Salut!!! Voilà donc la suite de M&A que vous devez surtout à un brusque afflux d'inspiration dans le cervelle de l'auteur. Je dois vous prévenir de deux choses. La première 'est que je n'ai pas eu le temps de relire ce chapitre et que si je veux le poster avant la semaine prochaine je ne peux pas e faire. Alors si il ya la moindre confusion ou des fautes de français vraiment trop atroc, je vous pre à genoux de me pardonner et je vous promet que je recomencerai pas. La deuxième chose c'est que certains personnages insi que mes doigts sur le claviers ont décidé de jouer les séparatistes et n'en n'ont fait qu'à leur tête alors ne soyez pas trop surpris(es) si quelque cose de bizarre se produit. 

Voilà c'est tout pour le bla bla de l'auteur.

Bonne lecture.  

 
Chapitre 7 :

    Plusieurs verres de rhum et un évanouissement de Rogue plus tard, Draco était prêt à parler…

    « Oh Merlin mon parrain s’est évanoui ! C’est grave il faut l’emmener de toute urgence à l’infirmerie ! s’écria le blond d’une voix très peu convaincante et un peu embuée par l’alcool. »

    …mais le plus tard serait le mieux. Dans une tentative de rendre son petit discours crédible il se releva et esquissa quelques pas vers le maître de potion.

    « Draco Lucius Malfoy, ne me prends pas pour un imbécile ! Tu te soucis autant de ton parrain que moi des résultats des courses de ronflaks cornus dans le journal de Lovegood. Alors tu vas gentiment venir reposer ton noble postérieur sur ce lit et me dire tout ce que je veux savoir.

    -D’ailleurs ça m’intéresse aussi, alors je ne vais pas te laisser te servir de moi comme alibi. Déclara alors Severus miraculeusement revenu dans le monde de la conscience au moment où les choses s’apprêtaient à devenir intéressantes.

    -Depuis quand est-ce que tu préfères t’associer avec Sirius plutôt que me venir en aide ?

    -Depuis que je sens que tu as des choses aussi sympas que les nôtres à raconter.

    -Oh aller Dray, on est déjà tous les deux passé par la case confessions, tu peux le faire sans craintes.

    -Mais ce n’est pas pareil. Vous n’avez fait que vous plaindre de deux hommes que vous préféreriez oublier alors que moi je dois vous dire pourquoi je suis désespéré qu’Harry ne souvienne plus de moi ! »

    Les deux bruns regardèrent le blond avec sérieux. Ce dernier avait baissé la tête pour se perdre dans la contemplation de ses chaussettes d’un blanc immaculé et torturait un bout de fil qui dépassait de l’une d’entre elles d’un air triste.

    « Harry ? demanda Rogue. Où est passé le Potter ?

    -Il a disparu depuis longtemps.

    -Dis moi ça m’a l’air sérieux tout ça. J’ai l’impression que tu as pas mal de choses à nous raconter toi. dit Sirius.

    -Pas tant que ça.

    -Bon ben vas-y alors, plus vite tu commenceras, plus vite on te foutra la paix.

    -Ce n’est pas si simple, je ne sais pas trop par où commencer.

    -Tu pourrais commencer par nous dire quand est né ton intérêt pour Harry.

    -En première année.

    -Pa…Pardon ? cria Rogue dont le corps semblait hésiter entre la mort par étouffement (ne pas boire quand quelqu’un vous annonce une nouvelle très surprenante) et la mort par arrêt cérébral.

    -On se calme parrain, ce n’était pas le même genre d’intérêt. A cette époque il m’intéressait dans la mesure où j’avais enfin trouvé quelqu’un à qui me mesurer. Et puis il m’amusait, c’était facile de se moquer de lui ou de le faire sortir de ses gonds. Par contre, la manière que j’avais de le voir a évoluée à la fin de la cinquième année.

    -Pour quelle raison ? Vous étiez pourtant toujours ennemis à cette époque.

    -Oui et c’est là que ça devient important. Vous savez tous les deux que c’est à cette époque que je suis devenu agent double pour l’Ordre. Ce que vous ignorez c’est que mon changement de camps n’est pas dû qu’à mon sens de la justice et du bien.

    -Oh parce que tu possède un tel attribut toi ?

    -Bien sûr mon cher cousin et je possède aussi un grand sens du sadisme et de la cruauté dans certaines circonstances, je pourrais te montrer un jour.

    -Ça aurait été avec plaisir mais j’ai pas très envie. Mais tu disais que ton revirement n’était pas dû qu’à tes grandes qualités je crois, continue donc.

    -En fait, ce qui m’a pleinement décidé à prendre le même statut que Severus, c’est ton cher filleul.  

    -Alors là je suis curieux de savoir comment il a fait.

    -Il est venu me demander et j’ai accepté.

    -Et tu as dis oui comme ça ? Sans même le faire un peu supplier ou essayer d’en tirer profit ? Draco tu me déçois. Où est donc passé ton esprit Serpentard ? s’offusqua Rogue

    -Tu peux parler Mr J’ai-peur-d’un-poufsoufle-et-je-me-réfugie-chez-mon-filleul-pour-lui-échapper. Et puis je ne pouvais décemment pas refuser.

    -Tu pourrais développer un peu ? Parce que je suppose que si tu as accepté sans condition c’est qu’il est pas venu te voir en disant « Eh Malfoy, si t’as rien de mieux à faire, ça te dirait pas de risquer tes miches en devenant espion pour Dumby et moi ? » Alors comment a-t-il réussi à te convaincre de rejoindre l’Ordre ?

    -Eh bien… Vous vous souvenez tous les deux des évènements de la fin de notre cinquième année.

    -Et comment ! s’exclama Sirius. J’ai failli finir mes jours derrière ce satané rideau. Si Binns n’était pas passé par là pour aller dire bonjour à un de ses amis, j’y serais encore d’ailleurs.

    -Oui on sait, tu le répètes assez souvent. Mais l’important ici c’est que tout le monde te croyait mort et que Harry en souffrait énormément. Rajoutez à ça qu’il venait de prendre connaissance de la prophétie et qu’il avait eu l’occasion de tester la puissance voldemorienne et vous aurez à peu près son état d’esprit à ce moment là. Pour mon plus grand malheur de préfet habilité à enlever des points aux élèves qui rodent la nuit, il a cessé de sortir après le couvre feu. En fait il a cessé de sortir tout cours, il restait dans son dortoir et n’en bougeait plus. Pourtant, un soir alors que je rentrais de ma ronde, je l’ai trouvé sur le pas de ma chambre personnelle. Bien sûr j’ai commencé par lui enlever des points, on ne change pas une équipe qui gagne.

    -Bah de toute façon les gryffondors sont trop forts pour que dix malheureux points en moins leur fasse peur. Intervint Sirius à moitié pour lui-même.

    -Black, combien de fois va-t-on devoir te répéter que tu es dans une pièce avec deux serpentards et que donc tu es en minorité gryffondorienne, avant que ton cerveau intègre l’information ?

    -Oh mais j’ai parfaitement intégré mon cher Snivellus mais je n’y peux rien si vous ne supportez pas que l’on énonce des évidences…Mais revenons à nos filleuls. Draco si tu veux bien continuer.

    -Donc je lui ais retiré des points mais au lieu de s’énervé, il m’a souri et m’a fait sa proposition. Il m’a dit qu’il savait que je devais bientôt accéder au statut de mangemort et que ça l’arrangeait parce qu’il avait besoin de son propre espion dans les forces ennemies.

    -Eh ben il doutait de rien le Potter. Remarqua Rogue. Il devait vraiment être sûr de son coup pour te proposer ça.

    -Je ne sais pas mais je dois avouer que j’ai d’abord pensé qu’il se foutait de ma gueule. Il n’avait vraiment aucune raison de faire appel à moi pour un rôle d’une telle confiance. Franchement moi si je devais choisir un homme auquel je devrais me fier pour sauver ma vie, je n’irai pas chercher mon ennemi depuis la première année dont le père a essayer d’avoir ma peau plusieurs fois par des moyens plus ou moins directs, dont la tante vient de tuer mon parrain et dont je sais qu’il se vente depuis que le connais d’adhérer aux idée du gars que je dois zigouiller.

    -C’est vrai que dit comme ça, ça donne pas très envie.

    -Tout à fait c’était tellement ridicule que j’en aurait bien rit mais d’un autre côté,  il y avait au fond de moi ce petit quelque chose qui espérait que ce soit vraiment vrai, que malgré tout ce que j’étais et avais pu faire il existait quelqu’un qui me fasse confiance. Etant ce que je suis j’ai répondu par sarcasme et ironie mais il ne s’est pas démonté et il m’a convaincu que tout ça était bien sérieux.

    -Et tu as accepté comme ça ?

    -Tout à fait.

    -Mais tu n’es quand même pas tombé amoureux de lui juste après ça ?

    -Non mais disons que j’ai commencé à le regarder différemment et que tout ce que j’ai vécu avec lui pendant la guerre à amener mon cœur à battre pour lui.

    -Il ne m’a pourtant jamais semblé que vous étiez si proche que ça. Pourtant j’ai pass beaucoup de temps avec toi à cette époque.

    -C’est vrai mais quand toi tu allais au 12 square Grimaurd (NdA : L’auteur ne se souvient plus comment ça s’écrit et comme elle n’a pas de livre de HP sous la main elle va laisser comme ça) pour faire tes rapports à Dumbledore, moi j’y allais pour les faire à Harry. J’étais son agent avant d’être celui de l’Ordre et les moments où j’étais avec lui étaient les seuls où je pouvais laisser tomber mon masque sans crainte et il en faisait de même. Nous nous sommes soutenus mutuellement dans les moments difficiles et petit à petit j’en suis venu à avoir des sentiments pour lui.

    -Mais ça ne veut pas forcément dire que tu es amoureux, hein ? Je t’en pris dis à tonton Sevy que tu n’es pas vraiment amoureux du fils de James Potter. Demanda Severus à qui l’idée de sympathiser avec un Potter (parce que si Draco le lui demandait, ce qui risquait fortement d’arriver, il ne pourrait pas refuser) paraissait aussi attrayante que celle de plonger dans le lac pour aller faire gouzi gouzi au bébé du calmar géant (Eh oui cette bête là s’était reproduite et Hagrid était déjà tout exciter à la possibilité de faire un cours sur mini-calmar. Mais revenons à nos trois amis).

    -Tu sais Severus, quand je l’ai vu disparaître avec Voldemort pendant la dernière bataille, j’ai cru que hurler de désespoir et ça ne s’est pas arrangé pendant qu’on arriver pas à lui remettre la main dessus. Quand j’ai entendu le poufsoufle de Sirius me dire qu’il était avec lui, j’ai pratiquement pété un plomb et je crois bien que je ne dois mon retour au calme qu’à une dalle glissante qui a permis la rencontre de mon postérieur et du dallage en pierres. Alors ne viens pas me dire que je ne suis peut-être pas amoureux. »

    Rogue se contenta de se prendre sa tête dans ses mains d’un air désespéré, il ne se voyait décidément pas prendre le thé et les petits gâteaux avec le Survivant.

    « Et lui est-ce que tu sais ce qu’il ressent pour toi ?

    -Je m’étais promis de le lui demander quand tout serait fini, mais cette idée me paraît fortement compromise maintenant. Il ne se souvient pas de moi, comment pourrait-il savoir ce qu’il éprouve pour moi.

    -Si je puis me permettre il a tout de même eu un foudroyant retour de mémoire en ce qui te concerne. Intervint Sirius

    -Ce n’était rien de plus qu’un réflexe conditionné, ça ne veut rien dire. Répliqua le blond déprimé.

    -Tu sais, il n’en a eu avec personne d’autre, pas même avec Ron, Hermy ou moi. Si tu veux mon avis tu as toutes les raisons d’être optimiste. »

    Voyant que son cousin ne répondait pas et qu’il ne se départait pas de son air un peu triste, Sirius décida de lui changer les idées. Et quoi de mieux pour ce faire que de remplir à ras bord les verres de chacun des hommes qui se trouvait dans cette pièce ?

    Après avoir vidé généreusement la dernière bouteille de Spiced Rhum (et ce surtout dans le verre du blond), les trois hommes se sentaient beaucoup moins concernés par leurs effrayants poufsoufles et leur survivant dont la mémoire était aussi vide que le récipient de verre qui avait contenu l’alcool en début de soirée…et les nombreux autres qui avez suivi. Si quiconque avait eu la bonne idée de se promener dans les cachots et d’aller faire un tour dans la chambre du préfet en chef des serpentards à ce moment là, il aurait assisté à un spectacle tellement étonnant qu’il n’aurais pu le raconter sous peine de passer pour fou. En effet personne n’aurais jamais cru que Sirius Black et Severus Rogue puissent chanter à l’unisson une chanson paillarde sorcière (et ça ne volait pas bien haut) tout en se tenant par les épaule et en bougeant au rythme du chant. Personne n’aurait pu croire non plus que Draco Malfoy, noble sang pur et classe incarnée de son état puisse être cloué au pied de son lit par un fou rire mi-nerveux mi-joyeux, mais en tout cas absolument pas gracieux et agréable à entendre (l’alcool peut avoir des incidences bizarre sur le rire d’une personne), dans un position des moins noble.

    D’ailleurs toute personne normalement constituée aurait pensé, à cette vision, être victime d’un sort ou avoir au plus vite besoin de se reposer.

    Lorsque Severus et Sirius réalisèrent qu’ils ne connaissaient plus la suite des paroles (normal la chanson était finie) et qu’il ne restait définitivement plus d’alcool, ils décidèrent qu’il était temps pour eux de se retirer. Après avoir souhaité bonne nuit à Draco dans une langue que seuls les gens complètements saouls peuvent comprendre, ils s’éloignèrent en titubant dans les couloirs, Severus ravi que son bureau se trouve à deux pas et Sirius pestant contre les directeurs de Poudlard qui avaient eu le fâcheuse idée d’installer les quartiers de métamorphose si haut dans le château (NdA : certaines sources prétendent que McGonagall avait tenu, à peu de chose près, les même propos dans sa folle jeunesse).

    De son côté, Draco se contenta de se relever avec grande difficulté pour se laisser tomber à plat ventre sur son matelas.

    Il s’endormit sans même s’en rendre compte avec dans son esprit deux envoûtants yeux verts et un sourire assez éclatant pour vous emmener au bout du monde.

    Flash back :

    Draco Malfoy avait fait le tour du château et marchait ne direction de sa chambre perdu dans ses pensées.

    Dans quelques jours l’année serait finie et il devrait rentrer chez lui. Cette idée ne l’aurait pas effrayé s’il n’avait pas su devoir remplacer son père aux côtés d’Il-savait-qui dés qu’il aurait posé un pied dans le manoir familial.

    Le lendemain de l’arrestation de Lucius, il avait eu la mauvaise surprise de voir arriver à l’heure du courrier, le hibou de sa mère. La missive lui annonçait sans fioriture que son père étant actuellement dans l’incapacité de subvenir au besoin de la famille, c’était à lui, son fils, de reprendre le flambeau. Draco n’avait pas été dupe, cela voulait clairement dire que la cérémonie de son intronisation comme mangemort ne tarderait pas.

    Il avait alors réaliser que, même s’il s’était bien amusé à jouer les petits sang pur au idées voldemoriennes, maintenant qu’il allait devoir se battre pour ces idées il n’en avait pas la moindre envie et ce à cause d’un manque de conviction évident. (Peut-on se battre pour des principes qui ne sont pas les nôtres ?)

    Ainsi, chaque fois qu’il était seul, il se creusait la cervelle pour trouver un moyen d’échapper à ses devoirs familiaux.

    Paradoxalement, le blond avait hâte de quitter cet endroit où l’atmosphère était devenue extraordinairement lourde depuis la découverte officielle du retour du Seigneur des Ténèbres. La plupart des élèves le regardait avec crainte et dégoût et l’évitait dans les couloirs et lieux communs. En plus sa seule source de distraction, à savoir emmerder Potter, avait disparu en même temps que le survivant s’était barricadé dans son dortoir.

    Cela faisait maintenant cinq jours que l’on avait plus vu le brun arpenter le château avec ses amis qui se retrouvaient seuls, désoeuvrés, déprimés et déprimants. Draco en était même arrivé à regretter la présence de sa Némésis.  

    Tout à ses pensées, il ne remarqua pas immédiatement la silhouette adossée au mur devant sa chambre.

    « Bonsoir Malfoy. » Dit une voix qu’il pourrait reconnaître entre mille.

    Réprimant un sursaut, le blond se stoppa et déclara :

    « Potter tu es hors de ta tour après le couvre feu, cela fera donc 20  points en moins pour Gryffondor.

    -Ouch. Je m’attendais bien à perdre des points mais pas tant que ça. Ça adut drôlement te manquer de m’enlever des points pendant presque une semaine.

    -Qu’est-ce que tu fous ici Potter ? Que je sache, les cachots ne sont pas le meilleur endroit pour se perdre quand on est un Griffy comme toi. A moins que tu n’ais eu envie de voir comment faire pour rendre votre salle commune un peu plus supportable mais si c’est le cas je me dois d’être honnête, vous êtes arrivés à un niveau trop bas pour que quoi que ce soit puisse être fait pour vous.

    -En fait je voulais te parler.

    -Oh parce qu’on se parle maintenant ? Grande nouvelle. Moi qui avait toujours penser que…

    -Je sais ce que ta famille attend de toi. le coupa Harry.

    -Oui et alors ? répondit le blond après un silence.

    -Je voudrais que tu deviennes mon espion. L’homme que j’aurais sur place. »

    Si Draco avait eu la mauvaise idée d’avaler sa salive à ce moment là, il se serait étouffer avec tant le choc était puissant. Mais dans la situation présente, il se contenta de se figer sur place et de regarder son rival les yeux ouverts comme des soucoupes et la bouche grande ouverte.

    De son côté Harry faisait des efforts monumentaux pour ne pas éclater de rire, s’il voulait convaincre le serpentard qu’il était bien sérieux, il fallait à tout pris éviter tout ce qui pouvait ressembler à de l’hilarité. La rapidité de Malfoy à se reprendre l’aida d’ailleurs beaucoup dans sa tâche.

    « Potter, si t’as rien de mieux à faire que te foutre de ma gueule, je conseille de dégager avant que l’envie de te dépecer vivant ne s’empare de tout mon être.

    -Je ne plaisante pas Malfoy. Je te propose un choix : soit tu me repousse ce soir tu deviens un pion de Voldemort, soit tu acceptes ce que je viens de te demander et…

    -Je deviens un pion de Dumbledore. C’est fou ce que j’ai l’impression d’y gagner au change. Ironisa Draco.

    -Dumbledore n’a rien à voir là dedans, tu serais mon espion, c’est à moi que tu viendrais donner des informations.

    -Encore mieux. Potty, je ne t’ai jamais considéré comme mon égal, alors comme mon maître tu n’y penses pas.

    -Il est hors de question que je sois le maître de qui que ce soit. Répliqua le brun avec force. Non, je serais plutôt celui qui aura besoin de toi.

    -Et on peut savoir pourquoi ? Après tout tu n’es pas un auror ou quoique soit d’autre qui pourrait être amener à jouer un rôle durant la guerre qui s’annonce.

    -Justement si. Mais je ne te dirais tout ça que si tu acceptes ma proposition. Alors Malfoy, qu’en penses-tu ?

    -Et pourquoi penses-tu que je devrais te suivre plutôt que ma famille ?

    -Parce que tu vaux mieux que tout ce qu’ils attendent de toi. Je te le redemande, Draco Lucius Malfoy acceptes'tu de devenir espion pour moi? » (NdA: si vous trouvez queça resseble à une demande en mariage c'est fait exprés, sinon j'ai raté mon coup^^)

    Le dernier des Malfoy resta interdit un moment. Ce n’était pas une décision à prendre à la légère. Il avait écarté la possibilité que Potter puisse se foutre de sa gueule, il avait ce regard où brûlait la sincérité et l’honnêteté. Cependant, il ne comprenait pas qu’il vienne faire appel à lui dans un moment pareil, surtout sachant combien la brigade inquisitoriale avait pu lui faire comme tort pendant l’année. Néanmoins, il semblait bien que ce soit la seule solution valable pour échapper au contrôle de ses parents. Il ne pouvait pas se soustraire à ses devoirs de mangemort et rester en vie  sans disparaître de la surface du monde sorcier et cette option lui paraissait inenvisageable. La proposition de Potter lui permettait de rester en vie tranquillement tant qu’il était assez bon acteur et maître de ses nerfs.

    Il avait chercher une solution pendant cinq jours sans la trouver et il s’étonnait de ne pas avoir pensé à celle-ci. C’était pourtant la plus adaptée à sa situation et à son caractère. Il n’avait pas besoin de s’interroger plus longtemps pour savoir ce qu’il devait faire. 

 
    « Très bien Potter mais je voudrais te poser une dernière question. Pourquoi moi ? Tu sais, j’ai été élevé à ne chercher que mon intérêt dans la vie. Si dans le futur je me rendais compte que t’aider n’est pas à mon avantage je pourrais te trahir sans hésitation.

    -Le simple fait que tu me préviennes de ça me prouve que mon choix est bon. Tu aurais parfaitement pu accepter maintenant sans rien me dire pour mieux me planter un couteau dans le dos plus tard. Dans le fond, et même si c’est très profond, je pense que tu es quelqu’un de bien et qu’on peut te faire confiance.

    -Ne me prends pas pour meilleurs que je ne suis. Je ne suis pas un ange Potter.

    -Mais ce n’est pas d’un ange que j’ai besoin. »

    Et sur ces mots, le brun lui fit le plus magnifique sourire qu’il possédait en réserve, puis tourna les talons, laissant derrière lui un Draco Malfoy en pleine confusion.

 La suite au prochain chapitre (ça change du à suivre non?)

Si vous pensez que l'auteur devrais arrêter de se creuser la tête pour remplacer les "à suivre" parce qu'au final le résultat est le même...

Si vous auriez bien aimé passer per hasard dans les cachots ce jours là...

Si vous vous posez dsquestions sur la suite des évènements...

Si vous vous sentez l'âme généreuse...

...faites plaisir à l'auteur en lui laissant une tite review.