Prologue.
Je m'étais souvent moquée de ceux qui passaient de l'Enfer au Paradis ou l'inverse même, j'avais souvent raillé les imprégnations qu'en fait je détestais.
Je m'étais crue, pendant des mois, n'être qu'une pauvre "impasse génétique". J'avais été persuadée que la vie de couple et de mère n'était pas pour moi.
Je me rends compte aujourd'hui que les certitudes sont vaines, qu'un simple souffle du vent peut changer un paysage, qu'une averse peut verdir un lieu aride. |