère ramenait de ses voyages dans le monde. On pouvait trouver de tout ici. Elle entendit des petits talons claquer sur le parquet et elle comprit que la séance d'essayage était terminée. Elle lui fit face, et découvrit une magnifique robe cintrée bleu nuit en dentelle sous un fabuleux collier en perle. Il n'y avait rien à dire : elle en imposait. Elle lui tendit son bras et transplana. A l'inverse de qu'elle pensait, Henriette était tout à fait à l'aise suite au transplanage qui aurait dû au moins la rendre malade. Celle-ci comprit l'expression surprise de sa petite fille.

_ Voyons Hermione, c'est loin d'être la première fois pour moi, l'informa-t-elle comme si c'était une évidence avant de regarder la banque avec les yeux qui brillaient.

Elle avait toujours voulu y entrer, mais n'avait jamais eu l'occasion de le faire. Elle ressemblait à une enfant pendant un instant. Cette joie de vivre était incroyable. Elles passèrent les grandes portes et se retrouvèrent dans la longue allée de marbre, faisant retentir chaque pas de sa grand-mère. Celle-ci observait ce qu'on appelait « des gobelins ». C'était donc eux les gardiens des fortunes du pays. Elles se dirigèrent vers l'ascenseur après un mouvement de tête affirmatif d'un gobelin. La montée parut une nouvelle fois longue pour Hermione mais déjà moins oppressante. Elles furent accueillies par ce même gardien d'héritage qui les conduisit jusqu'à son bureau. Henriette s'assit majestueusement sur l'un des fauteuils, parfaitement droite. Elle n'était en rien l'imitation d'une noble. Hermione fit de même et elles attendirent que le jugement tombe.

_ Ravi de vous rencontrer Madame Jean, fit-il sous le regard surpris de la jeune sorcière.

Parce qu'il savait être poli maintenant ? S'en était presque vexant…

_ De même mon cher…, laissa-t-elle en suspend afin de lui faire comprendre qu'il ne s'était pas présenté.

_ Dunstor, répondit-il à cette question muette.

Incroyable...Il avait tellement plus de considération pour son aïeul qu'à elle. Elle secoua la tête de dépit. Elle imposait toujours le respect, elle ne pouvait pas rivaliser.

_ Madame Jean, vous êtes convoquée ici-même pour une question d'héritage, l'informa-t-il.

Elle releva quelque peu ses sourcils, surprise.

– Il ne me semblait pas avoir encore de la famille vivante pouvant encore me léguer quelque chose, fit-elle la réflexion plus pour elle-même.

– Il vous restait en effet de la famille du côté sorcier, précisa-t-il avec une grimace qu'elle associa à un semblant de sourire.

_ Vraiment ? S'étonna-t-elle. Je n'en avais pas connaissance…

_ Moi non plus, se manifesta enfin Hermione. Henriette, toute notre famille de ton côté est uniquement moldu n'est-ce pas ?

_ Oui bien-sûr ! Enfin, ma famille adoptive, lâcha-t-elle dans un souffle curieux.

_ Ta quoi ?!

La vieille dame tourna son regard vers sa descendance avec un air conciliant.

_ J'ai été adopté à la naissance, mais je n'imaginais pas être en lien direct avec le monde de la magie, précisa-t-elle.

Elle aurait tout entendu aujourd'hui. Maintenant son arrière grand-mère était sûrement de naissance sorcière. On allait lui sortir quoi après ? Qu'elle était la descendante de Serpentard ou quoi ? Elle se pinça l'arête du nez. Elle n'avait vraiment pas le temps pour d'autres problèmes.

– Veuillez me donner votre main Madame Jean, s'enquit Dunstor.

Elle s'exécuta et le gobelin pointa sa baguette vers son poignet et un filet blanc en sortit, l'entourant délicatement. Un nouveau filet apparut, d'un bleu foncé, mais cette fois-ci du poignet d'Henriette. Il s'enroula avec le blanc pour former ce que l'on pouvait qualifier de bracelet tissé. Il baissa sa baguette, faisant s'évaporer le phénomène. Il fronça les sourcils.

– Votre corps a réagit comme celui d'un sorcier.

– Serait-elle cracmol ? s'intéressa la Gryffondor 

– Non...Si c'était le cas, un filet rouge serait apparu. Le vert signifie sorcier, rouge cracmol et aucune réaction pour moldu, expliqua-t-il.

_ Et bleu ?

– Je ne sais pas...avoua-t-il.

Bien...Très bien...Ils avançaient...Mais pas du tout ! Ils envenimaient le problème. Elle se permit un soupir. Le gobelin claqua des doigts et un elfe de maison fit son apparition dans un plop sonore.

– Sicrur, va chercher un médico mage immédiatement, ordonna-t-il sans plus de cérémonie.

– Comme vous le souhaitez monsieur Dunstor, répondit-il en baissant la tête. »

Hermione afficha sa désapprobation. Elle n'aimait pas ce fait de servitude chez les elfes de maisons mais n'en dit rien. La créature transplana et revint quelques minutes plus tard accompagnée d'une femme. Celle-ci courba légèrement la tête en salutation.

« – Vous m'avez fait appeler Dunstor ?

– Oui Miranda, je souhaiterai que tu examines Madame Jean ici présente. Lors du test de magie, un filet bleu sombre est apparu, précisa-t-il.

Celle-ci fronça les sourcils et s'approcha de sa nouvelle patiente.

– Très étrange en effet, commenta-t-elle en faisant elle-même l'examen. Au contraire du gobelin, un filet vert en sortit. Elle constata de ses propres yeux la réaction. Elle resta silencieuse un moment, en pleine réflexion. Je n'ai jamais vu ce phénomène de mes yeux, reprit-elle, mais j'en ai entendu parler. C'est un fait très peu répandu voire rare. Il y a eu je crois deux cas comme le vôtre.

– Qu'est-ce que cela signifie, demanda Hermione.

– Qu'elle est née sorcière mais que ses pouvoirs lui ont été totalement retiré. C'est comme si elle était moldu mais avec le corps plus résistant d'un sorcier.

– Parce que nos corps sont différents de ceux des moldus ?

– Disons que pour supporter la pression que la magie exerce sur notre corps, celui-ci est naturellement plus résistant.

Qu'est-ce que cela pouvait signifier ? On aurait retiré les pouvoirs d'Henriette… ?

– Cet examen est demandé pour quel héritage, s'informa la médico mage.

– Celui de Dumbledore, répondit le gobelin.

– Permettez-moi d'analyser son sang afin de comprendre leur lien.

– Je vous en prie, vous êtes toute autorisée, précisa Henriette, confiante.

Elle en sortit une aiguille et piqua le doigt de celle qu'on pensait moldu quelques minutes auparavant. Elle porta le doigt écorché sur un parchemin donné par le gobelin. Ce parchemin était emplie du sang de Albus et était une des nombreuses procédures liées à l'héritage. En mettant en contact le sang d'un parent, celui-ci sera absorbé par le parchemin et une écriture magique informera de son lien de parenté avec le défunt. C'était un peu comme le testament où étaient apparus les noms de Henriette et Hermione. En versant une goutte de sang du défunt sur un parchemin enchantée, les noms des héritiers de sang apparaîtront. Il fallait préciser que seuls les noms de sorciers apparaissaient, problème qu'ils souhaitaient régler dans les années à venir.

La tension était à son comble. Ils avaient les yeux rivés sur le parchemin et de l'encre s'anima enfin. Hermione fit presque une crise cardiaque à la vue de ce qui était marqué : « Fille »

Un silence presque pesant s'abattit dans le bureau. Elle était la fille de Dumbledore...Le gobelin se gratta finalement la gorge afin de briser ce silence.

– Je suis heureux de vous annoncer qu'en tant que fille de Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore vous êtes l'héritière directe de ses biens.

– Je suis prise au dépourvue….Je ne pensais pas possible le fait d'être la fille de ce grand homme.

– Tu le connais ? s'étonna sa petite fille.

– Bien-sûr ! Il est très célèbre !

– Dans le monde sorcier.

_ Que je côtoie assez souvent, précisa-t-elle légèrement. Je souhaiterai que ces biens soient entièrement remis à Hermione Granger. J'ai déjà bien assez de biens du côté moldu.

– Tu...Tu es sûre Henriette ? C'est tout de même ton père !

– J'en suis consciente. Mais je ne saurais pas quoi faire avec tous ces objets magique et puis rien ne m'empêchera de voir ce qui lui appartenait n'est-ce-pas ? Demanda-t-elle dans un sourire doux.

– Bien-sûr !

Le gobelin prit un air quelque peu sévère.

– C'est possible en effet de procéder ainsi, répondit-il. Miss Granger, veuillez présenter votre baguette.

Celle-ci s'exécuta et donna sa baguette qui fut entourée d'un ruban rouge et qui fut comme absorbée.

– Vous êtes à présent propriétaire de tous ces biens. Il ne vous restera qu'à déposer une goutte de sang sur le testament et nous aurons finit la procédure. »

C'est ainsi qu'elle devint officiellement la descendante du grand Albus Dumbledore.

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>