Tchoubidou tous le Monde :)
Désolée pour le retard ~( *~* )~ Cela dit j'éspère que ce troisième chapitre de L'Amour nous offre l'Eternitévous plaira :) Bonne lecture à vous tous :) Et merci de me suivre ^^
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Point de vue extérieur à la scène
Dans l’herbe fraîche, ils s’étaient allongé, le corps lourd et le cœur léger ; les yeux contemplant le ciel. De là, on voyait tant d’astres briller . . On distinguait cette magnifique traînée d’étoiles qui parcourait le ciel. C’était une belle soirée. Et même le froid qui avait remplacé la chaleur des derniers rayons de soleil ne semblait pas les déranger. Et quand on voyait leurs visages, on se pouvait y lire que la paix qui les avait envahie sous les étoiles. Ils avaient l’air paisible ainsi, et on aurait presque pu croire qu’ils dormaient . . .
***
Le combat avait commencé, furieux. Deux astres de Lumières contre cinq êtres inondés de noirceur. Quel chances ces deux jeunes étoiles avaient-elles de briller à nouveau ? Pourtant, ils émanaient des deux comparses, une volonté de vivre qui leur permettait d’échapper au jet vert que lançaient les cinq assaillants.
Et après tout, ne dis-on pas que L’espoir fait vivre ..
Ces deux jeunes hommes de la lumière ont continué à y croire.
Et ils avaient eu raison. De toutes parts, une lueur d’espoir apparaissait, car les minutes s’égrenant, un homme, une femme – un être de bonté- rejoignaient les rangs ; l’Ordre étais venu se joindre au combat, et tous avaient décidé de se battre jusqu’au bout.
***
Le soleil s’était couché depuis des heures maintenant, le combat, lui aussi, s’était éteint. Et comme la Lumière du Soleil remplacé par l’obscurité de la nuit, les astres de Lumières avaient fini par disparaître dans les méandres de la nuit.
Ces êtres de Lumière n’ont fait que croire à la liberté. Et aujourd’hui, ils sont là, allongés dans l’herbe, l’un à côté de l’autre, sous le ciel étoilé.
Ces deux êtres de Lumière, ils s’appelaient Gideon et Fabian Prewett. Ils avaient 21 ans, une famille, des rêves, une vie . . .
Aujourd’hui, allongé sur le sol, ils avaient gagné quelque chose de plus, ils avaient acquis leur Liberté . . .
Et ce combat, Marlène l’avait gagné aussi.
* La victoire ne dépend pas du nombres des partisans mais de la force des convictions * |