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au 31 Mai 21 :
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Education
Par masamiya
Harry Potter  -  Romance/Action/Aventure  -  fr
10 chapitres - Complète - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     Les chapitres     65 Reviews     Illustration    
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Chapitre 1

Bonjour, voici un grand retour avec une nouvelle fic! Il s'agit de HP/ DM, ne laissez donc pas traîner des rétines innocentes ou homophobes dans le coin \\^O^// 

 

Tout appartient à J.K. Rolling, les personnages, l'univers, tout le bastringue, quoi. On la remercie encore bien fort.

 [l'illustration est de moi]

Bonne lecture :)

 

                                           __________________

 

 

"Foutus poumons", grogna Malfoy pour lui-même d'une voix haletante lorsqu'il trouva enfin quelques buissons assez épais derrière lesquels se cacher, le temps de reprendre son souffle après la longue course qu'il venait de faire au travers du parc de Poudlard. L'automne n'avait pas laissé grand-chose en matière de feuillages, et même la Forêt Interdite semblait dépouillée, nue, les longues silhouettes de arbres épurés se dressant solitaires dans la lumière du matin.
Il ne tenait tout de même pas à s'y enfoncer, préférant de loin la lisière qui lui permettait d'observer sans être vu, ne se rappelant que trop bien les multiples dangers qu'elle recelait. Même s'il était bien plus expérimenté que la première fois où il avait pénétré dans la forêt, en première année, il se contentait toujours de l'observer de très loin. Priant pour que jamais ses élèves n'apprennent une chose pareille, il se concentra sur l'étendue de pelouse le séparant du château, essayant d'y déceler une trace de Potter.

 

Cette fois-ci, il l'avait vraiment mis hors de lui. Transi de froid, accroupi dans une position qu'il jugeait vraiment indécente pour un Malfoy, l'oreille aux aguets, il se sentit vraiment misérable. Comment pouvait-il être tombé si bas? Fuir devant la colère de Potter comme un lapin apeuré? Prier au milieu de sa solitude, lâchement caché dans la forêt, pour que la pluie ne vienne pas ajouter à son malheur? Il aurait voulu retrouver son calme, mais il devait reconnaître qu'il y avait de quoi réellement terroriser n'importe qui dans l'accueil que Potter avait fait à sa venue.

 

Ce n'était pas sa faute, et selon lui l'autre aurait dû s'y attendre.

Après la guerre, c'était Potter qui avait fait les mauvais choix, lui qui avait retourné sa veste; après avoir clamé partout qu'il ferait carrière en tant qu'Auror, avoir mis fin à la guerre en même temps qu'à la vie du seigneur des ténèbres histoire de bien montrer comme il serait doué pour cette foutue carrière, il n'avait accompli aucune des démarches pour entamer sa formation.

Etant donné qu'aucun des élèves n'avait pu obtenir de diplôme en passant les examens l'année pendant laquelle la guerre avait pris fin, il avait d'abord semblé normal au monde sorcier de voir le sauveur rester dans sa vieille école. Certainement cet idiot voulait-il réellement accomplir sa septième année d'études avant de préparer les concours du Ministère, bien qu'en raison des évènements ayant empêché les élèves d'obtenir leur année, on leur avait tous donné le droit de passer en classe supérieure sans examens. Bref, rien d'étonnant de la part d'un foutu Griffondor.

Les journaux avaient parlé de ça tout l'été: ce garçon n'était pas seulement un héros. C'était un héros studieux.


Draco s'en souciait assez peu, et avait bien d'autres chats à fouetter à ce moment-là; à peine majeur, il avait du organiser sa vie seul, suivre le procès de ses parents, faire face à la haine des autres sorciers à la seule mention de son nom de famille. Une fois la fortune des Malfoy saisie, il n'avait eu d'autre choix que de vendre le manoir afin de payer un bon avocat pour son père et sa mère, louant un studio miteux aux abords de pré-au-lard avec l'argent restant. S'était imposée alors à lui l'évidence: il lui faudrait gagner sa vie.


Le problème majeur lui avait semblé d'abord venir de lui. Il éprouvait une réelle réluctance à cette idée. Les Malfoy ne travaillaient pas, il n'avait jamais songé à une quelconque orientation professionnelle lorsqu'il poursuivait ses études à Poudlard, certain de trouver un éventuel travail factice au Ministère ou auprès de son père. Il était déconcerté par l'idée même de la profession qui pourrait lui convenir, n'ayant jamais réfléchi auparavant à ces détails. Il était excellent en potions, mais à quel genre d'emploi cela pouvait-il le mener?
Puis, passant outre son dégoût pour cette situation indigne, il daigna chercher. C'est alors que le réel obstacle lui apparut. Personne ne désirait employer un Malfoy. Il avait ravalé sa fierté, avait condescendu à se justifier même, puis avait postulé pour des postes de moins en moins brillants, de moins en moins ambitieux, se sentant insulté d'abord, puis impuissant ensuite lorsqu'il constata qu'on ne voulait même pas de ses services pour de menus travaux habituellement accomplis par les Elfes de Maison.


Désespéré, il avait caché la précarité de sa situation à ses parents, apprenant pour la première fois de sa vie à se restreindre: plus de vêtements, de la nourriture de moins en moins recherchée, et bientôt il s'inquiéta de ne plus pouvoir payer son misérable logement encore longtemps. Il avait conservé un tableau représentant quelques-uns de plus illustres de ses ancêtres, et tous les soirs il songeait en le contemplant que très certainement ils se retournaient tous dans leur tombe en voyant la déchéance de cette vieille et noble maison.

Il avait d'ailleurs dû jeter un silencio sur les divers membres du tableau dès son installation afin de ne plus avoir à entendre leurs plaintes continuelles à l'idée d'être accrochés sur un mur repeint à la chaux.

 

Enfermé dans son studio si petit qu'il le rendait presque claustrophobe, subissant les regards lourds de reproche et les insultes des passants de Pré-au-Lard lorsqu'il s'aventurait à l'extérieur, il avait cru un moment devenir fou. Il songeait sans cesse à ces gens qui l'avaient conforté dans l'idée qu'il aurait toujours une vie confortable, se demandant pourquoi personne ne l'avait préparé à l'éventualité d'une faillite totale. Il essayait de se reprendre en se disant qu'il n'était peut-être pas le seul, ni le premier à connaître cette situation précaire lorsque l'illumination lui vint.
Bien sûr.

Il trouverait de l'aide, voire un travail à Poudlard. Poudlard avait toujours été un refuge pour ceux qui n'avaient nulle part ou aller- la preuve, Dumbledore avait même conservé ce benêt de Hagrid comme garde-chasse, et en avait finalement fait un professeur. 

C'était exactement ce qu'il lui fallait. Comment n'avait-il pas pensé plus tôt à cela? La réponse était pourtant tout à côté. Il était prêt à mettre au service de l'école des qualités bien au-dessus de celles de certains membres. Si on avait accepté Trelawney, Hagrid et Rusard, pourquoi refuserait-on un Malfoy?


Fier de lui-même, il avait donc contacté le professeur MacGonagall et lui avait exposé sa situation. Il ne saurait dire qu'elle avait accepté avec réjouissance sa venue, mais en souvenir de son feu parrain Severus, et à la vue de ses capacités inhabituelles et bien connues en potions, elle lui avait cédé à l'essai le remplacement du professeur Rogue (elle avait froncé ses sourcils derrière ses lunettes et arboré son air le plus sévère en prononçant les mots "à l'essai"). La fierté de Malfoy avait enterré au fond de lui la pensée que peut-être elle n'avait tout simplement pas réussi à trouver d'autre volontaire pour enseigner cette matière, et il avait joyeusement retrouvé son air altier et supérieur.

 

C'est ainsi qu'il se présenta un soir dans la vieille enceinte, en partie condamnée le temps d'accomplir les réparations nécessaires suite à sa démolition partielle le soir de la défaite de son maître. De la défaite de ses parents. De ses amis. Le vieux château était tout de même là ce jour pour l'accueillir.

Rusard l'attendait au portail, et avait mené le jeune homme jusqu'à l'entrée sans faire de commentaires ni manifester de curiosité pour les maigres bagages qu'il avait emmenés, à la grande surprise de Malfoy. De toute évidence, le concierge avait beaucoup plus de respect pour les professeurs que pour les élèves. Une grande inspiration, et il avait pénétré dans le grand hall, peuplé d'étudiants à peines plus jeunes que lui et qui s'étaient retourné en bloc en entendant le grincement bruyant de la grande porte. 

Il avait dégluti, avait tremblé à l'idée de ne pas être à la hauteur, ne sachant ou aller ni s'il serait guidé par un autre professeur; mais rien ne transparut sur son visage. Stoïque, et comme parfaitement à l'aise, il congédia Rusard qui voulait s'occuper de ses bagages, et contempla le Hall. Seule la propreté des grands murs de pierre, habituellement couverts de graffitis gravés par les élèves, rappleait que la guerre était passée par là. Tout avait été reconstruit à une allure impressionnante, et à l'identique.

 

Il patientait depuis quelques instants déjà; de toute évidence, personne n'avait été envoyé à sa rencontre. L'année scolaire avait commencé quelques semaines plus tôt, et certains élèves parmi les plus âgés l'avaient déjà reconnu, s'il devait se fier aux murmures autour de lui. Il se décida à se diriger vers les cachots, espérant qu'il devait bien s'installer et vivre au même endroit que son parrain, et qu'il ne trouverait pas la place déjà prise. Tous le dévisageaient; seuls les premières années ne l'avaient pas côtoyé alors qu'il était lui-même encore étudiant à Poudlard, et certainement s'attendaient-ils à le voir reprendre lui aussi les cours en tant qu'élève. Il sourit intérieurement. Le hasard avait bien fait les choses, il n'avait pas eu besoin de faire les longues études habituellement nécessaires avant de devenir professeur, et il prendrait son poste avec toute l'autorité qu'il faudrait pour imposer un peu de respect à ses anciens condisciples.

 

C'était décidé, son modèle serait son parrain, décida-t-il intérieurement tout en se dirigeant vers les cachots d'une démarche souple et assurée. Les couloirs avaient été barrés à certains endroits, des passages étaient bouchés par les gravats, et Draco prit la mesure des changements dans la vieille école au fur et à mesure qu'il s'approchait des cachots: des personnages se serraient dans les tableaux, les leurs ayant été détruits; des armures s'entassaient le long des couloirs, ne pouvant reprendre leur place initiale; les itinéraires familiers au blond devraient être revus et repensés en fonction des nombreux escaliers démolis, des couloirs écroulés.

 

La guerre était partout présente, mais ce n'est que le lendemain que ses conséquences apparaîtraient réellement à Draco.

 

                                 _____________________

 

Après s'être installé comme il avait pu dans les appartements de Severus, disposant çà et là les maigres effets qu'il avait pu sauver de sa vie précédente, il se trouva avec le ventre creux et la nuit entière pour méditer.

Personne ne l'avait accueilli, ni guidé; il avait pris possession des lieux sans même être certain que MacGonagall se souvenait qu'il devait venir ce jour-là. Cette solitude lui semblait des plus étranges, mais avant qu'il n'aie eu le temps d'approfondir sa réflexion, un Elfe apparut avec un plateau de nourriture et son planning de cours pour le semestre. Il lui fit un feu, lui souhaita la bienvenue et laissa bientôt le jeune professeur seul.

 

Draco fulminait. On le traitait toujours comme un paria; pas même un mot des professeurs pour son retour, alors que la présence de l'Elfe indiquait clairement que la directrice savait qu'il s'était installé, et où. Il leur montrerait bientôt qu'il méritait du respect. Il serait un excellent professeur.

 

Sans plus poser un regard sur l'ameublement sommaire autour de lui, il s'attela à sa tâche. Il passa la nuit dans ses livres de potions, concentré à l'extrême sur les programmes des diverses classes qu'il aurait le lendemain, préparant ses cours afin d'être prêt. Le jour le trouva toujours penché sur ses grimoires, une plume à la main. Pestant contre le temps qui jouait contre lui, il jeta un oeil sur l'horloge murale. Huit heures et demie. Il devrait se passer de petit-déjeuner, s'il voulait pouvoir se laver et se rendre présentable à temps pour son premier cours.

 

Une demi-heure plus tard, un Draco Malfoy en retard, débraillé, essayait d'enfiler une cape d'une main et de se brosser les dents de l'autre pendant que ses élèves entraient studieusement en classe, loin de se douter qu'un jeune homme échevelé et n'ayant pas dormi de la nuit se démenait à quelques pas d'eux.

Les minutes s'égrenaient, et la salle de classe commençait à s'emplir de murmures amusés, certains se demandant qui serait le nouveau professeur de potions, d'autres ayant déjà leur hypothèse, aucun ne liant ceci au bruit du retour de Draco Malfoy. Du moins jusqu'à ce que celui-ci passe la porte, essoufflé, ses mèches blondes voltigeant autour de son visage alors qu'il se stoppait sur le pas de la porte, comme stupéfié.

C'était la classe des Griffondor, des septièmes années. Comment avait-il pu oublier qui serait présent ce jour-là?

 

Face à lui, au premier rang, s'était levé brutalement à son entrée un jeune homme brun incrédule et le regard soudain flamboyant derrière une paire de lunettes rondes.

 

Le silence se fit soudain lourd et les secondes commençaient à peser des heures; les respirations s'étaient toutes coupées à l'exception de celle, erratique, de leur nouveau professeur figé à l'entrée et du souffle puissant et furieux du sorcier ayant défait à l'âge de dix-sept ans le plus terrible mage noir de l'histoire.

 Le long face à face, les deux regards braqués l'un sur l'autre face à une classe soudain terrifiée, se prolongea. Le blond sembla devenir mal à l'aise, son regard se faisant de moins en moins assuré à mesure que les iris vert émeraude face à lui se faisaient plus dures, rejetant ce qu'elles voyaient.

Malfoy à un cours des Griffondor ne signifiait qu'un chose: il était leur nouveau professeur.

 

La main du jeune homme aux cheveux brun se crispa en un tremblement, avant de se saisir brutalement d'une baguette jusque là coincée dans la poche de sa cape. Des étincelles de magie crépitaient autour de lui, une puissance presque palpable se dégageant de son corps.

 Lentement, avalant sa salive, Draco Malfoy fit un pas en arrière. A cette seconde, toutes les fioles, tous les instruments de mesure en verre explosèrent dans un fracas qui secoua toute la pièce.

Les étudiants, ayant plongé sous les bureaux et à terre afin de se protéger, ne virent pas leur professeur tourner les talons et déguerpir en courant dans le couloir, pendant que Harry Potter se rasseyait calmement.

 

                       ____________________  

 

 

Draco ne s'arrêta pas. Il savait qu'un jour la colère de Potter lui tomberait dessus. Vraiment. Pas celle du gamin qu'il avait connu les premières années, mais celle de l'homme qu'il était devenu. Un homme capable de tuer le sorcier le plus puissant de son époque. 

Et Draco avait toutes les raisons de croire que la colère de cet homme d'habitude si pacifique pouvait lui tomber dessus. Il le savait depuis qu'il avait subi le sectumsempra de ce soi-disant héros, depuis qu'il avait vu la colère dans les yeux de ce Griffondor beaucoup plus sombre en réalité que ce qu'il voulait bien montrer la plupart du temps.

Dans le couloirs aux abords de la salle, les torches s'étaient éteintes comme sous le coup d'un vent violent, les personnages des tableaux criaient, paniqués. Il dépassa rapidement les cachots, traversa les couloirs comme un homme qui a le diable aux trousses, ses pas retentirent dans le hall vide avant qu'il s'élance en-dehors, courant à s'épuiser jusqu'à la forêt interdite.

 

                         __________________     

 

 

Harry, pour la première fois de l'année scolaire, regrettait sa décision. Il aurait très bien pu ne pas suivre cette septième année, et continuer comme les autres des études supérieures directement. Mais il avait trouvé cela malhonnête. Il n'avait pas mis les pieds une seule fois l'année passée dans Poudlard afin d'y étudier; il n'avait pas assisté à un seul cours, contrairement aux autres élèves.

Si Hermione avait été ravie de pouvoir apprendre en quelques mois le programme scolaire afin de passer à un niveaux d'études plus ambitieux, lui n'avait jamais eu pour habitude de se réfugier dans les livres. Quand à Ron, il avait préféré plus d'action afin de penser à autre chose qu'aux années sombres de ses études à Poudlard, et avait été entamé une formation d'Auror.

 

Alors quand Draco Malfoy avait pénétré dans cette salle, Harry avait soudain senti tout le poids de sa solitude. Au moins, face à Rogue, il pouvait compter sur le soutien de ses amis. Il ne comprenait pas comment ce merdeux de Malfoy avait pu obtenir une telle place sans aucune qualification. Bien sûr, il était un des meilleurs élèves- Hermione le dépassant en tout sauf en potions et en quidditch-, mais était-ce une bonne idée? 

A quoi pensait MacGonagall lorsqu'elle avait embauché un fils de mangemort, un mangemort lui-même, âgé de dix-huit ans?

 

Et surtout... Retrouver son vieil ennemi, ici en position de force, le mettait en rage. Il voyait déjà venir les coups bas, les abus d'autorité, les points enlevés sans raison, simplement pour que l'autre prenne sa revanche... Malfoy était déjà assez dur à vivre en temps normal. Alors Harry ne voulait pas passer une année de plus à la supporter comme professeur, sans pouvoir rien dire, ni contrecarrer sa parole. Une année entière sans insultes, sans bagarres, sans coups bas possibles venant de sa part, et une carte blanche dans les mains racées de ce crétin arrogant.

 

C'est pour cela que Harry laissa exploser sa colère, en pleine salle de classe, devant celui qui serait dorénavant son professeur et non plus un égal.

 

Mais ce qu'il vit le laissa perplexe. Malfoy avait semblé prendre peur. Il avait eu l'air vulnérable. Il avait fui.

Ce n'était pas Malfoy. Si auparavant il avait tendance à fuir, en effet, cette fois-ci il n'avait pas même laissé son ironie dégouliner sur Harry. D'habitude, il ne s'en allait jamais sans un dernier sarcasme, voire sans se battre contre lui, jusqu'au bout.

Il lui avait semblé déjà fatigué et amaigri en entrant dans la salle de classe.

 

Lorsqu'il se rassit à sa table, sans comprendre le comportement de l'autre, deux yeux gris aux cernes profondes flottaient encore devant sa rétine.

 

 

                                                    ______________

 

 

Merci à vous d'avoir parcouru ce petit chapitre d'introduction. J'essaierai de faire plus longuet la prochaine fois, mais il faut avouer que c'est pas toujours mon fort... 

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