Ceci est mon cadeau pour l'anniversaire de mon esclave adoré!!! J'espère qu'il se reconnaîtra (et qu'il ne me tuera pas pour ce que j'ai écrit ^^) J'espère que tu vas aimer mon homard, je te fais de gros bisous et te souhaite un merveilleux anniversaire pour tes 18 ans! Les personnages de harry Potter ne sont pas de moi (non, sans blague ...) Cependant les membres de la secte existent bel et bien, et vous en connaitrez certains... PS: dédicace à tous les membres de la secte... UN POTTER A LA CFE Harry ne savait plus où donner de la tête. Pourquoi fallait-il que Hermione et Ron tombent malades le jour où il avait le plus besoin d’eux ! Et qui aurait pu prévoir que l’ennemi fut si fort et terrasserait la moitié de l’école ? Mais quand on disait terrasser ce n’était qu’un doux euphémisme. Un tiers de l’école s’était fait laminer par ce fléau. Il s’était manifesté d’une manière inattendue. On l’avait cru inoffensif, mais il s’était rebellé, avait résisté aux tentatives pour le tuer et pour l’amadouer ensuite puisque le tuer s’était révélé un échec. Mais rien n’y faisait. Même les professeurs était touchés : McGonagall et Flitwick avaient été comptés dans les premières victimes. A cela s’ajoutait la forte dépression qui avait atteint le professeur Dumbledore, suite à la privatisation des usines de fabrication de bonbons au citron pour usage personnel. Les bonbons étaient devenus les mets d’une haute société de l’ombre qui ne donnait accès à cette denrée qu’à certaines personnes et celles-ci étaient encore comptées au compte-goutte. A cause de l’état du directeur, c’était Snape qui avait pris sa place au sommet de l’école, mais son impuissance face à l’ennemi qui achevait ses élèves et les contraignait à partir le mettait dans une rage folle. Cela le rendait irascible et il se vengeait sur les survivants du carnage, les tuant à la tâche. Il avait instauré une vrai tyrannie, avait coupé l’école du monde extérieur. Aucune sortie n’était permise, sauf celle qui consistait à évacuer un élève. Aucun match de Quidditch n’avait lieu de peur que l’ennemi ne s’en prenne aux élèves au moment où ils étaient les plus vulnérables et les plus nombreux. Ainsi, en ces temps de trouble, Poudlard n’était plus que l’ombre d’elle-même, désertée par ses élèves, ou abritant les agonisants qui mourraient sous les piles de devoirs. Harry se frappa la tête contre la table. Pourquoi Hermione Granger, sa meilleure amie, la fille la plus intelligente de l’école, s’était-elle laissée agresser par cet être malfaisant ? Pourquoi Ron, lui qui était l’un des garçons les plus costauds de l’école, l’avait suivie quelques temps après ? L’amour ? La bêtise ? Qui pouvait le dire ? Et pourquoi, lui, Harry Potter n’avait été attaqué, lui qui avait pourtant tant d’ennemis ? Ces questions tournaient dans sa tête, mais ce n’était pas tellement le fait qu’il ne soit pas victime du fléau qui frappait l’école qui lui donnait envie de se pendre à l’arche la plus proche (à défaut d’un arbre vu qu’il n’avait plus le droit de sortir). Ce qui l’achevait dans toute cette aventure, c’était que Snape avait osé, le mettre, lui, Harry Potter, Gryffondor pur et dur, avec Malfoy, sa Némésis, son ennemi, Prince des Serpentards et autres vils personnages, pour un devoir de potion. Il voulait le tuer, il en était sûr. Il tourna sur le blond un regard dégoûté. - Ne me regarde pas comme ça Potter ! cracha Draco. Je suis autant humilié que toi que d'avoir à faire ce devoir, mais si ce satané rhume n’avait pas touché tout le monde, on n’en serait pas là ! Harry leva les yeux au ciel, se demandant qui il haïssait le plus : Malfoy où les maladies stupides qui pouvaient vaincre une armée de sorciers. |