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De Jolis Petits Secrets
Par Novalie
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
18 chapitres - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     Les chapitres     20 Reviews    
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Maladie ou Héritage ?
Bonjour tout le monde, ceci est ma première traduction. J'espère qu'elle vous plaira. Je publirais deux chapitres par mois. (le premier et le quinze de chaque mois.) Il seront plublier deux jours plus tôt ici que sur fanfiction. C'est pourquoi vous avez deux chapitre aujourd'hui. J'ai l'autorisation de l'auteur

Titre: Pretty Little Secrets

Auteur : sparkley-tangerine

Correctrice : Love Gaara of the Sand

Disclaimer : Je ne possède ni les personnages ni l’histoire. Je ne suis que l’humble traductrice.

Note : Ceci est un slash (relation entre personnes de même sexe) alors si ça ne vous plaît pas vous n’êtes pas obligé de continuer à lire.
           

L’histoire se passe après le livre 5 et ne tient pas compte des livres 6 et 7. Donc, c’est un univers alternatif (au)

 

 


 

 

DE JOLIS PETITS SECRETS

 

Chapitre Un

Maladie ou Héritage ?

 

Le chaud soleil de juillet dardait ses rayons sur la maison soignée du 4 Privet Drive, jetant une lumière rosâtre à travers la fenêtre de la plus petite chambre de la maison. L’occupant de la pièce, un jeune homme à la chevelure corbeau, tremblait malgré les températures élevées que l’été avait apportées.

 

Harry Potter jeta un coup d’œil à l’horloge digitale près de son lit et trembla… encore.  Le coucher du soleil était dans quinze minutes, mais il n’avait pas besoin d’une horloge pour le savoir ces derniers jours. Depuis qu’il avait contracté cette étrange ‘’maladie’’, une semaine plus tôt, Harry gelait pendant la journée et devenait fiévreux la nuit.

 

« Peut-être que c’est une sorte de virus de la grippe magique » murmura-t-il comme il essayait de frotter ses mains engourdies gantées ensembles. « Je ne crois pas que c’est normal d’avoir une température de quinze degrés et moins le jour, et une de quarante-neuf et plus la nuit. »

 

Harry savait cela parce qu’il avait vérifié sa température deux fois par jour depuis qu’il était malade, avec un vieux thermomètre que sa tante lui avait finalement laissé utiliser. Toute la famille restait à l’écart de sa chambre depuis qu’il était malade, effrayé d’attraper son ‘’anormalité’’.

 

Dix minutes. Il était actuellement figé par le froid. Autre fait étrange à propos de sa grippe était qu’il n’avait aucun autre symptôme pour dire que c’était une grippe. Dernièrement, en fait seulement aujourd’hui, les lèvres d’Harry avaient pris une teinte bleutée, mais à part cela, il semblait en bonne santé.

 

« Peut-être je devrais écrire à Dumbledore. Ou à un membre de l’Ordre » pensa Harry tout haut.

 

Hedwige hulula pour approuver.

 

Sirius le tuerait certainement s’il le trouvait mort après avoir combattu la mort elle-même pour revenir vers lui.

 

Deux minutes. Harry savait qu’il devait commencer à enlever les couches qu’il avait mises, mais le froid était pire à la fin. Il n’y avait pas de transition entre le chaud et le froid, c’était instantané.

 

Harry mit le thermomètre dans sa bouche et attendit.

 

Le coucher du soleil.

 

La chaleur commença par le bout de ses orteils, brûlant comme du feu. Harry réprima un cri comme son corps se couvrait de sueur.

 

Super. Je transpire et pue comme un porc maintenant ! pensa-t-il. Quelle merveilleuse façon de passer mon seizième anniversaire.

 

Balançant les couvertures qui l’avaient gardé au chaud, Harry commença à se déshabiller, essayant de soulager l’intense chaleur.

 

L’air dans la chambre d’Harry devient lourd et crépitant de magie. L’eau, qui avait gelé dans la cage d’Hedwige, fondit et commença à bouillir. La chouette blanche se mit à hululer plus fort, alarmée.

 

« MON GARÇON ! » tonna la voix de l’oncle Vernon depuis le rez de chaussé. « TU SERAIS MIEUX DE GARDER CETTE PUTAIN DE CHOUETTE TRANQUILLE ! »

 

Hedwige fit encore plus de bruit. Harry secoua la tête et essaya de calmer sa chouette.

 

« Allez ma fille ! Arrête ! Je ne sais pas ce qu’il pourrait faire si tu ne te calmes pas ! »

 

La chouette blanche transforma ses cris en un hululement bas. Harry soupira alors qu’une goutte de sueur roulait de son visage à son lit.

 

Les draps sous lui prirent feu.

 

Harry glapit et les éteignit avec quelques-unes des couvertures plus épaisses. La chaleur s’intensifia et il se sentit nauséeux. La chaleur et le roulement de son estomac étaient simplement de trop. Attrapant sa poubelle, Harry vomit dedans. La majeure partie de la substance déplaisante était rouge.  Du sang. Harry fixa son vomi avant d’essuyer sa bouche. Plus de sang.

 

« Je meurs. Il n’y a pas d’autre réponse. Je vais mourir. » Murmura Harry et Hedwige recommença à faire du bruit.

 

Le sorcier alité entendit sa tante Petunia dire à son oncle et son cousin de sortir et d’aller chercher du dessert. Elle s’occuperait du ‘’phénomène’’ quand ils seraient partis.

 

Bien qu’Harry pensait toujours qu’il allait mourir, vomir lui avait fait du bien.

 

Les pas l’avertirent de l’arrivée imminente de sa tante, mais Harry s’en foutait. La chaleur augmenta. Il vomit encore comme sa tante entrait dans sa chambre.

 

Peu importe ce qu’elle allait dire, cela mourut sur sa langue devant la vue qui s’offrait à elle.

 

Son neveu était assis en boxer, rouge et en sueur, avec la tête dans sa poubelle, étant visiblement violemment malade. Son horrible chouette s’agitait frénétiquement dans sa cage. Ses yeux bleu clair retournèrent au garçon comme il levait la tête pour la regarder.

 

Elle haleta. Son visage était couvert de sang.

 

« Je suis désolé… pour le désordre. » chuchota-t-il avant de s’évanouir sur son lit.

 

-OoOoO-

 

Petunia Dursley avait toujours détesté le monde de la magie.  C’était le monde de sa chère sœur bien-aimée. Ce n’était pas pour les personnes normales.  Mais comme elle regardait le garçon malade dont elle avait la garde, elle réalisa qu’elle allait devoir contacter l’homme qui l’avait mis dans ce bordel.

 

Rapidement, elle traversa la petite chambre et débarra la cage de la chouette. Elle doutait que l’école du garçon fût assez cultivée pour avoir le téléphone.

 

« Viens avec moi, oiseau répugnant ! J’ai besoin de toi pour envoyer une lettre à cette horrible école. »

 

Si une chouette pouvait sembler surprise, la bête blanche l’était. Elle sautilla hors de sa cage et vola vers son maître. Il ne se réveilla pas.

 

Petunia descendit rapidement les escaliers et écrivit dans la cuisine une lettre rapide. Enroulant du ruban autour, elle se tourna vers l’oiseau et lui donna la lettre.

 

« Maintenant, je veux que tu donnes cette lettre à la première personne que tu vois à l’école du garçon… d’Harry. T’as compris petit pigeon ? »

 

La chouette neigeuse attrapa simplement la lettre – faisant crier Petunia de peur – et sortit par la fenêtre couverte. C’était un long vol pour rejoindre Poudlard.

 

-OoOoO-

 

Draco Malfoy fronça les sourcils comme il regarda un elfe de maison laisser tomber sa malle.  Son père, Lucius Malfoy, laissa un minuscule soupir s’échapper de ses lèvres avant de traverser les portes de Poudlard. Le parrain de Draco, Severus Snape, suivit l’aîné des blonds, sa robe ondulant comme d’habitude. Les deux hommes avaient été démasqués en tant qu’espions parmi les Mangemorts et devaient actuellement se cacher à Poudlard.

 

« Je te l’avais dit, les elfes de maison ne peuvent faire une chose simple correctement. » ragea Pansy Parkinson, qui supervisait le déchargement des bagages à la droite de Draco. « Rappelle-moi pourquoi nous continuons à les utiliser. »

 

Blaise Zabini gloussa à la gauche de Draco. « Parce que si ça n’était pas le cas, ça serait toi qui traînerais tes propres bagages jusqu’au château ? Tu devrais aussi te faire à manger et faire le ménage. Ils nous gardent paresseux. »

 

Draco renifla. « Un Malfoy n’est jamais paresseux. » Il sourit. « Nous n’avons simplement aucun intérêt pour le travail manuel. »

 

« Je pensais que les Malfoy détestaient le travail, quel qu’il soit. » leur parvient la voix de Theodore Nott comme il rejoignait le groupe.

 

Blaise rit.  « Hé Theo. Tu te caches aussi du fou Démon Tatoueur ? »

 

Theo acquiesça. Voldemort avait été furieux quand la ‘’prochaine génération de Mangemort’’ choisit de ne pas devenir ses fidèles. Le retour de Voldemort avait amené plusieurs de ses disciples à revoir leur point de vue sur l’avenir.  Voldemort était un fou obsédé par la mort d’Harry Potter et la domination du monde. Ses idées comme quoi les sangs purs étaient les meilleurs étaient juste une façon de vous attirer dans son petit cercle intime. Dont vous ne pouviez jamais ressortir.

 

« Mes parents ont dû quitter le pays. » dit Theo alors que le groupe s’assoyait sous un des chênes près des portes de Poudlard. « Dumbledore a offert de me prendre ici, j’ai besoin de finir mes études. »

 

Pansy hocha de la tête.  « Même chose. Mais je veux seulement rester avec mes meilleurs amis et voir ce maniaque mourir. » Le frère aîné de Pansy, Patrick, avait été assassiné par Voldemort pendant un de ses accès de folie. Sa famille s’était alors détournée des Ténèbres.


 « Qui d’autre va venir ici ? » demanda Draco. Plusieurs familles fidèles au Seigneur des Ténèbres s’étaient détournées quand le père de Draco s’était déclaré loyal à la lumière, les familles neutres l’avaient suivi aussi.

 

« Adrian Pucey a été envoyé à Drumstrang, tout comme Andrew Bleychley. » dit Blaise, ses yeux violets s’assombrissant.

 

« Matthew Flint va venir. Il a mal pris la mort de Marcus. Malcolm Baddock est parti en France, ce sale traître. Bulstrode et Bole aussi. Terence Higgs et Greg viennent, mais Crabbe va à Drumstrang. Luis Montague devrait arriver aujourd’hui » dit à toute allure Pansy.

 

« Huit familles de moins sur la liste d’appel du Seigneur des Ténèbres. Pas mal. » Répliqua Draco. « Par contre, il a gardé les psychopathes violents et fous. Approprié, je crois. »

 

Blaise ouvrait la bouche pour parler quand le cri perçant d’un hibou l’arrêta.

 

« Bordel de merde, qu’est-ce que c’est cela ? » demanda Pansy, oubliant qu’une dame n’utilisait pas un tel langage.

 

Une chouette blanche comme la neige se dirigeait à toute vitesse vers les quatre, une lettre agrippée dans ses griffes. Draco fronça les sourcils.

 

« Ça semble être la chouette de Potter. Pourquoi vole-t-elle comme si elle avait le chien de l’enfer à ses trousses ? »

 

Hedwige atterrit sur le sol devant les Serpentards avec un grand bruit, jetant la lettre aux pieds de Draco, elle voleta autour en hululant frénétiquement.

 

« Pourquoi Potter t’écrit une lettre Drake ? » demanda Theo comme Draco prenait la lettre et déchirait magiquement le truc en plastique.

 

« Je ne sais pas. » répondit honnêtement Draco. « Laisse-moi lire. »

 

Les quatre se rapprochèrent pour lire l’écriture soignée.

 

À qui de droit,

 

J’espère que cette lettre parviendra à quelqu’un de l’école d’Harry Potter, moi, Petunia Dursley, j’écris cette lettre en son nom. S’il vous plaît, dites à M. Dumbledore que le garçon est horriblement malade d’une sorte de maladie que je ne peux que relier aux gens de votre espèce. J’ai peur pour ma sécurité, celle de mon mari et de mon enfant. J’exige que vous envoyiez quelqu’un pour venir le chercher à ma résidence aussi tôt que possible. Si jamais vous doutiez de cette maladie incroyable, demandez-vous si c’est normal d’avoir une température de quarante-neuf degrés et de vomir du sang.

 

S’il vous plaît dites à son parrain que vous prenez soin de son filleul et qu’il reste un homme recherché dans mon monde.

 

Croyez à l’expression de mes sentiments distingués.

 

Petunia Dursley

 

Pansy regarda les autres, clairement choqué avant d’attraper la lettre et de courir vers Poudlard.

 

« Allez ! Nous devons donner cette lettre au Professeur Snape ! Il l’a donnera à Dumbledore ! »

 

-OoOoO-

 

 
 
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