manyfics
     
 
Introduction Les news
Les règles Flux RSS
La Faq Concours
Résultats ManyChat
Plume & Crayon BetaLecture
Nous aider Les crédits
 
     

     
 
Par date
 
Par auteurs
 
Par catégories
Animés/Manga Comics
Crossover Dessins-Animés
Films Jeux
Livres Musiques
Originales Pèle-Mèle
Série ~ Concours ~
~Défis~ ~Manyfics~
 
Par genres
Action/Aventure Amitié
Angoisse Bisounours
Conte Drame
Erotique Fantaisie
Fantastique Général
Horreur Humour
Mystère Parodie
Poésie Romance
S-F Surnaturel
Suspense Tragédie
 
Au hasard
 
     

     
 
au 31 Mai 21 :
23295 comptes dont 1309 auteurs
pour 4075 fics écrites
contenant 15226 chapitres
qui ont générés 24443 reviews
 
     

     
 
De Jolis Petits Secrets
Par Novalie
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
18 chapitres - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 4     Les chapitres     20 Reviews    
Partager sur : Facebook | Twitter | Reddit | Tumblr | Blogger
Réveille et Réponse

DE JOLIS PETITS SECRETS

 

 

Titre : Pretty Little Secrets

Auteur : sparkley-tangerine

Correctrice : Love Gaara of the Sand

Disclamer : Je ne possède ni les personnages ni l’histoire. Je ne suis que l’humble traductrice.

Note : Ceci est un slash (relation entre personnes de même sexe) alors si ça ne vous plaît pas vous n’êtes pas obligé de continuer à lire.
             L’histoire se passe après le livre 5 et ne tient pas compte des livres 6 et 7. Donc, c’est un univers alternatif (au)

 

 

-OoOoO-

Chapitre Quatre

Réveille et Réponse

-OoOoO-

 

Sirius et Remus restèrent aux côtés d’Harry, mais celui-ci était plongé dans un sommeil provoqué par une potion. Madame Pomfresh les envoya finalement aller manger et se reposer.

 

« J’enverrai un mot quand il se réveillera. Il sera chez Albus si vous n'êtes pas arrivés avant son départ, maintenant PARTEZ ! »

 

Les deux hommes n’eurent pas d’autre choix que de partir, effrayés que l’infirmière les bannisse de l’infirmerie. Madame Pomfresh se dirigea vers son seul patient. Elle vérifia ses signes vitaux une fois encore avant d’aller dans son bureau pour manger. Un simple charme l’avertirait si Harry allait mal.

 

Harry commença à bouger. Sa bouche était pâteuse à cause de toutes les potions qu’il avait été obligé de boire et son estomac gargouillait de faim. Lentement, Harry s’assit et regarda autour de lui.

 

Je suis à l’infirmerie. À Poudlard. Ce n’était pas un rêve. Harry sourit. « Snape et Malfoy n’iront pas danser sur ma tombe ! Merci mon Dieu ! La pensée de Snape en tutu est effrayante ! » Mais pas celle de Malfoy en tutu ? Ou celle de Malfoy avec rien du tout…

 

Cette pensée fit froncer les sourcils à Harry. Par l’enfer, d’où lui venait-elle ?

 

Secouant la tête pour éloigner ses pensées effrayantes, Harry sortit du lit et enleva quelques vêtements. Sa température corporelle était revenue à la normale et on était à la fin de juillet.

 

Comme madame Pomfresh n’était nulle part en vue et que de toute façon Harry ne voulait pas se faire dorloter, il quitta l’infirmerie pour la Grande Salle où il y avait de la nourriture.  Il était affamé.

 

Une cloche sonna à l’une des tours, annonçant cinq heures trente; l’heure à laquelle on dînait à Poudlard. Harry baissa le regard sur ses vêtements et fronça les sourcils. J’espère que McGonagall n’est pas là. Je ne suis pas vraiment habillé pour être vu.

 

Son estomac gargouilla, tirant Harry de ses pensées et il accéléra, marchant inconsciemment avec plus de grâce qu’habituellement. Il y avait un… balancement dans ses mouvements qui faisait félin et séducteur.

 

Il y avait beaucoup plus de bruits venant de la Grande Salle qu’Harry aurait pensé quand il y arriva. Avant qu’Harry ne se souvienne qu’il y avait beaucoup de Serpentard à l’infirmerie quand il y fut emmené.

 

« Maintenant, j’aurais vraiment souhaité avoir ma malle. » dit Harry à lui-même, tirant timidement sur ses vêtements. Il portait une veille paire de jean usé et un t-shirt noir qui semblait une taille ou deux trop petits.

 

« Hmm, ce chandail me faisait hier… je pense. »

 

Ses pieds étaient nus.

 

Soupirant, Harry haussa les épaules. J’ai plus besoin de nourriture que de vêtements. Ça serait stupide de survivre à cette grippe seulement pour finalement mourir de faim.

 

Lentement, Harry entrebâilla la porte de la Grande Salle et jeta un coup d’œil à l’intérieur.  Il semblait que la table des Poufsouffle était utilisée pour accueillir les étudiants, les adultes et les professeurs qui étaient restés pour l’été. À la surprise d’Harry, tout le monde avait l’air de s’entendre. Même le professeur Snape et Sirius, bien que ni l’un ni l’autre ne se parlait.

 

Malheureusement, McGonagall remarqua Harry en premier.

 

« Potter ! Que faites-vous à l’extérieur de l'infirmerie ? » Dit-elle, arrêtant les conversations de tout le table.

 

Qu’est-ce que vous dites à quelque chose comme cela ? “Bonjour, je viens à la table pour manger. Dah !“ Non, elle aurait probablement un anévrisme s’il répondait ça.

 

« Euh. »  Super.

Harry fut sauvé par un Sirius sautant sur ses pieds et courant jusqu’à son neveu.

« Harry ! Tu  es levé ! Oh, tu dois être affamé ! Viens ! »

Harry ne put placer un mot avant que Sirius ne le prenne dans ses bras pour le transporter jusqu'à la table.

« Sirius ! Dépose-moi ! » Bredouilla  Harry. « Je vais bien ! Je peux marcher tout seul! Mes jambes ne se sont pas atrophiées et ne sont pas tombées ! »

Sirius s'arrêta à  un pas de la table et regard Harry avec inquiétude.

« T'en es sûr ? »

Harry lutta pour se dégager de sa prise. « Oui » dit-il avant de pointer ses jambes. « Elles sont juste là. »

Dumbledore gloussa  alors que Sirius regardait son filleul se glisser sur un siège et se ruer  sur les sushi. L'instant d'après, Sirius prenait place à ses côtés et observa, comme le reste de la table, Harry dévorer  morceau après morceau.

Remus finit par parler avant qu’Harry ne mange la vaisselle au complet. « Je ne savais pas que tu aimais le sushi, Harry. »

Harry s'arrêta, la bouche pleine, et regarda autour de lui, remarquant que  tous le regardaient, il devient rouge tomate.

« Moi non plus, Lunard »

Tout le monde recommença à manger, comme si quelqu’un avait appuyé sur le bouton ‘’Play’’ sur un film mis sur pause. Quelques-uns des  Serpentards fixèrent toujours Harry, manquant leurs bouches quand ils essayèrent de manger. C'est à ce moment  qu’Harry remarqua avec qui il assit.

Pansy Parkinson, Blaise Zabini, Matthew Flint, Luis Montague, Terence Higgs, Gregory Goyle. Harry eut un sursaut à ce nom.

Attrapant sa boisson, il continua. Theodore Nott, McGonagall, Flitwick, Dumbledore. Harry fit une pause et prit une gorgée de son jus  à  saveur de fraises. Snape, Draco Malfoy, Lucius Malfoy --

Les deux derniers noms firent qu’Harry s'étouffa dans sa délicieuse boisson. Tout le monde retourna le regard vers lui. Snape ricana.

« Mon Dieu, Potter, est-ce possible pour vous de manger comme un être civilisé, et non comme un cabot enragé ? Sûrement le travail de votre parrain. »

Sirius grogna, ouvrant la bouche pour répliquer, mais Harry le battit de vitesse. La température de la pièce monta de quelques degrés.

« Mon Dieu, Snape, pouvez-vous parler comme un être civilisé, et non comme un simple roturier ? Toutes ses années sous les ordres  d'un cinglé doivent vous avoir fissuré le cerveau. »

Soudainement Harry revient à lui et mit une main devant sa bouche. Il avait parlé d’une voix  plus profonde que la sienne, aussi froide que de la glace. Plusieurs Serpentards le fixèrent, Remus haussa les sourcils et Sirius lui sourit largement...

Snape, dont le visage était devenu blanc sous le choc, tourna rapidement au rouge. « Pourquoi vous... » Commença-t-il, mais il fut interrompu par des cris hystériques. « ALBUS ! IL EST PARTI ! ALBUS ! » 

McGonagall regarda sévèrement Harry. « Est-ce que Mme Pomfresh vous a libéré de l’infirmerie, Potter ? »

Harry devint écarlate. Le chat sort du sac.  « Hmm, en quelque sorte... » Un regard noir. « Euh, non, pas vraiment.. »

Sirius grimaça avec sympathie. « Harry, mon garçon, ça va faire mal. » Harry pâlit...

« Mais elle n'était pas là. Du moins je ne l'ai jamais vue ! Et j'étais affamé ! »

Madame Pomfresh ouvrit violemment les portes, ses robes blanches virevoltant et le visage rouge.

« Albus, M. Potter est -- »

« Juste ici. » dit Dumbledore avant qu'elle ne panique. Madame Pomfresh regarda son prisonnier, euh son patient, assis à la table avec un regard coupable, et ses yeux se rétrécirent.

« M. Potter, vous ai-je donné la permission de sortir ? »

Harry déglutit. Blaise Zabini retint un rire.

« Et bien... »

Dumbledore se leva avant que l’infirmière devienne une meurtrière et fasse ce que Voldemort désirait le plus depuis bien avant la naissance d’Harry.

« Harry va mieux maintenant, Pompom. Après la conversation que nous aurons à mon bureau, je vous l'enverrai pour un dernier examen. Harry, mon garçon, viens avec moi »

Harry sauta pratiquement hors de son siège et rejoignit Dumbledore, en s’assurant d’être du côté opposé à l’être enragée qui ressemblant à une infirmière.

Dumbledore se tourna vers la tablée. « Sirius, Remus, je crois qu'il serait mieux que vous vous joigniez à nous. »

Harry envoya un regard curieux  au directeur avant de le suivre hors de la Grande Salle.

Les quatre hommes marchèrent silencieusement jusqu'au bureau du Directeur. Et puisqu'il détestait les silences,  Harry posa la question qu’il mourait, presque littéralement, de savoir.

« Alors Professeur, savez-vous ce qu'il m'arrive ? »

Dumbledore hocha la tête. « Oui, mais il serait mieux que nous attentions que nous soyons en sécurité dans mon bureau. Candy Corn. (1) »

La gargouille fit un pas de côté et Harry remarqua comment tout autour de lui scintillait. Sirius posa une main réconfortante sur son épaule alors qu'ils s’assoyaient dans le maintenant étincelant, du moins  du point de vue de Harry, bureau.

Harry s'assit sur le bord de sa chaise, légèrement nerveux. Dumbledore soupira avant de commencer.

« Harry, savais-tu que ta mère était considérée comme la plus belle femme ayant jamais fréquenté cette école ? »

Harry secoua la tête. En quoi la beauté de sa mère avait-elle un lien avec sa maladie ?

Sirius soupira. « Pour ça, elle l'était. Si elle n'avait pas  été destinée à James, je lui aurais couru après. »

Remus sourit... « Si tu avais survécu à la crise de jalousie de James. »

Dumbledore rigola avant de continuer. « Ta mère avait un secret. Et ce secret est la raison pour laquelle tu as été malade cette semaine. Est-il juste d'affirmer que tes symptômes ont commencé il y a une semaine? »

Harry approuva. « Oui. Maintenant que j'y pense, j'ai été malade pendant une semaine exactement. Alors que vient faire ma mère dans tout ça? »

« Harry » Dit Dumbledore gentiment. «  Ceci va peut-être  être un choc pour toi, mais Lily Evans était une Vélane. Et pas seulement une Vélane ordinaire. Elle faisait partie d'une espèce rare nommée espèce naturelle ou ce que nous appelons  Vélanes Élémentaires. Et tu es aussi un Vélane Élémentaire. »

Harry fixa le vieil homme. Le choc était l’expression la plus importante sur son visage. Il retrouva finalement la voix. « Mais les Vélanes son blonds et... Et des femmes! J'ai les cheveux noirs et je crois être en mesure de savoir si je suis un homme ou une femme! Ça ne peut être vrai! »

Sirius mit un bras autour de son filleul. « C’est vrai. Lily était une Vélane et James son compagnon. C'est pour ça qu'ils se sont mis ensemble après la cinquième année. Lily avait reçu son héritage. Par contre, elle n'a jamais été aussi malade que toi. »

Les yeux d’Harry s’élargirent. « Est-ce c’est pour cette raison que son amour m'a sauvé du sortilège de mort ? Parce qu'elle était une Vélane Élémentaire ? Et pourquoi est-ce que je vomissais du sang ? Et  la chaleur et le froid ? »

Remus s'éclaircit la voix. « Et bien,  le besoin principal dans la vie d’un Vélanes est son âme sœur.  Si celle-ci ou leurs enfants sont en danger, ils feront tout ce qui est en leurs pouvoirs pour les sauver. Les Vélanes peuvent aller jusqu’au meurtre, spécialement les Élémentaires, lorsque leur famille est en danger. Par contre, je ne suis pas sûr de la façon que les Vélanes Élémentaires reçoivent leur héritage. »

Dumbledore reprit là où Remus avait arrêté. « Et bien, pour qu’une personne devienne un Vélane Élémentaire, il est seulement nécessaire qu'un des deux parents le soit. Le fait que ton père était un sorcier au sang pur fait de toi quelqu'un d'encore plus puissant. Les Élémentaires comme ta mère et toi, ont d'abord cette espèce de grippe de chaud et froid comme on pourrait l’appeler, car  c'est votre meilleur moyen de défense contre les ennemis. As-tu remarqué que lorsque tu t'es fâché dans la Grande Salle à la suite du commentaire de Severus, la température de la salle entière a augmenté ? La colère produit une hausse de température qui peut t'aider à conjurer tes pouvoirs élémentaires tels que le feu et la foudre. Si tu te sens menacé, ton corps produira du froid, comme celui que tu as expérimenté aujourd'hui. Tu ne le ressentiras pas comme avant parce que ton corps est maintenant prêt à recevoir ces puissances. Le froid t'aidera à contrôler la glace et l'eau. Ces deux moyens de défense t'aideront à te préparer à recevoir tes autres pouvoirs. »

Remus approuva. « Quand nous sommes allés te chercher, la glace qui recouvrait ta porte de chambre avait une épaisseur de deux centimètres et a regelé automatiquement quand j'ai tenté de la faire fondre. »

Harry fronça les sourcils. « Je sentait la magie dans la maison. Je n'avais jamais ressenti cela auparavant. Et tout ce qui se trouve ici scintille. Est-ce normal ? »

Sirius acquiesça. « Ta mère pouvait voir arriver une blague un mille à l’avance après son seizième anniversaire. Mais elle a cessé de détester James et voilà, tu en es le produit. »

Harry rougit... « Vous avez dit qu'un Vélane avait besoin de trouver son âme sœur. Le devrais-je ? »

« Oui Harry, mais nous allons attendre jusqu'à ce que l'école recommence pour voir ce que nous allons faire avec cela.. » décida Dumbledore. « J'ai le sentiment que nous n'aurons pas à attendre trop longtemps avant que tu ne trouves ton âme sœur. »

Remus et Sirius froncèrent des sourcils. Dumbledore savait déjà qui était l'âme sœur d’Harry ?

« Et à propos du sang ? C'était le pire. »

« Oui, on m'a dit que tu avais perdu beaucoup de sang. Et bien, c'était ta partie Vélane qui rejetait  ton sang moldu. Puisque Lily n'était pas une moldue, ton corps s'est purgé de ce sang. Maintenant, tu as du nouveau sang Vélane dans tes veines. »

Harry devint soudainement tout excité. « Professeur, Lunard a dit que c'était l'amour de ma mère et ses pouvoirs de Vélane Élémentaire qui m'ont sauvé cette nuit-là, n'est-ce pas ? »

Dumbledore approuva. « Oui, l'amour peut être considéré comme un élément, et les Vélanes sont des êtres d'amour. Quel est ton idée, Harry ? »

« Et bien, si j'ai du nouveau sang, le sang de ma mère, donc le sang que Voldemort m'a pris après la Troisième Tâche est inutile. J'ai du nouveau sang  et la protection de ma mère a dû être restaurée avec mon héritage. Peut-être que l’ancienne protection était celle de mon père et maintenant les deux sont restaurées. »

-OoOoO-

 

(1) Bonbon très populaire aux États-Unis vers l’Halloween.  Littéralement bonbon au maïs, ce sont des bonbons de trois couleurs. Si vous voulez voir à quoi ça ressemble aller sur n’importe quel moteur  de recherche et tapez Candy Corn.

 

-OoOoO-

 

Suprise le 6 novembre, n'oubliez pas de venir voir

bisous

Novalie

 

 

 
 
Chapitre précédent
 
 
Chapitre suivant
 
 
 
     
     
 
Pseudo :
Mot de Passe :
Se souvenir de moi?
Se connecter >>
S'enregistrer >>