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au 31 Mai 21 :
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De Jolis Petits Secrets
Par Novalie
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
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    Chapitre 2     Les chapitres     20 Reviews    
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Sauvetage
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Titre : Pretty Little Secrets

Auteur : sparkley-tangerine

Correctrice : Love Gaara of the Sand

Disclaimer : Je ne possède ni les personnages ni l’histoire. Je ne suis que l’humble traductrice.

Note : Ceci est un slash (relation entre personnes de même sexe) alors si ça ne vous plaît pas vous n’êtes pas obligé de continuer à lire.
             L’histoire se passe après le livre 5 et ne tient pas compte du livre 6 et 7. Donc, c’est un univers alternatif (au)

 

 

-OoOoO-

 

Chapitre Deux

Sauvetage

 

Pansy courut rapidement vers les cachots, ses trois amis suivant derrière elle comme une étrange queue de cerf-volant humaine.

 

Tout à  fait elle, pensa Draco. Impulsive.

 

« Pansy, attends! Nous ne savons même pas si cette lettre est réelle ! » Cria Theo après la jeune fille blonde.

 

« Tu voudrais prendre la chance qu’elle soit fausse et ne rien faire ? J’ai un mauvais pressentiment à propos de cela. » Répliqua-t-elle.

 

Draco accéléra. Ses mauvais pressentiments étaient toujours, eh bien, mauvais.

 

« Elle marque un point. » dit Blaise, essoufflé de courir par une journée humide.

 

Des hurlements et des cris parvinrent aux oreilles du quatuor comme ils tournaient le dernier coin avant les quartiers privés du professeur Snape, les faisant s’arrêter. Theo percuta le dos de Draco tandis que Blaise entrait en collision avec le trio, haletant et le visage rouge.

 

« J’ai besoin de faire plus d’exercices. »

 

Personne ne l’entendit alors qu’ils regardaient leur directeur de maison faisant ce qui semblait être une crise de colère puérile.

 

Pourquoi j’ai le sentiment que cela a à voir avec Potter ? se demanda Draco avant de tourner le regard vers son parrain. L’homme avait le visage rouge.

 

« POURQUOI LE LOUP-GAROU ET SON CHIEN GALEUX NE PEUVENT PAS RESTER AU QUARTIER GÉNÉRAL ?! » cria, non hurla, un Severus Snape livide.

 

Albus Dumbledore soupira comme il regardait les quatre hommes matures. Bien, ils étaient supposés être des hommes matures.

 

Le récemment réincarné Sirius Black gronda vers Malfoy senior et Snape avant de se tourner vers Dumbledore. « Je préférerais être enfermé là-bas que coincé dans ce château avec ces deux-là ! Je suis juste venu ici pour parler à propos de sortir Harry de cette maison au plus vite. Pas pour lui parler ! »

 

Theo ronchonna. « Gryffondor » chuchota-t-il aux autres.

 

Ils lui firent un sourire narquois en retour.

 

« Bien sûr ! » ricana Snape. « Tout tourne autour de ton précieux Harry Potter ! Ce garçon est probablement adoré par sa famille ! LAISSE LE MORVEUX LÀ-BAS ET PARTEZ ! »

 

« Maintenant, écoute-moi Severus, Harry n’est pas adoré par sa famille. C’est tout à fait le contraire en fait. Et Albus nous a invités ici… il doit avoir ses raisons. » Raisonna Remus Lupin, le plus calme comme toujours.

 

Pas adoré. Peuh ! Le gars pense qu’il est né avec une cuillère d’or collée au cul. Draco roula des yeux quand il entendit Blaise murmurer pour lui-même. « Tout le contraire ? »

 

Pansy choisit ce moment pour les envahir, entraînant Blaise, Draco et Theodore avec elle, mais Hedwige atteint Sirius en premier.

 

« Professeur ! Draco vient juste de recevoir une lettre de… »

 

« C’EST LA CHOUETTE D’HARRY ! » haleta Sirius et il commença à secouer comiquement son meilleur ami. « HARRY NOUS A ÉCRIT LUNARD ! HARRY! »

 

Dumbledore sourit aux deux hommes alors que Sirius commençait à danser et à chanter dans le corridor, dans sa bulle avec un petit Harry heureux.

 

Est-ce que c’est un truc de gryffondor ou une maladie mentale contagieuse dont souffre cet homme ? Probablement un truc de Gryffondor. Draco remercia les dieux qui l’écoutaient d’avoir eu la chance d’aller à Serpentard.

 

Blaise brisa sa bulle en disant. « En fait, la tante de Potter a écrit au professeur Dumbledore. »

 

Les deux maraudeurs arrêtèrent, regardant le Britanique d’origine espagnole et dirent en même temps. « Sa tante ? »

 

Pansy hocha de la tête. « Oui, c’est signé Pétunia Dursley au bas de la lettre, mais ce n’est pas le pro -- »

 

Sirius l’interrompit. « Tuna ! TUNA A ÉCRIT À DUMBLEDORE ? Elle déteste la magie. Pourquoi aurait-elle envoyé une lettre par hibou ? »

 

« Puis-je avoir la lettre Miss Parkinson ? » demanda Dumbledore pendant que Remus essayait de calmer Sirius.

 

« Sirius, je suis sûr qu’il y a une explication logique à tout cela. Une explication logique. Maintenant, calme-toi ou tu vas te tuer. Encore ! »

 

Snape grogna et dit sarcastiquement. « Pitié; moi qui attendais avec impatience les funérailles. »

 

« En es-tu certain ? » demanda Lucius. « Il en ferait probablement tout un plat. »

 

Cela fit hausser les sourcils de Draco. Est-ce que mon père vient de faire une blague ? Draco ne l’avait jamais vu aussi détendu, même lorsque Voldemort avait disparu pendant treize ans.

 

Sirius, et étonnamment Remus, jetèrent un regard noir aux deux hommes. Sirius ouvrit la bouche pour commencer une nouvelle bataille verbale avec les deux anciens Mangemorts quand la voix de Dumbledore l’arrêta.

 

« Oh mon Dieu, il semblerait que Harry est tombé malade. » Il n’avait pas l’air si surpris. Ça ou il cachait bien sa surprise.

 

Sirius et Remus pâlirent.

 

« Malada ? Quuuuuuooooiiiii ? » Donnez-moi ça ! » Hurla en bégayant Sirius, avant d’attraper la lettre dans les mains du veil homme.

 

Lucius regarda son fils et ses amis, la confusion transparaissait à peine à travers son masque habituel.

 

« Comment tous les quatre avez mis la main sur cette lettre ? Ne me dites pas que Potter a écrit à quatre Serpentards. »

 

Draco secoua la tête. « Cette chouette complètement folle l’a seulement jeté à nos pieds et a commencé à s’agiter autour comme si elle était menacée. Potter va probablement chier des briques quand il découvrira que nous avons lu cette lettre. »

 

« Draco, ton langage. » l’avertit Lucius sans méchanceté.

 

Snape grogna. « Il a probablement fait écrire cette lettre par sa tante pour partir plus tôt. Il croit que nous allons tout laisser tomber ce que nous faisions et aller le chercher, morveux arrogant. Tout comme son père. »

 

Deux « Severus ! » (De Remus et d’Albus) et un « Bâtard graisseux » (de Sirius) furent attendu après cette remarque.

 

Pansy vient à la défense de Potter.

 

« Ça dit qu’il a une fièvre de quarante-neuf degrés! C’est douze degrés au-dessus de la normale! Et il vomit du sang ! Pourquoi inventerait-il cela s’il sait que vous allez le chercher et découvrir que c’était un mensonge ? »

 

Les arguments rebondirent sur Snape comme une balle rebondissante dans une pièce en ciment.  « C’est Harry Potter. Il aura juste à dire qu’il avait besoin de sortir de là et tout le monde roucoulera comme s’il était un bébé.  C’est un morveux ! »

 

« Okay… Le professeur Snape vient juste d’utiliser le mot ‘’roucouler’’. Quelqu’un d’autre s’inquiète qu’il respire trop de fumée de potion ? » Demanda Blaise, s’éloignant du maître des potions furieux.

 

« Ça fait deux fois que tu traites mon filleul de morveux Snivellius ! » avertit Sirius.

 

« C’est la vérité, Black ! Qu’est-ce que tu vas faire ? »

 

« Oh seigneur. Ils recommencent. » Soupira Lucius Malfoy avant de taper l’épaule de Severus avec la tête de serpent de sa canne. « Severus, tu as quarante-cinq ans, agit comme tel. Je t’ai choisi comme parrain de Draco pour que tu sois un exemple pour lui. N’agis pas comme un gosse. Crois-moi ; il n’a pas besoin de ça. »

 

« Hé ! » interrompit Draco, mais Remus arrêta ses protestations.

 

« Sirius, rappelle-toi notre sixième année, Lily est tombée malade une semaine avant son seizième anniversaire avec exactement les mêmes symptômes ? »

 

Albus Dumbledore sourit à l’un de ses plus intelligents gradués. Un jour, il ferait un grand directeur, s’il pouvait lui faire accepter…

 

Sirius sembla confus pendant une minute, essayant de se rappeler. « Ouais, mais elle était… oh ! » La compréhension éclaira le visage de l’homme ce qui laissa les Serpentards dans la pièce confus.

 

Draco fronça les sourcils. Potter a la même maladie que sa mère ? Ça n’a aucun sens ! 

 

Dumbledore hocha de la tête.  « Exactement ! Vous pouvez aller le chercher immédiatement. Je vais prévenir Poppy de lui préparer un lit. Aujourd’hui nous sommes le trente et un juillet. »

 

« Albus ! » dit Snape, sachant que ça serait inutile. « Je vois assez ce garçon comme cela. Maintenant, il envahit mes vacances. »

 

Dumbledore sourit. « Je suis certain qu’Harry ressentira la même chose Severus. »

 

-OoOoO-

 

Pétunia Dursley regarda par la fenêtre de sa salle de séjour pour la centième fois depuis le matin. Elle avait envoyé Vernon et Dudley faire des courses qui leurs prendraient toute la journée alors les monstres pourraient venir et prendre le garçon. Elle était légèrement inquiète à propos du garçon, mais ça, elle ne l’admettrait pas. Il s’était réveillé à toutes les heures pour vomir de plus en plus de sang, et à minuit, il avait hurlé comme s’il était assassiné avant de s’évanouir pour toute la nuit. Au matin, sa fièvre avait disparu comme par magie, à défaut d’autres termes, et maintenant il était congelé.

 

L’étage entier du 4, Privet Drive était froid, la pièce la plus froide étant la chambre du garçon. La nuit dernière, la chambre était d’une chaleur étouffante, faisant éclater les tuyaux sous le plancher de la chambre du garçon qui s’était déversé dans la salle de bain en dessous.

 

À cette pensée, Petunia fronça les sourcils. Elle devrait se souvenir que ce garçon était la raison pour laquelle ses beaux cheveux blonds tournaient prématurément au gris.

 

Un coup soudain à la porte fit crier Pétunia et renverser son thé.  La crainte la saisi alors qu’elle essayait de calmer ses nerfs et répondait à la porte.

 

Un homme vêtu de vêtement minable se tenait sur son palier avec un gros chien noir. Pétunia plissa le nez face à l’homme et son chien galeux avant de remarquer ses cheveux blonds grisonnants. Ah, une âme sœur. Maintenant qu’elle y pensait, l’homme lui semblait familier.

 

« Que puis-je faire pour vous, Monsieur? »

 

L’homme sourit. « Nous sommes ici pour Harry Potter. Si vous nous laissez entrer, le voisinage ne saura rien. »

 

Pétunia pâlit avant de faire un pas de côté. Nous ? Il y a seulement lui et cette chose horrible qui lui sert de chien. Pétunia avait une peur affreuse des chiens noirs. Un des amis de sa sœur pouvait, d’une façon ou d’une autre, devenir un énorme chien et il l’avait pourchassé jusque dans le parc voisin et elle avait grimpé dans un arbre. Depuis, Pétunia détestait les gros chiens noirs.

 

« Où est-il ? » demanda le sorcier avant de se tourner vers son chien et dire. « Tu peux te retransformer maintenant Sirius. »

 

À l’horreur de Pétunia, le chien noir se transforma en l’ami de Lily et le tueur en série Sirius Black.

 

« Hé Tuna ! » dit-il avec un sourire diabolique. « Je t’ai manqué ? »

 

La bouche de Pétunia bougea comme un poisson pendant une seconde, avant que ses  yeux roulent dans leur orbite et qu’elle s’évanouisse.

 

Sirius rit pendant que Remus étudiait la sœur de Lily.

 

« Tu sais, elle doit avoir un peu de sang de Vélane en elle. Tu vois les cheveux blonds et les yeux bleus? Dommage, Lily était une Vélane Élémentaire. Allez, allons chercher petit Cornedrue. »

 

Sirius sauta par-dessus Pétunia et monta les escaliers. Il glissa sur de la glace.

 

« Whoa Lunard ! Tu vois ça ? Notre petit Cornedrue est plus un petit Lily. »

 

Remus rit. « Tu sais, je commence à être désolé pour Voldemort. Si Harry a la moitié du tempérament de sa mère sans son sang de Vélane, je peux déjà sentir le Voldemort grillé dans l’air. »

 

Au haut de l’escalier, la glace avait un centimètre d’épaisseur, près de deux centimètres autour de la porte de la chambre d’Harry.

 

Sirius siffle. « Rappelle-toi comment Lily avait gelé toutes les potions de madame Pomfresh quand elle était à l’infirmerie ? Regarde comme Harry l’a surpassé. »

 

Atteingnant la porte, Remus essaya un charme de fonte, mais l’eau regelait aussitôt. Les deux hommes se regardèrent, les sourcils levés.

 

« Surpassé ? » demanda Remus. Sirius haussa les épaules et utilisa un charme explosif avant de courir dans la chambre.

 

Grosse erreur.

 

Sirius glissa, dépassant le lit de son filleul et fonça dans le mur d’en face. Remus lui rentra dedans quelques secondes plus tard.

 

« Doucement Lunard. L’endroit est couvert de glace ! »

 

Remus s’éloigna de Sirius, faisant que l’ex-détenu tomba sur le cul.

 

« Doucement Patmol. L’endroit est couvert de glace. »

 

Sirius regarda autour pour trouver quelque chose afin de frapper son meilleur ami et amour secret, mais tout était couvert de glace.

 

« Tu sais si les oreillers n’étaient pas durs comme de la pierre, je te frapperais avec un ? »

 

« Bien sûr. »

 

Soudainement, la pile de couvertures sur le lit bougea pour découvrir le pâle visage bleu d’Harry Potter. Si les deux hommes n’étaient pas amoureux l’un de l’autre, le père de substitution et l’oncle du garçon, ils se seraient pâmés d’admiration.

 

« Luuunaaard ? Pppatmoool ? » Demanda une voix mélodique et bégayante. Même avec sa peau teintée bleue, Harry ressemblait à un Vélane.  Ses cheveux noirs avaient naturellement poussé avec des reflets rouges et blond-blanc, le rouge était subtil tandis que le blond semblait soyeux, comme le reste de ses cheveux. Ses yeux verts vifs n’étaient plus cachés derrière ses lunettes et brillaient presque de puissance. Et de soulagement.

 

La seule imperfection, si on pouvait l’appeler comme cela, était sa cicatrice, mais elle était aussi magnifique.

 

« Lève-toi Harry » dit Remus gentiment. « Nous sommes venus pour te ramener à Poudlard. »

 

-OoOoO-

 

 
 
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