Bonjour à tous.

Une fois de plus, je tiens à m'excuser pour le retard inexcusable dont j'ai fais preuve et vus livres mes plus plates excuses ..

Je vous publie aujourd'hui le quatrième chapitre de cette fics :) En espérant qu'il vous plaise ,)

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Chapitre 4:"It does not to dwell on dreams and forgot to live "

                                     Albus Dumbledore

P.O.V de Lily Evans Potter.

Peu à peu, les membres se dispersent, attendant le moment propice pour sortir de la bâtisse.

Les yeux marrons de James se posent sur moi et un léger sourire éclaire son visage. Souvent, il m’arrive de me dire que j’ai eu une chance incroyable de trouver James.

La main de Sirius – mon meilleur ami- me sort de mes songes. Il me sourit, avec ce petit air de gamin rieur et enfantin qui le caractérise si bien. Et dans son regard – et ce pour la première fois – brille une lueur de sérieux et de bonheur immense à la fois. Toujours sous son emprise, il m’entraîne vers les étages supérieurs de la maison. Je fronce les sourcils, par tout les pouvoirs de Merlin, où m’emmène t-il ? Je me retourne vers James qui suit nos pas, pour croiser son regard tout aussi interrogatif sur le comportement de son frère de cœur. T sur le trace de mon mari, suivent Remus et Peter, égal à eux-même, Ce dernier pensif et Remus, le calme et la sagesse même.

Au bout d’un dédale de couloirs et d’escaliers, notre destination semble enfin en vue. Sirius pousse la porte d’un bureau et la lumière du crépuscule de ce 9 juillet 1978 m’aveugle momentanément. Le dernier héritier de la famille des Black nous fait pénétrer dans cette pièce richement décoré. En face de nous, les rideaux pourpres s’ouvrent sur de grandes portes fenêtres. Le bureau situé au centre de la salle est magnifiquement bien taillé dans un bois de couleur brut. Sur les murs latéraux s’alignent deux gigantesques bibliothèques en bois massif.

Sirius nous fait avancer un peu plus dans la pièce, refermant derrière lui, une lourde porte en bois somptueusement sculté. Autour de celle-ci, la tapisserie mêle deux couleurs en parfaite harmonie : le rouge et l’or. Le griffon sculté sur la porte prend alors toute sa signification : Une pièce aux couleurs et à l’égérie de la maison de Godric Griffondor , le courageux.

Sirius nous invite à s’asseoir sur le canapé placé dans un coin du salon. Nous prenons chacun place et le thé –comme à l’époque de Poudlard- apparaît sur la table. Réunis ainsi autour de la table basse, une place reste vide . . .

***
D’une petite porte secrète, cachée entre deux pans d’étagères de la bibliothèque opposé à notre tablé, la poignée se tourne lentement mais distinctement. Sirius se lève alors, comme piquer aux fesse par un quelconque insecte. Il traverse la pièce d’un pas rapide et vif et ouvre la porte. Il tend son bras vers la porte, qui ne nous a toujours pas dévoilé qui se cache derrière elle. C’est alors qu’Elle fait son entrée tel une apparition auréolé. Elle est divine, habillé simplement de cette robe blanche,  mais tellement blanche,  que tel un ange, elle nous ébloui.

Les yeux de mon meilleur ami s’illuminent comme jamais auparavant. Il La contemple, t à la lueur qui brille dans ses yeux, on dirait qu’il ne voit qu’Elle . Peut-être est-ce la cas après tout ?
Il l’accompagne au fauteuil resté libre jusqu’à maintenant. Et à son tour, Sirius s’assoit dans le sien. Et malgré le peu de distance entre eux, Sirius ne lâche pas sa main, doigts entrelacés. Il ne l’a pas quitté du regard, pas encore . .

Un léger raclement de gorge les ramène à la réalité. Mon meilleur ami nous accorde –enfin- un peu de son attention. Il nous regarde à tour de rôle, détaillant les visages surpris, ébahis de nos amis. Et puis, enfin, il s’adresse à la seule personne visiblement consciente dans cette salle. Sa voix joyeuse et nerveuse à la fois s’élève dans le silence, ses yeux fixé sur moi :

-    Tu sais ma lily . . . Je n’avais jamais vraiment mesurer les paroles de James, je n’arrivais pas à comprendre ce qu’il éprouvait pour toi. Tu sais, dès qu’il pensait à toi, il avait les yeux rêveurs et heureux, le sourire joyeux pendu aux lèvres. . . Et je me suis souvent dit – même tout le temps à vrai dire -  que jamais je n’arriverai à ressentir ce qu’il ressentait pour toi. Mais aujourd’hui, je sais que je me trompais. . . et je sais pas comment j’ai fait jusqu’à maintenant pour vivre sans ce sentiment de bien-être, de Bonheur intensif, de joie, ce sentiment de vie. Tout ça pour vous dire que j’ai trouvé ce sentiment d’Amour. . . . .  Grâce à Marlène.

Sirius regarde ses meilleur amis à tour de rôle, cherchant –en vain- une réaction. A croire qu’il a appuyé sur le bouton « pause » d’une séquence vidéo !

Tout à coup, il se penche vers Marlène, lui murmurant un «  tu vois ! je te l’avais dit . . » Puis, avec une rapidité surprenante, il sort de sa cape, un appareil photo sorcier. Le flash nous éblouis momentanément et le rire de Sirius s’élève dans le salon.

-    Eh bien, je crois que j’ai bien réussi mon coup ! Dit-il, rieur. Vous verriez les têtes d’inferi que vous avez ! A croire que je vous annonce que Merlin étais en fait un moldu !
-    Hum … Sirius . . tu te rends compte que c’est la première fois que tu te considère  . . . réellement en couple avec quelque qu’un ? Parce que, pour quelqu’un qui prétendait que l’Amour est un beau charabia, tu t’en sort pas trop mal !  Intervient Remus.
-    Lunard ;  dis Sirius le regard attendri. Tais-toi !  repris-il d’une voix plus ferme.
-    Wouahh ! soufflais-je avant de me jeter dans leur bras et de m’écrier : je suis super heureuse pour vous . . .
-    Enfin une réaction positive ! dit Sirius, taquin.

Je me retire de notre étreinte pour me retourner vers les deux autres Maraudeurs, resté sans voix. Ébahis sous cette révélation, ils n’ont pas bougés. Je m’approche de James et dis :

-    Ferme la bouche, tu vas finir par gober les mouches !

A partir de ce moment là, James bondit sur ses jambes et  commença à sauter dans toute la pièce en exécutant une espèce de danse de la joie. Par le caleçon de Merlin ! je crois qu’on peut difficilement faire pire.

Ok ! Bon rectification : on peut faire pire !
La preuve avec James qui qui se retrouve dans les limbes enivrante de la connerie humaine, en chantant à tu-tête : PATMOL EST AMOOOOOREUX : PATMOL, MON PAATMOOOOL EST AMMOOOOREEUX !


Et voilà que Sirius fait de même ! C’est pas possible, non mais pincez-mi ! dites-moi que je rêve.
Je regarde Marlène, effarée par le comportement de ces deux individus que je ne connaît ABSOLUMENT     pas !
James arrive vers nous, et d’instinct, je recule ! Bonheur à moi, il entraîne Marlène et  non ma personne dans cette danse effrénée et endiablé ! Bon, c’est définitif, je ne la connaît pas NON PLUS !


Mon meilleur ami sort de la danse où les deux autres Maraudeurs ont fini par rejoindre mon mari et Marlène. Sirius me prend par la main et m’entraîne vers la pièce secrète caché par la porte par laquelle Marlène est entrée. Je me retourne et découvre un sirius souriant et heureux. Une fois de plus, je me jette dans ses bras et nous nous balançons doucement.

-    Sirius, murmurais-je contre son coup.
-    Lil’s ?

Je m’éloignait un peu de lui et reprit :

-    Si tu savais à quel point je suis heureuse pour toi et à quel point Marlène te mérite.
-    Tu sais, je ne pensais pas trouver quelque un comme elle, capable de m’aimer tel que je suis vraiment, avec les bons et les mauvais côtés.
-    Je sais, Patmol, je sais. Promet moi simplement  de ne jamais la décevoir.
-    Lil’s, je te le promet ! Si tu savais à quel point je suis heureux ! Je ne laisserais pas ce bonheur m’échappai, Jamais ! Elle compte trop pour moi . . .
-    Et ça fait longtemps ? Vous deux ? ajoutais-je.
-    Près de six mois . . .
-     Quoi ? dis-je faussement offusqué, en lui assignant une tape derrière la tête. Et tu me le dis que maintenant ! Espèce de traître.
-     Lil’s !
-    Tu vas subir le châtiment le plus horrible qui soit !

Sur ce, je me jette alors sur lui et lui inflige le châtiment des chatouilles. Son rire s’élève de plus en plus virulent et fort, un rire sorti out droit du cœur.

-    Lily, stop arrête maintenant ! rigolais mon meilleur ami
-    Non, tu dois payer le prix de ta trahison.
-    Lil’s je compte la demander en mariage.

* Là où est ton trésor sera aussi ton cœur *


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Voilà, j’espère que cela vous a plu ,)

La suite arrive vendredi 3 février 2012 ..Merci à tous ceux qui me lisent et m'encourage ,)