Hello!! me revoilà avec la suite de Magie et amnésie. Il me semble que ce chapitre est un peu plus long que le premier mais c'est la faute des personnages qui ont pris quelques libertés pendant que j'écrivais (comme Ron et Blaise). Bon en tous cas j'espère que ça vous plaira.

Je ne sais absolument pas comment répondre aux reviws autrement qu'ici alors je vais prendre un peu de place pour le faire (de toute façon il n'y en a qu'une ça devrait pas manger tout l'espace ^.^)

Donc un TRES grand merci à Fanny. Ta review m'a fait d'autant plus plaisir que je suis une grande fan de tes fics. Pour répondre à tes questions je dirai que Issam a quatre ans de moins que Sirius et Severus (en sachant que pour moi ils n'ont jamais d'âges précis^.^). Pour savoir ce que Harry fait en plein désert il va falloir continuer ta lecture (ça ne serait pas drôle autrement). Par contre je peux te dire que Harry va maîtriser à la perfection le noble art du thé à le menthe ainsi que de nombreux autres que je te laisserais découvrir dans un chapitre à venir. 

Voilà voilà. Maintenat je vous laisse profiter de mon oeuvre.

Bonne lecture. 

Chapitre 2 :

Albus Dumbledore regarda le groupe de personnes qui se tenait devant lui et tout à coup, il se sentit fatigué. Pourquoi était-ce toujours à lui d’annoncer les mauvaises nouvelles ? Dans son bureau s’était rassemblée une bonne majorité des membres haut placés de l’Ordre du Phénix, constituée des amis et proches de Harry Potter. Tous n’attendaient qu’une chose : savoir si l’on avait enfin trouvé une quelconque information sur le Gryffondor.

Cela faisait maintenant deux semaines que la dernière bataille avait eu lieu. Au cours de celle-ci les mangemorts et les sorciers de l’Ordre s’étaient affrontés violemment pendant de longues heures avant que le duel que tous attendaient ne se déroule enfin.

Il y avait eu comme un flottement lorsque le Lord Noir était apparu sur le champ de bataille et il n’avait pas mis longtemps à trouver l’adolescent aux yeux verts parmi tous les sorciers présents. Les combats avaient cessé comme si chacun savait que son rôle était fini et qu’il en avait assez fait pour pouvoir délégué sur celui dont il portait les couleurs. Et l’affrontement avait commencé.

Les deux sorciers s’étaient tout d’abord observés sans bouger d’un pouce encrant leur regard dans celui de l’autre. Un sourire satisfait était vite apparu sur les lèvres de Voldemort quand il avait constaté que Harry portait déjà quelque blessures héritées dans l’affrontement.

« Ce sera encore pus facile que je ne le pensais. Déclara-t-il.

-Je n’en serais pas si sûr à ta place, Tom. Je suis du genre coriace. » Répliqua le brun dont les yeux lançaient des éclairs.

Ils n’avaient pas échangé plus de mots et Voldemort avait lancé un sortilège puissant en direction de Harry. Ce dernier l’avait évité sans encombre et avait répliqué avec tout autant de puissance. Ils avaient continué à s’affronter ainsi, comme dans une danse, aucun ne prenant l’avantage mais réussissant tout de même à blesser l’autre de manière importante. Les déflagrations magiques produites par ce combat n’avaient pas tardé à dévaster complètement le champ de bataille et plusieurs sorciers présents avaient reçu de plein fouet des sortilèges perdus. Lorsque l’un deux avait été touché par le doloris et que ses cris s’étaient élevés plus haut que ceux des autres, Dumbledore avait vu Harry tourner la tête pour regarder dans leur direction. Ses yeux s’étaient voilé d’une inquiétude supplémentaire et il avait tenté à partir de cet instant d’éloigner son duel des hommes et femmes présents. Mais cela avait été en vain car les combattants des deux camps formaient une foule compacte qui avait tout juste put s’écarter assez pour leur laisser la place.

Soudain Harry s’était immobilisé en face de son ennemi et, prenant sa baguette entre se deux mains jointes, avait réciter une incantation inconnue. Aussitôt une barrière lumineuse s’était dressée autour de Voldemort et lui les cachant à la vue des spectateurs. Lorsqu’elle avait enfin disparu, il ne restait plus personne là où les deux sorciers s’étaient tenus quelques secondes plus tôt.

La surprise était de taille et personne ne savait avec certitude ce qui avait bien pu se passer et donc ne savait comment réagir. Tous étaient restés sans bouger ni parler pendant de longs instants. Puis il y avait eu un mouvement de panique chez les mangemorts et beaucoup s’étaient mis à transplaner tandis que d’autres paniquaient en regardant la marque sombres de leur bras s’évaporer en une myriade de points lumineux verts. Des cris de victoires s’étaient élevés dans les rangs de l’Ordre et les aurors s’étaient empressés de capturer les mangemorts encore présents.

Tout cela s’était déroulé quinze jours plus tôt et personne ne savait ce qu’il était advenu de Harry Potter.

Dumbledore avait dépêché des équipes aux quatre coins de l’Angleterre mais elles étaient toutes revenues bredouilles et sans le moindre indice concernant le jeune homme.

C’était cela que le directeur de Poudlard allait devoir annoncer à tous ces gens présents dans son bureau.

Il se racla la gorge et le silence se fit. Devant lui se tenaient tous les enfants Weasley vêtus de noir pour porter le deuil de leurs parents, Hermione Granger dont le seul œil encore valide le regardait avec espoir, Sirius Black qui tournait nerveusement en rond sans personne pour le calmer du fait de la mort de Remus Lupin, Severus Rogue qui restait un peu en retrait des autres, ainsi que quelques élèves et professeurs de Poudlard inquiets du sort du garçon.

« Mes amis, commença Albus, j’ai bien peur de ne pas avoir de bonne nouvelle à vous annoncer. Les équipes de sorciers chargées de retrouver la trace de Harry sont revenues ce matin et aucune n’a la moindre piste.

-Mais bon sang ! pesta Sirius. La magie qu’il a utilisée était extraordinairement puissante ! Ça doit bien laisser des traces non ?

-Le sort utilisé par Harry était tout bonnement unique. Répondit Dumbledore avec douceur. Non seulement nous ne sommes pas sûrs de son but mais en plus nous n’avons aucun moyen de le tracer comme avec la magie traditionnelle. Je n’ai aucune idée de ce que cela peut être. »

Un silence lourd pesa sur l’assemblée. Chacun traitait l’information et tentait de trouver une idée qui ferait avancer les recherches.

« Jusqu’où avez-vous étendus les recherches ? demanda Hermione.

-Jusqu’en Irlande. Et nous n’avons rien trouvé qui soit digne d’intérêt.

-Connaissant Harry, commença la jeune fille, il aura voulu protéger les gens autour de lui et il se sera arrangé pour trouver un endroit où il ne risquait de blesser personne.

-Je crois que Granger a visé juste, déclara une voix traînante derrière le groupe.

Tous se tournèrent vers le garçon blond qui venait de pousser la lourde porte de bois du bureau. Draco Malfoy se tenait droit et fier comme à son habitude et, au dessus de sa main libre, quelque chose qui ressemblait à un nuage lévitait en formant de jolies volutes.

Contrairement à ce que l’on aurait pu croire, personne ne fut surpris de le voir, le dernier des Malfoy était devenu l’un des hommes de confiance de Dumbledore assumant son rôle d’espion et messager à la perfection. Depuis deux semaines, il avait de lui-même décidé de gérer les courriers de son directeur afin que seuls les éléments importants lui parviennent.

« Excusez moi d’interrompre votre petite réunion entre amis, mais je parierais que cela vous intéressera. » déclara le blond en s’approchant du bureau du directeur.

Avec délicatesse, il déposa le petit nuage de sable prés du phénix qui somnolait sur son perchoir.

Le sable prit alors vie formant petit à petit un cercle dans lequel apparut un homme de dos. Ce dernier semblait être en grande conversation avec quelqu’un qui n’apparaissait pas dans le cercle.

« Mais fais donc attention à la positon de tes doigts, tu n’arriveras à rien si tu ne recherche pas l’exactitude ! Recommence ! »

La musique d’un instrument à corde se fit entendre pendant quelques secondes avant de décliner et s’arrêter doucement.

« Tu vois quand tu t’appliques ! félicita l’homme de dos.

-Veuillez m’excuser monsieur, dit Draco d’une voix claire, mais il me semble que vous avez un message important à transmettre aux personnes ici présentes.

-Oh mais vous avez été rapide jeune homme. Félicitations Albus vous tenez là quelqu’un de rapide et efficace. Et en plus il fait plaisir à regarder…même si je vous soupçonne de ne pas avoir les mêmes goûts que moi dans ce domaine.

-Issam, s’exclama Dumbledore, cela faisait longtemps que je n’avais pas eu de vos nouvelles. Que me vaut le plaisir ? Vous avez réfléchit à ma vieille offre ?

-Oui et j’ai bien l’intention de l’accepter si elle tient toujours mais ce n’est pas ce qui nous intéresse dans l’immédiat.

-Et auriez-vous la gentillesse de me dire ce qui nous intéresse dans l’immédiat.

-En ce qui me concerne moi c’est : Quand Harry va-t-il réussir à maîtriser enfin cette cithare ? Mais pour vous je suppose que ce qui vous préoccupe c’est de savoir quand ce charmant garçon vous rejoindra en Angleterre. »

Le silence s’installa dans la pièce alors qu’Issam venait de lâchait sa petite bombe comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.

« Quoi ?!! hurla Sirius en se ruant vers le bureau, son cerveau ayant enfin assimilé l’information. Harry tu es là ? Mais qu’est-ce que tu attendait pour nous contacter ? Qu’on soit morts d’inquiétude ? Mais montre toi bon sang. »

La voix de l’animagus était de plus en plus forte et il semblait vouloir se jetait dans le cercle comme si cela pouvait lui permettre de rejoindre son filleul. Il l’aurait sans doute fait si un serpent n’était pas soudain apparu dans le champ de vision en sifflant hargneusement, faisant sursauter Sirius qui recula de trois pas.

-On se calme cousin. Ordonna Malfoy qui semblait être le seul encore maître de ses expression respectant le sang froid légendaire de sa famille (et puis il s’était déjà pris la tête avec le serpent et son maître quelques minutes plus tôt). Tu vas effrayer notre si précieux correspondant. Veuillez excuser Mr Black, il n’est pas connu pour son calme et sa retenue.

-Il m’avait semblé remarquer. Certaines choses ne changeront jamais. Répondit Issam avec un sourire. Bon donc, comme je viens de vous l’annoncer, je suis en compagnie du précieux Harry Potter et je dois vous dire qu’il est un compagnon fort agréable et que je suis tenté de le garder pour moi »

Le serpent qui s’était enroulé autour de son cou, lui donna une tape sur la tête du bout de la queue en sifflant de reproche, tandis qu’une voix que tous reconnurent s’élevait :

« Sois donc un peu sérieux !

-Mais-euh…Si on a plus le droit de s’amuser…En plus Salae m’a fait mal. Snif je suis un homme brimé.

L’homme avait parlé sans vraiment regarder dans la direction d’Harry mais lorsqu’il se tourna vers lui l’assistance supposa que son interlocuteur ne devait pas avoir l’air de bonne humeur car il reprit avec plus de sérieux :

« Hum… Nous sommes en plein Sahara. J’y ai trouvé votre ami presque mort il y a une quinzaine de jours. Avant que vous ne vous inquiétiez inutilement je tiens à vous préciser que ses blessures sont guéries et que j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour qu’il se remette le mieux possible.

-Je vous en remercie profondément mais pourquoi ne pas nous avoir contacté plus tôt ? Nous aurions pris Mr Potter en charge.

-Eh bien Harry a mis trois jours avant d’ouvrir les yeux. J’ai envoyé mon messager dés son réveil mais il faut du temps pour parcourir cette distance, surtout quand les communications sont si étroitement surveillées.

-Je vois. Pourrions-nous parler à Mr Potter. Cette pièce est pleine de personnes qui attendent désespérément de le revoir.

-J’ai bien peur que cela ne soit pas possible. Répondit Issam dont le sourire se voila quelque peu. Ce garçon n’est pas sortit indemne du combat. Je ne sais absolument pas ce qui est arrivé avec le mage noir mais votre jeune ami a perdu une part considérable de sa mémoire. En fait il ne se souvient de rien ni personne. Toutes ses connaissances magiques ont été conservées mais le reste lui a échappé. Il lui est donc difficile de vous faire face tout en sachant qu’il ne vous reconnaîtra pas. »

Un silence pesant accueillit la nouvelle, chacun prenant la mesure de cette révélation. Même Draco Malfoy sembla confus un instant mais ce fut trop rapide pour que quiconque y prête attention.

Ron fut le premier à retrouver l’usage de la parole :

-Je…Vous…Merde. Balbutia-t-il d’une voix abattue. (Oui bon parole était un bien grand mot mais j’ai jamais dit que ce serait une pensée philosophique non plus).

-Quelle éloquence Weasley. Railla Blaise Zabini visiblement très touché par la nouvelle mais soucieux de réagir en bon Serpentard.

-Il ne me semble pas avoir sollicité ton avis sur ma manière de parler.

-Parce que tu parlais ? Désolé je n’avais pas comprit que c’était ça il faut dire que ça ne ressemblait pas à grand-chose.

Les deux sorciers commencèrent à se disputer sous l’œil amusé des autres Weasley. Tous savaient que Ron et Blaise était de grands amis et qu’ils avaient pris cette fâcheuse habitude de se hurler au visage pour évacuer la pression ou les émotions trop fortes. En dehors de cela ils avaient développé un lien fort et le golden trio s’était enrichit d’un membre. A la différence de Draco qui avait du s’entourer de mystère et travailler dans l’ombre, Blaise avait pu s’intégrer parfaitement au groupe et vivait même chez les Weasley n’ayant nul autre endroit où aller.

Les cris furent interrompus par les jumeaux, Fred ayant plaqué ses deux mains sur la bouche de son frère et George ayant fait de même avec celle de Blaise. Hermione de son côté essayait désespérément d’attirer l’attention de Sirius dont l’esprit semblait les avoir quitté sous le coup de l’horreur qu’il ressentait. Les autres gardaient le silence, en chacun d’eux se formait un mélange bizarre de surprise, de peine et de soulagement : Harry était vivant et il allait bien c’était plus qu’il n’en espéraient tous.

Issam les observait amusé par les chamailleries des garçons et l’air perdu du grand brun impulsif, il attendait que tous soient un minimum revenus de leurs émotions pour continuer à parler. De toute façon il était bien obligé de patienter jusqu’à ce qu quelqu’un lui prête à nouveau attention s’il voulait en finir avec ses grandes révélations.

La voix du charmant blondinet aux yeux gris le tira des son observation.

« Savez-vous si cette situation est irrémédiable ?

Cette question avait été énoncée de manière claire et forte faisant taire Blaise et les trois frères et ramenant l’attention de tous (même Sirius) sur la fenêtre magique.

-Pour ce que j’ai pu en voir, son cas est loin d’être désespéré. (Soupir de soulagement dans les rangs de l’ordre du phénix) Comme je l’ai déjà dit il possède encore tout son savoir magique, qui est d’ailleurs impressionnant je ne sais pas à quoi vous l’avait dopé Albus mais c’est diablement efficace ; de plus il a suffit que je lui parle un peu de l’école pour que des bribes de souvenirs lui reviennent ce n’est pas grand-chose mais très encourageant.

-Quand pourriez-vous nous le ramener afin que nous puissions juger par nous-même de la gravité de la situation ? demanda Dumbledore.

-J’avais prévus de partir dés que j’aurais pu vous parler. Tout est prêt pour le voyage nous n’avons plus qu’à emballer nos affaires. Nous pourrions partir demain matin et arriver en fin de journée à l’école.

-Cela me semble parfait. Nous vous attendrons donc demain. Tâchez de ne pas nous faire trop languir et d’arriver le plus tôt possible.

-J’ai trop hâte de revoir Poudlard pour traîner en route. Albus avant de retourner à mes leçons de musique j’aimerais vous parler seul à seul.

-Très bien dans ce cas reprenez contact dans un quart d’heure le temps que j’évacue tout ce petit monde.

Issam fit un dernier sourire à l’assemblée et le cercle de communication redevint un nuage de sable.

Dumbledore se tourna et demanda d’une voix douce à ce que tout le monde quitte son bureau. Mais personne ne semblait décidé à partir, tous commentaient avec animation ce qui venait de se passer et paraissaient avoir élu le bureau du directeur comme le meilleur endroit possible pour cela. En outre, tous parlaient en même temps et chacun essayant de couvrir la voix de son voisin, la conversation (si l’on pouvait nommer cela ainsi) devint une véritable cacophonie et il sembla difficile au vieil homme de parler plus fort même par magie.

Il se tourna alors vers Draco qui se tenait à ses côtés depuis le début de l’entretient. Leurs regards se croisèrent et le blond comprit immédiatement ce qu’il avait à faire. Levant sa baguette, il jeta un sort de silence sur le groupe d’excités.

-« Si vous n’arrivez pas à vous faire entendre, faites en sorte que personne ne puisse parler ». récita le directeur en se rappelant la dernière fois que le jeune sorcier avait ainsi fait taire un auditoire.

-C’est tout à fait cela professeur, crier plus fort que tout le monde manque de classe et de subtilité à mon goût. Répondit le blond en souriant fièrement. Mais j’ai l’impression que tout le monde n’apprécie pas.

Dumbledore avisa les visages colériques des personne présentes qui apparemment auraient apprécié de continuer leur bruyant débat.

-Mes amis je sais que tout cela vous touche beaucoup mais je ne crois pas qu’effrayer à jamais tous les tableaux de cette salle soit la solution adéquat. Pour l’heure je vous demande de regagner vos domiciles ou les chambres du château qui vous seront ouvertes, nous discuterons de tout cela posément demain. Maintenant bonne nuit à tous.

Afin de signifier que toute protestation était inutile, il leva sa baguette vers la lourde porte en bois qui s’ouvrit en grinçant.

Il y eut un moment de flottement dans la salle, personne ne voulant être le premier à partir, puis les professeurs présents décidèrent de donner l’exemple et sortirent en entraînant ceux qui se trouvaient proche de la porte. Le groupe suivit lentement et les discussions reprirent dans les escaliers.

Il ne resta bientôt plus que Sirius et Draco dans la salle, Hermione ayant par miracle réussit à traîner Ron hors du bureau.

-Messieurs la demande s’adressait aussi à vous.

-Je n’avais pas l’intention de m’éterniser, répondit le jeune garçon, mais j’ai un autre message pour vous. Un certain Hector Fink aimerait vous voir. Je l’ai laisser aux bons soins des elfes de maison mais je pense qu’il apprécierait un peu de compagnie humaine ne serait-ce qu’en ce qui concerne la conversation.

-Hector Fink ? s’exclama Sirius. Le Hector Fink qui était…

-Celui là même. L’interrompit Dumbledore. Je pense le nommer professeur dans cette école.

-Oh oh ! J’en connais un qui risque de ne pas trouver ça très drôle. Déclara l’animagus avec un sourire.

-Draco, fait dire à cet homme que je le recevait demain et donne lui un chambre. Quant à toi Sirius, si tu n’as rien de plus à faire ici que rire à l’avance de la situation, tu peux très bien le faire dehors.

Le brun se reprit aussitôt :

-Euh non en fait je voulais vous le dire déjà tout à l’heure mais avec tout ça je n’est pas eu l’occasion. Enfin bref, je voulais vous dire que c’est avec plaisir que je prendrai la suite de Mc Gonagall pour les cours de métamorphose.

-Je suis heureux de l’entendre. Nous réglerons tout ça demain. Maintenant j’ai à faire alors à demain.

-Pensez à vous reposer Albus, vous avez une mine affreuse. N’oubliez pas que vous avez le droit de décharger sur les autres de temps en temps. Déclara Sirius en passant la porte.

Cette dernière se referma derrière lui, laissant le vieil homme seul à son bureau.

-Il a raison, s’éleva la voix d’Issam, je vous ai connu en meilleure forme.

-…

-Je suis désolé je ne voulais pas espionner mais je suis revenu en plein pendant votre conversation.

-Il n’y pas de mal.

-Ouf me voilà assuré. Je n’aurais pas aimé commencer mon nouveau travail en étant en froid avec mon patron, vous imaginez l’ambiance.

Un sourire ourla les lèvres de Dumbledore.

-Vous acceptez donc réellement ma proposition ?

-Bien sûr. Vous savez je me suis attaché à ce gamin et je n’ai pas envie de vous le rendre et de rentrer connement seul chez moi. Surtout que Salae ne veut plus le lâcher.

-Vous serez donc le bienvenu à Poudlard, professeur Kadel.

-Ouh ça me fait tout bizarre d’être appelé comme ça. Au fait quelle passionnante matière vais-je enseigner à ces charmants élèves ?

-La défense contre les forces du mal.

-Oh Albus, vous ne m’aimez donc pas ? Pourquoi me confier un poste où personne ne reste plus d’un an ?

-Allons ne le prenez pas mal. Je ne vous offre pas un travail court comme vous semblez l’imaginer mais une chance de faire mentir la légende. Si vous n’y arrivez pas, je ne vois qui en serait capable.

-Si vous utiliser la flatterie pour me convaincre, je tiens à vous prévenir que ça marche. Mais vous risquez de regretter votre décision quand je serai devenu le dieu de tous les élèves de l’école. C’est vrai quoi, avec mon intelligence et mon physique ravageur, il ne pourront que m’admirer alors rajoutez à cela la crainte de ma force magique et de la légende vivante que je représenterai et vous pouvez tout de suite créer une salle pour le culte de ma personne.

-J’ai bien peur que vous ne soyez coiffé sur le poteau par un certain Mr Potter. Répliqua Dumbledore en laissant échappé un petit rire.

-Mr le directeur de l’école Poudlard, je suis outré. Vous avouez donc avoir remarquer que le petit Harry es un sex-symbol ambulant ? Comment osez-vous vous comportez de la sorte vis-à-vis d’un élève ? C’est scandaleux ! Je vais me voir dans l’obligation d’en référer au ministère.

-Je pourrais alors leur faire part de certaines de votre appréciation concernant un certain blondinet que vous retrouverez dans votre salle de cours à la rentrée.

-Mais c’est un honteux chantage. Comment pourrais-je parler avec une telle épée de Damoclès au dessus de la tête. Nous voilà donc à égalité.

-C’est aussi ce qu’il me semble. Mais dites moi, mis à part votre avenir professionnel, vouliez-vous m’entretenir de quelque chose ?

-Effectivement. J’aimerai que vous fassiez venir quelques médicomages de Ste Mangouste afin qu’ils examinent Harry. Quelque chose m’intrigue et me préoccupe concernant sa santé.

-Quoi donc ?

-Je préfère vous en parler de vive voix quand nous nous verrons demain. Mais pas de soucis à avoir je contrôle très bien la situation.

-Je vous fais confiance. Je ferai le nécessaire.

-Je vous conseille de bien dormir ce soir. J’ai comme l’impression que vous aurez beaucoup à faire demain.

-Bonne nuit Pr Kadel.

-Dormez bien Pr Dumbledore

C'est fini pour aujourd'hui!

Si vous vous posez des questions (comme par exemple qui ne va pas apprécier la présence de Hector Fink, personnage que je vais me faire une joie de créer, ou encore  qui de Issam ou Harry aura leplus grand fan club) n'hésitez pas à me demander.

A bientôt.